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Comment ma mère s'est faite baiser par trois SDF...

Chapitre unique

... et comment j'y ai participé sans remords.

Inceste
Cette histoire se passe il y a quelques années. J’avais 20 ans à l’époque.Après la séparation avec mon père, ma mère a eu une longue période de célibat, pendant laquelle elle a commencé à s’investir dans pas mal d’associations. De façon très généreuse elle s’est engagée dans une association d’aide aux SDF.
Elle rencontra un jour trois pauvres gars qui faisaient la manche à la gare, pas loin de notre domicile. Touchée par la dureté de leur vie, elle ne pouvait pas les ignorer, les laisser dans leur isolement, comme si rien n’était. Elle proposa alors, de les loger une nuit ou deux, histoire d’offrir un peu de réconfort à ces pauvres hommes.
Après des mois voire des années dans la rue, ils étaient évidemment dans un état déplorable, sales, à la chevelure hirsute. Ils étaient ravis de se faire loger, profiter de la douceur d’une maison bien tenue, chaude et confortable. Ma mère était une cinquantenaire brune un peu ronde avec des gros seins, pas vraiment sexy, mais d’un abord convivial, sympathique. Elle inspirait confiance.
En arrivant, ils posèrent leurs sacs dans un coin de la maison, et ma mère leur montra la grande chambre où ils pourraient rester dormir.
— Bienvenue mes amis, lança ma mère, joviale. Ceci est votre maison.— Merci madame. Vous êtes très gentille.— Ce n’est rien. Installez vous. Mais avant ça, il y a une condition : la douche. Vous avez sans doute besoin de vous laver.— La douche ? Mais on n’a pas besoin de douche.— J’insiste. Ça vous fera le plus grand bien. Je vais vous donner des serviettes. Déshabillez vous. C’est moi qui vais m’occuper de vous.
Habitués à leur mode de vie et leur crasse, les trois SDF n’avaient pas l’intention de se laver. Mais lorsqu’ils comprirent que c’était ma mère elle même qui allait les nettoyer, ils acceptèrent. Ils étaient brusquement curieux. Cette dame d’aspect classique, respectable, voire coincée, allait vraiment s’occuper d’eux, faire leur toilette ? Ils voulaient voir ça.
Au début ma mère n’avait aucune idée mal placée. Elle voulait juste rendre service. Et s’occuper de ces hommes ça voulait dire s’occuper de leur toilette aussi, exactement comme elle le faisait lorsqu’elle faisait avec moi quand j’étais enfant, sans arrière pensée.Le problème était que les choses n’allaient pas se passer comme prévu.
Les gars passèrent donc dans la salle de bain et se déshabillèrent entièrement. Ils étaient un peu goguenard, persuadés que ma mère détournerait son regard. Mais il n’en fut rien. Elle les observa les uns après les autres, les détaillant des pieds à la tête. En les voyant nus, en voyant leurs pénis exhibés, elle éprouva une drôle de sensation. Elle réalisa qu’elle les trouvait presque attirants, ces hommes frustres. Très sales, mais assez beaux.Elle eut immédiatement honte de ce sentiment. Mais il faut dire qu’ils étaient spécialement bien dotés par la nature, avec des belles bites, épaisses, puissantes. Et même si ça n’avait pas été sa motivation première pour leur proposer cette douche, elle ne pouvait nier qu’elle était émue. Elle avait beau être une mère de famille respectable, elle était sensible à la beauté masculine.
Elle attrapa le savon, et commença à s’occuper d’un des gars. Elle étala le savon sur son corps maigre mais musclé. Le gars semblait heureux du traitement, et il se laissa faire avec plaisir. Ma mère se mit à frotter ses jambes, ses bras, son dos. Elle frottait énergiquement pour bien tout nettoyer.
Lorsqu’elle arriva aux endroits intimes de l’homme, loin de s’arrêter, elle y passa encore plus de temps. Car dans sa conception de la propreté il fallait bien s’occuper de ces endroits. Elle attrapa le pénis du gars et étala précautionneusement le savon dessus. Puis elle passa sa main entre ses jambes, nettoya toute la zone entre ses grosses couilles, qu’elle malaxa délicatement, et les fesses. Elle revint ensuite vers le sexe, qu’elle se remit à frotter, laissant sa main pleine de savon glisser agréablement le long de l’organe de l’homme... qui peu à peu s’allongea.
