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Comment ma femme s'est dévergondée

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
Il tient deux objets métalliques. Deux pinces à seins.Tout de suite, je sens la première morsure sur mon téton gauche.Puis la même sur le droit.Je hurle. Puis contient ma douleur.Il tire doucement sur les deux ficelles. Je crie.

— Voilà ce qu’il te faut pour te calmer je crois !Il repart et revient avec un panier plastique.

-Je n’ai que ces deux pinces, alors je vais t’en mettre en plastique sur la bite et les couilles !Il commence à placer les pinces. Sur le sexe tout d’abord, puis sur les testicules.

Je crie au début. Puis subis les morsures.Une fois que tout est terminé, il se relève. J’ai une vingtaine de pinces à linge posées à l’entrejambe et deux pinces métal aux seins.

Il vient avec l’appareil photo et ne se prive pas.Sandra arrive alors. Elle tient un gros sac de sport rempli à la main.

— Vas déposer tes affaires dans la chambre ma chérie !
Sandra revient ensuite sur la terrasse.

— Qu’est-ce qu’il s’est passé ?— Eh bien, je lui ai annoncé la nouvelle, et monsieur le cocu l’a très mal pris ! Alors voilà le résultat !!

Sandra s’adresse à moi.— Tu n’as pas encore compris ? Ton intérêt c’est d’obéir, d’être complètement soumis ! A Daniel et à moi !!

— Tu as raison chérie. D’ailleurs nous avons d’autres mesures à lui annoncer. Comme il est attaché, nous allons en profiter. Ca évitera ses "mouvements d’humeur" !

Il va chercher une bouteille de champagne, l’ouvre, sert Sandra qui s’assied avec lui sous la tonnelle.Il se lève vient vers moi avec le bouchon de Champagne.

— Ouvre la bouche et serre moi ça entre tes dents ! C’est ta part de Champagne !Ils éclatent de rire tous les deux, et il prend de nouvelles photos.

Il l’embrasse sur la bouche, la pelote à travers le t-shirt. Ils boivent leurs coupes. Il ressert.— J’avais oublié notre soumise, notre cocu ! Alors, voilà quelques mesures nouvelles…

— Avec Sandra, quand tu parleras de moi, tu ne diras plus "Daniel", mais "ton amant" ! Sandra, d’ailleurs fera de même : elle dira "mon amant m’a appelée".

— Lorsque Sandra sera rentrée à la maison, tu arrêteras de lui sauter dessus selon tes envies. Ca, c’est définitivement terminé. Comme Sandra va désormais avoir une vraie activité sexuelle qui sera intense, surtout les week-end, tu auras le droit de faire l’amour les mardis soirs uniquement.

— Et quand tu feras l’amour, je veux avant une heure de préliminaires minimum : caresses partout, tu lui suces les tétons, tu lui lèches la chatte, l’anus… Si tu ne respectes pas cette règle, ou si tout simplement elle n’est pas satisfaite de tes services, elle pourra se refuser à toi et tu attendras la semaine suivante.

— Concernant les pénétrations. Tu mettras désormais un préservatif. Et tu feras l’amour exclusivement en pratiquant la sodomie. Avec ta petite bite, Sandra aura une chance de mieux te sentir. Tu ne la pénétreras plus par devant. Sa chatte est réservée à son amant et à ses futurs mecs. Pour toi, désormais, c’est l’anus.

— Si tu as des envies en dehors des mardis, tu iras te masturber dans les toilettes.

Le bouchon entre les dents, je ne peux même pas répondre.— Au lit, désormais, tu ne couches plus nu. Tu mettras un pyjama. Et nous allons te choisir avec Sandra des pyjamas de pépés qui sont de véritables "tue l’amour" ! Avec ça sur toi, ca va calmer tes ardeurs. De plus, je veux que tu portes un slip sous le pantalon de pyjama.

— Au lit, toujours, interdiction de toucher et de te coller à Sandra. Tu l’oublies. Si tu la touches, même par inadvertance, tu seras puni.

— Tu vas prendre également l’habitude de la vouvoyer, et tu l’appelleras "Mademoiselle".— Tu vas prendre aussi l’intégralité des tâches ménagères à ton compte : tu feras les courses et la cuisine, le ménage, la vaisselle, la lessive, et tu laveras même les petites culottes à Sandra, à la main.

Il se lève, viens vers moi, enlève le bouchon d’entre mes dents.— Tu as quelque chose à dire, cocu ?

— Salaud…Salaud….— Est-ce que tu as tout compris ?

Je fais "oui" de la tête.— Très bien ! Je continue donc.

Il me remet le bouchon entre les dents et va s’asseoir.

— Plus tard, Sandra, en plus de moi qui suis désormais son amant régulier, connaîtra d’autres mecs. Elle pourra se faire baiser dehors, ou même découcher, mais certains soirs, ils pourront venir baiser chez vous. Donc, tu les recevras de façon très cordiale, leur offrant l’apéritif, puis tu laisseras Sandra s’envoyer en l’air. Interdiction de dire quoique ce soit ou pire d’aller mater ! Quand les ébats seront terminés, tu pourras offrir le champagne, et surtout, ne jamais oublier de remercier le mec d’avoir baisé ta femme, c’est très important ! Si tu oublies je te garantis une punition dont tu te rappelleras !

