Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 83 J'aime
  • 6 Commentaires

Comment ma femme s'est dévergondée

Chapitre 8

Erotique
Douche vite faite. J’ouvre la porte fenêtre du salon.J’entends des gémissements.Sandra est allongée nue par terre sur des matelas, pendant qu’il lui lèche la chatte !

Je rentre. Je referme. J’en ai assez vu et subi. Ils veulent me pousser à bout. Ils vont encore faire l’amour, là, quasiment devant moi.Je me fais à manger. Je n’ai pas envie d’ouvrir la fenêtre.Et je vais me coucher.J’arrive à m’endormir.

Le lendemain, lorsque le portable sonne, j’ai la même sensation que la veille : suis seul dans notre lit et me rappelle ma triste situation.Au bureau, curieusement, en cette matinée, aucun SMS de Daniel. C’est bizarre.Je vais manger à la cantine. L’après-midi se passe, rien.

Juste avant de quitter, SMS."Tu rentres directement chez toi, ne viens pas chez moi".Je réponds."J’aimerais juste venir dire bonjour à Sandra"."Tu rentres chez toi et c’est tout. C’est bien compris ?".Voilà qu’il m’empêche de voir ma femme !!"Oui, j’ai compris. Pouvez-vous l’embrasser de ma part ?"."Pour l’instant, elle s’occupe de son amant. Je crois qu’elle ne pense pas à toi. Elle prend énormément de plaisir en ce moment, on n’arrête pas de baiser, alors je ne vais pas lui gâcher son plaisir en lui parlant de son cocu ! Bye".

C’est clair. Il m’éloigne de ma femme. Veut-il me la voler ?Dépité j’arrive chez nous. Rentre la voiture dans le garage. J’ouvre la fenêtre. Je les entends parler et rire sur la terrasse.Je ne peux rien faire, sinon juste entendre la voix à Sandra.La soirée se passe je dors difficilement.

Le lendemain matin au bureau, je décide d’envoyer un SMS."Bonjour Monsieur. J’ai envie de venir embrasser ma femme et de lui parler cinq minutes. Vous ne pouvez quand même pas tout m’interdire, j’en accepte déjà beaucoup je crois. De plus Sandra m’aime, je ne crois pas qu’elle veuille vraiment un amant".

La réponse ne se fait pas attendre."Espèce de salope, pour qui te prends tu pour me parler sur ce ton ? Je n’ai pas d’ordres ou même de conseils à recevoir d’une salope comme toi. Tu seras donc punie très sévèrement pour ce que tu viens d’écrire. Pour commencer, deux jours sans aucun contact, ça te calmera".

Soudain, nouveau SMS."C’est Sandra. Qu’est-ce qui se passe ? Tu deviens fou ? Qu’est-ce qui te prend d’écrire ça ? Tu acceptes beaucoup de quoi ?? Oui, je m’éclate fort avec mon amant ! Oui j’aime sa queue ! Oui il me baise bien, et beaucoup mieux que toi ! Quant à t’aimer oui, mais tu ne me dicteras pas ma vie ! Et quoi que tu en penses, maintenant que j’y ai goûté, oui j’ai besoin d’un amant ! Et pour l’instant Daniel est mon amant, et il me plaît, il me fait bien l’amour et souvent".

Les deux jours suivants se passent sans aucun contact.Suis terriblement jaloux. Angoissé. J’en ai marre.Le mercredi et le jeudi soir, je les ai entendus parler et rire en rentrant chez nous à la fin du travail.Et les deux jours, après les repas, j’ai entendu gémir, crier.Visiblement, ils faisaient l’amour dehors, probablement pour me faire souffrir.Alors à chaque fois j’ai fermé la fenêtre.

Le vendredi, toujours aucun contact.Je rentre comme d’habitude. Au bout de 20 minutes, SMS !"Nous t’attendons dans 10 minutes".Je sonne, il m’ouvre.J’arrive sur la terrasse, Sandra est assise sous la tonnelle.— Bonjour Sandra.— Bonjour ma soumise !Sa réponse est humiliante.

Je me déshabille immédiatement.Il prend la parole."Tu sais ce que tu as fais mardi, je pense que tu t’en rappelles. Tu as déjà été trois jours sans contact, mais c’est loin d’être suffisant. J’ai d’ailleurs un cadeau pour Sandra".

Il lui tend un long paquet, emballé dans du papier cadeau.Elle déballe.C’est une cravache rouge.-OH ! Merci amour ! Tu y as pensé !!.Elle joue avec la cravache, la tord.-J’ai hâte de l’essayer !!-Ne t’inquiètes pas, Sandra, tu vas avoir l’occasion de t’en servir très vite !!

Il me regarde.— Soumise ! Va changer le lit, dépêche-toi !J’obéis. J’ai l’habitude désormais d’être humilié, de changer leurs draps et de voir les traces de leurs ébats. Linge sale machine, et lit fait et propre.Je reviens.Il regarde Sandra.— Je vais te la "préparer"

Il revient de la remise avec les menottes et la corde.Prend mes mains, me passe les menottes. Met la corde. Me tire.— Allez ! Viens !— Puce ! Je la mets à la tonnelle ou là, à l’entrée ?— C’est plus pratique à l’entrée je pense. Passe la corde sur la grille du balcon, à l’étage.

