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Comment je suis devenue la putain de mon amie.

Chapitre 2

Trash
Chapitre II :

Le lendemain, je m’éveillai de bonne heure. J’avais la main entre les cuisses et la chatte trempée. Pourtant, je ne pensais pas m’être caressée pendant la nuit et je ne me rappelais pas avoir joui. Je me levai, enfilai des sous-vêtements, une jupe ample, un corsage à bouton et attendit avec impatience l’heure de mon rendez-vous. J’étais tellement impatiente que je partis une heure à l’avance. Sur le palier, une fois de plus, je vis mon voisin. S’il ne descendit pas avec moi, je vis, à son regard, qu’il devait avoir vu quelque chose hier. Je rougis en m’engouffrant dans l’ascenseur.J’attendis dix heures, en buvant plusieurs cafés, regardant l’heure toutes les cinq minutes. Lorsque je la vis arriver, mon cœur manqua un battement. Elle était toujours aussi belle, même si ses yeux étaient cachés par des lunettes noires, à effet miroir. Aujourd’hui, elle était vêtue d’un jean, moulant ses hanches et ses cuisses fines, d’un tee-shirt à fines bretelles, toujours sans soutien-gorge. Ses cheveux étaient réunis en queue de cheval, et étincelaient sous le soleil. Je me levai pour l’accueillir et elle m’embrassa sur les lèvres, baiser que je ne lui refusai pas, malgré la présence de nombreuses personnes. Elle commanda un café et me regarda :
 Alors, tu es décidée ? Fit-elle suavement. Oui mademoiselle ! Tu vas sans doute le regretter ! Je ne le pense pas, mademoiselle. Tant pis pour toi, je t’aurai prévenue. Bon, nous allons faire un essai ? je te propose huit jours de soumission. Le temps de l’absence de ton mari. Si tu veux continuer, on signera un contrat. D’accord ? D’accord mademoiselle !
Elle dégusta son café et me demanda des nouvelles. Qu’avais-je fais après son départ ? Je lui racontai tout, le fauteuil, le refus de la douche, afin de garder son goût et son odeur le plus longtemps possible.
 J’espère que tu en as pris une avant de venir, cochonne ! Non, mademoiselle. Il faut aussi que je vous dise : Je crois que le voisin m’a vu nue, hier. Tu crois ? Oui. Je l’ai croisé ce matin, sur le palier. Son regard avait changé. Je suis sûre qu’il m’a vue. Eh bien, si nous allions nous en assurer ? Pardon mademoiselle ? J’ai dit, allons nous en assurer. Bien mademoiselle, fis-je d’une voix tremblante.
Nous retournâmes chez moi et sur le palier, Claudine alla sonner chez mon voisin. Je priai pour que celui-ci fût absent. Au moment même où nous allions faire demi-tour, la porte s’ouvrit et mon voisin apparut.
 Oui, c’est pourquoi ? dit-il.
A ce moment, il me vit, cachée par mon amie, et un sourire éclaira son visage.
 Ah, madame Leray, je ne vous avais pas reconnue. Que puis-je pour vous ? Nous aimerions vous parler, si vous avez un instant, répondit ma maîtresse. Bien sûr, entrez, je vous en prie.
Il nous fit entrer, nous conduisit au salon et nous fit signe de nous assoir. Claudine s’assit dans un fauteuil, et, avant que je ne pus faire un geste, me désigna le sol à côté d’elle. Je m’agenouillai à ses pieds, lorsqu’elle me lança :
 Jambes écartées, mains derrière la nuque.
