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Comment ma mère a " sauvé " ma partie de poker !

Chapitre 7

Ma mère rencontre ma copine...

Lesbienne
J’étais sur mon ordi, en train de visionner la dernière vidéo de « Caro la nympho » dans la rubrique « Jardin des MILFS ».Et je dois bien avouer que j’avais la main sur mon sexe, en train de pratiquer le « rite » d’Onan. Et pour cause, sur mon écran, je voyais simplement ma copine, Coralie, petite brunette mince avec des petits seins en train de défoncer Caroline, ma propre mère, avec un gode ceinture.
La scène était d’un érotisme brutal : Coralie affublée de ce gadget, le gode ceinture, inventé par les Égyptiens il y a plusieurs millénaires de cela, « défonçait » littéralement l’auteure de mes jours.Les deux femmes étaient sur un lit, Coralie nue, sur les genoux, tenait par les hanches, Caroline, nue elle aussi, mais en bas et porte-jarretelles bleus, en levrette.Le cameraman alternait les scènes entre les expressions de plaisir immense que l’on pouvait voir sur le visage de ma génitrice, et le plan du phallus de silicone qui pénétrait sa vulve distendue et dégoulinante de cyprine.Comme déjà vu dans les autres vidéos que j’avais consultées, avec beaucoup de honte je dois l’avouer, mais aussi beaucoup d’excitation sexuelle, voir deux femmes faire l’amour de façon un peu trash, était extrêmement excitant... surtout quand l’une est votre copine et l’autre votre mère !

Coralie, le visage empreint d’un grand sourire et une certaine lueur lubrique dans les yeux, m’avait tout raconté de son premier tournage avec « Caro la Nympho », alors que nous nous étions retrouvés devant un café, juste quelques heures après ses exploits.

Récit de Coralie.
J’avais donc rendez-vous sur le plateau de tournage, en réalité une maison assez bourgeoise avec jardin et piscine, mais l’action se déroulait dans une chambre. Les cameramen étaient deux, un accessoiriste et le « metteur en scène », ce gros porc de John la biroute. Ta mère était assise devant un miroir pour se maquiller. On nous présenta, et Caroline me fit un grand sourire ; elle était vêtue d’un joli déshabillé blanc retenu par un lien en soie.
« Bonjour mademoiselle ?
— Coralie, c’est un réel plaisir de vous rencontrer en vrai, je suis tous vos exploits sur le net depuis le début. Et je dois avouer que vous m’avez donné beaucoup de plaisir.
— Vous me flattez Coralie, je ne suis qu’une femme qui a la liberté d’exercer ses fantasmes et d’en faire profiter les autres, si cela vous a donné du plaisir, vous m’en voyez heureuse. Ainsi on m’a dit que vous vous étiez engagée pour le rôle uniquement pour faire l’amour avec moi, cela aussi est très flatteur... vous avez fait l’amour avec beaucoup de femmes, vous êtes une vraie lesbienne ?
— C’est exact pour la première question, je rêvais de vous découvrir en chair et en os et de vous donner du plaisir. Non je ne suis pas une authentique lesbienne, on va dire que j’aime autant prendre du plaisir avec les hommes qu’avec les femmes. Mais j’ai quand même une certaine expérience dans ce domaine, ainsi que dans un autre un peu plus particulier...
— C’est-à-dire ?

