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Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance…

Chapitre 2

Hétéro
Ma fille fait des extras nocturnes... (3)

Une matinée ordinaire, un père de famille qui boit tranquillement son café dans la cuisine. Sa femme et sa fille qui monopolisent la salle de bain, rien que de l’ordinaire.
Milène prit quelques secondes pour respirer, elle s’écarta quelques secondes de l’entrejambe de sa fille. Bien qu’en pleine conversation téléphonique avec son patron, la jeune fille regarda sa mère dans les yeux, lui indiquant de reprendre son œuvre avec l’impudence tranquille de la petite fille vicieuse. La mère de famille reprit son œuvre et ramena sa langue sur la fente de sa progéniture, petit à petit, la mouille emplit de nouveau sa bouche. Rapidement, la fille planta ses ongles dans l’épaule de sa mère, signe de son orgasme.
— Maman, j’ai une super nouvelle, haleta Claire après avoir repris son souffle quelques secondes. Mon patron est chaud pour tester notre idée de faire un extra ensemble.— C’est vrai ? Demanda Milène aux anges, en s’essuyant la bouche pour chasser la mouille de son enfant.— Oui il est curieux de savoir qui couine le plus entre une mère et une fille. Il nous a réservé l’alcôve pour vendredi soir. En plus comme il est sympa et qu’il sait que les premières fois sont toujours un peu stressantes, il ne va prévenir que des habitués et va leur demander de venir masqués pour te faciliter les choses. — Hum ! Il va falloir trouver une excuse pour ton père, répondit tranquillement l’aînée des deux femmes. En attendant à ton tour, rends-toi utile pour calmer le feu que tu viens d’allumer en moi !
Claire est descendue de l’évier de la salle de bain, a laissé sa place à sa mère, puis s’est agenouillée devant elle. D’un mouvement expert, elle fit tomber la petite culotte en satin noir de sa mère sur ses chevilles pour commencer à lui lécher la fente avec passion. La vulve de sa mère était à peine mouillée, pourtant Claire devinait son plaisir cérébral, notamment par ses mouvements de bassins et ses petits gémissements rauques. Les deux femmes étaient radieuses, après des années de brouilles, elles se retrouvaient enfin et pour la première fois depuis l’adolescence de Claire, elles allaient partager une activité ensemble.

La pluie s’écrasait délicatement sur mon pare-brise de bon père de famille. Sous mes yeux, une serveuse plus proche de la belle-de-nuit que des standards de son métier d’origine accompagnait lascivement une autre femme par la porte arrière de l’établissement nocturne. Mon cœur manqua un battement en reconnaissant l’autre radasse, radasse qui n’était autre que ma propre femme. Mon Dieu, je vivais un rêve éveillé.
— Ça va être la soirée de l’année, annonça Samuel, radieux, un grand sourire sur le visage. Hâte d’offrir une nouvelle conjonctivite de sperme à ma chère et tendre filleule. — Moi je n’ai pas spécialement d’attirance pour la petite, sa chatte n’est pas assez serrée, répliqua Gérard, non moi ce que je veux c’est le cul de ma chère Milène, des années à baver sur son tailleur, un véritable enfer. Vous n’imaginez pas le nombre de pauses w.c. que j’ai dû faire pour me masturber. — Ce n’est pas faux pour le vagin de la petite, après ce n’est pas étonnant vu que la moitié de la ville est passée dedans. J’avoue que Milène me dit bien aussi, après tout c’est aussi le rêve de tout témoin de mariage de taper dans la mariée.
Mes deux amis étaient en transe, et je les comprenais, depuis que nous nous étions tapé Claire, nous partagions tous ensemble. La soirée Escort du premier du mois était devenue un rituel entre nous.
— Trêve de bavardage messieurs ! Il est temps, allons ravager les fesses des femmes de ma vie.
Quelques minutes et pintes de brunes plus tard, nous étions tous les trois au comptoir, chaud comme la braise. « Un Tullamore de vingt ans d’âge, directement servi au fût ». Le barman nous gratifia du grand sourire habituel et nous guida dans l’arrière-salle du bar.Dans un grincement sourd, totalement masqué par les brouhahas du lieu et la musique, la lourde porte feutrée de l’arrière-salle du bar, devenue si familière s’ouvrit sur nous. Déterminés, nous avons traversé un couloir de tonneaux et de barils pour arriver dans une petite alcôve où trônaient un petit sofa rouge, une petite table, un tapis, et des bols de préservatifs. Là, la routine fut enfin brisée, plusieurs hommes masqués siégeaient déjà dans le sofa. D’un signe de la main, le patron nous fit prendre place sur les tabourets rajoutés pour l’occasion et nous offrit notre verre de whiskey.
— Messieurs, l’heure de notre soirée exceptionnelle est enfin venue, et croyez-moi, elle restera dans les annales ! annonça le patron d’une voix forte. Pour la première fois, ma chère serveuse Claire sera accompagnée et pas par n’importe qui... Sa propre mère est venue faire la pute avec sa fille, je n’ai qu’une hâte gentleman, voir qui couine le plus fort avec une bite dans le cul. Gentleman, à vos bites !
Son discours fut accueilli par des hourras et des vivats. Nous étant déjà mis à l’aise, nombre de mes voisins arboraient déjà une érection, et au vu des mandarins dans la pièce, le problème de largeur du vagin de ma fille n’allait pas s’améliorer et à l’inverse, sa pauvre mère, étroite comme elle était... Rien que d’y penser mon sexe se mit aussi au garde à vous.
Quelques secondes plus tard, la marchandise arriva sur la scène du crime. Elles étaient magnifiques. Les deux femmes se baladaient simplement en string, perchées sur des escarpins. Elles vinrent lascivement se positionner face à nous. Leurs lèvres étaient rouge pulpeux sous leurs petites petites franges. Étant des habituées, ma fille ne nous servit pas son petit discours habituel, mais réalisa le rêve de tout bon père de famille, elle attrapa le cou de sa mère, et lui dévora la bouche et la langue sous tous les regards des hommes en rut. J’étais au paradis, ma femme et ma fille se roulaient une galoche avec passion sous le regard de tous les hommes en rut de la pièce. Cette vision ne dura que quelques secondes, car après le chaos commença...
Des bites de partout, ma femme et ma fille suçaient avec amour et à perte de vue. Franchement, comment vous décrire le spectacle, les bites se succédaient dans leurs fesses dans leurs chattes dans leurs bouches, même dans l’oreille. Dès qu’une bite relâchait la pression sur l’une des deux bouches, elles hurlaient des cris obscènes, un mélange de plaisir et de douleurs. Une vision de rêve, je ne pris même pas la peine de venir les baiser, tant les voir se faire ravager par d’autre suffisait à mon bonheur. Puis au bout de deux heures, la pièce commença à se vider d’une partie des hommes, nous étions plus qu’une poignée, mon heure était enfin venue...
Toutefois, alors que je m’approchais des deux gourgandines collantes de spermes, un dilemme me prit, par qui commencer... entre nous, vous commenceriez par qui vous ?
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