Ecarlate, j’obéis, faisant face à mon voisin. S’il parut surpris, il n’en montra rien. Il reprit :
 Que puis-je pour vous, mesdames ? Mon esclave me dit que vous l’avez vue nue, hier, lorsque nous sommes rentrées. C’est exact. Je n’imaginais pas que cela puisse exister ici. Cela vous choque ? Pas du tout, chacun fait ce qui lui plait. Est-ce qu’elle vous plait, monsieur ? C’est une jolie femme. Vous la baiseriez ? Je crois que vous ne devriez pas vous moquer des gens comme cela, mademoiselle. Je ne me moque pas. Elle m’obéit en tout, et si elle vous plait, elle est à vous, n’est-ce-pas, salope ? Oui mademoiselle. Si vous le désirez, je veux qu’il … qu’il me baise.  Alors ? D’accord ! Occupe-toi de monsieur. Permettez-vous que je filme ? N’ayez aucune crainte, votre visage n’apparaîtra pas. Juste celui de cette salope. Si vous voulez. Pourrai-je en voir une copie ? Bien sûr. Allez, salope, au boulot.
A quatre pattes, je m’approchai de lui, débouclai la ceinture, déboutonnai le pantalon et le lui retirai. La bosse de son slip ne laissait aucune imagination à son état d’excitation. Je sortis la queue de son slip et la regardai. Elle était plus épaisse que celle de mon mari, mais plus courte, plus violette aussi. Je le branlai doucement, puis j’embouchai le membre tendu. Frank m’avait toujours dit que j’étais une bonne suceuse. Mon voisin semblait apprécier le traitement. Je n’hésitai pas à sucer, en avalant entièrement la hampe, lui lécher les couilles, lui aspirer le gland. Au bout d’un moment, il manifesta l’envie de me baiser. Il me fit retirer ma culotte, me mit en levrette et s’enfonça d’un coup dans ma chatte. Pas besoin de lubrifiant, la pipe que je lui avais taillée m’avait bien excitée. Il commença à me besogner en me tenant par les hanches, et à m’injurier :
 Ah, salope, elle est bonne, ta chatte. Tu la sens, ma grosse bite, hein, espèce de truie. Tu es une vraie pute. Tu aimes te faire baiser, hein, salope.
Sous ses insultes et ses coups de boutoir, je commençai à perdre les pédales. Je me mis à haleter et à lui répondre.
 Ah, mon salaud, tu me la mets bien. Oh oui, baise-moi. Baise ta pute, tringle ta salope.
Je ne me reconnaissais plus. Moi, d’habitude si timide, je me lâchais. Quelque chose en moi, une digue de bons sentiments, s’était rompue. J’étais devenue une salope, une chienne qui voulait se faire baiser, encore et encore. Ce que ne se privait pas de faire mon voisin.La saillie, violente, animale dura près de dix minutes, sous les yeux amusés de ma maîtresse. Puis je sentis que l’homme allait jouir. Ses mains se crispaient sur mes hanches et ses coups de reins devenaient désordonnés. J’avais envie de le sentir jouir dans ma chatte.
 Je peux jouir dans sa chatte ? Demanda le voisin, en s’adressant à ma maîtresse. Bien sûr. Tant pis pour cette conne si elle ne prend pas la pilule et qu’elle se fait foutre en cloque, répondit Claudine.
Cette phrase, si vulgaire, déclencha mon orgasme, aussitôt suivi de celui qui me bourrait la chatte. Je le sentis se crisper, donner un dernier coup de rein comme s’il voulait me défoncer l’utérus, et je sentis trois ou quatre jets de sperme s’écraser contre mes parois vaginales. C’était la première fois que je ressentais cela. Jamais, avec Frank, je n’avais autant ressenti de plaisir et de sensations. Il se retira et me présenta sa bite, couverte de son sperme et de ma cyprine. Je me jetai dessus pour la nettoyer. Là encore, j’avais toujours refusé cette pratique à Frank. Je sentais le sperme couler de ma vulve et s’étaler sur mes cuisses. Une fois la bite nettoyée, je revins m’agenouiller près de ma maîtresse.
 Ça t’a plu, salope ? me demanda-t-elle, souriante. Oui, mademoiselle. Je suis votre salope. Vous pouvez tout exiger de moi.
