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Comment j'ai soulevé la copine de mon ami d'enfance…

Chapitre 4

Hétéro
Comment j’ai soulevé la copine de mon ami d’enfance… (3)


Par chance, le drame a été évité de peu hier soir. Aline a eu la présence d’esprit d’aller directement dans sa chambre et de ne pas repasser par la case « soirée ». En regagnant le jardin, je me suis rendu compte que malgré la dispute et la fuite des deux femmes de la maison, la soirée battait toujours son plein. J’avais à peine regagné la petite assemblée que Brandon m’a sauté dessus, verres à la main. Il m’a expliqué qu’il était inconcevable que je ne partage pas sa cuite nocturne. Il en avait gros sur le cœur et voulait passer un peu de temps avec moi. Entre chaque goulée, mon pauvre ami maudissait les femmes de sa vie, et au bout du troisième verre, il m’avoua piteusement qu’il avait l’impression d’être débordé et de ne plus gérer la situation. Se doutait-il que sa femme le trompait depuis des années ? Pauvre homme, fuir dans l’alcool ne semblait pas être la meilleure idée, mais par solidarité masculine, j’ai préféré trinquer avec lui. Quant à Adeline, nous ne l’avons pas revue de la soirée…
Au vu du combat contre l’alcool que j’avais mené farouchement avec Brandon, il était inconcevable que je reprenne la route, c’était tout naturellement que j’avais pris la chambre d’amis pour la nuit, enfin plutôt ce qu’il en restait. Ivre, j’ai rapidement sombré dans les bras de Morphée. Quelques heures plus tard, j’ai été réveillée par une voix lointaine, puis par la caresse du soleil sur ma peau. J’ai un peu grommelé étant de nature bougonne le matin, et je me suis retourné pour offrir mon dos à la fenêtre, quand soudain, la voix lointaine s’est faite plus proche et plus suave. — Parrain, Parrain, disait la voix, qui tentait d’apparaître comme sexy, malgré les légers trémolos perceptibles. Surpris, j’ai ouvert les yeux, puis les ai fermés, pensant rêver, mais non… Aline était dans ma chambre, portant pour tout et pour tout un porte-jarretelles et sa plus belle lingerie blanche. Décidément, l’éducation de ses parents laissait à désirer, comment une gamine de son âge pouvait-elle posséder de la lingerie fine aussi aguichante ? Heureusement que sa demi-sœur ne lui ressemblait pas…La petite avait adopté une démarche lascive et caressait sensuellement le lit en se rapprochant. Le ton de sa voix, sa légère tenue de combat associée à son attitude ne laissaient pas place aux doutes quant aux intentions de la petite. Entre nous, j’étais très surpris qu’elle en veuille encore, tant je ne l’avais pas bien traité hier soir. En une fraction de seconde, Aline avait grimpé dans le lit, et me caressait sensuellement les pectoraux de ses petites mains blanches et manucurées. Sa seconde main gagna mon boxer, m’arrachant un petit ronronnement de satisfaction, avant que je reprenne enfin mes esprits. D’un mouvement ferme, j’ai attrapé ses poignets et l’ai regardé droit dans les yeux. — Aline ! Es-tu folle, et tes parents ? Ils vont nous surprendre, c’est trop dangereux, nous ne sommes plus en soirée…— Chut, mon parrain chéri, murmura la petite en posant son doigt sur mes lèvres. Nous sommes seuls à la maison, mes vieux sont partis faire des courses et chercher le petit déjeuner dans la ville voisine. J’ai largement le temps de m’occuper de toi, laisse-toi faire par ta petite filleule préférée. La petite était maintenant à califourchon sur moi, le tissu de son string à seulement quelques centimètres de mon sexe en pleine érection matinale. Alors qu’elle avait toujours une main sur mon visage, la deuxième s’était de nouveau frayé un chemin vers mon entre-jambes et me caressait délicatement la bite. J’avais honte, mais ma volonté m’a abandonnée, et j’ai laissé Aline poursuivre son action. J’étais faible, mais elle était si belle, si ingénue, si désirable dans sa lingerie blanche. Elle était loin de la fille vulgaire que j’avais déboîtée sans remords la veille…Aline m’a masturbé maladroitement, mais le spectacle de voir les mains fines et fraîchement manucurées d’une gamine de dix-neuf autour de son pénis était un spectacle qui valait le détour et rattrapait aisément le manque de technique de la novice. J’en ai profité pour dégrafer