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Comment je suis devenue Anita

Chapitre 1

Travesti / Trans
Comment je suis devenu Anita. Chapitre 1
J’ai toujours aimé porter des vêtements de femme lorsque j’en avais l’occasion. J’ai volé de nombreuses petites culottes à des amies, à la famille. J’ai ensuite commencé à me rendre dans de grandes surfaces de vêtements pas chers pour acheter des sous-vêtements sexy, mais aussi des robes et des chaussures. Souvent dans plusieurs magasins, des achats rapides et en liquide. Les yeux baissés, le cœur battant.Le fait que les caissières ne soient pas dupes me rend honteux et excité...
C’est ensuite le retour à la maison et les essayages. Quels excellents moments !Se déshabiller, enfiler les bas, les accrocher aux jarretelles, passer un soutien-gorge, le garnir avec des ballons ou des préservatifs (les ballons sont plus solides) remplis d’eau tiède. Des petits seins ou des gros selon les envies !Enfiler les chaussures. En général des sandales à brides avec des talons de 6 à 8 centimètres. Depuis le temps je marche très bien avec. Même mieux que pas mal de filles !La robe ensuite, noire, courte, manche longue et dos nu c’est ce que je préfère.
Si ma femme est absente pour la soirée ou pour quelques jours, je pousse plus loin. Vernis à ongles, perruque. Maquillage, des faux cils, du fond de teint, contouring, Rimmel, la totale. Merci les tutos !
Lorsqu’elle a ouvert la porte ce mercredi, avion et voyage annulés, j’en étais là et même un peu plus loin puisqu’en grande tenue et à quatre pattes, je me faisais pénétrer le fondement par un godemiché noir, ultra-réaliste de 23 centimètres ventousé sur la porte du frigo !
Elle était debout devant moi, mais mon cerveau ne voulait pas croire à ce que je voyais, ça ne pouvait pas m’arriver.C’est comme si un de ces trous géants venait de s’ouvrir devant moi en engloutissant tout. Je ne faisais que bredouiller des débuts de phrases sans signification.
— Mais Anne, ma chérie tu... — Je vais t’expliquer, tu vas ...
Je n’étais plus capable d’aligner deux phrases. Il est très difficile d’argumenter dans cette position et dans cette tenue !
Elle même a été saisie instantanément, les yeux écarquillés et la bouche ouverte sur un oh !! de stupéfaction. Son premier réflexe a été de brandir son téléphone et de mitrailler la scène. C’est un réflexe qui m’a coûté ma vie d’avant !
« Mais Marc, qu’est-ce que tu fais enfin ! Qu’est-ce c’est que cette tenue ? »Puis elle a semblé réaliser et comprendre ce qu’elle voyait et a basculé sur la colère.
— Alors c’est ça tes activités quand je m’absente ? C’est pour ça que tu ne me fais plus jamais l’amour ? Tu es devenue une petite salope, une lopette ? Tu vas sucer des bites dans les pissotières ou tu préfères peut-être aller dans les bois, habillée comme ça en petite pute pour tailler des pipes ? — Ça va être vite vu, je vais envoyer mon petit reportage à tes parents, ta famille et tous tes copains ou alors nous divorçons et je garde tout, la maison, les voitures, l’argent à la banque, tout ! Tu fais un sac avec tes affaires, tes strings et tes guêpières et tu dégages !
Je suis totalement effondré. Ma vie disparaît sous mes pieds, je vis un cauchemar.
« Chérie tu ne peux pas me faire ça, je vais finir à la rue, je ferai tout ce que tu voudras, mais ne fais pas ça, s’il te plaît, je t’en supplie ! Je ferai vraiment tout ce que tu voudras. Je serai ton esclave...
Elle me regarde d’un air dégoûté.
—« Tu descends dans le garage, tu y dormiras cette nuit. Je ne veux pas te voir. Nous reparlerons de ça demain matin. Je t’accorde une nuit de réflexion avant de décider de ton sort ... Tu restes dans cette tenue. Tu peux emmener ton jouet pour te tenir compagnie ! »
Rien à faire, rien à dire, je décolle le gode et je pars me réfugier dans le garage en sanglotant. Je trouve refuge sur la banquette arrière du cabriolet de ma femme. Je l’entends s’installer, se servir un verre, allumer la TV comme si de rien n’était alors que ma vie entière vient d’être détruite et que je suis totalement à sa merci...Je passe évidemment une nuit atroce. J’ai froid, j’ai peur, que vais-je devenir ? C’est l’abîme qui s’est ouvert devant moi.
Elle m’appelle vers 9h.
— Viens ici !
Pas de gentillesse dans sa voix, juste un ordre lapidaire.Je m’avance, rentre timidement dans la pièce mes chaussures à la main.
— Tu ne ressembles à rien, monte dans la salle de bain, va t’essuyer, recoiffes-toi et remets tes chaussures on dirait une souillon !
Je m’exécute. Effectivement le miroir me renvoie le témoignage de cette nuit très difficile. La perruque en bataille, du Rimmel sur les joues et le nez qui coule. Je procède à une rapide remise en état, lisse ma robe, remets mes talons et je descends vers mon jugement.
« Ahh, tout de même. J’ai failli attendre !
Malgré son ton et ses paroles dures, elle a l’air d’excellente humeur.
—« Je n’ai pas beaucoup dormi, mais j’ai passé du temps sur le Net, dans ton historique internet et j’ai beaucoup réfléchi. Finalement je pense que le destin m’offre une opportunité et à toi aussi d’une certaine manière... Avant toute discussion, nous allons compléter mon petit reportage. »
Elle ajoute en riant:
— Va chercher ton jouet si réaliste.
Je baisse la tête et retourne dans le garage récupérer le gode sur la banquette.
— Parfait, pose le tout droit sur le plan de travail, je voudrais quelques images de fellation. Tu le suces bien, tu le lèches, tu l’avales, mais tu regardes bien l’objectif. — Mais... euhh... noon, je ne peux pas faire ça comme ça devant toi... — Et bien dans ce cas je vais commencer par Richard et Maryse, je leur envoie toute la série d’hier. Je pense qu’ils vont être surpris, mais Maryse va adorer vu comme tu te moques de son « gros cul, depuis 10 ans !! Allez, arrête de tergiverser, tu n’as aucune échappatoire. Suce cette bite et ferme-la ! »

