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Comment j'ai manipulé ma famille entière pour en faire mon bordel personnel.

Chapitre 3

Chapitre 3 : Partager, c’est aimer

Inceste
Chapitre 3 : Partager, c’est aimer
Nous nous sommes retrouvés pendant les vacances de Noël, mon père n’était toujours pas de retour. Je passais l’après-midi sur le terrain de basket avec tous mes amis. Mon plan était simple : leur présenter la situation, et leur proposer de passer la soirée chez moi. J’ai pris la parole alors que nous étions en train de faire une pause.
— Bon, les amis. Il faut que je vous parle de quelque chose. Vous devez savoir que je vais seulement vous dire la pure et simple vérité.— On dirait que tu vas nous demander notre aide pour enterrer un cadavre, mon pauvre ! Est-ce que je devrais aller chercher la voiture du daron ? a demandé Eric avec un sourire.
Nous avons ri ensemble avant que je reprenne la parole.
— Vous connaissez ma famille. Ma mère et ma sœur, surtout. Je sais que vous les trouvez bonnes. Fais pas semblant, Thomas, t’es le mec le moins subtil que je connaisse. Bref, les mecs, que diriez-vous si je vous disais que vous pouvez les baiser ? Ce soir, même. — Tu te fous de moi, mec ? Je crois pas que tu te sois cogné la tête quand je t’ai fait tomber juste avant, pourtant ? a plaisanté Thomas.
Alors que mes amis étaient en train de se foutre de ma gueule, j’ai sorti mon portable et j’ai ouvert la vidéo que j’avais prise de ma mère. Le silence est tombé alors que mes amis étaient en train de la regarder se masturber. Après un temps, ils m’ont regardé, et Eric a pris la parole.
— Mec, te fous pas de ma gueule. T’as juste pris une vidéo de ta mère, ça veut rien dire. Cela dit, merci de nous avoir laissés voir ça, j’en ai rêvé.
Alors qu’ils étaient en train de parler entre eux, j’ai ouvert mes contacts et appelé ma mère. Après quelques sonneries, elle a décroché.
— Oui, maître ? Que puis-je faire pour vous ?— Bonjour, chienne. Je suis avec mes amis, et ils refusent de me croire. Est-ce que Fabienne est à la maison ?— Oui, maître, j’étais d’ailleurs en train de lui bouffer la chatte avant votre appel, mais vous êtes toujours notre priorité. — C’est bien, t’as une bonne compréhension de la chaîne alimentaire à la maison. Envoie-moi une photo de vous deux, ça devrait les convaincre.
J’ai raccroché et je me suis tourné vers mes amis qui me fixaient, la bouche bée. J’ai souri calmement alors que mon téléphone vibrait pour me notifier d’un message reçu. Sur la photo, on pouvait clairement voir les jambes écartées et la chatte humide et couverte de salive de ma sœur, et ma mère en train de la lécher en regardant la caméra. Je leur ai montré la photo et j’ai bien cru qu’ils allaient tourner de l’œil. J’ai commencé à rire.
— Vous me croyez, maintenant ? Ces deux-là sont littéralement devenues mes chiennes. Je les baise, je les encule, elles me vident les couilles avec un simple claquement de doigts de ma part. Je peux me servir d’elles comme des putes en libre service. J’ai pris la vidéo de ma mère et je m’en suis servi pour la soumettre. La pauvre conne a préféré sauver son mariage plutôt que son honneur. Je me suis ensuite débrouillé pour que ma sœur nous trouve alors que je me servais d’elle, et elle nous a rejoints sans le moindre effort de ma part. Ma proposition est sérieuse, les mecs. Je veux vraiment qu’on les baise ensemble et je veux vraiment partager mon travail avec vous. Croyez-moi, vous pourrez faire tout ce que vous voudrez d’elles. Ca vous dit de venir chez moi ce soir, alors ?— Tu te fous de moi ? Je peux venir tout de suite si c’est une option ! a répondu Eric.— J’espère que ta chienne de sœur suce bien, parce que je vais être sans pitié ! s’est exclamé Thomas.— Et ton père ? a demandé Antoine.
Je me suis tourné vers lui.
— Il est parti et ne sera sûrement pas de retour avant Noël. Mais ce n’est pas la question que tu me poses, n’est-ce pas ? Je ne l’ai pas encore assouvi, mais je compte le mettre face a la vérité quand il sera de retour. De toute façon, il n’a plus le choix. Ou bien il se soumet, ou bien il perd sa famille.
Antoine était bi, avec une petite préférence pour les hommes, même si toutes ses ex étaient folles de lui et il les revoyait de temps en temps purement pour la baise. Malgré cela, j’avais déjà vu comment il reluquait le cul de mon père quand il rentrait du boulot alors que nous étions en train de jouer sur la télé du salon.
— Je te promets que si tout se passe comme je le prévois, tu pourras lui sucer la bite et même lui baiser son petit cul que tu mates à chaque occasion !