L’homme, qui s’était rhabillé sans un mot, me regardait bouche bée. Il devait regretter de n’avoir pas tenté sa chance plus tôt. Claudine se leva, me fit signe d’en faire autant et, avant de partir, dit à mon voisin :
 Aujourd’hui, c’était gratuit. La prochaine fois, si vous voulez la baiser, ce sera payant. Et seulement après mon accord. Bien sûr, mademoiselle. Mais comment je pourrai vous contacter ? Je vous laisserai un mot dans votre boîte aux lettres, le moment venu. Merci mademoiselle. Je vous raccompagne.
Il referma la porte derrière nous et je sentis son regard par l’œilleton jusqu’à ce que nous soyons rentrées. Je serrai les cuisses, pour essayer d’empêcher le sperme de couler, mais en vain. Des coulées atteignaient déjà mes genoux et elles se voyaient nettement.
 Tu prends la pilule ? Oui mademoiselle. Tant mieux, cela t’empêchera de tomber enceinte. Va te laver. Tu pues le sperme. Bien mademoiselle.
Je me déshabillai dans la salle de bains et fit couler l’eau. J’entrai sous la douche et me lavai. En me nettoyant, je me rendis compte de mon évolution. Je venais de me faire baiser par un inconnu et je n’en éprouvais aucun remords. J’avais pris mon pied, sous l’œil de ma maîtresse et j’en étais fière. Mon mari était bien loin de moi, en ce moment. Je sortis de la douche, m’essuyai et, nue, je retournai dans le salon, m’agenouiller aux pieds de Claudine, écartant les cuisses, mains derrière la nuque, comme elle me l’avait appris. Elle fixa ma toison et me dit :
 Ce n’est pas possible, cette touffe. Je veux que tu sois imberbe de la moule. Je veux voir ta chatte en permanence, et non pas cette ridicule touffe de poils. Va m’enlever cela. Tu as de quoi ? Oui mademoiselle. Mon mari a un nécessaire de rasage.  Alors dépêche-toi d’enlever tout cela … non, finalement, attend. Je vais téléphoner à mon esthéticienne. Je pense qu’elle pourra faire cela.
Elle décrocha le téléphone, composa un numéro et commença à parler, en mettant le haut-parleur.
 Bonjour Estelle, c’est Claudine. Bonjour Madame, comment allez-vous ? Très bien, et vous ? De même. Vous avez besoin de mes services ? Oui, enfin, pas pour moi. Pour mon esclave. Vous avez une esclave ? Oui, une femelle docile. Elle est gouine ? Elle accepte tout, les femmes, les hommes… Ok, amenez-la-moi. C’est tranquille en ce moment. D’accord, on arrive.
Claudine raccrocha et me dit :
 Va t’habiller. Met une robe courte. Pas de sous-vêtements. Bien mademoiselle.
Je revins très vite, dans la tenue demandée et nous partîmes chez l’esthéticienne. C’était une femme d’une quarantaine d’années. Elle nous conduisit dans une pièce aux lumières douces et tamisées. Elle me fit déshabiller et m’installa sur une table recouverte d’un drap. Elle m’inspecta sous toutes les coutures et livra son diagnostic à ma maîtresse.
 Elle n’est pas trop poilue, pour une brune. Ça devrait aller vite. Laissez-la-moi là une heure. D’accord, à tout à l’heure.
Elle embrassa Estelle sur la bouche et s’en alla. Je ressentis une pointe de jalousie, dont s’aperçut l’esthéticienne. En s’emparant des ciseaux pour tailler ma toison, elle me dit :
 Cela ne sert à rien d’être jalouse, tu sais, elle t’a choisie, toi et pas une autre. Excusez-moi, madame, répondis-je ne rougissant, c’est encore très récent. Je commence mon dressage. Tu sais que tu vas en baver, avec Claudine ? Oui madame.
Elle se tut et se concentra sur son travail. Bientôt, ma toison ressembla à un champ de blé après la moisson. Estelle reposa les ciseaux et saisit le pot de cire qu’elle avait mis à fondre. Elle commença à étaler de larges bandes avec une spatule. Lorsqu’elle en eut placé trois, elle posa le pot et, me fixant dans les yeux, me dit :
 Ça va tirer, tu es prête ? Oui madame !
