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Comment j’ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir

Chapitre 3

Première fois

Voyeur / Exhibition
Jenny était restée seule dans le sex shop.Sa mini robe détrempée lui collant au corps révélait ses formes généreuses avec une impudeur provocante.Elle savait qu’elle devait rester près du comptoir si elle ne voulait pas être importunée par les velléités de certains mâles. Et même là, plusieurs l’on interpelée ; par exemple : « ça va, mademoiselle, vous n’avez pas besoin d’aide ? » ou bien encore : « si vous voulez que je vous dépose quelque part, j’ai ma voiture pas loin »...
Après cinq minutes, j’étais de retour.Depuis le seuil d’un magasin, je lui fais signe de me rejoindre.J’avais été chercher du matériel dans la voiture.Je sors d’un sac un vibromasseur ; un gros, à la forme d’un pénis en érection ; avec un manche pour le tenir et une garde. Couleur noire et rouge. Le truc discret, quoi !Je le sort du sac et le donne à Jenny en lui disant : « va le montrer à l’employé en lui précisant bien qu’il est à toi et que tu n’es l’as donc pas pris dans son rayon. Ensuite, demande-lui bien à voix haute deux entrées pour la salle de projection ! »
Ce sex shop possédait des cabines de projection individuelles, mais aussi une salle de « cinéma » où sont projetés des films du genre que vous pouvez imaginer.
Vous pensez l’effet que produisit ma Jenny se rendant au comptoir son gros gode à la main, puis achetant deux entrées pour la salle porno !Dans la demi-minute qui suivit, cinq autres clients demandaient un billet d’entrée.
Nous avons traîné un petit peu avant de nous diriger vers la salle. Il fallait monter un escalier pour s’y rendre. Nous fûmes aussitôt suivis. En gravissant les marches, je remontais quelque peu la robe de Jenny vers ses reins, laissant voir aux suiveurs ses magnifiques fesses qui se balançaient au rythme de ses pas. Arrivés en haut de la deuxième volée, je lui demande de s’arrêter ; penche-toi en avant, lui dis-je. Et’ sur su beau cul désormais tout offert à la vue des suiveurs, je délaisse tomber deux bonnes claques qui lui laissent échapper un cris de douleur non feint, celui-là.
Nous entrons dans la salle. Je demande à Jenny d’avancer devant moi jusqu’au premier rang tout en déboutonnant et en enlevant sa robe. Plus on se rapprochait de l’écran, plus nous étions éclairés et plus ils apparaissait aux yeux de tous les mecs présents que Jenny était complètement à poils.
Arrivés tout devant, je m’assieds et Jenny, suivant le scénario prévu et déjà plusieurs fois utilisé, se place face à moi, dos à l’écran, se penche en avant, dégage ma bite de mon short et commence à me la sucer.Il faut préciser que dans cette position, son cul devait être éclairé comme en plein jour par la lumière réverbérée par l’écran. Et, comme de bien entendu, il ne fallut pas attendre longtemps avant que plusieurs hommes ne se soient déplacés pour admirer le spectacle de cette croupe bien relevée.
Cette fois-là, après avoir bien « travaillé » mon sexe, Jenny s’est retournée face à l’écran et aux voyeurs et s’est empalée sur moi. Après quelques mouvements verticaux, elle a joui une première fois devant eux. Puis, reprenant le même mouvement plus lentement, elle nous a fait jouir simultanément, toujours sous le regard ébahi de ces mecs occupés à se masturber frénétiquement.
***************

Par la relation de cet exemple, je vous ai ainsi décrit l’état d’esprit dans lequel nous nous trouvions et la relation fusionnelle qu’était là nôtre lorsque j’ai entrepris l’expérience qui fait l’objet du titre de mon histoire.
Mais, avant de commencer la relation de cette « expérience », je crois qu’il est important de vous raconter comment Jenny et moi avons commencé notre relation.

