Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 114 J'aime
  • 2 Commentaires

Comment j’ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir

Chapitre 2

Dans le sex shop

Voyeur / Exhibition
Nous en étions restés dans le sex-shop, Jenny avec sa robe détrempée suite à l’orage, quasi transparente et lui collant à la peau.Cette situation assez humiliante et ces regards à peine discrets de nombreux hommes rivés sur elle avaient achevé de mettre Jenni dans tous ses états. 
Je dis humiliante, car, jusque là, mis à part qu’elle ne portait ostensiblement aucun sous-vêtement, Jenni semblait subir le sort qui l’avait « contre son gré » mis dans cet état d’exhibitionnisme. Elle pouvait encore passer pour une victime et non pour une provocatrice. Elle adorait aussi, dans certains de nos scénarios, passer pour une martyre que j’obligeais à s’exhiber. Ici, c’est le ciel qui avait envoyé toute cette eau qui la rendait si vulnérable aux regards des autres. Jouant bien son rôle, elle prenait donc des airs gênés et faisait semblant d’essayer de masquer tant bien que mal ses charmes et ses courbes.
J’ai vite compris le scénario qu’elle voulait jouer.
J’ai donc adopté le rôle du méchant mari dominateur.
J’ai commencé par lui remonter sa robe sur ses fesses pour dévoiler celles-ci encore un peu plus. Elle, se défend en rabaissant vite sa robe tout en récriminant un « arrête ! Ils regardent ! ». Et moi de continuer malicieusement. Après quelques échanges qui ont bien sûr rameuté quelques voyeurs supplémentaires, elle me lance une « arrête, ça suffit maintenant ! » suffisamment fort pour que tous entendent bien qu’elle n’apprécie pas mes gestes déplacés. Et moi de lui rétorquer afin que tous l’entendent bien : « Oh là, madame, ne le prends pas sur ce ton ; tu sais bien que tu feras tout ce que je dirai de faire ; et tu sais très bien pourquoi, d’ailleurs !... Bon, suis-moi, maintenant ! »
Et je l’emmène vers un coin du shop éloigné du comptoir où sont exposés, sur l’étagère du bas, toute une série de vibromasseurs. Là, je lui ordonne : « Penche toi en avant, sans plier les genoux, et regarde un à un chaque modèle, bien à ton aise. Et surtout, ne te relève pas tant que je n’en t’en donne pas la permission, et n’essaye pas de m’empêcher de faire ce que je fais ! C’est bien compris ? »
À cet instant, j’ai compté sept hommes qui avait dû clairement entendre mes instructions et qui, s’ils entendaient le Français, avait bien compris que « madame » allait exécuter mes ordres. Jusqu’où cela irait, ils ne le savaient pas, mais, pour le moment, ils étaient manifestement très intéressés par la tournure que prenaient les évènements.
À l’idée que j’allais leur dévoiler son beau petit cul, dans une position humiliante, et dans un endroit public, Jenni avait la mouille qui lui coulait dans l’entre-cuisses. Et moi, je bandais toujours aussi fort, cela va sans dire.
Et c’est donc ce que je fis : je remontai lentement sa robe en direction de son dos. Dévoilant petit à petit ce qui n’était pas encore visible de sa croupe bien tendue. Et je remontai le tissu jusque loin dans le creux de ses reins. Histoire que son fessier se retrouve tout-à-fait exposé.
Plusieurs autres personnes s’étaient ajoutées au spectateurs. Dont un couple. J’eu un moment d’hésitation car la situation était très osée, voire risquée. Les hommes étaient clairement conquis par le spectacle ; le responsable du sex shop n’avait pas l’air de se préoccuper de nous (il n’avait pas non-plus les yeux rivés en permanence sur son système de surveillance vidéo) ; mais comment allait réagir la femme qui accompagnait son mari ? En un éclair, je vis qu’elle avait mis la main comme pour sentir à travers le pantalon de son homme si son sexe grossissait. Mais elle gardait, ce faisant, les yeux rivés sur la croupe de Jenni.
J’ai donc décidé d’aller un peu plus loin. 
