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Comment ma mère est devenue ma femme

Chapitre 1

Bisous dans le Cou

Inceste
Bonjour à toutes et tous.
Moi c’est Thomas, j’avais 22 ans à l’époque et tout a commencé le vendredi 22 juillet 2016 (je ne pourrai jamais oublier cette date). C’était une journée chaude et ensoleillée. A l’époque, je travaillais dans une petite entreprise d’informatique dans le sud de la France.
Je me rappelle que je n’étais pas du tout motivé à travailler ce jour-là, me languissant le week-end qui approchait à grands pas. Dans l’après-midi, mon boss était venu me voir pour m’annoncer que j’avais le droit à une augmentation. J’étais super content d’apprendre cette nouvelle, car cela ne faisait pas longtemps que j’avais pris mon appartement et je dois avouer que les fins de mois étaient difficiles.
Je décidai alors d’envoyer un SMS à ma mère et mon frère pour les inviter au restaurant, histoire de fêter ça. Mon frère, Charles, me répondit rapidement et m’expliqua qu’il avait déjà quelque chose de prévu avec sa copine (je ne me souviens plus exactement quoi). J’avais dû attendre près de deux heures avant que ma mère ne me réponde. Elle accepta la proposition en me signalant tout de même qu’elle ne voulait pas rentrer tard et n’était pas trop d’humeur à voir du monde.
J’étais super heureux qu’elle accepte, cela faisait plusieurs semaines que je ne l’avais pas vue.
Comment vous décrire ma mère ? C’est une très belle quadragénaire avec de longs cheveux blonds, toujours classe et maquillée. Elle s’appelle Margaret, mais préfère que l’on l’appelle Maggie. Mon père était décédé depuis une dizaine d’années et Maggie n’avait pas réussi à retrouver l’amour depuis.
J’allai la récupérer chez elle à 19 heures 30 précise. Quand je rentrai dans la maison, elle me fit un câlin et une bise sur la joue. Elle sentait tellement bon...Elle portait une robe rouge assez décolletée qui faisait ressortir le bleu de ses yeux... et ses seins. Elle avait aux pieds une paire d’escarpins de la même couleur. Ses ongles étaient recouverts de vernis noir brillant. Je remarquai immédiatement qu’elle avait mis les boucles d’oreilles et le collier que je lui avais offert à son dernier anniversaire.
Nous nous rendîmes au restaurant où j’avais réservé pour 20 heures. Ce n’était pas un trois étoiles, mais la nourriture était bonne et les tarifs abordables.
La soirée se passa à merveille. Les discussions tournaient principalement autour de nos boulots et de mon frère. Nous avions décidé de terminer le repas sur une note sucrée et partagions un délicieux gâteau à la pistache.
Nous étions partis du restaurant vers vingt-deux heures. À l’extérieur, ma mère me remercia de l’invitation avec une nouvelle bise sur la joue. Je la ramenai chez elle et elle insista pour que je monte boire un café. J’acceptai malgré la fatigue.
Une fois chez elle, elle retira immédiatement ses chaussures avec un son de satisfaction.
— Tu as bien de la chance de ne pas devoir porter ce genre de chose, m’avait-elle dit en s’avançant vers la cuisine.
Je m’étais installé dans le canapé lorsque Maggie apporta deux tasses remplies à ras bord de café. Nous les bûmes assez rapidement en n’échangeant que quelques mots.
Il était déjà prêt de 22h45 et je décidai de rentrer chez moi. Au moment où je me suis levé du canapé, Maggie m’attrapa par le bras.
— Tu sais que tu n’es pas obligé de partir. Ta chambre est toujours disponible si tu veux.
Je me rassis à côté d’elle. Elle me regarda dans les yeux pendant quelques secondes. Je décidai alors de lui faire un câlin, car j’avais perçu de la tristesse dans son regard. Je la pris dans mes bras et elle vint poser sa tête sur mon épaule.
L’on resta comme ça quelques minutes puis je posai mes lèvres sur sa joue et commençai à lui donner de petites bises pour tenter de la consoler. Maggie releva la tête et fit de même sur mes joues.
— Ça va mieux Maman ?
Elle ne répondit pas et continua à m’embrasser. Soudain, je m’étais souvenu qu’elle adorait les bises dans le cou. Je me lançai et embrassai son cou qui sentait extrêmement fort son parfum.
— Hum, fit-elle.
C’est à ce moment-là que je sentis que je commençais à avoir une érection. Qu’est-ce que l’on était en train de faire ? Je me reculai alors et la regardai.
— Qu’est-ce que tu as ? me demanda-t-elle.— Heu... rien, répondis-je hésitant. Il me semble t’avoir entendue gémir légèrement.
Elle sourit.
— C’est juste que c’est très agréable de se faire embrasser dans le cou, j’ai toujours adoré ça !— Oui je sais Maman. Je l’ai fait, car tu as l’air triste et je n’aime pas te voir ainsi.— C’est gentil mon cœur, dit-elle en me caressant le bras droit.