son soutien-gorge et observer sa poitrine, elle était menue, mais appétissante, un petit 85B à vue de nez. Je l’ai senti frissonner sous mes doigts, elle était sensible et mon action ne la laissait pas indifférente. Rapidement, elle a posé ses lèvres sur mon gland, l’embrassant délicatement de ses lèvres. Elle a commencé doucement, s’appliquant à le prendre entièrement en bouche. Mon plaisir était maximal, la fellation était lente et douce, mais j’avais l’impression d’être à l’intérieur d’un chausson. J’étais sur le point de fondre. N’en pouvant plus, je me suis redressé, j’ai attrapé Aline par ses hanches menues, et l’ai allongé sur le lit. Dans un second mouvement, je lui ai écarté les jambes, puis le string, puis suis rentré directement dans son intimité sous son cri de plaisir et de surprise. Aline était tellement excitée que sa petite vulve était ouverte et mon sexe y est entré comme dans du beurre. Elle n’attendait que ça. Délicatement, j’ai fait quelques allers-retours pour la laisser s’habituer à mon membre. Puis la sentant partir à ses gémissements, j’ai passé mes mains sous ses jambes, et lui ai ramené vers elle, pour me l’offrir totalement et permette à mon dard d’aller taper le plus loin possible dans son utérus. La petite bégayait, elle sombrait dans la folie, on ne l’avait jamais prise comme ça, et moi elle me rendait fou, tant sa jeune chatte était serrée et aspirait mon sexe. Soudain, une voix lointaine s’est fait entendre, puis des bruits de claquements, de plus en plus proches. La voix se rapprochait. Pris de paniques, nous nous sommes arrêtés. Nous nous sommes regardés quelques secondes dans les yeux, mon sexe toujours au plus profond de l’intimité d’Aline, tellement compressé que j’étais à deux doigts de jouir tout mon foutre en elle. Puis reprenant de nouveau mes esprits, j’ai pris les commandes. — Vite, cache-toi sous le lit ! La petite a obéi, un petit « plop » s’était fait entendre quand mon sexe a quitté son fourreau vaginal. Puis avec agilité, la petite s’est glissée sous le lit. Heureusement qu’elle était menue, un bonnet de plus et elle ne passait pas… Une fraction de seconde plus tard, ma porte s’ouvrait.

— Bébé, bébé, disait la voix, voix qui se voulait sexy. Adeline était dans ma chambre, perchée sur ses talons et vêtue pour tout et pour tout d’un simple petit kimono noir, très court, dévoilant ses cuisses et presque son intimité. Elle était maquillée, et par expérience, s’était déjà attaché les cheveux, ce qui ne laissait que peu de doute sur ce qu’elle avait l’intention de me faire. Comme sa fille quelques minutes plus tôt, Adeline avait adopté une démarche lascive et caressait sensuellement le lit en se rapprochant, un grand sourire sur le visage. Rapidement, elle sauta sur le lit, et sans me laisser dire un mot me prit le visage entre les doigts et m’embrassa tendrement. Comme à l’accoutumée avec Adeline, ses lèvres et sa bouche avaient un goût agréable de framboise. Nous nous sommes regardés avec passion, mon cœur battait la chamade. À la fois excité par Adeline, mais aussi par la peur qu’elle découvre sa fille sous le lit.— Et Brandon ? — Ne t’inquiète pas, je l’ai envoyé faire des courses à l’autre bout de département et toi ta femme ne t’attend pas avant cet après-midi… on a tout notre temps mon ange. Franchement, j’ai besoin de sexe ! Ma garce de fille me met les nerfs à vif ! Je n’en peux plus de cette gamine, parfois je me dis que j’aurais mieux fait de l’avaler ! Bébé, sauve-moi, car j’ai besoin de relâcher la pression, de prendre ma cartouche…Soudain, son regard s’est porté sur mon sexe en érection, pointant fièrement vers le plafond, ruisselant et rendu brillant par l’effet de la cyprine d’Aline. — Bah alors, tu bandes déjà mon cochon ! Ne me dis pas que tu te masturbais dans notre chambre d’ami, tu es toujours un petit pervers. J’espère que tu pensais à moi en t’astiquant, bien que je ne vois aucune de mes petites culottes sous ton nez… laisse-moi t’aider bébé. Adeline m’a jeté un regard espiègle, avant de venir m’embrasser les pectoraux. Lentement, elle a fait glisser sa langue et ses doigts le long de mon corps. Elle a pris le temps de se faire désirer, m’embrassant même les cuisses, elle me rendait fou. Entre l’expérience de