Il faut savoir que je travaillais depuis deux ans pour une entreprise active dans le commerce de détail ; je n’entrerai plus dans les détails afin de préserver notre anonymat. Depuis un an j’ėtais responsable d’un point de vente. Une douzaine d’employés plein temps et le doubles de temps partiels.
Jenny avait rejoint l’équipe depuis 5 mois, à mi-temps. C’était donc ma collègue, mais donc aussi ma « subordonnée ».
Il faut savoir qu’à cette époque j’avais une copine mais elle n’habitait pas avec moi. C’était une jolie fille, gentille, trop gentille probablement. En tous les cas, trop sage. Je ne m’en étais pas encore rendu compte, mais sa retenue et son « sérieux », qui par beaucoup seront considérés pour des vertus essentielles, ne convenaient pas à mon tempérament.
Mes collègues la connaissaient pour l’avoir aperçue les quelques fois où elle était passée me chercher après ma journée de boulot.Jenny aussi l’avait aperçue plusieurs fois. Ceci aura son importance.
Il faut savoir que j’ai toujours été attiré par les jolies femme, quoi de plus normal ?Mais quand des belles créatures passent dans les environs dans une tenue un peu « sexy », mini-jupe, décolleté, tissu moulant ou transparent... je n’en manque pas une. J’ai comme un radar interne qui scanne en permanence tout ce qui passe à portée.Mais, en plus, s’il y a un don que je n’ai pas, c’est la discrétion ! Quand je regarde passer une jolie fille, mon regard se retrouve scotché sur elle et j’en oublie tout le reste.
Ce trait de caractère n’avait pas échappé à Jenny. D’autant plus qu’elle portait elle-même très souvent des tenues très sexy.Je suis de ces hommes qui ne peuvent cacher leur « admiration » devant une femme qui exhibe ses charmes.Jenny est de ces femmes qui aiment mettre en valeur ses avantages et qui aiment qu’on les admire. Tout le contraire de ma copine de l’époque.
Jenny venait, comme beaucoup, travailler dans une tenue assez « convenable », règlement de travail oblige, mais, systématiquement, lorsqu’elle sortait du vestiaire avant de prendre congé, elle arborait une tenue de ville qui attirait sur elle tous les regards des collègues (et des clients). Je dois avouer que j’en étais arrivé à attendre avec une curiosité certaine l’heure de son départ pour découvrir la tenue qu’elle porterait, et aussi ce que cette tenue laisserait voir de sa plastique avantageuse...
De par ma position de responsable, chacun venait se signaler à moi au moment de partir. « Au revoir, à demain » était la formule la plus employée. Mais souvent c’était le moment où l’on me posait des questions de tout ordre.
Jenny, comme les autres collègues, avaient de temps en temps l’une ou l’autre question à me soumettre. J’avais assez vite pris l’habitude de me trouver dans mon bureau lorsqu’elle s’en allait, l’obligeant ainsi à y passer pour me dire au revoir, mais me permettant également de l’écouter entre quatre-z-yeux lorsqu’elle avait une demande à me soumettre.L’avantage du bureau était aussi que je pouvait la faire asseoir en face de moi. Je dois être honnête en précisant que cette situation me plaisait particulièrement lorsqu’elle portait une minijupe. Ceci pourrait être considéré par certains comme un abus de position, voire une certaine sorte d’intimidation sur le lieu de travail, mais, au fond, je ne lui imposais rien. C’est elle qui choisissait ses tenues, et je ne faisais rien pour l’y encourager, mis à part le fait que mon regard ne devait laisser aucune équivoque sur l’intérêt que je portait à ce que cette tenue ne cachait pas.
C’est vers la fin de l’hiver que Jenny avait rejoint notre équipe.À mesure que les beaux jours se faisaient plus nombreux, ses tenues devenaient plus « décontractées ».

Un jour qu’elle passait me saluer - je me trouvais alors dans le magasin - elle engagea la conversation. J’aperçus alors à travers la vitrine la voiture de celui que j’avais identifié comme son copain (par son dossier personnel je savais qu’elle n’était pas mariée). Je lui dis : « je crois que ton copain t’attend ». Sa réponse, rapide et claire à la fois, ne manqua pas de me surprendre : « Jean-Louis n’est pas MON copain. Lui est fou de moi, mais il sait très bien que ce n’est pas réciproque. Je lui ai clairement dis qu’il ne devait se faire aucune illusion à ce sujet. Il adore venir me chercher au travail quand il le peut et me ramener chez moi. Ce n’est pas l’homme de ma vie, mais il possède certains arguments qu’une femme aime chez un homme et, en attendant, je ne me prive pas de passer de bon moments avec lui ».
Quelle confidence ! Je me suis trouvé décontenancé par le fait qu’elle me confie ces informations tout d même assez privées sur sa situation, et aussi un peu émoustillé par les allusions qu’elle faisait par trop clairement sur « les arguments » de ce copain et sur « les bons moments » qu’elle s’autorisait de passer avec lui. Si elle avait voulu être vulgaire, elle aurait dit « il a une grosse bite, et j’aime qu’il me la mette ! »

