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Comment je suis devenue Monica

Chapitre 3

Travesti / Trans
Elle le fit heureusement assez tôt, vers 7 h 30 environ. Lorsqu’elle ouvrit la porte de ma chambre, vêtue d’un peignoir translucide, je vis pour la première fois ses seins nus et sentis l’odeur de son parfum. Mon pénis ne tarda pas à réagir. Elle regarda l’organe et lança, d’un ton réprobateur: « Eh, p’tite pute, c’est pas encore l’heure des plaisirs. Faut travailler, ma gueuse. Y a un lavage à faire, et mon déjeuner. J’ai vu ce que tu valais comme suceuse; maintenant, faut que tu me montres ce que tu vaux comme esclave. Et puis tu sais que t’es pas très féminine, quand t’es bandée dans ton slip. » Elle attendit, quatre ou cinq secondes à peine, mais comme mon organe continuait à prendre du volume, devant le spectacle de son corps nu sous mes yeux, elle sortit rapidement de je ne sais où une cravache de cuir, et fouetta l’organe avec violence. — « Aaarrgh!... » — « Tais-toi, fatigante. À l’avenir, quand je te dirai de ne pas bander, faudra m’obéir. » Je baissai les yeux, résigné. Elle en profita pour m’asséner un nouveau coup de cravache, sur les cuisses, cette fois. Je refrénai avec peine un nouveau cri. — « Qu’est-ce qu’on dit, quand sa maîtresse nous apprend le bon comportement des filles en société ? »— « Merci, madame. »— « Voilà ! Tu vois que c’est pas compliqué ! »

J’eus droit à trois longues heures de ménage. Toujours juché sur mes talons trop hauts, les pieds à l’étau dans ce cuir trop étroit, je sentais une douleur atroce à chaque pulsation de mon sang, comme si les veines voulaient éclater entre mes chairs et ossements compressés. Monica vaquait à ses occupations diverses, mais venait avec régularité s’assurer que je ne trichais pas. « Tu n’auras aucun repos avant de m’avoir fait jouir, et moi seule déciderai quand. Alors, t’es aussi bien de t’y faire ma pauvre petite. » Puis, elle ajouta, avec un ton faussement compatissant : « Tu sais, je te regarde, Claudia, et j’ai pitié. il y a des millions de femmes comme toi, dans le monde, qui sont réduites à l’esclavage. Mais elles, elles ne l’ont pas choisi. Elles sont née femmes. Toi, c’est par choix que tu vivras ce qu’elles doivent encore subir. Appelons ça un supplice... expiatoire. »Vers la fin de l’avant-midi, Monica vint me chercher dans le boudoir où j’achevais de passer l’aspirateur. Elle portait un « jump suit » de soie noire aux jambes et aux manches très amples, avec un décolleté profond qui laissait entrevoir une camisole de dentelle rouge couvrant à peine la moitié de ses seins. Elle venait de refaire son maquillage, plutôt discret, mais soulignant le double caractère de son visage, mélange de séduction et de férocité. Je ne lui adressai qu’un très bref regard. La douleur à mes pieds était devenue insupportable. Elle vit que j’avais les larmes aux yeux. — « Qu’est-ce qui ne va pas, petite ? T’as les bleus ? Tu t’ennuies de ta mère ? »— « Non, madame... Ce sont mes pieds ! Ils sont en feu. »— « Oh. Tu t’y habitueras, ma fille. Des millions de femmes, dans le monde, ont souffert comme ça, pour faire plaisir aux hommes. Alors, tu peux bien endurer quelques heures de plus. Et puis, tu verras. Après quelques jours, tes os vont se tasser. Tu te sentiras de plus en plus à l’aise dans ces souliers. Il faudra même diminuer encore un peu la pointure, sans doute. »Elle parlait de quelques jours, avec de la malice dans son regard. Jusque là, j’avais cru à un jeu, cruel et envoûtant à la fois. Ma situation prenait soudainement une autre allure. Mais combien de temps comptait-elle me tenir ainsi en captivité ? J’osai le lui demander.— « Qu’as-tu à faire de si important, petite pute ? Tu veux aller promener ta queue indécente dans les bars de travelos, et faire rire de toi parce que, entre nous, personne ne t’a jamais entraînée à devenir femme ? Tu veux continuer à fantasmer sur des danseuses sans raffinement et succomber en fin de compte aux charmes du premier petit maquereau venu qui te transformera en putain et te fera faire le trottoir rue Saint-Laurent. Allons ! Sois sérieuse ! Tu veux finir droguée, vieillie prématurément ou même sidéenne ? »« Moi, je t’offre au contraire la chance inouïe de vivre à plein temps comme l’esclave exclusive de Madame Monica. Tu auras les plus belles robes, les maquillages les plus sophistiqués, autant de bijoux que tu en désires. Je t’enseignerai tous les charmes de la féminité. Tu apprendras à être soumise, mais aussi à séduire. Tu seras au nombre des femmes les plus recherchées en ville. Tu seras dressée pour donner le plaisir comme