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Comment je suis devenue femme

Chapitre 2

Une soirée brûlante

Hétéro
A la suite de mon incroyable aventure sur l’aire d’autoroute, l’envie d’attirer les regards des hommes sur moi était devenue une obsession. Je m’étais sentie tellement femme ainsi possédée par cet inconnu que ma petite vie routinière me semblait triste à mourir.
Aussi, je m’appliquai à changer ma garde-robe pour afficher un look beaucoup plus sexy. Je dépensais des sommes folles dans des chaussures à talons, des robes courtes et de la lingerie à dentelle. Mais quand je voyais les hommes se retourner sur mon passage, je me sentais remplie de joie.
De fil en aiguille, la confiance en moi revenait et j’eus envie d’aller plus loin. Je voulais tenter ses regards aguicheurs, voir jusqu’où ils seraient prêts à m’emmener.
Un vendredi soir, après une semaine bien chargée, je me rendis dans un bar dansant qui avait plutôt bonne réputation. Mon idée était de récolter plus que des regards en coin et des sourires d’hommes. Je voulais susciter leur désir.Je m’habillais de façon très sexy: une robe noire moulante, courte et décolletée dans le dos, des bas résilles et des escarpins. Mon arrivée dans le bar fit son effet: plusieurs hommes se retournèrent. J’étais plutôt contente de moi. Assise au bar, l’un d’entre eux vient m’adresser la parole. Une discussion un peu vaseuse s’engagea entre nous, jusqu’au moment où il me proposa d’aller danser. Bien sûr, j’acceptai sans hésiter.Très vite, nos corps se rapprochèrent, il laissa glisser ses mains jusqu’à mes fesses, ce que j’accueillis avec un grand sourire. Peut-être que cet homme voudrait ensuite me baiser ? Cette idée me fit frémir de désir.
D’autres hommes virent m’entourer, je passais des bras de l’un à l’autre rapidement, leurs mains courraient sur mon corps et certains me volaient des baisers. J’étais en nage mais brûlante de désir. Je me sentais comme leur proie et cela m’excitait terriblement.
Mais contrairement à ce que je souhaitais au plus profond de moi, aucun ne prit l’initiative de soulever ma jupe. Ils se contentèrent de retourner un à un au bar et je ne tardai pas à me retrouver seule.
Quelle honte ! Tous ces hommes, et aucun n’a voulu de moi ! Je m’enfermai dans les toilettes car le regard des autres était à présent insoutenable. Assise sur la cuvette, j’essuyais la mouille qui avait humidifié ma culotte et coulée le long de mes cuisses. Puisque personne ne veut de moi, je décidai de me toucher assise là, sur cette cuvette. Ma chatte était brûlante et humide, deux doigts entrèrent très facilement. Je me fis jouir doucement.
Lorsque je sortis des toilettes, je croisai le barman propriétaire de l’établissement. "- C’était bon ? me lança-t-ilJe deviens toute rouge. M’avait-il entendu me masturber ?— Oui je t’ai entendu te faire jouir comme une cochonne. Mais faut pas avoir honte si ça te fait du bien."
Je ne savais plus où me mettre. Je regardais autour de moi, il ne restait plus que quelques personnes, la musique avait été baissée et la lumière rallumée.
"Allez, viens boire un verre, c’est moi qui offre" me dit-il, voyant certainement mon air perdu.
Il me servit un cocktail."Je t’ai vu danser tout à l’heure. Tu es très excitante tu sais."
Cette remarque bienveillante me fit plaisir : être excitante, c’est le plus beau compliment qu’on pouvait me faire !
« Merci dis-je, je suis contente de vous plaire. »« Oui tu me plais bien, et tu as l’air d’avoir sacrément envie de sexe pour aller te faire jouir toute seule. Je vais m’occuper de toi. »
Sur ces paroles, il passa de l’autre côté du comptoir et vient s’assoir à côté de moi. Je sentais la confiance en moi revenir. J’avais envie que cet homme me trouve à son goût. J’avais envie qu’il veuille me baiser. Aussi, je me redressais sur ma chaise, me cambrant un peu et écartant légèrement les jambes.Il comprit le message et glissa sa main entre mes cuisses. Sa main frotta ma chatte doucement. Je ne tardai pas à mouiller de nouveau. Il avait raison, j’étais bien affamée de sexe.
« C’est bien ça, me dit-il à l’oreille, tu mouilles bien. Tu es une sacrée salope. »« Oui, soufflai-je, c’est comme ça que je suis vraiment femme. »« Parfait. Enlève ta culotte et allonge-toi sur la table. »
Je ne sais même plus s’il y avait encore des clients ou des serveurs dans le bar. J’étais complètement dominée par cet homme. Je faisais tout ce qu’il disait, m’appliquant à le satisfaire. Mon instinct me disait que j’allais vivre un moment unique. Il vint vers moi, m’écarta les jambes d’une poigne ferme. Ma chatte était ouverte, humide, exposée. Il me glissa un doigt, puis deux. Il me limait la chatte avec une application qui ne laissait aucun doute sur son expérience. Je me laissais complètement aller. Des frissons brûlants me parcouraient le corps.
« Est-ce que je peux me toucher les seins ? » Je ne sais pas pourquoi je posais la question ! Peut-être que cet homme mûr m’impressionnait. Pour toute réponse, il déchira ma robe sur le devant.
Ce geste brutal, plutôt que de me faire peur, m’excita encore plus.Je pris donc mes seins à pleines mains pour triturer leurs pointes déjà dures.L’homme entra bientôt tous ses doigts dans ma chatte. Je mouillai abondamment, consciente de n’être qu’un jouet pour lui. Je me sentais possédée par lui. Il faisait de ma chatte son terrain de jeu. J’étais abrutie de sexe. Je couinais de plaisir. Il enfonçait et retirait sa main de ma chatte avec plus de vigueur maintenant. Il faut dire que j’étais complètement dilatée. Sa main me pénétrait jusqu’à la moitié de la paume. A chaque va-et-vient, il allait un peu plus profond. Moi, j’étais comme ivre de plaisir. Mes gémissements s’étaient transformés en petits cris. Comme c’était bon ! Je n’avais plus de volonté, sauf d’accueillir sa main au complet dans ma chatte brûlante. Après quelques minutes, je jouis bruyamment, comblée.
« C’est bon ça, hein ma salope ? »« Merci, lui répondis-je, trempée de ma mouille et leur cœur battant très fort dans ma poitrine.« Viens me montrer à quel point tu es reconnaissante pour ce que je t’ai fait » dit-il en sortant sa bite gonflée.
Je me jetai dessus et je suçai de mon mieux. Après le plaisir qu’il m’avait donné, c’était un minimum ! Il ne tarda pas à jouir dans ma bouche. J’avalai tout son sperme et lui nettoyai bien la bite. Mais je me sentais encore redevable à cet homme : il m’avait fait me sentir tellement femme en me défonçant la chatte comme ça, qu’une simple pipe ne pouvait pas « payer ma dette ». « Tu reviendras et on verra comment tu pourras de nouveau me remercier » me répondit-il en me caressant le visage. « Une chienne comme toi trouve toujours comment faire plaisir à son maître ».Après quoi, il me donna un tee-shirt promotionnel pour rentrer chez moi et garda ma robe déchirée. Une soirée qui avait mal démarré mais très bien fini. J’avais la chatte en feu, et c’était tout ce que j’avais souhaité avoir ce soir.
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