Je ne pus retenir un petit cri lorsqu’elle arracha la première bande. Sans me laisser le temps de souffler, elle arracha la suivante, et, dans la foulée, la troisième. La peau me cuisait mais la douleur était supportable. Je regardai mon pubis. La moitié gauche était totalement lisse, rougie par la cire. Elle s’empara de nouveau de la cire et attaqua l’autre côté. De nouveau trois bandes, trois arrachages et je retrouvai mon ventre aussi lisse qu’à ma naissance.
 Il faut encore épiler les lèvres et la raie des fesses. Ne bouge pas, cela va tirer plus encore.
Lorsqu’elle arracha la bande de cire qui couvrait le côté gauche de ma chatte, je ne pus retenir un cri de douleur. Cela faisait vraiment mal. Un deuxième cri m’échappa pour l’autre côté. Elle me fit ensuite me mettre à plat ventre, écarter les cuisses et épila ma raie. La douleur fut diffuse et je supportai très bien l’épilation.
 Ne bouge pas, me dit Estelle, je vais te passer une huile adoucissante.
S’emparant d’un flacon, elle enduisit ses mains et commença à me masser. D’abord les fesses, puis elle s’insinua entre mes globes, vers ma chatte. La caresse se fit plus précise, massant mes lèvres. J’écartai encore plus les cuisses, me cambrai, ouvrant à cette main l’accès à mon intimité. Elle enfonça deux doigts dans mon vagin, pendant que son pouce agaçait mon clitoris. Je commençai à rouler des hanches. Je sentais le plaisir monter en moi. Au moment où j’allais jouir, Estelle retira sa main, ma claqua les fesses et me dit en riant :
 Tu, tut … Je ne crois pas que ta maîtresse apprécierait que tu jouisses, n’est-ce pas ? Oh madame, c’était si bon ! Oui, mais c’est fini. Met-toi sur le dos, les bras le long du corps.
De nouveau, elle enduisit mon pubis d’huile, sans me caresser, cette fois. Elle venait de terminer lorsque ma maîtresse entra. Estelle alluma une lumière brillante. Je pus enfin la voir correctement. Elle semblait nue sous sa blouse et il me semblait apercevoir des couleurs bizarres sur sa peau. Claudine remarqua mon regard et me dit :
 Estelle est une esthéticienne particulière. Tu veux bien lui montrer, chérie ?
Estelle déboutonna sa blouse. Au fur et à mesure que les boutons sautaient, je voyais son corps se dénuder. Elle fit tomber sa blouse et j’en restai bouche bée. Des épaules jusqu’au pubis, elle était tatouée. Pas un millimètre de peau claire. Elle avait des seins magnifiques, légèrement tombant. Des anneaux, lourds, épais, étiraient les tétons d’au moins trois ou quatre centimètres, les faisant pendre.Toutefois, ce qui attira mon regard se trouvait à la jonction de ses cuisses. Elle écarta les cuisses, dévoilant ses trésors. Ses grandes lèvres étaient disproportionnées, pendantes d’au moins cinq à six centimètres. Sur chaque lèvre, des anneaux, peut-être quatre, énormes, environ cinq à six centimètres de diamètre, pour un demi centimètre de section. Chacun d’eux était fixé à une plaque métallique, d’environ dix centimètres de long, cinq de large et un d’épaisseur. J’aperçus des écritures sur la plaque, que je ne pus déchiffrer. Plus haut, à la jointure des lèvres, le capuchon du clitoris avait été enlevé, laissant le clitoris à nu. Il dardait entre les lèvres, sortant d’à peu près deux centimètres. Là encore, un gros anneau transperçait la hampe et reposait sur le sexe de la femme. Un méplat, situé en bas de l’anneau attira mon regard, mais là encore, je ne réussis pas à lire les inscriptions qui s’y trouvaient. A la vue de ce sexe et de ces seins transformés, je me sentis couler. La façon dont Estelle avait été ‘mutilée’, comme diraient certains, m’excitait.