pas une autre ne sait le faire et pour accepter la souffrance avec tant d’exaltation que tu ne pourras plus t’en passer. Tu verras ! Tu n’auras plus à te préoccuper de l’avenir. Avec une seule chose à faire, une seule condition : être docile. Obéir aux moindres caprices de ta maîtresse. Me faire jouir, et faire jouir les hommes et les femmes qui fréquentent ma demeure. Ça ne te plait pas, ce destin remarquable ? »— « M...Mais... J’ai mon travail... Je… »— « Tu la fermes, petite effrontée, reprit-elle avec rage. Je t’offres le paradis et tu lèves le nez. Tu m’insultes, conasse ! Alors tu sais ce que tu vas recevoir, comme punition ? Le fouet ! Le fouet jusqu’à ce que tu me supplies de cesser, jusqu’à ce que tu me promettes de rester. Je vais te faire regretter ton insolence et pour te faire pardonner, tu imploreras ta maîtresse, pour qu’elle te laisse lécher son beau petit cul jusqu’à ce que ta langue saigne. »Elle me tourna le dos, et prit la direction de sa chambre, en me lançant un « suis-moi » si sec qu’il ne tolérait aucune résistance. Je n’avais guère la force de lui résister, de toute façon. Comme si mon costume de bonne et ces souliers qui meurtrissaient ma chair constituaient désormais plus qu’un déguisement, mais une véritable seconde personnalité, enrobant et emprisonnant tout ce que j’étais par ailleurs. J’étais devenue totalement soumise. En entrant dans la chambre, je fus abasourdie par le luxe. Lit à baldaquins, douillette couverte de dentelles, draperies somptueuses, miroirs. « Ça t’impressionne, n’est-ce pas, petite sotte ? T’aimerais bien dormir ici avec ta maîtresse Monica, non ? Allez ! Déshabilles-toi ! »Pendant qu’elle m’aidait à enlever ma robe, je parvins avec peine à enlever les chaussures étau qui me torturaient depuis la veille. Quel soulagement, mais quelle atroce douleur, en même temps, que ce brusque relâchement des ossements, en liberté retrouvée ! Elle me fit enlever mes bas, mon porte-jarretelles et le soutien gorges rembourré qu’elle m’avait prêté la veille. Quand je fus nu comme un ver, elle me fit accroupir sur le dossier d’une chaise, attacha mes deux poignets à ses pattes avant et mes deux chevilles à l’arrière. Et dans mon orifice anal, brandi, prêt à recevoir le fouet, elle enfonça lentement mais sans véritables précautions, un formidable godemiché delatex. Mon cul était vierge, et la douleur me fit presque hurler. Elle m’ordonna de me taire et, par assurance sans doute, plaça sa main devant ma bouche. Je sentis mon anus résister à la brutaleintromission de ce sexe de latex rigide. Alors le godemiché se laissa refouler, puis, comme une vague, reprit l’assaut avec une pression accrue. La douleur fut terrible. Ce fut comme un déchirement atroce au niveau de mon sphincter anal, mais je parvins à garder silence. Les larmes qui mouillèrent alors mes yeux furent le seul témoignage de la douleur du viol. Une fois l’orifice ouvert, par contre, la brûlure fit place à une étrange sensation de plénitude, à mesure que le gland de latex caressait mes parois de plus en plus profondes. Je me sentis ridicule de m’être laissée attacher dans cette position vulnérable, et de subir ainsi ce viol de mon orifice culier. Mais il était trop tard. Et je n’avais désormais d’autre choix que d’attendre le fouet. Pourquoi m’être ainsi laissée faire ? Il me vint pour la première fois à l’idée que j’étais probablement plus forte que cette femme cruelle, au corps délicat, somme toute. Alors, pourquoi cette détresse et cette soumission ? Combien de fois aurais-je pu m’échapper depuis le matin ?J’entendis le fouet claquer faiblement dans l’air de la pièce. Pourquoi étais-je devenue si soumise ? « forte », « soumise »… Voilà que je parlais spontanément de moi au féminin. Je sentis que j’étais en train de vivre une transformation beaucoup plus brutale que je ne l’avais d’abord cru. Non, je n’avais pas voulu fuir ma tortionnaire. Non, le fouet ne me faisait pas peur; je le désiraismême, je crois. Oui, je rêvais du moment où Monica m’accorderait son pardon et me prendrait dans ses bras pour me consoler. — « Combien de coups tu mérites, Claudia chérie ? » demanda-t-elle, presque avec douceur. — « Vingt, madame. J’ai été une mauvaise fille. »— « J’aime ton attitude, maintenant. J’aurais envie de te laisser filer pour cette fois, mais je pense qu’il est bon que tu goûtes à mon fouet, pour la prochaine fois où tu auras des sautes d’humeur. Ou aussi parce que, des fois, il m’arrivera d’avoir envie de te frapper sans raison. Alors, tu dois apprendre à recevoir les coups avec le sourire et me remercier ensuite. Mais 20, c’est trop, ma chérie. Pour