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Comment je suis devenu candauliste

Chapitre 2

Erotique
Le lendemain je m’éveillai comme souvent après le Départ de Claudine. Notre lit exhalait, après les étreintes de la veille, l’odeur spécifique de l’amour. Mais cette fois-ci, cette odeur semblait plus forte, différente, à un tel point que je me trouvai vite excité. Je me calmai cependant vite avec une bonne douche et entamai une journée de travail, de celles où l’on ne dispose d’aucun moment pour soi. Ce qui était le cas à ce moment de ma vie professionnelle où j’étais ce qu’on appelait alors sérieusement un "jeune cadre dynamique", sans la dérision que l’on met maintenant dans cette formule.
Je rentrai le soir, comme toujours, avant Claudine. Je savais que nous étions jeudi et que je ne devais pas m’attendre à ce qu’elle rentre tard, comme les trois derniers mercredis. Je m’avouais que j’en étais presque déçu...quand me revint à l’esprit ce que j’avais fait la veille de la culotte de Claudine. Je le l’avais cachée dans le tiroir d’un meuble et, assis sur le canapé, j’ouvris le sachet où je l’avais mise, les mains tremblantes. Un parfum très fort et très caractéristique parvint à mes narines, un peu suri d’avoir été conservé à l’abri de l’air. Avec délectation, je sortis la culotte. Une sage culotte en coton uni, rose. Je déployai l’entrecuisse et trouvai ce que savais pouvoir y trouver: du sperme en abondance qui, mêlé à la mouille de Claudine n’avait pas encore séché et, à l’arrière du sous-vêtement, du sperme mêlé à un rien d"excréments. J’étais fou d’une excitation telle que ne n’entendis pas la clé tourner dans la serrure et que Claudine me surprit ainsi dans une attitude qu’elle comprit tout de suite.
Sans un mot, elle vint près de moi sur le canapé. Après un regard sur la culotte et un regard vers moi, elle se saisit de son sous-vêtement et, les yeux plantés dans les miens, elle huma avec délectation ces sécrétions et finalement frotta sa culotte contre ses lèvres et, après un temps d’hésitation, elle approcha son visage du mien. Je sentis ainsi, près de mon visage et mêlée à l’haleine de Claudine, l’odeur ravivée de ce que je venais de sentir. C’est alors que j’approchai mes lèvres des siennes et que nous commençâmes à nous embrasser, nos lèvres gluantes du liquide visqueux et odorant, excités tous deux comme nous ne l’avions jamais été.
Claudine retira sa culotte, releva sa jupe et m’attendit, jambes écartées, couchée sur le canapé. Son sexe ouvert était déjà ruisselant de mouille. Libérant ma verge douloureusement comprimée par mon pantalon, je la vis surgir de mon slip, turgescente: elle était tout-à-coup énorme, bien plus grosse que je ne l’avais eue jusqu’à présent. Elle avait dû faire aussi cette impression sur Claudine qui la regardait avec une surprise non dissimulée.
Je pénétrai Claudine et je ressentis la sensation nouvelle pour moi de glisser dans son vagin plein de mouille avec une grosse bite. L’odeur sur nos lèvres ne nous quittait plus et nous nous livrâmes à une étreinte fougueuse mais très longue au cours de laquelle Claudine eut plusieurs orgasmes ruisselants. Hurlant de plaisir, haletante, bavant, la bouche ouverte elle ne cessait de se presser contre mon pubis à tel point qu’à un moment -ce qui ne nous était jamais arrivé jusqu’à présent- j’atteins le fond de son vagin. Ce qui provoqua chez Claudine le spasme d’un nouvel orgasme qui provoqua mon éjaculation. Celle-ci se fit en plusieurs épanchements au cours desquels je sentis mon corps se raidir complètement et mon coeur défaillir.
Nous restâmes ainsi sans bouger, comme pétrifiés par le plaisir, pendant longtemps. Jusqu’à ce que peu à peu ma verge retrouve le repos en même temps que le vagin de Claudine commençait à se refermer...
