Sophie est toujours face à moi mais dans une tenue si sexy que bien que mon sexe redescende, il reste gonflé, surtout lorsque mon regard se perd dans sa poitrine ou entre ses cuisses qu’elle garde maintenant entrouvertes par provocation. Sophie perd les deux donnes suivantes, Marc s’étant couché à la première et moi à la seconde. Elle enlève donc d’abord sa jupe, puis à notre grande surprise, son string. Elle est donc dorénavant le sexe découvert, en guêpière, bas et talons hauts : une tentation à chaque œillade ! C’est moi qui donne la main suivante et je découvre un brelan de huit en retournant mes cartes. Bien que je dépose deux cartes, je n’obtiens rien de mieux... Je me sens néanmoins chanceux et annonce un gage qui devrait plaire à Sophie suite à sa remarque de tout à l’heure : elle pourra me raser le sexe. Elle surenchérit, annonçant qu’elle nous fera une fellation à tous les deux si elle perd... J’ai soudain un doute, mais c’est trop tard ! Marc se couche et Sophie abat ses cartes : un brelan de valet ! Elle gagne et je vais me retrouver imberbe ! Sophie, enjouée : je vais donc te raser ! Je n’en reviens toutefois pas ; je m’attendais à tout sauf à ça et proteste un peu, angoissé à l’idée qu’un rasoir approche cet endroit, mais aussi excité à l’idée que Sophie s’occupe de mon organe avec une attention que j’espère délicate. Elle me rassure en précisant qu’elle le fait régulièrement à Marc et que tout se passe toujours très bien. Je ne peux reculer si je veux profiter du reste de la soirée et elle part chercher le matériel nécessaire. Dès son retour, elle s’agenouille devant moi, retire mon boxer, puis me fait asseoir au bord du fauteuil sur une grande serviette. Elle sort une tondeuse électrique de sa pochette et étale à mes pieds rasoirs, mousse à raser, après-rasage et une bassine avec de l’eau. Elle commence avec la tondeuse, prenant mon sexe entre deux doigts ce qui le raidit rapidement, elle l’écarte de mon pubis pour passer la tondeuse dans mes poils, qui tombent sur la serviette. Je la regarde faire, le visage si près de mon gland gorgé de sang. Ses seins lourds qui ballotent quand elle bouge pour contourner mon pieu dressé m’excitent terriblement. Elle colle alors mon sexe contre mon pubis de sa main et approche la tondeuse de mes bourses qui se rétractent à cette idée. Elle me fixe du regard et voit mon anxiété. Pour m’apaiser, elle fait quelques légers mouvements de haut en bas sur mon sexe coincé entre ma peau et sa paume. Je pince mes lèvres de plaisir et elle passe délicatement et lentement la tondeuse autour de mes testicules, les effleurant à peine. Le plus gros enlevé, elle pose la tondeuse, mouille ses mains et me caresse le sexe pour l’humidifier, ce qui augmente mon ardeur et mon envie. Marc s’est décalé pour voir Sophie faire. Je suis étonné qu’il ne dise rien et encore plus quand je constate qu’il caresse doucement son sexe qu’il a sorti de son jeans et qui bande ferme !
Sophie met une noix de gel à raser dans sa main et commence à me masser le pubis et les bourses. La fraicheur de la mousse et la douceur de ses caresses sont divines et je contracte mes fesses, poussant mon sexe vers elle. Elle trempe le rasoir dans la bassine et l’approche de ma peau : je suis tout de suite plus inquiet et cela se constate, mon sexe se recroqueville sur lui-même. Elle l’écarte doucement et commence à me raser la toison. C’est doux et agréable, ce qui me fait reprendre de la vigueur. Elle s’attaque à mes bourses, et cela me chatouille agréablement : je rebande ferme... Prenant mon sexe entre deux doigts, elle fait coulisser mon prépuce vers le bas, puis le remonte bien haut sur mon gland. Ce seul aller-retour est merveilleux et je m’avance encore sur le fauteuil, espérant plus. Mais elle n’avait comme intention que de tendre la peau à la base de ma queue pour y raser les poils tout autour. Elle prend son temps et s’applique à enlever toute la mousse avec la lame. Une fois terminé, elle mouille à nouveau ses mains et essuie les restants de crème, commençant par mon pubis, puis mon sexe jusqu’au gland qu’elle a décalotté à nouveau, et enfin mes parties. Cette caresse, sans poil est nouvelle pour moi et je la trouve extrêmement plaisante. Elle m’essuie partout avec la serviette, en profitant pour me branler deux ou trois fois sous le regard excité de son copain et finti par un baiser inattendu sur mon bout, ajoutant : — Et voilà une belle queue bien dure et bien propre comme je les aime. Elle me fait envie !
Marc : — Ah oui, voyons ça !
Ce moment, suivi de ce baiser sont tellement excitants que je dis que je n’en peux plus et que je veux me soulager ou qu’elle s’en occupe. Je prends ma verge à pleine main et la branle un peu tandis que Marc qui s’est levé caresse l’entrejambe de Sophie, mais elle se rebiffe : — Pour ça, messieurs, il va vous falloir un gage. En attendant, à vos places que je puisse admirer vos deux belles bites bien dures et bien rasées. Alors qu’elle range tous les accessoires, je note quand elle se baisse que son sexe coule, la mouille commençant à inonder ses cuisses. Elle revient d’ailleurs avec la serviette et s’assied dessus, tirant une nouvelle carte après avoir lancé le dé et m’avoir fait profiter de cette fente ouverte juste en face de moi. Elle porte très souvent son regard sur mon entrejambe avant que je ne remette mon boxer ce qui ne m’aide pas à retrouver mon calme.