Le gars, de son côté, regardait avec étonnement et une certaine satisfaction cette mère de famille très bourgeoise passer la main entre ses jambes, sur sa queue, laver ses endroits intimes, comme si c’était tout naturel. Il éprouvait évidemment un plaisir grandissant. Ça faisait tellement longtemps qu’une femme ne s’était pas occupée de lui de cette façon !Bien sûr l’homme eu un bon début d’érection. Mais il n’eut cependant pas l’occasion de beaucoup profiter de la douceur experte des mains de ma mère. Car elle passa au deuxième larron, qui attendait d’être lui aussi nettoyé. Elle ne voulait pas faire de jaloux.

Dès que ma mère mit la main sur ce dernier, il commença à bander. C’est donc un pénis en érection qu’elle eut le loisir, et il faut bien l’avouer, le plaisir, de savonner. Elle put alors juger à quel point notre homme était lui aussi bien monté. Du haut de ses 40 ans, malgré ses habitudes notablement alcoolisées et un état de santé douteux, il avait une queue d’une taille admirable. Ma mère n’était pas idiote et se rendait bien compte de l’effet qu’elle produisait. Mais que pouvait elle faire ? S’arrêter ? Le gars l’aurait peut être pris pour du dégoût. Elle n’avait pas envie de le vexer, ce pauvre homme. Lui, médusé, se contentait de regarder ma mère s’occuper de lui... avant qu’elle ne passe au troisième larron...
Evidemment elle aurait dû se douter qu’une fois qu’ils seraient tous les trois à bander devant elle, dans ses mains, ils auraient envie de plus. Quitte à être insistants. Tout émoustillés par cette bourgeoise qui n’avait pas froid aux yeux, les trois hommes se mirent alors à la presser de toutes part, la toucher, la peloter.Là non plus ma mère n’osa pas les rabrouer. Elle ne voulait pas leur faire de peine, ils avaient l’air tellement heureux. Mais de son côté, il se trouvait qu’elle aussi, éprouvait des sentiments ambiguës. Car bizarrement elle se sentait elle même un peu excitée. Ça faisait longtemps que ça ne lui était plus arrivé. Elle ne fit alors rien pour calmer les ardeurs des trois SDF.
D’abord, à travers ses vêtements ils évaluèrent la qualité de la marchandise, jaugeaient les formes, puis l’un d’eux passa la main par l’ouverture de sa chemisette, avec l’intention d’attraper un de ses seins. Il y avait la barrière du soutien gorge. Mais il réussit à glisser sa main à l’intérieur. Un autre passa la main sous sa jupe, caressa ses fesses. Ma pauvre mère était donc un peu bousculée, mais elle ressentait aussi une excitation de plus en plus évidente à se faire explorer par les mains avides, impatientes, de ces hommes aux manières bestiales. Non seulement elle se laissait donc faire, n’opposant aucune résistance à leurs gestes empressés, mais en plus elle leur facilita la tâche.
Elle les laissa arracher sa chemise, son soutien gorge, puis sa jupe et sa culotte. Ils découvrirent un sexe bien poilu, que ma mère avait volontairement laissé au naturel depuis des années. Les mecs étaient évidemment ravis de tâter de la femelle, même un peu mûre, même un peu poilue. Pour eux qui n’avaient pas touché de femme depuis des mois, voire des années, ma mère était follement excitante. Ils l’entouraient de toute part, avides de contact féminin, trop heureux de mettre les mains partout. Ils exploraient avec appétit ses seins, ses fesses. Puis un des gars osa glisser ses doigts dans sa vulve, dans son vagin. Ma mère fut un peu surprise par cette irruption soudaine dans son intimité, mais elle le laissa faire. Le gars s’aperçut qu’elle était vraiment mouillée.
— Putain, t’es trempée ! Tu aimes ça, cochonne ? Tu veux pas qu’on te fasse ton affaire ? Ça fait longtemps que tu t’es pas prise une grosse queue ?