Nous nous réajustâmes ensuite, pour retrouver le cours de nos occupations quotidiennes mais je remarquai que ni l’un ni l’autre n’étions passés par la salle de bains.
Repassant dans le salon, je vis que la culotte qui avait provoqué notre étreinte avait été rangée par Claudine dans son sachet et qu’elle l’avait posée, bien en vue sur une étagère, derrière le canapé. Cette constatation me provoqua un coup au ventre qui ne fut pas loin de provoquer une nouvelle excitation. Mais, l’habitude étant une seconde nature, nous continuâmes la soirée selon son cours habituel.
Après le repas, nous regardâmes la télévision chacun dans un fauteuil et non à deux sur le canapé comme à notre habitude. De temps à autre, je rencontrais le regard de Claudine: les yeux battus, le maquillage qui n’avait pas été refait,les cheveux recoiffés à la hâte: elle me souriait seulement des yeux, le reste du visage restant impassible. J’avais déjà remarqué cette particularité rare chez Claudine mais là elle me semblait encore plus évidente. Peu de gens savent être éloquents avec seulement une certaine fixité dans le regard et un imperceptible clignement des paupières. C’était tout Claudine: habituellement peu exubérante et même plutôt réservée, elle savait néanmoins être passionnée et capable de déchaînement jusqu’au paroxysme. Tout en accordant un intérêt limité à ce qui se déroulait sur l’écran, nous restâmes ainsi pendant plusieurs heures sans parler, jusqu’à ce que Claudine se dirige vers la chambre.
Je la suivis et remarquai qu’elle avait abandonné ses vêtements en désordre sur une chaise et qu’elle n’était pas passée par la salle de bains, contrairement à son habitude. Seule une faible veilleuse, commandée par une télécommande, diffusait une lueur à peine suffisante pour se mouvoir dans la pièce. Je quittai mes vêtements pour me retrouver nu auprès de Claudine et me saisissant de la télécommande, j’éteignis complètement la lumière. Nous nous retrouvâmes ainsi dans l’obscurité complète ou seule la respiration de Claudine me manifestait sa présence. Et je m’approchai d’elle lentement, restant cependant à distance, j’entendis alors son souffle se faire plus court, plus fort...Je m’approchai encore, encore un peu jusqu’à sentir son odeur et l’odeur...Cette dernière provoqua immédiatement une érection plus forte: j’étais tendu à un point que j’en avais presque mal...Je m’approchai encore et me mis à humer puis à renifler le visage de Claudine dont le souffle était devenu plus court, encore plus court...Elle repoussa draps et couvertures et , sans la voir, je la savais ouverte, offerte...J’approchai encore son visage pour renifler particulièrement le contour de ses lèves et son souffle se faisait de plus en plus fort; elle émettait même quelques sons rauques...Je posai enfin ma main tremblante délicatement à plat contre son sexe.Il était débordant de mouille et, à mon contact, Claudine eut un spasme court et violent au cours duquel elle expulsa ce que je crus être de l’urine. Je continuai encore mes caresses sans être trop précis pour ménager son clitoris et sa vulve que je savais complètement congestionnés...N’en tenant plus, j’en vins cependant à son clitoris que je découvris énorme...Il faisait presque deux centimètres et il était en érection complète...Instinctivement, je compris que je devais une peu le ménager, si je voulais que nos ébats durent...
Je n’avais jusqu’à présent, pas remarqué la taille du clitoris de Claudine, soit parce que j’étais surtout préoccupé par la pénétration, soit parce qu’elle n’avait jusqu’à présent jamais atteint un tel degré d’excitation.
Je revins donc délicatement vers cet appendice qui devenait mon centre principal d’intérêt pour constater qu’il avait désormais atteint les deux centimètres. En dessous de lui, la vulve était entrouverte et il en coulait un flot de mouille. Je trempai mes doigts dans ce délicieux liquide pour revenir vers le clitoris. Claudine, à mon contact, émit un gémissement, prit ma main et dirigea le bout de mon index et et de mon majeur pour que, avec le concours du pouce, je puisse tenir son clitoris. Je commençai à le faire rouler lentement entre mes doigts et Claudine commença à se tordre sous la caresse mais elle revint vers mes doigts quelle dirigea de façon explicite pour me faire comprendre que je de vais en quelque sorte la branler, comme un petite bite.
