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Comment j'ai pu sauter Surloca Zillon

Chapitre 1

Un bon coup !

Hétéro
Préambule :Je m’évade un peu de ma saga, pour proposer cette nouvelle (en deux chapitres). Elle m’a été inspirée par la « Tour de Vénus » de Théa, bien que n’ayant guère de rapport avec elle.
§§§§§

San Antonio (Texas), une fin d’après-midi de juin 1987. Dans un commissariat de district de la ville.
« Alors, mademoiselle... Vous vous appelez bien Surloca Zillon, fille d’Eva et Elie Zillon et vous habitez Salinas, en Californie. Vous confirmez bien votre plainte pour vol de votre sac à main, contenant vos papiers d’identité et votre argent, dans l’autocar en partance pour Houston ? »
Le sergent Garcia s’éponge le front. La chaleur pèse sur la ville, et le ventilateur du plafond fait ce qu’il peut, c’est-à-dire pas grand-chose. Il jette un coup d’œil sur la plaignante, assise en face de lui. « Elle a l’air pas mal ! » pense-t-il «... Mais ce prénom, Surloca, c’est vraiment n’importe quoi ! Ils sont débiles ces Californiens ! »
Depuis qu’il est arrivé dans ce commissariat, il y a huit mois, le sergent Garcia officie au bureau des plaintes, autant dire le bureau des pleurs. Il aimerait bien faire autre chose, mais son chef, le commandant Wolf, a botté en touche, arguant qu’il s’y prenait très bien dans ce service... indispensable, quoi.
Mademoiselle Surloca, vingt-cinq ans, d’après sa déposition, minaude :
« Oui, oui, c’est bien ça, je confirme ! » avant de pleurnicher :
« Qu’est-ce que je vais devenir ? Plus de papiers... plus d’argent... et comment prévenir mes parents ? »
Il lève les yeux au ciel : « Le bureau des pleurs, maintenant ! Prévenir ses parents... elle n’a jamais entendu parler du téléphone ? Des débiles, je vous dis, ces Californiennes ! Et en plus, elle est blonde ! » Il sourit, se souvenant des propos du caporal Reyes, du bureau d’accueil :
« Les blondes ? Toutes des connes ! Excusez-moi de le dire comme ça, sergent... »
« Ma situation vous amuse ? » Mademoiselle Surloca, affiche un air pincé.
« Pas du tout ! Pas du tout ! J’y pensais, justement à... votre situation ! Je vous propose ceci : »« Vous avez le numéro de vos parents en tête ? Vous pouvez utiliser mon téléphone... ce n’est pas réglementaire, mais je le prends sur moi ! »
Il lui tend le combiné. Elle compose un numéro, et au bout d’une minute d’attente, une conversation s’entame. Tandis qu’elle parle, le sergent s’est assis sur le bord de son bureau. Et il faut dire que la vue qu’il a depuis cet endroit est des plus... intéressantes. C’est une vue plongeante, sur les cuisses de la demoiselle, que sa minijupe dévoile largement.
Maintenant qu’il la voit assise, cette Surloca - quel prénom ! – lui paraît mignonne. Ces cheveux blonds, visiblement teints... mais ce parfum, entêtant, lui rappelle le numéro 15 de Camel, un parfum de supermarket, pâle imitation d’un parfum de Paris. Tout à l’heure, quand elle sortira d’ici, il devra ouvrir la fenêtre, pour aérer. Les blagues des collègues sont parfois cruelles.
Mais cela fait plus de cinq minutes que la conversation dure. Elle parle américain, avec un léger accent espagnol. Garcia se demande s’il ne va pas devoir interrompre la communication d’autorité, quand elle repose le combiné :
« Je vous remercie ! Mes parents veulent m’envoyer un peu d’argent, par mandat cash. Je l’aurai demain matin, mais il faut donner une adresse... et je ne sais pas où aller ! » Elle paraît désemparée. Et comme avant de se rassoir, il a jeté un coup d’œil sur les jambes de la demoiselle, celle-ci, les croise aussitôt, dénudant un peu plus, si c’était encore possible, ses cuisses. Un signal ?
A trente-deux ans, le sergent Garcia est célibataire, hormis quelques grognasses qui font de fugaces apparitions dans son petit appartement de la banlieue de San Antonio. Il commence par se dire que ce pourrait être un bon coup, mais une petite voix lui rappelle qu’il est en service. Alors, ses racines mexicaines refont surface :
« Vous ne seriez pas d’origine mexicaine, Mademoiselle ? J’ai cru le comprendre... votre accent... »
« En effet ! Je suis née en Californie, mais ma mère est originaire de la région de Mexico ! Heu, pourquoi cette question ? » dit - elle en esquissant un sourire.
