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Comment j’ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir

Chapitre 1

Le contexte : m’a femme aime s’exhiber

Voyeur / Exhibition
Ma compagne a maintenant 24 ans. J’en ai 5 de plus.Nous nous sommes rencontrés il y a tout juste deux ans.Je l’appellerai Jennifer, et me nommerai moi-même Steve pour garder un maximum d’anonymat à mon récit.Elle avait multiplié les relations de courte durée. Jennifer avait toujours aimé les tenues sexys, voire osées, et ses compagnons avaient toujours été des hommes assez jaloux. Cela ne pouvait pas lui convenir.Jusqu’à notre rencontre.Non seulement je ne suis pas jaloux lorsqu’elle provoque les autres hommes en ma présence, mais, au contraire, cela m’excite.Nous nous sommes rapidement rendu compte de notre complémentarité.Mieux : quand elle a compris le pouvoir qu’elle avait sur moi de me mettre dans tous mes états juste en s’habillant sexy et en adoptant des poses provocantes à la vue d’autres hommes, elle a au fil du temps affiné et multiplié les scénarios et à découvert que cela faisait plus que lui plaire. Cela l’amena elle-même dans des états d’excitation extrêmes.
Il faut préciser que Jennifer est une petite brunette, belle à croquer. Bien que ne mesurant que 1,58 m, son corps est quasi parfait. Une belle poitrine ferme et ronde à souhait, une taille de guêpe, des fesses bien fermes, mais surtout bien rebondies sans être trop grosses. De belles jambes bien longues (toutes proportions gardées). Si on devait lui trouver un point à critiquer, on pourrait à la limite dire que ses cuisses auraient pu être un petit peu plus menues. Mais c’est une question de point de vue ; pour ma part, j’aime qu’il y ait ce qu’il faut là où il faut...

Je vais donc commencer par planter le décor de ce qu’était le quotidien de notre relation avant que je lui apporte une dimension supplémentaire qui aurait pu y mettre un terme si je m’étais trompé sur la nature profonde de ma bien-aimée... Mais ne brûlons pas les étapes.
Or donc, comme exprimé plus avant, Jenni et moi nous sommes rapidement installés dans un mode de fonctionnement très épanouissant pour chacun d’entre nous. Jenni prend presque toujours l’initiative. Elle me surprend, fait monter rapidement mon état d’excitation sexuelle, et, voyant comment cela réussit, se retrouve elle-même rapidement dans un état proche de l’Ohio ! Bien souvent, nous perdons alors tout contrôle.
Quelques exemples.
Le grand classique : nous sortons en ville, choisissons un quartier plutôt éloigné de chez nous (histoire de diminuer le risque de rencontrer des connaissances), et nous installons à une terrasse. Jenni porte quasi toujours une robe ou une jupe très courte, des talons hauts et un string (pour débuter). Nous choisissons un emplacement bien vu des passants. Là commence l’hameçonnage : quand un homme passe, Jennifer écarte suffisamment les jambes pour qu’il puisse voir son string. Il faut alors attendre celui qui mord à l’hameçon ; c’est-à-dire celui qui va s’intéresser à l’entrejambe de Jenni. Une fois, il va par exemple s’arrêter pour donner un coup de téléphone. Pendant la durée de la conversation, il mate. Jenni, faisant semblant de ne pas l’avoir vu, va lui offrir une vue encore plus large sur sa petite culotte. L’homme s’installe à une table de la terrasse qui lui offre un bon angle de vision. Jenni oriente de façon « innocente » sa chaise de manière à optimiser l’angle de vue du voyeur. Elle le provoque un peu plus en passant deux doigts sur le tissu déjà trempé de son string, toujours sans regarder l’homme. Moi, de mon côté, j’observe discrètement l’homme et commente tout bas ses réactions pour Jenni. À un moment donné, Jenni se lève pour se rendre aux toilettes. Elle revient très vite et reprend son manège. Sauf qu’elle a entre-temps ôté son string. Le mec ne peut plus quitter du regard l’entrecuisse de Jenni. Je bande comme un dingue. Jenni mouille.
Je dois ici faire un aparté pour expliquer que ce genre situation excite Jenni de façon presque irréelle. En fait, elle se met déjà à mouiller rien qu’en imaginant le scénario qui va se dérouler. Alors, quand elle voit que bande à travers le tissu de mon pantalon, et quand elle sent le regard concupiscent du voyeur sur son intimité, elle ne mouille plus, elle coule ! Ça lui coule le long des cuisses jusqu’aux genoux ; sa mouille tombe à grosses gouttes par terre quelques fois.
L’homme ne peut pas ignorer qu’elle mouille. Même à plusieurs mètres, cela se voit.Écoutant mes instructions, Jenni rectifie la position chaque fois que des spectateurs potentiels indésirables se pointent, et reprend l’exhibition chaque fois que possible.

C’est alors que vient l’estocade. Jenni referme les cuisses. Puis, cessant de feindre l’innocence, elle regarde de façon appuyée dans la direction du voyeur. Jusqu’à ce que leurs regards se croisent. Là, tout en le fixant dans les yeux, elle ouvre large ses cuisses. L’homme qui l’a regardait dans les yeux ne résiste pas à dévier son regard vers le bas-ventre de Jennifer. C’est le moment qu’elle choisit pour rapidement passer un doigt entre les lèvres de son sexe, y faire pénétrer rapidement son majeur, le ressortir tout dégoulinant de sa mouille et se le lécher avec sensualité tout en refermant les cuisses et en fixant le regard ébahi de l’homme qui, entre-temps, la contemple complètement interdit.Il faut préciser que je suis moi-même à ce moment au bord de l’orgasme.
Cet exemple de scénario, nous l’avons maintes fois expérimenté. Je ne dirai pas que c’est notre quotidien, mais presque.