« Écarte ! » ordonnai-je bien fort. 
Nous n’en étions pas à notre premier scénario du genre.Jenni a donc fait mine de se relever partiellement en me lançant un « chéri, s’il te plaît, pas devant tout le monde » en faignant presque d’avoir les larmes aux yeux. « Fais ce que je te dis, ou tu sais quoi... », la menaçai-je.
Et Jenni de se retrouver dans la même position humiliante, mais les jambes légèrement écartées.Je lui assène alors une bonne claque sur les fesses. Elle ne s’y attendait vraiment pas. Elle a sursauté et j’en ai profité pour glisser un pied entre les siens et, avant qu’elle ne rende compte, je lui avais écarté les jambes un peu plus.
« Arrête de bouger, maintenant ! »Et prenant une fesse dans chacune de mes mains, je les écarte et expose ainsi toute son intimité à la compagnie.Je montre aussi aux yeux de tous qu’elle mouille comme une salope.
« Mais c’est qu’en plus ça t’exite, ma salope ! Tu mouilles comme pas possible ! » Et, devant les yeux excités de tous, j’enfonce deux doigts dans son vagin tout dégoulinant. Je ressors mes doigts plein de mouille, et, les fourrant dans ma bouche, je me les pourlèche jusqu’à en extraire tout le suc intime de ma bien-aimée. 
À ce moment-là, deux mecs avaient sortis leur queue et se branlaient. La femme tenait le sexe de son homme dans une main et j’ai cru deviner qu’elle se caressait le sien de l’autre.
Il était temps que nous reprenions nos esprits avant que l’attroupement ne deviennent trop important.
J’ai alors entrepris une dernière manœuvre. Après avoir replongé mon index dans la chatte béante et ouverte à tous les regards de Jenni, j’ai doucement introduit mon doigt ainsi lubrifié de mouille dans son petit trou. De mon autre main, j’écartais un peu plus une de ses fesses afin d’aider à la manœuvre. Je me souviens que Jenni s’était légèrement crispée, cette fois-là, car, à cette époque, nous n’avions pratiqué que timidement cet orifice... Mais elle s’est vite détendue et, au gémissement de plaisir qu’elle a laissé échapper, j’ai bien compris que cela lui plaisait.
Vous imaginez la honte ! Être doigtée dans le cul devant tous ces spectateurs. Y avoir été forcée (c’est en tous cas ce que nos voyeurs devaient penser). Et pourtant, se retrouver à mouiller et à geindre de plaisir.
Cette humiliation publique a tout pour amener Jennifer dans un état de paroxysme sexuel peu commun.
Mais, à ce stade, j’ai décidé d’arrêter les frais. Provisoirement en tous cas. Je lui ordonnai de se relever et lui assénai : « Suis-moi, on va continuer ailleurs ».
Je suis sûr qu’elle bouillait d’envie que je l’ai masturbe là, devant ce public acquis, tout en continuant à lui doigter le cul. Elle aurait joui en peu d’en temps et aurait innondé le sol d’une gerbe de jus de plaisir.

Mais, d’une part, mon instinct me disait qu’il ne fallait pas tenter le diable ; notre attitude très osée avait assez duré et il valait bien mieux préserver notre « réputation » afin de pouvoir retourner plus tard sur les lieux pour d’autres aventures. D’autre part, je savais qu’en faisant patienter Jenni, je n’allais qu’augmenter encore notre plaisir pour la suite du scénario.

Était-ce dû à la chaleur de son corps de braise ou à l’air conditionné, je ne le sais, mais la petite robe de Jennifer avait un tant soi peu séché. Je l’emmenai faire un rapide tour à l’extérieur. Comme il pleuvait toujours, il ne fallut que quelques secondes pour la « remettre en état » et nous rentrions à nouveau dans le sex shop. Là, en présence de l’employé, je déclare sèchement à Jenni : « Attends-moi là. Je reviens dans un instant ». Et je la laisse seule devant le comptoir, à nouveau toute détrempée, en présence de la plupart des gens qui, trois minutes au paravant, se rinçaient l’oeil en observant son cul offert grand ouvert à leurs regards...

SUITE AU PROCHAIN ÉPISODE.
Diffuse en direct !
Regarder son live