 Tu vois, me dit Claudine, Elle aussi, est une esclave, dans la plus pure tradition. Elle se moque de son corps. La seule chose qui compte pour elle, est la plaisir de sa maîtresse. Regarde ses tatouages, ils sont tous à la gloire de la femme, sa maîtresse. Son anneau au clitoris et sa plaque portent le nom de sa maîtresse. Seras-tu capable d’en faire autant un jour ? Je … je ne sais, mademoiselle. Bon, pour l’instant, rhabillez-vous toutes les deux. Je vous attend à l’accueil.
Estelle prit le temps de me laisser contempler ses tatouages. Effectivement, tous représentaient des femmes, femmes enlacées, s’embrassant, ou des seins, des chattes des fesses. Elle finit par se couvrir et nous regagnâmes l’accueil. Je payai mon épilation et nous sortîmes. Je sentis le vent chaud et léger caresser ma chatte glabre. La sensation était agréable te je sentis poindre une pointe d’excitation.
 Nous allons aller déjeuner, et ensuite, faire quelques achats pour marquer ta nouvelle condition ! Bien mademoiselle.
Nous marchâmes pendant dix minutes pour atteindre le restaurant. Je me sentais plus nue que nue, avec ma chatte rasée et je jetai des coups d’œil incessant pour voir si quelqu’un pouvait se douter de ma tenue. Cela finit par énerver ma maîtresse, qui me lança durement :
 Si tu continues comme cela, je te fais mettre cul nu. Comme cela, au moins, tu auras raison de regarder autour de toi. Pardon, mademoiselle, mais cette nudité est si bizarre que j’ai l’impression que tout le monde la voit. Comment veux-tu qu’ils le sachent, pauvre gourde, ta robe cache suffisamment ta chatte, non ? Oui, mademoiselle, pardon. Alors cesse de jeter des coups d’œil autour de toi et avance.
Rouge comme une pivoine, tête baissée, j’avançai plus vite. Nous entrâmes dans un restaurant du centre-ville, fréquenté par des hommes d’affaire. La moitié des tables étaient déjà occupée et le maître d’hôtel nous plaça près de la terrasse. La table se trouvait sur une petite estrade rehaussée et nous avions vue sur toute la salle. Un serveur apporta les menus et se retira.Ce que je n’avais pas compris, c’est que l’estrade permettait une vue imprenable sur mes cuisses. Je ne m’en aperçus qu’au bout d’un moment, lorsque je vis des regards fixés sous notre table. Il ne fallait pas compter sur la nappe pour dissimuler quoi que ce soit, tant elle était courte. Gênée, je serrai les jambes et, au bout d’un moment, je les croisai. Le geste n’échappa pas à Claudine que me dit :
 Décroise les jambes, salope. A partir d’aujourd’hui, plus de jambes croisées ! Bien mademoiselle. De plus, tu ne dois plus serrer les cuisses. Tu devras respecter un écartement minimum de dix centimètres. Mais… mademoiselle ! Tu te rebiffes déjà ? Tu en as assez ? Tu veux t’en aller ? Non, mademoiselle, répondis-je, honteuse, tête baissée, je vous obéis. Tu es une salope, maintenant. Et une salope ne croise pas les jambes. Tu seras punie pour cette résistance. Bien mademoiselle.
Je décroisai les jambes et écartai les cuisses bien plus que la distance exigée par Claudine. En face de moi, l’homme qui déjeunait faillit s’étrangler lorsqu’il aperçut le spectacle que je lui offrait. Il devint tout rouge, desserra sa cravate et ouvrit le bouton du haut de sa chemise sans cesser de regarder ma chatte. Je la sentis s’humidifier. Je souris en voyant la situation du pauvre homme.