Mais nous vivons fréquemment des scénarios plus hards et bien plus osés.Pour celui que je vais vous décrire, nous nous déplaçons dans une autre ville. Nous devons être certains de ne rencontrer personne qui nous connaisse.
Je me souviens particulièrement d’un samedi où il s’était soudain mis à pleuvoir des seaux. La petite localité où nous nous étions transportés est connue pour ses nombreux sex-shops.Jenni avait ce jour-là pour tout vêtement une petite robe blanche très très courte et tellement légère qu’elle était tout juste pas transparente. Le haut en était muni de bretelles qui laissaient la place à un décolleté plus que révélateur et dont les échancrures latérales laissaient voir la moitié des seins pesants de Jennifer. Comme elle ne portait ni soutien-gorge ni petite culotte, on ne mentira pas en disant que cette pièce de tissu permettait de nier que Jenni se baladait à poils en rue, mais, en réalité, suggérait plus sa nudité qu’elle ne la cachait.Jenni portait ce jour-là des hauts talons et, à chaque pas qu’elle faisait, un spectateur attentif pouvait apercevoir le bas de ses fesses. Et, dans cette bourgade spécialisée dans le sexe, les spectateurs attentifs ne manquaient pas !
Après avoir ainsi pratiqué le lèche-vitrines pendant une bonne demi-heure (assez bizarrement, cette localité concentre aussi de nombreux commerces divers et quelques belles terrasses de cafés, le tout alternant sans complexe avec les sex-shops et autres « salles de spectacles » à caractère érotique), un certain nombre « d’admirateurs » nous suivaient plus ou moins discrètement. C’était bien évidemment l’effet recherché. Tout allait donc bien. Comme de bien entendu, je bandais déjà quasi en permanence et ma main avait pu vérifier que les cuisses de Jenni étaient copieusement trempées.Quand arriva l’imprévu qui augmenta considérablement le degré d’exhibitionnisme sans que nous puissions le contrôler : un orage aussi soudain que violent nous tomba dessus. En un temps record les terrasses se vidèrent et les badauds se précipitèrent dans les commerces pour s’y abriter. Mais la violence de l’averse fut telle que nous fument tous deux trempés avant d’atteindre un refuge. En guise de refuge, nous avions atterri dans un magasin d’articles de cuisine. Il y avait tellement de monde, que les clients improvisés étaient vraiment serrés les uns contre les autres.
Seulement voilà : il me faut à ce stade préciser deux points : tout d’abord, nous avons été suivis dans notre abri par plusieurs de nos « admirateurs ». Jusque-là, pas de problème. Mais ensuite, il faut signaler que la petite robe blanche légère de Jenny, détrempée par la pluie, en était devenue littéralement transparente. Dois rappeler que Jenni ne portait aucun sous-vêtement. Déjà sèche, sa tenue frôlait l’indécence ; détrempée, c’était absolument insoutenable. Car le contexte n’était pas adéquat du tout ; il y avait dans ce magasin, outre les quelques mecs voyeurs qui ne nous avaient pas lâchés d’une semelle, des enfants et des personnes qui clairement n’approuvaient pas notre présence...
Très rapidement nous avons compris qu’il fallait ressortir et c’est alors que nous avons décidé de braver une nouvelle fois la pluie pour nous réfugier dans le premier sex-shop venu.
De toute façon, la visite au sex-shop faisait partie de notre scénario, et, comme nous l’avions déjà plusieurs fois expérimenté, nous comptions bien terminer notre journée dans cet établissement. Le sort nous y seulement fait atterrir plus tôt que prévu et, surtout, dans un état sensiblement différent puisque maintenant Jennifer était littéralement nue.
Sa petite robe qui, sèche, glissait encore passablement sur sa peau ambrée, trempée par l’eau du ciel lui collait au corps avec une indécence outrageante. Ses seins, plutôt la partie de ses seins qui n’était pas découverte, était comme mise en évidence par le tissu transparent ; ses aréoles se voyaient comme dans un prisme et la relative fraîcheur causée par le ruissellement de l’eau faisait pointer ses tétons durcis.Ses fesses étaient comme moulées dans la fine toile collante. Le tissu détrempé restait plaqué contre son ventre plat et, quand le regard glissait irrémédiablement plus bas, on pouvait clairement voir que Jennifer n’avait gardé comme seule toison intime qu’un petit trait de poils foncés juste au-dessus de son sexe.
C’est dans cette situation de précarité extrême que Jenni se trouvait maintenant, entourée des regards plus qu’indiscrets d’une petite dizaine de mâles ébahis, bientôt rejoints par nos fidèles suiveurs...
Qu’à cela ne tienne. Nous avions prévu de nous amuser dans le sex-shop. Eh bien, l’amusement commencerait plus tôt et plus fort que nous l’avions imaginé !

La suite dans le chapitre 2 (et encore un exemple)...
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