Il me tire. Lance la corde entre les barreaux à l’étage. Sandra est montée, la passe entre les barreaux et lui jette le bout. Il tire. Mes bras se lèvent. Il tire au maximum, jusqu’à ce que mes pieds se lèvent presque. Ca tire et me fait mal. Je gémis.— Bon ! Très bien. Attache la corde solidement, Sandra !Je suis solidement entravé. Offert, nu.Sandra redescend. Il la regarde.— Je vais la bâillonner.

Il rentre, revient avec un gant de toilette et un torchon de cuisine.Vient vers moi, roule le gant de toilette en boule.— Ouvre la bouche !Je fais "non" de la tête. Sandra s’approche, me gifle."Mon amant t’a dit d’ouvrir la bouche, salope !"Les larmes coulent."Alors, tu obéis, oui ?"

J’ouvre la bouche. Il fourre le gant de toilette roulée dans ma bouche jusqu’au fond de la gorge. Puis place le torchon de cuisine torsadé sur mes lèvres et fait un nœud solide sur ma nuque.Il se place derrière moi, me manipule avec son pied."Ecarte tes jambes ! Mieux que ça !""Voilà, comme ça !".

Il prend ensuite son appareil, prend des photos. Puis va dans la remise. Revient avec les pinces à seins. Me les pose. Bâillonné, aucun son ne sort de ma bouche. J’ai mal.Je suis entièrement nu, bras levés à l’extrême, exhibé, jambes écartées, bâillonné.— Tu veux que je te bande les yeux ?Je fais "non" de la tête.Il regarde Sandra."Elle est prête. Elle est à toi".

Assis tous les deux sous la tonnelle ils me regardent.Sandra prend la parole.-Tu sais que je n’ai pas apprécié ton texto de mardi. Ce n’est pas une petite salope comme toi qui va me dire ce que j’ai à faire ou ne pas faire. J’ai envie d’avoir un amant et ça ne te regarde pas. Daniel est mon amant, il me plaît, il me baise super bien et tu n’as rien à dire. Comme tu ne sembles pas avoir compris, je vais donc te punir. Pour ton texto, ca fait 30 coups de cravache.

Daniel me demande.-Tu as envie de te faire fouetter, salope ?.Je fais "non" de la tête, ne pouvant pas parler.Daniel fait "oh la la !!.Puis Sandra :-D’accord. Ca fait 40 coups.

Daniel recommence.-Tu as envie de te faire fouetter, salope ?.J’ai compris. Je fais "oui" plusieurs fois de la tête.-Ah, il a enfin compris ma puce !!— Pas sûre. On va voir…— Tu es contente que Daniel soit mon amant ??Je fais "oui" plusieurs fois de la tête.— Ah vraiment… Tu aimes savoir comment il me baise ?"oui" plusieurs fois…

— Ca t’excite d’être soumise ? De voir ta femme se faire baiser à fond ?"oui" plusieurs fois…— Eh bien mon chéri, elle a compris !!— Bien, mon petit mari-cocu et soumis, alors les choses sérieuses vont commencer. On a donc dit 40 coups…Elle se lève. Lui également. Ils viennent vers moi. Il la conseille.

— Tu espaces les coups et tu n’épargnes aucune zone. Elle doit en prendre partout : dos, fesses, épaules, jambes.— Au fur et à mesure, elle va bouger. Alors attends un peu entre chaque coup pour mieux la cingler, et surtout ne retiens pas tes coups, elle doit comprendre la leçon. Il faut la "marquer" pour quelques jours.— Très bien mon amant chéri ! J’ai compris.Je la vois aller chercher la cravache.

— Positionne-toi bien derrière elle ! Comme ça, oui. Prends bien appui sur tes orteils. — Voilà, tu es bien positionnée, elle est "prête", tu peux commencer.Sandra parle dans mon dos.— Soumise, c’est le moment de prendre ta punition.

Le premier coup me déchire le dos. Puis un deuxième au niveau des épaules. Les fesses. Les jambes. Le dos. Les fesses. Le dos. Les épaules. Les jambes.Je serre le gant de toilette dans ma bouche. Les coups pleuvent. J’ai mal.— Tu feras une pause à mi-chemin, au 20ème coup. On la laissera récupérer.15. Plus que 5. 19. Le 20ème me zèbre le dos.Il a bien sûr pris des photos. Sandra arrête au 20ème coup.— Bon, soumise, on te laisse te reposer un peu !

Ils vont sous la tonnelle, ouvrent une bouteille de champagne.Elle vient vers moi. Les larmes coulent.Elle boit une gorgée de Champagne.-Tu ne peux pas imaginer le plaisir que je viens de prendre à te fouetter !! Ca m’excite ! Tout à l’heure, je vais être chaude-bouillante au lit avec mon amant, grâce à toi !
Diffuse en direct !
Regarder son live