Antoine a rougi et m’a souri. Les deux autres lui ont lancé un regard surpris. Eux n’avaient jamais remarqué ce côté de notre ami et je m’étais bien gardé de leur partager par simple respect pour sa vie privée. Mais, maintenant que nous étions sur le point de partager une voire plusieurs nuits de folie, il semblait être confortable avec l’idée que tout le monde le sache.
— Je vais prévenir les putes que vous allez vous joindre à nous ce soir.
J’ai ressorti mon téléphone et rappelé ma mère. Elle a presque aussitôt décroché. La chienne était clairement en chaleur, car elle avait la respiration lourde. J’ai deviné qu’elle et Fabienne avaient échangé leurs rôles.
— Ecoute-moi bien. Ce soir, Thomas, Eric et Antoine seront de la partie. Je ne sais pas jusqu’à quand ils vont rester, donc prépare les lits au cas où. Je veux que tout soit propre. Pas la peine de cuisiner, tu commanderas des pizzas. Interdiction de porter quoi que ce soit de plus que de la lingerie. Si Fabienne a des plans pour ce soir, elle n’a qu’à annuler. Compris ?
— Oui, maître... Tu entends ça, chérie ? Ce soir, Roger invite ses copains à la maison, alors on va devoir être de bonnes petites chiennes pour eux !
J’ai vaguement entendu une réponse venant de ma sœur. Elle sonnait étouffée, ce qui confirma mes suspicions.
— Fabienne semble très excitée, maître !— Parfait. Je vais bientôt rentrer, et les autres vont nous rejoindre plus tard. N’oubliez pas, je vous veux prêtes à vous faire baiser dans tous les sens.
J’ai raccroché sans attendre une réponse avant de me tourner à nouveau vers les autres.
— Bon, on se fait un dernier deux contre deux avant que je parte ?
Nous avons joué un dernier match, avant de se séparer. Je suis rentré chez moi, et ma mère était en train de nettoyer la cuisine, complètement nue. Je suis allé me servir un verre d’eau, lui claquant le cul très fort au passage. Elle a laissé échapper un gémissement de plaisir sans interrompre son travail.
— Salut, chiennasse. N’oublie pas de prendre une douche avant ce soir, ta chatte est encore couverte de mouille et de bave, t’as vraiment l’air d’une salope.— Je voulais d’abord commencer le ménage, maître. Fabienne est en train de se préparer, elle a déjà pris une douche et elle est en train de se maquiller. Est-ce que je peux faire quelque chose pour vous en attendant qu’elle libère la salle de bains ?
En parlant, elle s’est approchée de moi en faisant rouler son cul massif avant de se mettre à genoux devant moi, reniflant ma bite à travers mes shorts de sport. J’ai sorti ma bite, je l’ai déposée sur son visage, mon gland sur son œil.
— Mmmmmh, maître... J’adore l’odeur de votre bite après votre sport...
Elle a reniflé sur tout le long de ma bite en la léchant des couilles au gland avant de la prendre en bouche, avalant toute ma longueur dans sa gorge. Je me suis laissé aller contre le comptoir de la cuisine en buvant mon verre d’eau pendant qu’elle dévorait ma queue, alors que sa main me massait les couilles avec amour. J’ai fini mon verre d’eau avant de le déposer sur le comptoir et de saisir ses cheveux. Elle a tout de suite compris, croisant les mains dans son dos. J’ai poussé ma queue dans sa gorge, l’utilisant comme si c’était sa chatte que je baisais. Alors que j’étais en train d’essayer de l’étouffer avec ma bite, j’ai entendu la porte de la salle de bains s’ouvrir et les pas de ma sœur approcher. Elle était complètement nue, et s’est aussitôt approchée de nous.
— Wow, on dirait que vous êtes déjà en train de prendre l’apéro pour ce soir ! Tu aimes sucer la bite de notre maître, maman chérie ?
Elle s’est penchée et a saisi la tête d’Helene pour m’aider à lui baiser la gorge. Elle devait maintenant subir mes coups de reins violents et sa propre fille la poussant de toutes ses forces sur toute la longueur de ma queue.
— Fabienne, t’es vraiment une sale pute avec notre chienne de mère, tu le sais ça ? Ca me surprend que cette salope n’ait pas encore vomi !— C’est parce qu’elle a beaucoup d’expérience avec votre queue, maître ! Elle est capable de subir ça et même plus ! On en a parlé juste avant, et elle a commencée à se masturber juste en pensant à ce soir, maître !— Quelle chienne... Je vais pas tarder à jouir... Je pense qu’il faut que j’envoie mon sperme directement dans sa gorge, qu’en dis-tu ?