— (En regardant en direction du gros porc). On m’a dit de ne rien vous révéler...
— (S’adressant au metteur en scène) John c’est quoi, cette histoire ? Le scénario a été changé ? On ne m’a rien dit ?
— Tu ne sauras rien ma chérie, l’intrigue du film veut que tu sois complètement prise par surprise quand tu enlèveras le pardessus de Coralie. Ça vient d’en haut, c’est Kevin qui a donné les instructions. Il est très excité par son idée. Mais tu ne le regretteras pas, tu peux me faire confiance...
— (Se retournant vers Coralie). Et bien ma jolie Coralie, avec une petite jeune femme mignonne comme toi, je suis sûre que ce ne sera que du plaisir...
— Je l’espère aussi madame.
— Appelle-moi Caroline, vu que dans 10 minutes nous allons être excessivement « intimes » !
— J’ai aussi quelque chose à vous avouer... je ne viens pas que pour vous découvrir vous, et vous faire l’amour...
— (Intriguée). Et bien vas-y ma petite Coralie, explique-moi.
— Et bien voilà, je viens de la part d’Antonin...
— Ce petit con ! Mon petit con de fils ?
— Oui Caroline, nous sortons ensemble et je crois que je suis amoureuse de lui. Vous savez il m’a tout expliqué. Il regrette énormément son manque de tact à votre égard, il vous demande de lui pardonner et de lui permettre d’au moins vous revoir. Vous savez il a beaucoup changé, il a muri. (Disant cela Coralie prenait son petit air mutin irrésistible, et Caroline en fut troublée.)
— Bon tu as tellement un ravissant sourire que nous verrons ce que nous pourrons faire après la scène... si tu me fais vraiment du bien... (Caroline lui lança une œillade très égrillarde.)
— En parlant de vous faire du bien... un plan à trois avec votre fils, ça vous branche ? (cette fois-ci le regard pervers de Coralie percuta Caroline.)
— Un plan à trois, moi, toi et... mon fils ?? Mais tu es vraiment une sale petite perverse ! On te donnerait le Bon Dieu sans confession pourtant !
— Et on aurait tort ! Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point ! »

Je me rapprochai de Caroline toujours assise devant son miroir et sa table de maquillage, lui plaçai une main sur un sein. Puis j’entrepris de m’insinuer sous le déshabillé de ta mère, lui trouvais le mamelon que je commençais à faire rouler entre mes doigts. Ta mère commença à souffler et gémir. Alors de mon autre main, je lui tournai le menton vers mon visage et lui roulai un palot de derrière les fagots. Ta mère n’en revenait pas ; c’était la première fois qu’elle embrassait une femme, et à voir elle y prenait goût.Alors de mon autre main, je lui défis le lien de son déshabillé, elle ne portait rien en dessous. J’entrouvris les pans du léger vêtement, et ma main alla directement entre ses cuisses, que ta mère écarta ostensiblement pour s’offrir à mes caresses. Je lui glissai alors à l’oreille d’un ton très langoureux :
« Tu nous vois tous les trois à poil dans un lit. Moi en train de t’enculer avec mon gode-ceinture pendant que tu suceras ton fils ? Hummm une vision qui me hante depuis que j’ai découvert qu’Antonin était le fils de « Caro la nympho », la petite salope mature de mes rêves...
— Mhummm, mon Dieu que tu me branles bien, Coralie. Tu es une vraie petite salope très douée. Comment te refuser quoique ce soit, avec de ... mmhhhumm... tels arguments. »

J’avais gagné... mais je n’en continuais pas moins de branler ta mère, deux doigts dans sa chatte, qu’elle avait déjà bien humide, et mon pouce caressant son clitoris. Nos langues se mélangeaient en de baisers fougueux et sensuels.
Ta mère apprenait vite, il faut dire que je suis une excellente prof en saphisme... je n’avais qu’une envie c’était de commencer la scène, mais c’était tellement bon ce que nous faisions.Quand une voix d’abruti nous fit sursauter, c’était ce connard de metteur en scène qui nous interpellait :
« Ho les deux petites salopes, là ! Vous arrêtez de vous gouiner ? Y a du taff là ! Après Kevin et ses créanciers vont encore me dire que ça prend trop de temps pour faire une scène de cul ! Allez Cora, tu lâches cette salope de Milf et tu te changes... on a tout ton " uniforme ! " »

Décidément il sera toujours aussi con ce John de mes fesses !
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