quadragénaire d’Adeline et la maladresse novice d’Aline, mon pénis subissait toutes les pires épreuves de l’excitation, et il me fallait toute ma concentration pour ne pas lâcher la sauce. Puis sans prévenir, alors que ma bite frétillait, Adeline à enfourné l’objet tant désiré entre ses lèvres, et avec amusement s’est amusée à lécher toute la mouille que sa propre fille avait laissé sur ma verge, la dégustant avec application, méthode et une gourmandise non feinte. — Hum bébé ! Il faudra que tu me donnes la marque de ton lubrifiant, il est vraiment agréable en bouche et a un bon goût de fruit.Puis elle a replongé sa bouche sur ma verge. La pauvre, si elle savait qu’elle venait de se régaler de l’intimité de sa propre fille… Bon ça m’apprenait une chose d’Adeline, elle n’avait jamais mangé le sexe d’une autre fille pour ne pas en reconnaître le goût si caractéristique, et qu’elle ne suçait jamais le pauvre Brandon après une pénétration. Désolé pour toi mon pote. Dans ces moments-là, il n’y a qu’une chose à faire : ne rien faire, suivre le mouvement et profiter de l’honneur et de ce don que vous fait la femme de vous sucer avec gourmandise. Malheureusement, je fus vite rattrapé par la réalité, quand mon regard se posa sur le soutien-gorge d’Aline, qui traînait nonchalamment dans le lit. Je devais faire quelque chose et vite. Mon instinct ne m’a donné qu’une solution, j’ai retourné Adeline par les hanches, je l’ai positionné en levrette et fermement lui ai enfoncé la tête dans l’oreiller. Je lui ai chuchoté : « ma belle, je vais te prendre tellement fort que tu vas réveiller tout le quartier, je te conseille de mordre l’oreiller ». Docilement, la mère de famille s’est exécutée, ce qui était bien avec elle c’était que son côté chienne ressortait facilement. Maintenant qu’elle était prévenue, je lui ai enfoncé mon chibre d’un cou sec, tellement fort que mes couilles sont allées taper avec force directement contre le fessier de ma maîtresse, lui arrachant un immense cri que même l’oreiller ne put amortir. En même temps c’était ce qu’elle m’avait demandé : lui mettre une cartouche. Je lui ai donc de nouveau tout fait : les fessées, le tirage de cheveux, les insultes, les griffures, plus j’étais hard avec elle, plus la mère de famille en redemandait, une vraie chienne en chaleur. Elle hurlait de plaisir, mes couilles tapaient avec vigueur sur son cul. Dans un moment d’agilité, j’ai tout de même réussi à faire tomber le soutien-gorge par terre, en espérant qu’Aline puisse le récupérer. — Plus fort, plus fort ! Baise-moi comme la traînée que je suis. Je suis ta chienne, ta pute, souille-moi, oui plus fort ! Plus fort ! Plus elle m’encourageait, plus je la déboîtais, et il fallait dire que j’avais une autre source de motivation et d’excitation. J’avais honte, mais de savoir qu’Aline entendait sa mère perdre toute dignité, être rabaissée à son état animal et en plus le clamer haut et fort entre deux gémissements m’excitait au plus haut point. N’en pouvant plus, j’ai attrapé la mère de famille par les cheveux, et j’ai poussé mon chibre au plus profond d’elle pour y répandre mon sperme, et dans un râle rauque je me suis vidé en elle. Complètement hors service, nous nous sommes effondrés l’un sur l’autre, à bout de souffle. Adeline en a profité pour venir croiser ses jambes fines et douces autour des miennes, puis pour venir se blottir amoureusement entre mes bras. Délicatement, je lui ai caressé les cheveux pendant qu’elle ronronnait de plaisir. Après quelques minutes de calme, elle m’a embrassé tendrement et a remis son petit kimono. — Brandon va bientôt rentrer… je ferais bien d’aller me rincer. Merci mon amour, pour m’avoir aussi bien baisé une fois de plus. Puis délicatement, Adeline a quitté notre lit, me laissant l’admirer une dernière fois. Avant de passer la porte, et telle une adolescente transie, Adeline est revenue sur ses pas et en a profité pour m’embrasser tendrement une dernière fois. Puis, elle est définitivement partie. Bon, il était temps de m’occuper de la fille cachée sous le lit, je n’imaginais même pas dans quel état j’allais la retrouver. J’en connaissais une qui allait avoir besoin de nombreuses séances chez le psychologue.
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