 Qu’est-ce qu’il y a, salope ? demanda ma maîtresse, en me voyant sourire. C’est un homme qui a failli s’étrangler quand j’ai écarté les cuisses, mademoiselle. Comment est-il ? Gros, presque obèse, mademoiselle ! Bon, tu vas aller aux toilettes. En passant devant lui, tu vas lui faire comprendre qu’il doit te suivre aux WC. Tu vas te faire baiser mais je veux qu’il jouisse dans ta bouche. Tu reviendras ici me montrer qu’il a bien juté où j’ai dit et seulement à ce moment-là, je te dirai si tu peux avaler, compris ? Bien mademoiselle, dis-je après un long moment d’hésitation.
Je fixai l’homme, lui souris et écartai largement les cuisses en me levant. S’il avait des doutes sur mon absence de toison, ils étaient à présent levés. Je passai devant lui, frôlant sa table, touchant son épaule de la hanche et me dirigeai vers les WC. Je n’attendis qu’un petit instant devant la porte des toilettes hommes avant de le voir surgir. Aussitôt, je l’entraînai dans une cabine et fermai derrière nous. Il était si gros que nous étions très à l’étroit. Je plongeai ma main vers son entrejambe. Je le sentis déjà en érection.Il n’était plus question pour moi d’être forcée. J’agissais en salope que j’étais. J’avais envie de cette queue dans ma bouche, dans ma chatte. Je m’accroupis, fis glisser le zip du pantalon et dégageai la bite. Elle était très grosse, plus grosse que celle de mon voisin, plus longue aussi. Elle sentait la sueur et l’urine. Pourtant, je l’engloutis sans discussion et commençai mon va-et-vient sur le membre. Je le sentis se crisper de suite et une giclée de foutre envahit aussitôt ma bouche. Je le laissai se vider les couilles dans ma cavité buccale, mais il y en avait tant que je dus en avaler une partie pour ne pas étouffer. Lorsqu’il eut terminé de jouir, il se rhabilla sans demander son reste et sortit des WC. Je me sentais frustrée de n’avoir pas eu cette bite dans la chatte, mais j’avais rempli une partie de ma mission. J’espérais que ma maîtresse ne me tiendrait pas rigueur de la défaillance de l’homme.En sortant, je me regardai dans la glace. J’avais les joues gonflées par la semence qui envahissait ma bouche et je me dépêchai de regagner ma place. Lorsque je passai à côté de lui, l’homme ne me jeta pas un regard. Je me rassis en face de ma maîtresse. Ce fut elle qui me dit :
 Dis donc, vous avez fait vite !
Je ne pus qu’hocher la tête. Ma maîtresse regarda un moment mes joues gonflées et me demanda :
 Tu as tout gardé ?
Incapable de répondre, je hochai affirmativement la tête. Elle semblait prendre un immense plaisir à me laisser ainsi, la bouche pleine de sperme. Enfin, elle finit par me dire :
 Montre ! Tu pourras avaler ensuite !
J’ouvris la bouche du mieux que je pus et elle put constater l’abondance de la semence que j’avalai en une seule fois.
 Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Demanda-t-elle, lorsque j’eus la bouche libre. Il a éjaculé au bout de dix secondes, pendant que je le suçais, mademoiselle. Tu ne l’as pas senti venir ?  Si, mais c’était trop tard. J’ai tout reçu dans la bouche. Il y en avait tellement que j’ai dû en avaler une partie pour ne pas m’étouffer. Je vous demande pardon, mademoiselle ! C’est bien, tu es très obéissante. Tu deviens une véritable salope ! Pour votre plaisir, mademoiselle ! Je suis votre chose ! Bon, déjeunons, je me suis permis de commander pour toi. Merci mademoiselle ! Bon appétit, salope ! Bon appétit mademoiselle.
Je dévorai de bon appétit la délicieuse salade composée que ma maîtresse m’avait commandée. Cela me permit d’effacer le goût du sperme dans ma bouche. Nous terminâmes par un café. Claudine paya et nous sortîmes. Dehors, deux hommes qui avaient fréquenté le même restaurant nous abordèrent, vite rabroués par Claudine. Nous partîmes sous les insultes des deux hommes.
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