Il vient me retirer le bouchon.— Alors ?— Oui…oui…j’ai compris…— Très bien ! Tu vois, Sandra, il commence à accepter la situation, c’est bien !

Sandra se lève alors. Vient vers moi, la flûte de Champagne à la main. L’air très "chatte". Elle tire sur les ficelles des pinces que j’ai aux seins. Je crie.Puis elle verse doucement sa flûte de Champagne sur mon sexe.

— Humm…Chéri, il m’excite, attaché, comme ça, soumis, avec ses pinces partout… Une vraie salope !!— Tu as raison, ma puce ! Ton cocu de mari est une vraie salope qui s’ignore ! On va travailler ça aussi !

Ils éclatent de rire.Ils mangent sur la terrasse. Moi toujours nu, entravé et exhibé.Au bout d’un moment, Sandra me regarde et dit à Daniel.

— Tu vois, amour, quand je le vois comme ça, c’est vraiment dommage que tu n’aies pas une cravache… Il me donne des idées et des envies…— Ah oui ? Vraiment ? Tu aimerais t’occuper de lui comme ça, Puce ?— Oui, vraiment !!!! Je crois que j’en ai envie !!— Eh bien on va voir ça… Demain je vais au magasin d’équitation et je te ramène une belle cravache pour notre soumise !!— Merci amour. Je crois que ça va beaucoup l’aider à devenir très très très obéissante !

Ils en sont au dessert. Il se lève. Viens vers moi.Enlève les pinces à linge de mon sexe, mes couilles. Je sursaute.Puis il enlève la première pince de mon téton. Je hurle.La deuxième. Je hurle.La douleur est si forte que je halète et laisse pendre ma tête.Sandra rit.

— On dirait que ton traitement fonctionne, dis-donc, il est bien calme !!Il enlève la corde, je peux baisser les bras.Il ouvre les menottes.

— Tu vas nous préparer le café et nous servir sous la tonnelle. Avant, tu débarrasses la table et tu fais la vaisselle. J’obéis. Je débarrasse, prépare le café. Je viens les servir.Puis je fais vite la vaisselle.Reviens sur la terrasse. Ils sont en train de s’embrasser à pleine bouche.

— Vas faire le lit ! Et change les draps. Dépêche-toi !Ils ne m’épargneront rien.

J’arrive dans la chambre. La couette et le drap du dessus sont relevés, je les enlève. Le drap housse bleu foncé porte les traces de la nuit passée. Il y a de nombreuses taches blanches.Ca doit les exciter de me faire voir les traces de sperme sur les draps.

J’enlève draps et taies, mets le linge sale dans la machine et la fait tourner, puis je prépare un lit propre.Je reviens sur la terrasse.

— Monsieur, est-ce que je pourrai appeler Sandra durant cette semaine ?— Non ! Tu lui fiches la paix. Si tu as quelque chose à lui dire, uniquement par texto. Et encore, n’en abuses pas ! Moi, je te contacterai, fais moi confiance !! Tu auras le récit de toutes nos nuits, je sais que tu aimes ça !!

Ils éclatent de rire.Sandra lui murmure quelque chose à l’oreille. Il rit.

— Tiens, au fait, montre nous voir ce que tu sais faire…— Branle-toi !L’ordre me fais sursauter.

— Allez !!! Qu’est-ce que tu attends ?? Branle-toi je t’ai dis !!Suis tétanisé. Bloqué.

— Tu veux être puni ou quoi ? Tu veux que Sandra passe une semaine de plus dans mon lit ? Un mois ??J’éclate en sanglots.

— Ne me fais pas attendre. Allez, branle-toi !Vu la menace de punition, je n’ai pas le choix.

Ma main droite descend vers mon entrejambe. Je commence ce qu’il veut.— Allez, touche ta petite bite, du nerf !

Je vais doucement. Vu le contexte, pas moyen de bander.Ils me regardent faire.Il rentre, revient avec une bouteille d’huile de table. 

— Donne ta main !Je tends ma main, il verse l’huile.

— Branle-toi maintenant, ça glissera mieux !Je me touche. Mon sexe commence à gonfler.

— Ca y est, amour, il bande on dirait…— Ouais ça vient…J’arrive a avoir une érection, l’huile m’aide à donner le rythme.

Je ralentis.— N’arrête pas bon sang !!— Je sens que je vais jouir…— Ah, très bien ! Allonge-toi sur le carrelage !

J’obéis.— Allez, "finis-toi" !Je me masturbe devant eux.— Ahh….ahh…ah…".

Les jets de sperme arrivent sur mon ventre.Je suis haletant. C’est fini.

— Regarde puce ! Il n’a rien dans les couilles ma parole !!— Ca, ce n’est pas tes éjaculations, c’est sûr !!!!!Il va chercher l’appareil photo. Mitraille.

— Étale bien le sperme sur ton ventre et tes seins et lève toi !Bien obligé d’obéir. J’étale le sperme sur moi. C’est dégueulasse.

— Lève-toi et habille toi ! Tu prendras une douche chez toi.Je m’habille.

— Bon, il est 21 heures 10, on a envie de baiser, donc tu rentres chez toi.

Je ne tente même pas d’embrasser ma femme. Je dis "au revoir" et m’en vais. Il ferme la porte à clef.Une fois chez nous, j’ai hâte d’aller sous la douche, je pue le sperme.
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