la première fois, tu ne le supporterais pas. Disons une dizaine ? »J’entendis la lanière siffler dans l’air de la pièce et sentis mes deux fesses se déchirer d’un coup sec. Je n’eus pas le temps de retenir mon cri qu’un second sifflement vint marquer une seconde déchirure. La brûlure se répandit sur tous le bas de mon dos, puis jusque dans mon cerveau ou tout se mit à déraper. « Nnnooonnn ! Aaahh ! Meeerde ! Noonn ! »Une troisième déchirure, puis une autre. Je sentis alors mon pénis se dresser, ridicule, entre les barreaux de la chaise, et je ne pus retenir une formidable poussée de sperme. Éjaculation précoce, violente et désespérée, dans un tel mélange de douleur, d’angoisse et de jouissance. J’encaissai encore deux coups du fouet. Je crois que j’ai dû perdre vaguement connaissance, bien que je m’entendis crier encore, d’une voix étrangement aiguë, comme si je la voulais féminine : « Monica. Arrêtez ! Maîtresse ! Je vous aime ! Pitié... Je ferai ce que vous voulez. Je suis votre esclave. Arrêtez... Non ! Non ! Continuez, plutôt. J’en veux d’autres. Ouii! Frappez. Je suis votre esclave. »Le supplice prit fin. Monica détacha mes jambes et mes poignets. « Mais tu as éjaculé, petite stupide ! Qui t’en avais donné la permission ? Et t’as sali ma chaise, mon tapis ! C’est pas très féminin, ça. Si t’apprends pas à te retenir, va falloir un jour te couper la queue. Ça serait dommage non ? Car c’est beau un pénis dans une culotte de dentelle transparente. Allez. Lèches-moi tout ce sperme. Je veux pas un cerne sur ma chaise, et plus rien sur le tapis. Et attention ! si je vois la moindre trace de rouge sur le tapis, on recommence avec le fouet ! »— « Bien madame ! » répondis-je, en commençant à lécher mon propre sperme sur le siège. Pendant une fraction de seconde, l’odeur me parut repoussante; mais comme pour l’urine de Monica que j’avais dû boire la veille, je savais qu’il me fallait exécuter ses ordres. Et je trouvais dans cette situation de soumission totale une certaine extase. J’eus soudain envie de ce sperme, comme d’unerécompense délicieuse. Je m’imaginai en train de sucer quelque pénis engorgé, en me demandant si Monica allait un jour m’initier au plaisir de la fellation.— « Tu aimes ça ? » — « Hmmm. » — « T’es aussi bien d’aimer ça car dans les prochaines semaines, tu vas avoir un entraînement intensif : une vraie esclave doit savoir sucer autant un sexe d’homme que de femme. Et toi encore plus que toute autre. Puisque tu possèdes encore ton sexe d’homme, tu devrais savoir mieux que toute femme comment plaire à ces messieurs, non ? Alors, j’ai l’intention d’inviter bien des hommes qui paieront cher pour t’initier à la nouvelle vie de prostituée de luxe ! »Je me remis à pleurer. Ma maîtresse venait de briser mes dernières résistances. Le projet qu’elle entretenait à mon sujet ne m’attirait en rien. J’étais catastrophée. Comme ces putains qu’on voit dans les films, incapables de résister au chantage de leur souteneur. Je savais qu’elle allait me demander de faire des choses immondes et que j’allais obéir. Je savais que je les ferais, la plupart du temps, sans goût, sans passion, avec rien d’autre que l’écœurement, la honte de moi. Et que je n’allais pourtant rien pouvoir refuser à cette femme araignée qui m’avait enveloppée dans sa toile. Je pleurais. Je me sentais victime honteuse, vulnérable, soumise... et nue.Elle dut comprendre mon regard de panique : elle ouvrit une large garde-robe, et me tendit quelques fringues aux couleurs remarquables. Je fus si envoûtée par la robe qu’elle fit choirsur le lit, que j’en oubliai un peu ma détresse.« Allez, Claudia. Cesse de pleurer. Tu vas voir. Tout va très bien se passer. Ce soir, je te sors. On va te faire belle. Tous les hommes vont te désirer, et les femmes vont être jalouses de toi. On va au restaurant. Mais il faut d’abord que je te prépare. On va enlever tous tes poils. On va huiler ta peau. Tu vas être parfumée, maquillée et vêtue comme une princesse. Tu le mérites bien ! »— « Oh merci, Madame ! » répondis-ce avec cette même voix féminine qui m’avait tant surprise sous le fouet, mais qui me paraissait dorénavant comme la preuve qu’au plus profond de moi, tout mon corps s’était soumis; jusqu’à mes cordes vocales qui rendaient désormais tribut à ce que ma maîtresse Monica avait fait de moi : une femme docile, prête aux plus grandes souffrances et aux plus abjectes humiliations, et ne rêvant en échange que de sortir au plein jour, au bras de l’être qui me dominerait, pourvu que je sois bien vêtue et désirable sous le regard des autres.
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