Voilà quelques jours que mes amies ont découvert mon secret. Cela n’a rien changé dans nos relations. Je ne m’inquiète pas au sujet d’Amélie. Elle est si réservée, que je n’ai aucun doute qu’elle ne servira pas de cette information contre moi. Par contre Sandrine me paraît plus vicieuse. Si elle n’a rien fait jusqu’à présent, je me demande combien de temps cela va durer.Je suis dans ma chambre sur mon lit. J’écoute mes musiques favorites. Sur les murs de ma chambre, il y a des posters de mes films favoris ainsi que ceux des mes groupes favoris. Il y a un poster de Star Wars VIII, Linkin Park, AC DC, etc. Pour me passer le temps, je joue à une application sur mon téléphone. Je passe le plus clair de mon temps libre à chercher un moyen d’assouvir mes pulsions sexuelles. Il m’arrive de boire ma propre urine quand l’excitation est trop forte. Ses séances intimes sont accompagnées par de la masturbation. Dans ses moments, je deviens une femme perverse. Je me tripote les seins, je me doigte comme une folle. Et je met même un gode dans mon minou après l’avoir sucé. Et quelques fois, je me mets un doigt dans le cul.Dans ses moments-là, je suis tiraillée entre une partie de moi qui veut aller le plus loin possible dans cette voie et une autre partie qui veut garder le contrôle de la situation La première partie de moi veut devenir une femme soumise qui sert d’urinoir humain. La seconde partie craint les conséquences que cela pourrait avoir pour mes études et mes relations familiales. Et puis j’ai peur que cela entaché non seulement ma réputation, mais aussi celle de ma famille. Et si mes parents en entendent parler sur leur lieu de travail. Ou pire si ils voient des vidéos de moi se faisant couvrir de pisse que diraient-ils ?Pour mon père, je ne suis que peu inquiète. Il est technicien dans une petite entreprise. Il y a très peu de chances que cela lui arrive aux oreilles. Par contre pour ma mère c’est différent. Ma mère est un médecin connu dans la région. Il est donc très facile que ceci lui arrive à ses oreilles. Je me fais peu être des films. Mais avec tout ce qu’il se passe, entre le revenge porn et les chantages, un peu de bon sens n’est pas superflu. Je ne sais pas sur qui je peux tomber si j’y vais tout de go.C’est quand je pense à cela que mes amies reviennent dans mes pensées. J’aimerais qu’elles partagent mon délire. Si rien ne me dit qu’elle ont été écœuré de ce qu’elles ont découverte, rien ne me dit qu’elles aiment cela. Mais cela ne m’empêche pas de me toucher en pensant à leur minou.C’est la sonnerie du téléphone qui me sort de ma torpeur. C’est Sandrine qui m’appelle. Je décroche.— Salut Sandrine. Comment vas-tu ?— Salut Axelle. Ça va bien et toi ?- Oui très bien. Si je t’appelle c’est parce que je n’arrête pas de penser à ce que je t’ai vu faire avec ce mec. Et j’aimerais te proposer quelque chose.Mon cœur bat la chamade. Au ton de sa voix, elle me paraît excitée. Du coup, j’ai plein de questions qui me passe par la tête. Je les chasse de mon esprit.— Que me proposes-tu ?— Je préfère te le dire de vive voix. Que dirais-tu de passer chez moi ?— Tout de suite ?— Oui si cela ne te dérange pas.- Ok. À tout de suite.— À tout de suite.Je descends les escaliers qui mènent au rez-de-chaussée. Je mets mes chaussures et je pars chez Sandrine. Il me faut peu de temps pour arriver chez elle. Ses parents et elle habitent un petit pavillon blanc aux volets bleus. La propriété est entourée par une barrière blanche. Une fois devant la porte, j’appuie sur la sonnette. J’entends des bruits de pas qui s’approchent de la porte. Et quand elle s’ouvre, j’aperçois Sandrine dans une tenue sexy qui met bien en avant sa généreuse poitrine.— Entre vite, Axelle.Une fois entrée, Sandrine referme la porte derrière moi. Je me déchausse dans le vestibule d’entrée. Elle m’amène à la salle à manger. C’est une pièce spacieuse au milieu de laquelle trône une table massive. Les murs sont peints en violet et décorés de tableau de fleurs.— Mets-toi à tes aises.Je m’installe sur l’une des chaises. Et Sandrine se met en face de moi.- De quoi voulais-tu me parler ?- Je vois que tu veux aller droit au but. Tant mieux, car je n’ai pas envie de tourner autour du pot. J’ai vu comment tu m’as regardé pisser ce jour-là. Et avec le fait de te voir sortir des toilettes des hommes, il me paraît évident que tu es attiré par la pisse.— Ce n’est pas ce que tu crois.