« C’est que je suis né près de Monterrey. Je suis au Texas depuis vingt - cinq ans. »Puis il se racle la gorge :
« Si vous êtes d’accord, je vous héberge... jusqu’à demain... vous pourrez ainsi donner mon adresse pour le mandat. »
« Elle est décidément vraiment mignonne ! » – se dit-il en la voyant debout, une petite valise à ses pieds.
« Je vous remercie beaucoup, j’accepte votre invitation ! » Un sourire charmeur, en prime... un peu trop charmeur peut-être.
« Bon, je termine mon service dans une demi-heure. Je vais vous établir un titre d’identité provisoire. Vous allez m’attendre sur un banc à la station de bus, tout près d’ici. Il ne faudrait pas qu’on nous voie sortir d’ici ensemble ! »
Quand le sergent Garcia arrive à la station, il retrouve Surloca, tout heureuse de le revoir.
« Je peux vous dire que vous êtes bien jolie, Surloca !... Je peux vous appeler Surloca, n’est-ce pas ? Ma voiture est garée dans le parking souterrain... »
Une demi-heure plus tard, arrivée devant un immeuble :
« J’habite ici, au septième étage ! »
L’appartement est assez petit, genre deux pièces cuisine, avec un balcon, une chambre avec un lit et un canapé dans le séjour.
« Je vous laisse la chambre, je dormirai sur le canapé ! » dit-il galamment.
« Je pense que ce ne sera pas nécessaire ! » elle le regarde avec un air mutin... Il se sent d’un seul coup tout chose...
« Si ça ne vous dérange pas je prendrais bien une douche ! » Il la regarde entrer dans la salle de bains, avec une petite mallette. Quand elle en ressort, vingt minutes plus tard, elle est à... poil ! Complètement à poil ! Remarquez, le spectacle n’est pas désagréable ; en plus le type de femme qui plaît au sergent : assez grande, un brin potelée –rien à voir avec ces tas d’os sur pieds- des seins généreux, mais pas trop, de jolies fesses rondes, et des cuisses itou. Pour couronner le tout un adorable petit ventre et une jolie vulve aux lèvres épaisses, encadrée par un triangle de poils visiblement taillés.
Comme il la regarde avec des yeux ronds, elle s’explique :
« Excusez-moi, il fait chaud ici, et chez moi, en été, après la douche je reste souvent comme ça ! J’espère que ça ne vous dérange pas... »
« Non, non, bien sûr... faites comme chez vous ! » Garcia commence à penser qu’il a vraiment tiré le gros lot. Maintenant elle s’assoit sur le canapé, en croisant les jambes. Elle est transfigurée : la Surloca pleurnicheuse ? Disparue ! A la place, une sex-bomb, au sourire ravageur.
« Vous prendrez bien aussi une douche, sergent... Heu, vous m’avez déjà appelé par mon prénom... le vôtre c’est ? »
« Manuel ! Mais on m’appelle Manu ! Eh bien, je vais prendre une douche et je vous rejoins dans un moment ! »
Il prend son temps le sergent. Dame ! Cette sublime créature mérite des égards. Quand il sort de la salle de bains, enveloppé dans un peignoir de bain en coton, elle l’accueille :
« Alors Manu ? Hum ! Vous sentez bon ! Vous savez, vous pouvez vous mettre à l’aise aussi... » Sacrée Surloca ! Sent-elle qu’il n’a rien dessous, et qu’il est gentiment en train de bander ?
« Allons, Manu ! Asseyez - vous donc à côté de moi ! Je vous fais peur ? » elle rit.C’est qu’elle s’est parfumée aussi ! Ce fameux numéro 15 de Camel... Quand elle sera partie il faudra aérer, mais pour le moment... C’est qu’elle a pris les choses en main, la Surloca. La chose serait plus juste. Le sergent bande comme un cerf, et elle a vite repéré la bosse sous le peignoir.
« Waouh ! Vous êtes bien monté, Manu ! » dit-elle en saisissant dans sa main la colonne de chair au gland décalotté. Le sergent n’en croit pas ses oreilles, d’habitude, il a affaire à des diesels, faut les chauffer longtemps... celle-là démarre au quart de tour !
Il ne faut guère de temps pour qu’il se retrouve nu, aussi. « Je vous plais, hein ? » Surloca prend sa main droite et la pose sur sa vulve.