Elle a poussé de toutes ses forces alors que j’enfonçais ma queue aussi loin que possible dans sa gorge, et nous avons tous deux maintenu la pression. Elle a eu quelques haut-le-cœur, sa gorge se serrant autour que ma verge. Ma bite a commencé à pulser alors qu’elle s’étouffait dessus, et j’ai vidé mes couilles directement dans son estomac. Elle a commencé à tousser pendant que je lui jutais dans la gorge, et mon sperme a commencé à sortir par son nez.
— Mmmmmmmmmmh, t’es une bonne petite pute !— Woow, maman ! J’ai jamais vu ça en vrai, jusque-là !
Fabienne a lâché les cheveux d’Helene et j’ai tiré ma bite de sa gorge, alors qu’elle toussait. Elle était sur le point de cracher avant de me regarder, et de se raviser sous mon regard sévère. Elle a avalé le sperme qui était encore dans sa bouche.
— C’est bien. J’ai cru que t’allais cracher mon sperme, pendant une seconde. Tu sais que tu vas te faire punir si tu fais ça, n’est-ce pas, salope ?
Elle a hoché la tête et je suis parti vers la salle de bains pour me laver.
Quelques heures plus tard, j’étais installé au salon avec un verre de vin alors que ma sœur était en train de me sucer la bite pour passer le temps. Mes amis ont sonné à la porte. Ils étaient arrivés tous ensemble, et c’est ma mère qui est allée leur ouvrir la porte. Elle était complètement nue, tout comme ma sœur.
— Bonsoir m’dame ! ont-ils dit après que le choc de la voir aussi ouvertement nue ne soit passé.— Oh non, pas la peine d’être aussi polis, mes chéris ! A partir de ce soir, je suis votre chienne, ou votre pute, même votre salope si vous voulez, mais par pitié laissez tomber la politesse !
J’ai éclaté de rire depuis le salon alors que ma mère fermait la porte derrière eux.
— Bienvenue au paradis de la baise, mes chers amis ! Vous pouvez user le trou de votre choix. Sauf la bouche de Fabienne, parce qu’elle voulait absolument sucer ma bite pour se mettre dans le bain. Cela dit, à part ça, tout est libre-service ! Il y a du vin et de la bière, même des alcools plus forts si vous voulez, et les pizzas arrivent.
Les autres étaient bouche bée. Tout en suçant ma bite, Fabienne s’est tournée afin d’offrir sa chatte ainsi que son cul à nos invités. Helene, elle, s’est mise à genoux, la bouche ouverte. Eric ne s’est pas fait prier et a laissé tomber son pantalon sur ses chevilles. Ma mère s’est aussitôt mise à le sucer alors que Thomas s’avançait vers Fabienne et qu’Antoine passait derrière Helene pour lui baiser la chatte. Je l’ai vu sortir une capote de sa poche et je lui ai crié :
— Antoine, ne t’avise pas de te servir de ça ! Ici c’est hors de question ! Tu vas lui remplir la chatte, un point c’est tout !