Il fut une époque où elle aurait refusé. Par fidélité envers son éducation, ses principes. Mais depuis la séparation avec mon père elle s’était laissé tellement peu aller, elle avait rencontré très peu d’hommes. Pourtant elle aimait ça, la rugosité des hommes machos. Elle appréciait leur fougue bestiale. Elle choisit alors de laisser s’exprimer son côté gourmand. Faire l’amour avec ces trois hommes des cavernes lui ferait le plus grand bien.Elle les amena alors tous les trois dans sa chambre. Et tant pis pour les principes.

Dès qu’elle fut allongée un des gars lui écarta les jambes, brutalement, sans ménagement, et s’installa au dessus d’elle. Il présenta sa bite à l’entrée de son vagin. Les yeux exorbités, il salivait littéralement d’envie devant cette chatte poilue, dont les lèvres étaient littéralement ouvertes, l’orifice trempé de cyprine.Non seulement ma mère ne résista pas à la pénétration, mais elle tira l’homme contre elle, pour qu’il la prenne vite, qu’il rentre son pénis encore plus profondément. Elle se redécouvrait un appétit sexuel qu’elle avait réfréné pendant des années. Et elle en était ravie.
*******************
Lorsque je rentrai, après mes cours, je ne trouvai pas ma mère ni dans le salon, ni dans la cuisine. Je fis le tour de la maison, puis en dernier ressort allai dans sa chambre.C’est là, par la porte entrebâillée, que je découvris l’énormité de ce qui était en train de se passer :Ma digne maman était agenouillée sur son lit, le cul en l’air, ses gros seins en avant. Un gars, installé derrière elle, les mains agrippées sur ses hanches, la bourrait de coups de bite bien sentis, brutalement, comme la vraie bête poilue qu’il était.
En même temps il flattait ma mère de commentaires bien salaces :
— Ha t’aime ça ma grosse bite, hein ma salope ? T’es une vraie cochonne toi, hein ?
Ma mère ne pouvait pas répondre. Et pour cause : elle avait la queue d’un autre des gars dans la bouche et le suçait avec délectation. Une vraie scène de film porno. Elle changea alors de bite et se mit à sucer le troisième gars.
J’étais médusé. Voir sa mère en train de baiser est déjà quelque chose d’assez spécial pour un jeune homme. Mais là en plus c’était vraiment trash. Les gars faisaient la queue pour la baiser, en vrais affamés de sexe, visiblement hyper excité. Et elle acceptait tout, avec un zèle étonnant, mettant vraiment du sien pour les satisfaire. Elle même y prenait aussi visiblement beaucoup de plaisir.Je restai ainsi un moment caché derrière l’entrebâillement de la porte, à regarder, fasciné, ma pauvre mère se faire prendre par tous les trous : pour varier les plaisirs un des gars exprima son désir de la prendre pas le cul et ma mère ne refusa pas.
Ce n’est que lorsqu’un des gars remarqua ma présence, derrière la porte, qu’ils s’interrompirent. Tous me regardèrent bouche bée, sans bouger. Y compris ma mère qui ouvrit de grand yeux ronds en comprenant que je l’avais vue se faire baiser de la façon la plus crue qui soit.Un gars se leva, tout nu, ouvrit la porte en grand et me fit pénétrer dans la pièce en me tirant par la manche.
— Qui c’est ce gamin ? dit un des gars.— C’est à toi, ça, la bourgeoise ? demanda un autre.— Oui, c’est mon fils, dit ma mère affolée.— Gamin, interpella le gars, c’est pas très poli de regarder sa maman en plein acte... On est voyeur, comme ça ?— Je... non... Heu...— Bon et ça t’a plu ? Tu aimes ça voir maman se faire baiser ? Peut être que ça te dirait de participer ?
Lorsque ma mère entendit cette proposition elle parut se décomposer. Un des gars s’approcha de son oreille, et murmura :
— Dis moi la bourgeoise, il est mignon ton gamin. Ça te dirais pas de le laisser tremper sa belle bite dans ta chatte ?— Non s’il vous plaît, pas ça. Ça ne vous suffit pas tout ce que je vous ai laissé faire avec moi ? Ne mettez pas mon fils au milieu de tout ça ...— Et pourquoi pas ? Il a bien le droit de s’amuser un peu, non ? En plus je suis sûr que tu en crèves d’envie de te prendre sa grosse queue.
Ma mère semblait extrêmement gênée, mais très bizarrement elle baissa la tête sans répondre. Ce qui pouvait passer pour un acquiescement. Un des gars me poussa alors vers elle.
