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Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance…

Chapitre 1

Hétéro
Comment j’ai soulevé la copine de mon ami d’enfance...


Debout près du barbecue, je tournais tranquillement les saucisses sur la grille en sirotant ma bière aux agrumes. La soirée avait tout d’une soirée d’été ordinaire, qui pouvait alors se douter au milieu des rires et des blagues, du tournant inattendu qu’elle allait prendre...
Chaque été, nous avions l’habitude de faire de la maison de Brandon et de sa compagne Adeline notre repère : un barbecue, un jardin, toujours de la bière au frigidaire, et les horaires de travail de nos hôtes permettant des soirées improvisées en semaine, si on voulait chipoter, il ne manquait que la piscine. Mais laissez-moi vous parler de nos hôtes, pour Brandon, je le connais depuis le collège, l’humour grivois, toujours à parler de sexe, mais le cœur sur la main, soit le pote un peu relou, mais que l’on adore quand même. Puis, depuis deux ans est venue se greffer à notre petite bande : Adeline, un petit bout de femme qui lentement et avec patience a su canaliser notre Brandon national. Comment décrire Adeline ? Elle n’était pas spécialement belle, mais avait du charme, un peu trop de formes, mais que l’on oubliait aisément tant elle savait se mettre en valeur. Pour résumer, une petite brunette ordinaire, agréable à l’œil et en conversation.
De l’extérieur, ils avaient tout du petit couple heureux, une illusion que je croyais alors volontiers en tournant mes saucisses, mais qui allait bientôt voler en éclat.

La soirée battait son plein, les saucisses maintenant avalées, les bières et les mojitos avaient pris le relais et coulaient à flots, rendant tout le monde un peu rouge et de bonne humeur. Alors que j’étais rentré dans la maison, évacuer mon trop-plein de liquides houblonneux, j’étais alors loin de m’imaginer que la soirée allait agréablement déraper.
Un peu pompette, et alors que je me lavais les mains, mon regard fut attiré par la panière un linge. Un string usagé noir était visible, dans un élan de folie, je m’en suis emparé. Sexy, la petite Adeline cachait bien son jeu. Lentement, je l’ai déposé sur mon nez pour le sentir, l’odeur était forte, mais pas désagréable bien au contraire. Je ne pouvais plus me passer de ma trouvaille en dentelle, complètement captivé par l’odeur qu’avait laissée la chatte d’Adeline sur son sous-vêtement. Une petite tache sombre et humide attira mon regard, je n’ai pas pu m’empêcher de passer un coup de langue sur l’emplacement de l’entrejambe, l’odeur étant amplifiée et âcre au goût.
— Bordel ! Mais c’est quoi ce bordel ? cria une voix derrière moi. Mais tu fous quoi, là ? Et avec mon string !
Je me suis figé sur place, tétanisé. Je n’avais pas fait attention que j’avais laissé la porte ouverte, et Adeline blanche comme un linge, les poings sur les hanches, me faisait maintenant face alors que j’avais son string en main... Pris en flagrant délit, je vivais la plus grande honte de ma vie, m’attendant au pire.
— Je peux tout t’expliquer, réussis-je à bredouiller péniblement, mais en vérité qu’y avait-il à expliquer ? « Alors écoute ma chère Adeline, ton odeur intime m’attire et me rend fou ? Sortir un truc ridicule, genre : “je l’ai confondu avec la serviette de bain ?” Non, il n’existait aucune explication possible, j’étais foutu.— Oh, ça oui ! J’attends avec impatience ton explication pour justifier comment tu as été amené à sniffer ma lingerie comme un camé ! Mais pas maintenant ni ici ! Je ne veux pas que les autres et surtout Brandon soient mêlés à ça ! Suis-moi !
Sa voix ne semblait souffrir d’aucune contestation possible. Pris la main dans le sac, je l’ai suivi piteusement à l’écart de la soirée, jusqu’à sa chambre, là, elle a claqué la porte. Nous étions maintenant seuls et loin de tout. Adeline s’est alors assise sur le lit et m’a toisé silencieusement quelques secondes.
— Alors ça t’a plu ? L’odeur de ma chatte t’excite ? On croit connaître ses amis, mais en vrai tu es un sacré pervers ! — Non ce n’est pas ça ! Tu ne m’excites pas, enfin si tu es très jolie et forcément que tu m’excites... enfin non, tu es la copine de mon ami, réussis-je à bredouiller en réussissant l’exploit de m’embrouiller et de me mélanger les pinceaux, enchaînant gaffe sur gaffe dans mes propos, avant de conclure par un beau : “enfin non, ton odeur ne m’excite pas, je ne sais pas ce qui m’a pris...”
— Ah non ? Tu veux me faire croire que tu n’aimais pas ça ? Pourtant je t’ai vu renifler mon string plusieurs fois, et même le lécher !
Je ne savais plus quoi dire, je n’osais plus la regarder, aucune explication n’était cohérente. Non seulement elle m’avait pris sur le fait, mais en plus avait eu le temps d’admirer mon crime de long en large. Nous sommes restés ainsi plusieurs secondes, silencieusement, une tension montant dans la pièce.
— Pas la peine de le nier, je sais que tu aimes ça, mon odeur intime je veux dire... Tu veux venir la sentir de plus près ? Je suis sûr que le goût sera plus fort et agréable à la source.
Mon cœur a alors manqué un battement, le son de la voix d’Adeline, venait de complètement changer, d’accusatrice, maintenant, elle murmurait presque. J’ai alors enfin osé la regarder, son pantalon et son string gisaient à ses pieds, et la jeune femme au bord du lit avait les jambes écartées. D’un signe de la main, la copine de mon ami d’enfance me faisait comprendre qu’elle voulait que je lui fasse un cunnilingus. Qu’auriez-vous fait à ma place ? Son odeur m’avait déjà envoûté, j’ai donc fait la seule chose raisonnable à faire : je me suis agenouillé entre ses cuisses.
Elle avait raison, son odeur intime était bien plus forte et agréable maintenant que j’avais la tête entre ses jambes. Son pubis était vierge de tout poil, et son con déjà humide et écarté. Lentement, j’ai déposé de rapides baisers sur sa peau lisse, chaque baiser la faisait frissonner de plaisir. Petit à petit, je me suis approché de son antre, puis n’y tenant plus, je l’ai embrassée, lui arrachant un gémissement de plaisir. En réaction, elle m’a attrapé la tête et m’a encouragé à poursuivre mon action.
Je n’étais pas un grand spécialiste de la question, mais j’avais quelques bases, j’ai joué avec le clitoris et le vagin, puis complètement excité par la situation de voir Adeline ainsi offerte, j’ai glissé un doigt dans sa vulve, il est entré dans son intimité comme dans du beurre, lui arrachant des gémissements de plaisirs. Enhardie par ses cris et ses tremblements, j’ai glissé un deuxième doigt, et je suis venu frotter son sexe. Adeline s’abandonnait à mes soins, le haut du corps allongé sur le lit, elle tremblait, ses mains ayant quitté ma nuque pour venir se caresser et se pincer les seins, elle était en transe. Heureusement pour nous que la musique couvrait ses cris de jouissance.
Ma main au cœur de son antre la masturbait avec force, pendant que ma langue titillait son clitoris comme jamais. Il ne lui a pas fallu bien longtemps pour que ses jambes se referment frénétiquement sur mon cou, et qu’Adeline soit prise d’un orgasme foudroyant à réveiller les voisins.