« Allez-y, Manu ! J’adore être masturbée comme ça ! » Il lui caresse la vulve avant d’y enfoncer deux doigts et de les remuer dedans : « Hummm ! Vous savez Manu... j’ai de gros besoins sexuels, surtout en ce moment... là j’essaie de me retenir, je ne suis pas chez moi... »
« Putain ! Une nympho ! Il ne me manquait plus que ça ! » pense-t-il, avant de jouer les farauds : « Surloca, j’essaierai d’être à la hauteur ! » dit-il avant de lui fourrer trois doigts dans la chatte et de la ramoner.
Elle commence à se tortiller sur le canapé : « Hummm ! Manu... Viens, viens ! Bouffe-moi la chatte ! » D’habitude, il dirige... mais avec celle-là, il doit suivre ! Il met son orgueil de mâle mexicain dans sa poche- façon de parler- et vient s’agenouiller entre ses divines cuisses et se met à lécher cette sublime vulve. Surloca, qui commence à être sérieusement excitée écarte les lèvres avec ses doigts :
« Oui ! Oui ! Mets ta langue dedans ! Hummm ! J’aime ! » Elle mouille, maintenant... et elle écarte encore les cuisses, en tenant la tête de Manu avec ses mains. Elle le laisse faire un instant, puis l’interrompt :
« Manu, j’ai envie de sentir ta grosse queue dans ma chatte ! » Elle se lève, et vient appuyer ses mains sur la table en se penchant en avant : elle lui offre sa chatte, en levrette :
« La salope ! Elle est toute mouillée ! » constate-t-il, avant de lui demander :« Je vais jusqu’au bout ? Tu prends la pilule ? »
« Bien sûr ! Vas-y ! Défonce-moi ! » Il rentre dans sa chatte comme dans du beurre mou et se met à la ramoner. Elle gémit. Puis il la saisit aux nichons, ses nichons fermes. Les va-et-vient dans sa chatte détrempée de mouille provoquent des clapotis obscènes. Elle gémit, elle crie.Le sergent commence à penser au bruit qu’elle fait. Heureusement, les appartements sont -relativement- bien insonorisés et il habite au 7e et dernier étage.
Le sergent est terriblement excité lui aussi. Cette fille donne tout ce qu’elle a sans aucune retenue. Il la pistonne à fond. Son corps à elle est secoué par ses coups de butoir :
« Salope ! Putain ! Chienne ! Prends ça ! Prends ma bite ! » il crie, elle crie de plaisir, puis il se sent partir et lui largue une grosse giclée de foutre dans son vagin. Elle couine. Un spasme. Un orgasme, sans doute. Il sort sa bite du vagin et invite Surloca à venir s’assoir sur le canapé :
« Tu as soif, chérie ? » dit-il avec tendresse. « Hum, ça oui ! Après ton ramonage de cheminée ! » Cette Surloca, quel langage !
Il revient avec un grand verre d’eau fraîche, qu’elle boit avec avidité : « Tu as de la bière ? J’aimerais bien... ». Manu revient de la cuisine avec deux bières. Ils boivent doucement. Dix minutes passent.
« Manu... baise-moi, j’ai envie... Je suis mouillée, touches ! » Elle prend sa main et la pose sur sa chatte. La garce ! Son abricot est tout baveux... Manu est endurant, certes, mais pas tant que ça... et il a envie que Surloca parte d’ici, comblée, rassasiée de sexe, à demander grâce même ! Ce serait le summum ! Et une idée, une idée énorme, germe dans son esprit : le lieutenant Rocky Siffredo ! La baise, c’est mieux à trois, surtout avec Surloca !
« Dis, Surloca, t’as déjà fait « ça » à trois ? » elle le regarde étonnée : « Baiser avec deux mecs ? Bien sûr, mon loup, même fait avec trois, une fois ! T’as une idée en tête, hein, mon cochon ! Tu sens que tu n’y arriveras pas tout seul ! » Ah... L’intuition féminine...
« J’ai un collègue... il n’habite pas loin... je vais lui téléphoner, il doit être libre... Ok ? »
« Ok, mon loup ! Je peux me masturber en attendant ? » elle se marre. Manu a l’impression qu’elle se fout de sa gueule, mais bon...
« Allô, Rocky ? C’est Manu... t’es libre, là ?
« Si on veut... je regarde le match de boxe avec Balboa en vedette ! T’as un problème ? »Le sergent décide de se lancer directement : « Rocky, je suis avec une fille et... »
« Waouh ! Tes grognasses habituelles, non merci... - puis après un silence- elle a quelque chose de spécial, celle-là ? »
« Oh, ça oui ! Elle est canon ! – il fait un clin d’œil à la fille- Rocky, faudrait que tu viennes, elle a de gros besoins celle-là ! »
« Putain ! Le sergent Garcia, il s’est tiré une nympho ! » le rire gras du lieutenant Siffredo retentit à l’autre bout du fil.