Antoine m’a regardé avec des yeux ronds et Thomas a également sorti sa main de sa poche.
— Si on avait su, on ne serait pas partis en acheter, bon sang !

La bite de Thomas était déjà dure comme fer et il l’a enfoncée dans la chatte de Fabienne sans cérémonie. J’ai pu sentir ma sœur lâcher un gémissement de plaisir autour de ma queue alors qu’il commençait à la culbuter. Dans l’entrée, Helene était en train de se faire remplir en bonne et due forme, et elle ne prit pas longtemps avant de jouir. Antoine a lâché un petit cri de surprise avant de claquer son cul et de redoubler d’ardeur.
— Roger, ta chienne aime se faire prendre par nous ! On dirait presque qu’elle nous a imaginés en train de la baiser comme ça plus d’une fois, mon vieux...— Toi aussi, c’est ce que tu penses ? Je me suis jamais fait sucer la bite aussi bien qu’avec cette salope ! a répondu Eric en faisant un high five à Antoine.
Je voyais depuis le salon la mouille et la salive de ma mère goutter depuis leurs couilles, alors que la sonnette a retenti pour la deuxième fois. Eric s’est tourné et a ouvert la porte avec nonchalance à un livreur de pizza qui semblait très surpris du spectacle. Mon ami lui a fait signe d’entrer et le livreur a regardé ma mère et ma sœur tour à tour. Il semblait plus intéressé que mal à l’aise. Il était grand et noir, et ressemblait fortement au mec avec qui ma mère se masturbait il y a quelques semaines de cela.
— C’est quoi ton nom ? lui ai-je demandé.— C’est Jordan, a-t-il répondu aussitôt, sans quitter ma mère des yeux alors qu’elle était sur le point de jouir sous les assauts répétés de mes deux compères.— Dis-moi Jordan, ça te dirait de te faire sucer la bite comme pourboire ? On a oublié d’en préparer un...

En entendant cela, j’ai pu voir qu’il commençait à bander. Eric a tiré sa bite de la bouche d’Helene avec une touche de regret avant de se mettre en position pour lui prendre le cul alors qu’Antoine se chargeait de sa chatte.
— T’as pas intérêt à me toucher le cul Antoine ! a-t-il plaisanté en se mettant en position.— Ca risque pas, t’es beaucoup trop moche pour m’intéresser, connard ! a répondu Antoine du tac au tac.