Une autre fois, alors que, assise dans le bureau, mon regard avait, une fois de plus, dévié vers son entrejambe, elle me demanda ingénument « ma tenue te plaît ? ». « Beaucoup », lui répondis-je, « elle te met particulièrement en valeur ». J’ai perçu alors le mouvement subtil mais évident par lequel elle écarta légèrement les cuisses, laissant apparaître sa petite culotte rouge sous le tissus tendu de la minijupe. Cette jupe était bleue et elle était complétée par un top blanc. Les yeux dans mes yeux, elle me demanda alors : « Et les couleurs te semblent-elles assorties ? ». Comprenant immédiatement le sens caché et provocateur de sa question, je lui répondis du tac au tac : « Bleu-blanc-rouge, parfait ! » Elle eut alors un sourire qui confirmait que nous étions bien sûr la même longueur d’onde.

Jenny était devenue pour moi une énigme.Était-elle simplement exhibitionniste, aimait-elle tout simplement provoquer ?Son cinéma dans mon bureau pouvait me laisser penser que c’est moi qu’elle voulait séduire. Mais peut-être était elle ainsi avec tous les hommes.Je voulais en avoir le cœur net, mais ma position « hiérarchique » m’imposait une retenue certaine. Un dérapage est vite arrivé et les conséquences professionnelles peuvent être graves. Nous ne sommes plus au moyen-âge.C’est Jenny elle-même qui fit le pas qui allait donner une réponse très claire à mes interrogations.