J’étais soulagé. Un million de pensées s’étaient bousculées dans mon cerveau juste après avoir entendu ce “Hum”. Mais tout allait bien, ma Mère avait l’air d’aller mieux et j’en étais heureux.
— Tu veux que je continue, Maman ?
Elle acquiesça de la tête. Je la repris alors dans mes bras et posai à nouveau mes lèvres sur son cou. Je l’embrassai en montant et descendant, déposant de temps à autre un bisou sur sa joue. Ma bite était de plus en plus dure, mais elle n’avait rien remarqué. Tant mieux ! J’avais honte que quelque chose d’aussi anodin m’excite autant... et puis surtout c’était ma mère.
J’essayai d’arrêter de penser et de me concentrer sur ma tâche. Elle avait toujours sa tête sur mon épaule et je sentais ses mains douce et manucurée dans mon dos. Je la regardai un bref instant. Elle avait les yeux fermés et semblait complètement apaisée. Je continuai mes baisers pendant encore environ une minute puis elle se redressa en me regardant.
— Ça va incroyablement mieux, dit-elle avec un grand sourire. C’est fou le bien que de simples bisous peuvent faire. — Avec plaisir, Maman.
Elle se déplaça légèrement de l’autre côté du canapé. Je croisai alors mes jambes pour qu’elle ne voit pas mon érection qui faisait une bosse sur mon jean.
— Tu sais, c’est comme ça que ton père a réussi à m’avoir, me dit-elle en passant les mains dans sa nuque pour ôter son collier. — Comment ça ? rétorquai- je surpris.— Il était tellement timide quand on s’est rencontré à l’université, il n’osait pas m’embrasser. Alors le soir du gala de fin d’année, il m’invita à danser un slow et m’embrassa dans le cou.
Elle posa le collier et les boucles d’oreilles sur la table basse en face du canapé.
— Tu n’imagines même pas tout ce qui a pu se passer quand on est rentré à ma chambre d’étudiante, continua-t-elle en rigolant.— C’est une jolie histoire et, non, je veux pas vous imaginer dans ta chambre d’étudiante, lui répondis-je avec le même rire qu’elle.
Je n’avais même pas à imaginer, car je les avais déjà vu faire. En effet, lorsque j’étais encore au lycée et que je rentrai à la maison avant mes parents, j’aimais bien regarder un film en VHS pour me détendre. Les cassettes étaient rangées en désordre dans un vieux meuble en bois. C’est grâce à ça que j’ai découvert des classiques comme Indiana Jones, Star Wars, La 7ème Compagnie, etc. ou de simples films de famille.
Certaines cassettes n’avaient pas de jaquette ni même d’étiquette pour indiquer le titre (dont Indiana Jones 3) du film alors j’y allais un peu au hasard. Un jour, je pris une de ces fameuses VHS et lançai la lecture.
Je vis alors ma mère en lingerie, assise sur le bord du lit parental. Après quelques secondes où il ne se passa rien, mon père rentra dans la chambre, complètement nu, sa bite droite comme un i. Il enfila une capote sur sa queue et ma mère commença à le sucer.
Je ne vais pas raconter toute la cassette (on aura l’occasion d’y revenir plus tard), mais j’avais vu ma mère se faire prendre en missionnaire, en levrette, se faire bouffer la chatte et jouir à en inonder le lit.
Retour à notre histoire...
On se leva alors quasi simultanément du canapé. Il était déjà presque minuit.
— Maman, si ça t’embête pas je vais rester dormir dans la chambre d’ami, demandai-je en connaissant déjà la réponse. Je suis crevé et ça ne serait pas prudent de prendre la route.— Bien sûr, mon chéri, je te l’ai déjà proposé tout à l’heure.
Je lui souris et on prit tous les deux la direction des chambres situées au premier étage. Arrivé au niveau de ma chambre, je me retournai vers ma mère pour lui souhaiter une bonne nuit.
— Bonne nuit Maman, lui dis-je en m’avançant vers elle pour lui faire une dernière bise.
Et là, quelque chose d’impossible arriva. Au moment de poser mes lèvres sur sa joue, je tournai légèrement la tête et l’embrassai sur la bouche en l’attrapant par les hanches.Ses lèvres étaient douces et avaient un goût de fruit... de cerise pour être exact. Mon érection reprit de plus belle et j’étais certain qu’elle la sentait tellement nous étions proches. Ce baiser dura environ cinq ou six secondes. Maggie garda les lèvres fermées tout du long. Elle fit ensuite un pas en arrière et me regarda droit dans les yeux sans dire un mot. Après un instant qui sembla durer une éternité, elle partit en direction de sa chambre à l’autre bout du couloir, murmurant un petit “bonne nuit” avant de refermer la porte.
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