Quand je me mis à la toucher avec habileté à cet endroit, son souffle devint rauque, animal, bestial à un tel point que lui seul aurait suffi pour provoquer mon excitation la plus extrême...Je continuai cette masturbation et Claudine maintenant hurlait de façon presque continue et dit entre ses dents: "Vas-y Claude, continue, continue, n’arrête pas, branle ta salope jusqu’à ce qu’elle explose". Cette phrase, murmurée à mon oreille, m’excita d’autant plus que Claude, ce n’était pas moi! Je continuai bien sûr, complètement tendu et exclusivement concentré sur son plaisir à elle. Au point où elle en était, je ne croyais pas possiblequ’elle soit encore plus excitée et pourtant, alors que je masturbais son clitoris de plus belle, elle guida ma main, lui imprimant un rythme plus rapide, de plus en plus rapide. Elle se rapprocha de mon oreille et murmura : "Vas-y Claude! Fais jouir ta salope, vas-y, je viens" elle continua par un hurlement dont l’intensité augmentait avec le rythme de la masturbation de son clitoris qui, dès lors devint frénétique...A un moment, dans un dernier hurlement,émis à pleine gorge, elle se raidit entièrement. Cambrée dans un orgasme extrême, elle arrosa mon visage d’un jet abondant, aussi court que puissant et son sexe expulsa dans un bouillonnement sonore les sécrétions abondantes de notre précédent coït.
Claudine n’était cependant pas encore repue. Elle m’invita à la pénétrer de mon sexe. Elle était tellement excitée que son vagin était encore tout ouvert et que je sentais son clitoris entre nos deux pubis. Elle mit ses mains sur mes fesses et avec une force surprenante pour sa frêle constitution, elle me poussa plus profondément en elle disant cette fois à haute voix "vas-y Claude, baise-moi à fond, baise ta salope". Elle m’amena ainsi au contact du fond de son vagin, ce qui provoqua notre orgasme simultané, d’un paroxysme partagé qui s’accompagna de hurlements tels qu’ils ne pouvaient pas avoir été ignorés du voisinage.
Nous restâmes ainsi longtemps côte à côte, dans le silence et l’obscurité, jusqu’à ce que Claudine se rapproche de moi et pose une main sur mon sexe ramolli. Approchant son visage du mien, elle murmura "j’ai encore envie que tu me baises, CLAUDE". N’ayant pas retiré sa main de mon sexe, elle n’a pu ignorer le soudain afflux de sang qui le rendait cette fois plus dur encore, si c’était possible. Elle se mit à me chevaucher et attirant du sperme et de la mouille de l’intérieur de sa chatte, elle amena ce mélange vers son anus. Ensuite, d’autorité, elle plaça ma bite entre ses fesses et s’empala par l’anus.
La sensation que j’éprouvai alors fut très intense. D’abord, je n’avais jamais sodomisé ni Claudine, ni personne d’autre d’ailleurs, ensuite je découvris que la sensation était tout autre que celle procurée par la pénétration vaginale, enfin -et cette constatation m’excitait au plus haut point- je m’expliquais encore mieux les traces d’excréments mêlés au sperme dans la culotte de Claudine...
Claudine, au-dessus de moi, tremblait d’excitation et elle me dit, d’une voix de gorge que je ne lui connaissais pas "Oh que c’est bon...vas-y à fond CLAUDE, casse-moi le cul". Elle se rendit vite compte, en me sentant comme elle trembler d’excitationque ce qui m’excitait le plus c’était de m’entendre appeler Claude alors que je m’appelle Marc...Elle en rajouta en hurlant"Défonce-moi, Claude défonce-moi!". Ce qui me fit jouir à fond, au plus profond de son cul en même temps que je ressentais les effets de l’orgasme puissant de Claudine qui se traduisait par des contractions spasmodiques de son anus, bien plus puissantes que celles de son vagin...
    FIN DE LA 2ème PARTIE
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