Aucune échappatoire, elle a raison. Elle le sait, l’obéissance est ma seule option. Je commence à lécher la grosse tige du gode de haut en bas. C’est un modèle ultra-réaliste moulé sur un acteur porno. Les veines apparentes et bien dessinées.
— Regarde-moi !
Je l’embouche et l’enfonce dans ma gorge en fixant l’objectif. Je vais et je viens en salivant pendant qu’elle photographie à tout va.
— C’est bon, scène suivante.
Elle me repousse, attrape le gode et le ventouse sur la table dans un angle.
— Maintenant tu te le fourres dans le cul en remontant ta robe et toujours en regardant l’objectif.
Je ne discute plus, je me mets debout, l’angle de la table derrière moi, je penche le gros gland du gode vers mon anus et d’une poussée je l’introduis jusqu’à la moitié.Je me redresse, remonte ma robe sur le devant et commence des va-et-vient en regardant ma femme et l’appareil.
Quelle humiliation ultime, et pourtant, je crois que je n’ai jamais été aussi excité, ma petite queue est toute mouillée, impossible de le dissimuler. Je sens ce gros sexe dans mon cul comme je ne l’ai jamais senti auparavant !
— Ahaha, on dirait que ça te plaît petite pute, j’ai bien l’impression que tu vas jouir sur cette grosse bite noire. Ça va faire un film formidable !
Elle sourit, elle a l’air de bien s’amuser.Son rire cruel et ses phrases humiliantes m’électrisent. Je vais et je viens sur le gros membre sans retenue en m’enfonçant jusqu’à sentir les couilles de silicone sur mon anus, je ne peux plus rien contrôler et je jouis abondamment sur le bord de la table et sur le carrelage.
— Waoow !! Peut-être que je ne vais pas te jeter dans la rue finalement. Peut-être même que tu vas me rapporter de l’argent. Ces images vont être excellentes. On doit pouvoir rentabiliser une grosse salope comme toi... En attendant, nettoie-moi ce bordel !
Je me relève, le gode sort de mon anus dans un bruit de succion et je me dirige vers la cuisine en chancelant.
— Non, non, tu n’as pas compris, tu nettoies avec ta langue ! Reviens par ici ! À genoux ! Lèche !
Encore une fois j’obéis, je lèche les taches de sperme une par une sur le parquet puis sur la table. Elle a aussi photographié et filmé toute cette scène...
— Parfait, passe un coup d’éponge, lave le jouet et viens te mettre ici à genoux.
Elle me désigne le parquet devant son fauteuil.
Je m’exécute, et les tâches ménagères terminées, je m’agenouille devant le fauteuil.
— Attends-moi ici !
Elle se lève, va se servir un verre avec des glaçons et revient s’asseoir devant moi. Elle me traite comme si je n’étais rien, moins que son chien, je proteste :
— Tout de même, je suis ton mari, tu ne peux pas me traiter comme ça, j’ai droit à du respect...
Sa gifle du revers de la main est puissante, elle m’arrive en plein sur la bouche. Ma tête part en arrière et je sens le goût du sang sur ma langue.
« Mon mari !? Mon mari est mort. Toi tu n’es plus mon mari, tu es ce que tu es devenu, ce que tu as voulu devenir et ce que tu as créé toi même. J’ai désormais toutes ces images de toi, photos et films. En train de t’enculer à quatre pattes devant le frigo. Habillé en pute, mais parfaitement reconnaissable. En train de sucer ton gode comme une grosse salope puis de te l’enfiler jusqu’aux couilles, de jouir, de lécher et d’avaler ton propre sperme !!
J’ai consulté ton ordinateur pendant des heures hier soir, j’ai visité tes sites de lopette, j’ai vu ces images de travelos en dessous de prostituée. J’ai découvert ce qu’était une cage de chasteté. J’ai également découvert que tu t’y intéressais beaucoup apparemment comme à des tas de godes et de plugs. J’ai surfé sur tous tes sites de soumission et de dressage. J’ai découvert aussi que tu t’intéressais beaucoup à la fessée et aux soubrettes ! Ça m’a l’air inépuisable ! J’ai dû m’arrêter pour dormir, mais ne t’inquiète pas, je vais terminer mon apprentissage du sujet ! »
—« Évidemment toutes ces connaissances nouvelles m’ont ouvert des perspectives et je suis en mesure aujourd’hui de te proposer une alternative à ce que je t’ai dit hier. »— Soit tu prends ton sac de voyage et tu disparais de ma vie, tu raconteras ce que tu voudras à tes parents et nos amis sans bien entendu me faire endosser la moindre responsabilité. Soit tu restes ici et tu deviens, comme tu l’as d’ailleurs proposé toi même hier, mon esclave. Il ne s’agit pas d’un jeu pour quelques semaines ou d’un arrangement. Tu deviens mon esclave au sens littéral et définitif.— Tu as bien sûr une troisième solution, tu refuses mes deux premières propositions auquel cas je diffuse à tes amis, tous ! A ta famille et à ton travail les photos et les vidéos magnifiques que j’ai réalisées.— Tu restes à genoux ici, j’ai une course à faire. Tu me donneras ta réponse quand je rentrerai.
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