Ce jour-là, le soleil brillait de tous ses éclats dans un ciel azur sans le moindre petit nuage.C’était un samedi.J’avais commencé très tôt et prévoyais de travailler jusque 14h30.Peu après 14 heures, Jenny débarqua dans mon bureau. Elle avait attendu que deux autres collègues qui finissaient à la même heure soient parties. Vêtue d’une tenue en adéquation avec la météo, elle me fait cette annonce : « Ma grand-mère habite une maison avec un grand jardin et une belle terrasse juste de l’autre côté du boulevard. J’organise un petit goûter avec un verre de rosé à 15 heures. Ça te dirait ? »Évidemment que ça me disait ! Et si j’avais eu la moindre hésitation, le décolleté que Jenny agitait innocemment juste sous mes yeux aurait vite fait de la dissiper.
Rendez-vous vous était donc pris dans une petite heure.
Je m’empresse de clôturer mes dernières tâches et de donner quelques instructions à mon assistante qui assure la soirée et je me dirige vers le centre commercial se situant à côté de notre établissement. Une boîte de chocolat et un bouquet de fleur dans les mains, je me retrouve à l’heure dite devant la porte de la mère-grand. Je dis bien mère-grand et non grand-mère car ce qui va suivre, bien qu’étant la relation fidèle des événements, tient plus du conte que de la réalité !
Je sonne.La porte s’ouvre.
Premier choc.Devant moi apparaît Jenny. En bikini. J’ai juste le temps d’en apercevoir le haut. Blanc. Tissu assez léger. Suffisamment pour que dans un flash je puisse voir cette poitrine ronde et que l’on devine ferme à peine prisonnière de ces deux bouts de tissus au travers desquels deux bouts pointaient presque outrageusement.
Pas le temps d’en voir plus.Jenny n’est pas petite. Mais je fais 1m88. Elle se hisse donc pour me faire la bise. Je crois sentir ses deux tétons contre ma poitrine.« Tu es à l’heure. C’est bien »« J’ai apporté quelques chocolats et un petit bouquet de fleurs pour ta grand-mère »« C’est gentil », me répond-elle, en prenant les fleurs, « mais ma grand mère est sur la côte jusque lundi. C’est comme ça qu’elle m’a autorisée à profiter de sa maison par ce beau week-end. Suis-moi jusqu’à la terrasse ! »
Deuxième choc.Jenny se retourne et mon regard se retrouve comme harponné par une paire de fesses, mais alors, une paire de fesses magistrales.Le bas de son bikini était en fait un string. Du vêtement, je ne vois que l’élastique qui fait le tour de sa petite taille et un minuscule triangle de tissus qui n’existe que pour le principe. Le reste étant sûrement constitué d’une ficelle qui disparaît complètement entre ses deux fesses rebondies et bien accrochées.
Je suis ainsi Jenny à travers la maison jusqu’au jardin.Belle terrasse. Deux fauteuils bas et une table basse.
« Installe-toi. Je vais chercher le seau à glace et le rosé ».
J’en profite pour admirer le grand jardin.Au milieu de la pelouse, j’apeçois une belle piscine.Au loin, une grande haie clôture la propriété. Aucune maison n’est visible vers l’arrière.De part et d’autre, un haie, mais plus basse. On aperçoit une villa blanche à gauche, une villa en briques rouges à droite.
Jenny est de retour avec le vin.« Tu aimes le rosé ? »« Oui, mais n’allons-nous pas attendre les autres ? »« Les autres ? Mais il n’y a que nous-d’eux ! »
En fait, le « goûter » organisé par Jenny prend doucement la forme d’un tête-à-tête.Je me sens un peu manipulé, mais, au fond, je m’en félicite. La perspective de passer un moment avec cette fille qui - je dois me l’avouer - m’attire de plus en plus, ne me déplait pas.
Jenny s’accroupit alors pour ouvrir la bouteille de rosé posée sur la table basse.Le dessus de la table est constitué d’une plaque de verre transparent.Malicieusement, Jenny, pour pouvoir s’approcher suffisamment de la table, est « obligée » d’écarter les jambes.L’occasion pour moi de constater que le tissu de son string est à peine moins rare devant que derrière. Ne pouvant m’empêcher d’y fixer le regard, je distingue clairement à travers le tissu tendu les formes de son sexe et, même, je peux voir ce tissu à partir d’un certain point lui rentrer entre les lèvres.
Lorsque je parviens à arracher mon regard de ce qui pendant quelques secondes a été pour moi le centre de l’univers, je croise le regard de Jenny qui masque à peine un petit sourire qui veut sûrement dire : ça va, ça te plaît ?
Une chose est certaine : je bande déjà copieusement.
« Chin chin ! ». Nos verres tintent. C’est vrai qu’un bon rosé, ça fait du bien quand on a chaud.Et, de fait, venant de mon travail, je suis moi en pantalon et chemise. Pas vraiment la tenue adéquate, me disé-je.Jenny doit lire dans mes pensées car c’est alors qu’elle s’exprime : « Si on piquait une tête dans la piscine avant de manger le gâteau ? Ça nous rafraîchirait ! »
« La piscine ? Oui, bonne idée !... Mais j’ai un petit problème : je n’ai pas de maillot de bain, moi ».
« Ça te pose un problème, toi ? Moi, en tout cas, ça ne me gêne aucunement que tu te baignes à poils ».
« Mais les voisins ? » je m’empresse de rétorquer. En fait, ce n’est pas tant de me baigner nu qui me gêne, c’est plutôt le fait que je bande en ce moment. Et puis, finalement, oui. Ça m’a toujours gêné de me m’émettre à poils devant d’autres personnes ; en fait ça m’a toujours fait bander. Et le fait qu’on me regarde alors que j’ai une érection ne fait qu’augmenter celle-ci. C’est un cercle vicieux. Plus j’essaye de me concentrer pour ne pas bander, plus j’y pense, et plus je bande.Alors, ici, avec une Jenny provocante comme elle peut l’être, c’est peine perdue.
La réponse de Jenny est sans appel : « les voisins de gauche sont à la Côte d’Azur tout l’été. Et les voisins de droite sont très large d’esprit. S’ils devaient t’apercevoir, ils ne se plaindraient pas, n’aie crainte. D’ailleurs il n’est pas exclu qu’ils passent boire un verre plus tard. Tu verras, ils sont très sympathiques ».
Me voilà coincé.D’un côté, j’ai vraiment envie de profiter de la piscine. De l’autre, je ne peux tout de même pas m’exhiber comme ça devant Jenny avec une trique pareille. Il faut que je gagne un peu de temps, histoire que la pression retombe et que je puisse alors très rapidement me déshabiller et me plonger dans l’eau avant que mon érection ne reprenne.
Mais c’est compter sans la malice de Jenny qui a très bien compris ma gêne et a, elle, en tête de bien s’amuser sur mon compte :« Si c’est le fait d’avoir la bite à l’air alors que moi je porte un maillot qui te gêne, je veux bien moi aussi me baigner à poils, si tu veux! »
Entendre Jenny utiliser ces mots « la bite à l’air » à sur moi l’effet qu’elle a probablement escompté. Maintenant je bande ferme. Même habillé, ça doit se voir.

SUITE AU PROCHAIN ÉPISODE...
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