J’ai ri alors que notre nouvel arrivant sortait son sexe et le présentait devant Helene. J’ai pu voir depuis mon siège l’excitation dans ses yeux alors qu’elle enfournait son chibre et commençait à le sucer goulûment. Antoine a lâché un petit cri de surprise.
— Elle kiffe ta grosse bite, Jordan ! Je peux sentir sa chatte se crisper avec chaque coup de queue que tu lui mets dans la gorge !— N’hésite pas à y aller, l’ami ! Elle adore se faire ravager ses orifices, cette pute ! l’ai-je encouragé. D’ailleurs, Fab, je vais pas tarder à jouir...
J’ai attrapé ses cheveux et j’ai enterré ma bite dans sa gorge au point où mes couilles luisantes de salive étaient écrasées contre son menton. Thomas a ri et mis quelques claques sur son cul tout en m’aidant à la maintenir en place.
— Telle mère, telle fille ! Elle est si serrée que je crois que je vais jouir aussi !
J’ai fait faire à sa tête quelques va-et-vient avant de me vider dans sa gorge. J’ai craché plusieurs jets puissants en elle avant de lâcher ses cheveux. Elle est restée bien en place et je pouvais sentir qu’elle avalait encore, avant de lentement reculer en suçant pour nettoyer ma queue. Après que ma bite eut été libérée de sa gorge, elle a tourné la tête vers Thomas.
— Oh putain, si j’avais su que t’avais une aussi bonne bite, je t’aurais pris dans ma chambre depuis longtemps ! Qu’est-ce que tu baises bien !— T’es une sacrée salope toi ! Attends que je crache dans ta chatte, on verra après pour planifier ton prochain rendez-vous avec ma queue, chiennasse !

Il a ponctué sa phrase d’une bonne paire de claques sur son cul et elle a laissé un gémissement de plaisir sortir de sa bouche alors que j’allais chercher ma pizza. Je me suis accroupi à côté de ma mère et j’ai mis une paire de claques à ses seins avant de la pousser à prendre toute la bite de Jordan dans sa gorge. Après quelques secondes, elle semblait sur le point de tourner de l’œil alors que Jordan explosait dans sa gorge. Le peu de sa bite qui n’était pas dans la gorge d’Helene était en train de battre violemment et je ne pouvais qu’imaginer la quantité de foutre qu’elle était en train d’avaler. Une fois qu’il avait fini de jouir, il s’est laissé tomber en arrière alors que ma mère respirait et toussait comme si elle venait de manquer de se noyer.
— C’est une sacrée suceuse, celle-là ! J’espère que vous allez commander plus de pizzas chez nous ! Et dire que je voulais démissionner pour trouver un meilleur job !
Ma mère lui a souri, le sperme épais de Jordan coulant du coin de ses lèvres. Il s’est levé et est sorti après nous avoir remerciés, et je me suis retourné vers les autres. Tout le monde s’était rejoint au salon et mes amis avaient formés un cercle autour de Fabienne et Helene. Antoine et Thomas étaient en train de leur fourrer la chatte alors qu’Eric était devant, en train de se faire lécher la bite par les deux en même temps. Je me suis mis en chemin vers eux afin de rejoindre la fête à nouveau.
La soirée a continué comme cela pendant des heures. A la fin, ma mère et ma sœur étaient par terre, couvertes de notre foutre, leurs chattes dégoulinantes. Nous étions assis autour de la table de la salle à manger, encore nus, en train de manger nos pizzas. J’ai alors levé mon verre.
— Mes chers amis. Je propose que vous restiez ici en notre compagnie afin de profiter des services de ces deux chiennes jusqu’à ce que mon père rentre de son voyage professionnel. A ce moment-là, nous aviserons dépendant de sa réaction. Qu’en dites-vous ?

Mes amis levèrent leurs verres à leurs tours et s’exclamèrent joyeusement. J’ai jeté un coup d’œil aux femmes au sol dans une flaque de sperme et j’ai souri. Le reste de la soirée s’est passée sans événements vraiment marquants. Nous avons joué aux cartes et les femmes ont nettoyé le sol avant d’aller prendre une douche. Ce soir-là, j’ai dormi avec ma sœur et ma mère. Elles m’ont sucé la queue à deux pour me remercier d’avoir organisé cette petite soirée, et je me suis endormi comme un roi avec ces putes, imaginant déjà comment j’allais assouvir mon propre père.
Merci d’avoir lu ce chapitre ! S’il y a quelque chose que vous aimeriez voir pour la suite, mes messages privés sont ouverts pour vos suggestions et avis ! Le chapitre 4 va prendre un peu de temps avant de sortir, mais j’y travaille !
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