— Tu vois, gamin ? Ta cochonne de maman n’a rien contre. C’est le moment d’en profiter ! Tiens, tâte un peu cette belle poitrine !
Il attrapa ma main et la posa sur les seins de ma mère. A ma grande stupéfaction elle se laissa faire, laissant le gars diriger ma main sur sa large poitrine.
— Alors, gamin, c’est bon ? Ils sont bons, les tétés de ta daronne, hein ?
A mon corps défendant, je dus avouer que la masse chaude du sein de ma mère était extrêmement agréable. Je sentais sous mes doigts ses tétons légèrement durcis. J’étais très gêné, mais je devais avouer que c’était délicieux.
— Toi, la bourgeoise, déshabille ton gamin. Et occupe toi de lui ! On veut qu’il bande dur !
Ma mère hésita une seconde. Elle n’osait pas me regarder, espérant que j’allais refuser, être plus sage qu’elle. Elle sentait qu’elle perdait complètement pied, qu’elle était livrée à ses démons les plus libidineux. Elle voulait du sexe. Mais comme je ne bougeais pas, elle n’eut pas le courage de résister à ses pulsions. Elle commença à déboutonner ma braguette. Les gars insistaient, hilares et ravis de cette situation.
— Allez, enlève lui son froc ! Je suis sûr que tu vas aimer sa bite !
Très obéissante, elle retira mon pantalon, puis mon caleçon. Elle regarda ma queue avec un air fasciné, comme si elle était toute étonnée de découvrir que son fils était aussi un homme, plutôt bien monté. Elle eut une brutale, irrésistible envie de moi. Elle commença à me caresser doucement, et elle constata avec plaisir que ses soins étaient efficaces. Je bandais même pas mal.
— Hé bien, la bourgeoise, tu lui fais de l’effet ! Allez, prends le dans la bouche !
Les gars s’impatientaient. Ils voulaient du spectacle. Sans hésiter, ma mère obéit et prit ma queue dans sa bouche. Elle commença à me sucer, avec une gourmandise indéniable. Je me laissai alors aller, profitant avec joie du soin extraordinaire de ma génitrice. Elle s’occupait de mon pénis d’une admirable façon, le faisant pénétrer tout au fond de sa gorge, usant de beaucoup de salive, alternant va et vient rapides et succion délicate. Un vrai bonheur. En même temps je continuai à caresser sa belle poitrine, ses grosses fesses.
Les gars décidèrent alors qu’il était temps de passer à autre chose.
— Allez maintenant baise la, le mioche ! Tu vas voir comme elle est bonne !
À ce moment là il était encore possible de tout arrêter. Je pouvais très bien refuser, et ma mère n’était en aucune façon obligée d’obéir. Les trois SDF, même s’ils étaient passablement excités, avec leurs grosses bites en érection, ne semblaient pas menaçants. Mais ma mère semblait déjà avoir complètement perdu pied. Elle écarta les jambes, largement, comme une évidente invitation à la pénétrer. Dans ses yeux je pouvais lire son désir : "Viens me prendre, mon chéri ! J’en ai tellement envie, depuis si longtemps !"
Un fus un peu désarçonné par cette attitude tellement inattendue. Comment était il possible d’avoir passé 20 ans à côté de cette femme que je connaissais si peu, et qui semblait tenaillée par ses désirs interdits. Quoi qu’il en soit j’étais moi même trop excité pour refuser. Moi aussi j’avais envie de prendre du bon temps. Et sa vulve était étonnamment désirable. Je me positionnai alors à l’entrée de son sexe. Et je poussai. Lentement mon sexe pénétra, glissa en elle. Couché sur elle, mon sexe au fond d’elle, je ne bougeai plus. Je sentais toute la chaleur de son corps, son odeur envoûtante.
Moi aussi je perdais pied.Je commençai alors à remuer les hanches, imperceptiblement. Ma mère eut un frisson de plaisir. Encouragé par cette réaction, je me redressai alors et entamai de légers va et vient à l’intérieur d’elle. C’était divin. Ma génitrice, toute gémissante de plaisir, était parfaitement excitée. De sa vulve coulait une cyprine très blanche, signe de l’indéniable plaisir qu’elle prenait.
