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Comment je suis devenue modèle de charme

Chapitre 2

2ème séance

Voyeur / Exhibition
Coucou, c’est moi, Louna !Vous vous souvenez de moi ? Pour rappel, j’avais rencontré un photographe pour lequel j’avais fini par poser totalement nue et dans des positions plus qu’osées. Je l’avais laissé doigter ma petite vulve et y avais pris un plaisir fou. Il n’avait pas voulu se déshabiller ni me pénétrer. Même si j’ai joui comme jamais, je suis restée sur ma faim. Pour provoquer une nouvelle rencontre, j’avais volontairement oublié un string humide sur son canapé. Et ça a marché, voici comment s’est déroulée cette seconde séance. Il doit venir me chercher dans une heure et je suis déjà prête, la boule au ventre. J’ai passé près d’une heure dans mon bain, j’ai parfaitement rasé ma petite vulve parce que j’ai décidé de ne rien lui cacher de mon anatomie, je me suis parfumée allègrement pour qu’il se rappelle de mon parfum à tout jamais et je me suis trouvé une jolie robe, un peu courte mais pas vulgaire. J’ai décidé de lui faire de l’effet (normalement ce sont les mecs qui draguent les filles, pas l’inverse lol). La robe en question en sagement décolletée : mes seins ne sont pas énormes mais avec le petit soutient gorge pigeonnant que je porte, ils paraissent beaux et surtout attirants. J’ai déjà changé deux fois de string parce que je les avais déjà un peu trop mouillé. Il m’excite mais je ne veux pas qu’il me prenne pour une assoiffée en manque de sexe non plus. Je termine ma tenue avec une paire de hauts talons et je pars l’attendre au coin de la rue.
Je ne suis pas habillée comme une pute mais je suis sexy et chic à la fois. Ca suffit pour que les conducteurs regardent vers moi avec envie ... j’ai peur de créer un accident ou des disputes de couple lol.Voilà mon photographe qui arrive, je suis toute folle intérieurement. Je monte en voiture, l’embrasse sur le coin de la bouche et on file chez lui. Il sort mon string de sa poche et me dit : "tu as oublié ça". Je lui dit que c’était fait exprès et qu’il peut le garder. Je lui demande même si il en veut un deuxième, ça lui plait, il me dit que oui. Ni une ni deux, j’enlève celui que je porte, à son plus grand étonnement. Il le porte à son nez et apprécie mon parfum intime et l’humidité de mon string. Il m’annonce que, vu le beau temps, il pensait faire des photos dehors. Il arrive encore à m’étonner et je regrette mon audace. Il s’arrête à l’orée d’un petit bois et me guide vers la clairière. Il marche derrière moi et admire mon silhouette juvénile. Je jubile. Je m’adosse à un arbre et il commence à me mitrailler. J’adore être le centre de son attention. A un moment donné, il dit que c’est dommage de voir la marque de mon soutient et qu’en plus ça fait bizarre d’en porter un alors que je ne porte pas du culotte.
Je comprend son intention et l’enlève, dos à lui, avant de remettre le haut de ma robe en position. Ma pudeur est toute relative parce mes petits seins pointent fièrement à travers le fin tissus de mon vêtement. C’est la première fois que je suis nue sous une robe et je trouve ça cool. On passe aux choses sérieuses, il me demande de soulever ma robe. Cette fois, plus de timidité ni de pudeur, j’attendais ça depuis ce matin. Je suis fière et heureuse de lui dévoiler ma petite vulve rasée rien que pour lui. Et, à voir la bosse dans son pantalon, il aime. Je veux l’étonner et je décide spontanément de retirer ma robe. Je suis maintenant nue, avec mes hauts talons, dehors, face à un presque inconnu. J’apprécie la chaleur du soleil sur ma peau et la sensation de fragilité devant lui en pleine nature. Il me mitraille dans tous les sens et me fait prendre des poses osées pour découvrir chaque centimètre carré de mon corps. Il me demande aussi de me masturber et je le fais avec plaisir, il ne rate rien du spectacle. A un moment, nous sursautons tous les deux en entendant un bruit qui s’approche. Le temps de chercher ma robe, un vieux monsieur qui promène son chien arrive. Je me cache comme je peux pendant qu’il discute avec mon photographe qui a gardé ma robe en main et semble m’avoir oubliée. Le monsieur lui dit qu’il a de la chance et que je suis très jolie. Il demande s’il peut profiter du spectacle discrètement. Le photographe, à mon grand étonnement, accepte. Je n’ai pas envie mais je n’ai pas non plus envie de le décevoir, je le veux ce photographe .. au plus profond de moi. Je finis par me détendre et me retrouve nue devant ces deux hommes. Le photographe continue de prendre des photos de moi et me demande de me masturber face à eux. Même si je suis un peu gênée par la présence du vieux monsieur, je me laisse aller et cela me fait un bien fou, j’oublie sa présence et me détend.En m’entendant gémir, mon photographe, me demande si je suis partante pour des photos plus osées. Je lui répond oui sans hésiter, certaine que j’aurai enfin droit à son pénis. Mais, en entendant ma réponse, il propose au vieux monsieur de venir me rejoindre sur les photos. Je n’en crois pas mes yeux. Pas le temps de réfléchir ou de me rebeller, le vieux n’a pas hésité longtemps et promène déjà ses mains sur tout mon corps. J’ai beau ne pas le trouver attirant, mais, dans l’état où je suis, cela a la don de me soulager. Il me donne du plaisir en s’attardant sur mes seins puis sur mon clito. Je joui une première fois et mon photographe n’en perd pas une miette.
C’est ce moment que choisit le petit vieux pour sortir son pénis et le présenter à ma bouche. Il s’assied à même le sol et moi, à 4 pattes, je le suce. J’oublie sa laideur pour me concentrer sur son pénis d’une taille respectable. Je m’abandonne jusqu’au moment où je sens une langue s’occuper avec allégresse de ma vulve qui n’attendait que ça. Un peu surprise mais agréablement, je profite de ce superbe cuni et continue ma fellation. C’est curieux, j’entends encore les clics de l’appareil photo. Je lève la tête et aperçois mon photographe qui continue son travail. Je me retourne et découvre que c’est le chien qui me lèche. Un moment de panique et de dégoût me prend mais personne ne s’en inquiète et, après tout, cela fait du bien. Je décide de me laisser faire. Je sens la queue du vieux monsieur frissonner, je n’a pas envie d’avaler et le lui indique. Il me fait mettre à genoux, se relève et déverse une quantité impressionnante de foutre sur mon visage. Il s’éclipse aussi vite et mon photographe termine ses photos avant de m’aider à me nettoyer sommairement et à me rhabiller. Je suis repue et épuisée. Bon, ce n’est pas encore cette fois que mon photographe me baisera ...la suite bientôt (j’espère).
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