« Elle s’appelle comment ta gonzesse ? » demande le lieutenant.
« Surloca, elle s’appelle Surloca..... »........... « t’es là, Rocky ? »
« Sur-lo-ca... c’est quoi ce prénom à la con ? T’es sûr qu’elle ne vient pas d’une autre planète ? T’as vérifié si elle n’a pas trois bras, ou trois seins ou quatre doigts aux mains ? » le rire du lieutenant reprend. C’est mal barré.
« Tu sais, elle est à poil devant moi, et elle est tout à fait normale ! Tu viens ? »
« Faudrait quand même vérifier : il paraît que des Ebzts ont été parachutés au-dessus de San Antonio, la nuit dernière. Tu devrais contacter le service d’observations des OVNI ! Elle en est peut-être ! » Et il se marre encore.
Le sergent Garcia soupire. Depuis qu’il a tapé par jeu, un texte coquin sur sa machine à écrire et mis « Ebzts » au lieu de « Ebats », le lieutenant s’en amuse tant qu’il a fait de ces « Ebzts » des êtres imaginaires, dont il parle à propos de tout et de rien.
« Mais, après un silence, il se ravise : « Bon, faudrait que je voie ça de près... ça m’a l’air urgent, hein ? Mais tu as intérêt à ne pas me raconter d’histoires ! Si tu n’as pas envie que tout le commissariat soit au courant... »
Le con ! C’est bien du Siffredo ! Faut qu’il les balance ses vannes ! Mais il vient... alors...
« Je suis chez toi dans, disons, vingt minutes ! » un déclic. Il a raccroché.
Pile, vingt minutes après, le lieutenant Siffredo sonne à la porte ; il a un petit sac à la main.
« Alors, elle est où ta dulcinée ? » Le sergent Garcia lui désigne le canapé.
« Waouh ! Ben, mon colon ! Tu l’as tirée où, cette divine créature ? Et à poil... prête à servir ! »Le lieutenant est dans tous ses états, ce qui est peu dire, tandis que la bête se réveille dans les profondeurs de son slip.
« Ben, elle est venue déposer plainte pour le vol de son sac, et elle était si désemparée que je l’ai invité chez moi ».
« C’est pas à moi que ça arriverait ce genre de truc ! »Le lieutenant s’approche de la fille, assise sur le canapé, les jambes négligemment écartées. Elle se tripote la vulve avec ses doigts :
« M’est avis que c’est urgent ! Elle m’a l’air d’être en état d’excitation avancée ! » diagnostique le lieutenant, en se déshabillant. Et quand il retire son slip, Surloca, s’extasie :
« Waouh ! Mais il est monté comme un cheval, ton copain ! Quelle bite ! »
Maintenant, il bande comme... un âne ; son imposante queue dressée près du visage de Surloca :
« Alors, ma poule, il paraît que tu veux de la bite ? Tu vas être servie ! Lève-toi ! » lui dit-il en la tirant par la main.« C’est vrai que tu es bandante... ces nichons, ce cul, cette chatte... on va te fourrer tous tes trous, puisque tu veux ça ! »
Surloca ne quitte pas des yeux l’imposante verge du lieutenant, déjà bien décalottée. Il l’assoit sur le bord de la table, soulève ses jambes et les fait reposer sur ses épaules. Puis il pose le gland épais sur sa chatte bien humide. Et il la pénètre lentement. Elle a les yeux mi-clos et semble savourer ce mandrin de chair qui s’enfonce dans son vagin. Puis il commence à la labourer. Le lieutenant n’est pas discret en matière de baise : il use de propos salaces, guère policés :
« Tu m’as l’air d’une belle salope !... t’es sûr que c’est pas une pute ? » lance-t-il au sergent.
« T’as déjà vu des putes qui baisent gratis ? » lui répond-il tandis qu’il vient se placer sur la table, dans le dos de Surloca et lui empoigne les seins à pleines mains :
« Hmmm ! Elle a de ces nichons ! Regarde-moi ça ! Des belles mamelles, qui ne demandent qu’à être tripotées ! »
Le lieutenant la besogne lentement et la fille commence à gémir... et à apprécier :« Hmmm ! C’est bon de sentir ta grosse bite dans mon vagin... vas-y, mon cochon ! Et toi aussi –dit-elle à Garcia- excite mes tétons ! »
« Putain ! C’est vraiment un bon coup, cette fille ! Elle fait ce que tu veux, du moment que ça la fait jouir ! » Rocky n’en revient toujours pas...
« On va s’amuser, ma salope, on va te prendre par tes deux trous en même temps. Manu m’a dit que tu te faisais souvent prendre par deux mecs ! »

A suivre...
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