J’accélérai mes mouvements en elle, de façon énergique, presque brutale à mon tour. Je levai ses jambes pour la prendre plus fort encore, plus profondément. Ma mère criait maintenant, c’était jouissif.
Les trois gars à côté de nous étaient eux aussi sur excités, ils de masturbaient en nous regardant. Ils n’avaient pas l’intention d’en rester là. Pendant que je baisais ma mère, un des gars présenta sa queue au dessus du visage de ma mère. Ni une ni deux, elle n’hésita pas, elle attrapa la queue et la mit dans sa bouche. Elle se mit à la sucer avec énergie.Quatre hommes pour ma mère. C’était un bon chiffre. Pendant des années elle avait négligé son appétit sexuel. Mais là elle était en train de se rattraper.
— J’ai une idée ! lança un des gars. Tu vas te retourner, la bourgeoise, et on va te prendre en double pénétration.
A nouveau sans hésiter, ma mère obéit. Elle vint s’asseoir sur un des gars, faisant pénétrer sa grosse bite au fond d’elle même. Elle me proposa alors de venir l’enculer.
— Ha ? Tu es sûre maman ?— Évidemment. Ça fait des années que je suis restée sage. Là, désolé mais c’est fini. J’ai envie d’en profiter.
Je me positionnai derrière ma mère et je mis un peu de salive sur son petit trou.. Je positionnai alors le bout de mon gland en direction de son anus, et je poussai. Ma mère, bien détendue, n’opposa aucune résistance. Et je rentrai en elle, presque aussi facilement que dans son vagin.A travers sa paroi anale je sentais la bite de l’autre gars. C’était très impressionnant. Je la baisai ainsi par le cul pendant 10 bonnes minutes, me retenant à chaque instant d’éjaculer. C’était tellement excitant !
S’ensuit une alternance complètement dingue de pénétrations, dans des positions diverses et variées. Les trois gars prenaient leur tour pour baiser ma mère, et pendant qu’ils avaient leurs bites en elle, elle gardait ma bite en bouche, me suçant d’une toujours aussi délicieuse façon. Tout le monde s’éclatait littéralement, et moi j’étais comme fou. Jamais je n’avais ressenti une telle excitation.
Ce n’est qu’au bout d’une bonne heure que le premier gars exprima son intention de jouir. Se retenir jusque là avait été un véritable exploit pour lui.
— Ne jouis pas en moi ! supplia ma mère.— S’il te plaît, la bourgeoise, laisse moi faire. J’en crève d’envie !— Non. Mon vagin c’est pour mon fils ! C’est lui dont je veux recevoir la semence.
Elle obligea le gars, frustré, à se retirer d’elle, et elle se tourna vers moi.
— Viens mon chéri ! Viens me baiser encore. Je te veux en moi !
A nouveau je vins la pénétrer. Pour moi aussi le moment de la jouissance approchait. Il m’était de plus en plus difficile de résister.
— Lâche toi en moi, mon chéri. Laisse toi aller. Je veux sentir ta semence jaillir en moi !
Ma mère n’eut pas besoin de me le dire deux fois. J’explosai en elle. Un jet de sperme énorme se répandit en elle. L’orgasme le plus fort que je n’aie jamais ressenti. C’était fou.Les autres gars en avaient aussi assez de se retenir.
— Toi, viens dans ma bouche ! ordonna ma mère.
Elle prit son engin en bouche et se mit à le sucer de plus belle jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus. Il se laissa aller et ma mère avala jusqu’au dernier centilitres de son jus.Les deux autres gars, trop excité, se laissèrent aller sur ses seins, son ventre, son visage, dans ses cheveux même, l’inondant d’un sperme abondant... Elle en avait partout.
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C’est ainsi que ma mère reprit goût au sexe le plus cru.Elle décida qu’à partir de cette date, tous les SDF qui se présenteraient auraient le droit de dormir une nuit par semaine à la maison. Tous auraient droits à ses soins les plus affectueux, goûter aux délices d’une bonne chatte bien humide. Une seule condition : qu’ils soient bien montés. Et elle baiserait avec eux sans limite.
J’en vis défiler des dizaines. Ma mère devint réputée pour être là plus accueillante des logeuses...
Le reste du temps elle se réservait pour moi, son fils adoré, avec la promesse que jamais je ne manquerais de sexe dans ma vie, tant qu’elle serait là.
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