Nous étions maintenant côte à côte dans le lit, Adeline était en sueur et haletait, le souffle court. Pourtant, alors qu’elle venait de tromper son homme avec un de ses proches, elle affichait un grand sourire et semblait comblée.
— Putain ! Enfin un orgasme ! Merci, si tu savais le nombre de mois que j’attendais ça...— Comment ? Brandon ne te fait pas jouir ? demandais-je, surpris ? Pourtant, il parle tout le temps de sexe, et se vante beaucoup de vos exploits mutuels.— Tu ne connais donc pas l’adage ? Ce sont ceux qui en parlent le plus qui en font le moins, me dit-elle en rigolant, se moquant légèrement de ma naïveté. Tu sais ton pote à part le missionnaire tous les quinze jours, il ne fait pas grand-chose avec ça...
Pendant qu’elle disait “ça”, sa petite main manucurée venait de se poser tranquillement sur mon entrejambe, et elle caressait mon sexe délicatement, renforçant mon érection.
— Dis-moi, me demanda-t-elle mutinement. Tu penses être capable de me donner un orgasme avec ça aussi ?
J’ai acquiescé de la tête. Adeline avait peut-être eu le droit à son orgasme, mais moi j’étais en ébullition, entre son string et les minutes passées entre ses cuisses, je n’avais qu’une envie, la prendre et calmer mon érection au cœur de sa chatte. Copine ou pas copine de mon ami. Lentement, elle a fait tomber ses derniers vêtements, me dévoilant un magnifique tatouage amérindien dans le dos et des seins magnifiques. Puis, elle s’est mise à quatre pattes dans le lit, la tête dans les oreillers conjugaux, m’offrant ainsi ses fesses.
— Je veux que tu me baises ! Je ne veux pas que tu me fasses l’amour, j’ai un copain pour ça. Je veux que tu me démontes, que ça soit animal. Compris ?
Il ne fallait pas me le dire deux fois, mes mains avaient déjà agrippé ses hanches et ses grosses fesses. À peine Adeline avait-elle fini sa phrase que ma bite s’enfonçait d’un coup sec en elle, lui arrachant un énorme cri de plaisir. En même temps, le passage était plus qu’ouvert avec le travail de ma langue, Adeline était tellement ouverte que je suis sûr que même un bras aurait pu rentrer en elle. Toujours était-il que sa chatte était un paradis, chaude, elle me compressait la bite comme jamais, m’aspirant toujours un peu plus en elle.
— Oh putain mon salaud, tu en as vraiment une grosse ! Oh oui, défonce-moi ! Plus fort ! Plus fort !
Moi je suis un gentil garçon, quand c’est demandé gentiment, j’obéis. Dans le lit de mon ami soignant, j’ai déboîté sa copine comme jamais. Je lui ai donné ce qu’elle méritait. Je lui ai tout fait : les fessées, le tirage de cheveux, les insultes, les griffures, plus j’étais hard avec elle, plus la petite en redemandait, une vraie chienne en chaleur. À croire qu’elle n’avait pas été sautée depuis des mois. Elle hurlait de plaisir, mes couilles tapaient avec vigueur sur son cul. Puis, n’y tenant plus, tellement Adeline était chaude et m’aspirait en elle, je me suis couché sur elle, et j’ai déversé des flots de sperme au plus profond de son intimité ravagée.
Vous savez comment c’est fini cette histoire ? Toute contente d’avoir eu deux orgasmes, Adeline m’a donné son string en remerciement, puis le plus naturellement du monde nous sommes allés finir la soirée et boire des mojitos auprès d’un Brandon ivre de plaisir et dansant sur la table. Et son bonheur n’était pas près de finir, car quelques mois plus tard (neuf), vint le plus beau jour de sa vie. Et devinez qui fut le parrain de la petite.
Moralité de l’histoire : “les amis nous complètent et nous rendent meilleurs ;).
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