— Relaxe Axelle, je ne te juge pas. Sache que je ne suis pas indifférente à tes charmes féminins. Et puis j’avoue que je rêve de t’ajouter à mon harem de salopes.- Ton harem, tu en as un !- Pour l’instant, tu es la deuxième. Je te présenterai la première après. Mon deal est le suivant, devient une de mes salopes et je t’offrirai deux choses. Premièrement ma pisse et deuxièmement, je t’aiderai à trouver des personnes pour assouvir ton fantasme.Je réfléchis à sa proposition. Son idée me plaît beaucoup. Et elle me fait même mouiller. Je me retiens pour ne pas baver d’envie. Le fait qu’elle me propose de me pisser dans ma bouche dépasse tout ce que j’ai imaginé. Pour cela, je suis prête à être sa pute.- Quand dis-tu ?- J’accepte.- J’en étais certaine. Il est temps que je te présente mon autre salope.Elle se tourne vers la cuisine et elle dit.- Mon toutou vient ici. Viens voir ta maîtresse.C’est quasiment un choc pour moi quand je découvre que c’est Amélie. Elle est toute nue et elle se déplace à quatre pattes. Un sourire pervers illumine le visage de Sandrine. Amélie lèche les pieds de la blonde.- C’est très bien mon toutou. Il est temps d’aller s’amuser.Pendant que nous nous dirigeons vers la chambre de Sandrine, celle-ci me dit à l’oreille.- Tu vas être surprise à quel point Amélie est une soumise. Il m’a fallu du temps pour en arriver là. Mais je suis fière de moi.Et puis elle ajoute avec une voix teintée d’excitation sexuelle.- Depuis ma puberté, j’ai toujours voulu transformer mes amies en salope soumise. Amélie et toi êtes parfaite pour cela.Quand nous entrons dans sa chambre, je découvre qu’elle est peinte en mauve. Je n’y jamais entrer auparavant. Rien dans sa décoration ne laisse transparaître que sa propriétaire est une perverse. En fait, la décoration est celle d’une adolescente banale et sans histoire.Sandrine m’invite à me déshabiller. Sandrine aussi se met dans le plus simple appareil. La vue des lèvres épaisses me fait de l’effet. Mais pas autant que la vue des gros seins qui rebondissent quand elle se déshabille. Après qu’elle se soit assise, elle déclare.- Mon toutou Amélie va te montrer ce que j’attends de toi. Je veux que tu m’excites le plus possible.Amélie commence à m’embrasser. Je lui rends son baiser avec quelques difficultés à début. C’est ma première expérience lesbienne. Puis elle me fait des baisers sur mes seins, puis sur mon corps en descendant. Elle finit par me lécher le minou. J’y prends beaucoup de plaisir, à tel point que je lui colle la tête contre mon sexe. Nous finissons sur le lit à faire un soixante-neuf. Elle au-dessus et moi en dessous. Avant de lui manger la moule et joue avec mes doigts. Je lui caresse ses fines lèvres. Je lui doigte la chatte. De temps en temps, je sens sa langue sur mon anus.Sandrine se masturbe avec un sex-toy en nous regardant. Elle se lève et d’un geste de la main, elle nous fait comprendre que nous devons venir à ses pieds. Nous lui mangeons la moule à deux. Amélie passe de l’autre côté pour lui manger le cul.- C’est une bonne mangeuse de cul. Tu vois Axelle, je sais dresser les chiennes.Elle sort deux godes ceintures. Elle m’en donne un et elle garde l’autre. Amélie, qui sait ce qu’il va se passer, s’installe sur le lit. Une fois que nous sommes équipés, chacune se met d’un côté. Je commence par lui prendre la chatte pendant que Sandrine prend la bouche. C’est la première fois que je vois les choses de ce point de vue. Habituellement, c’est moi qui me fais prendre en levrette. Je vois son dos. Je ne peux m’empêcher de jouer avec ses cheveux et de lui masser ses seins. Ils sont plus gros que les miens et plus petits que ceux de Sandrine. C’est en faisant du va-et-vient que je comprends ce pourquoi les hommes adore cette position.Après quelques minutes nous inversions nos places Sandrine et moi. Et même si Amélie ne suce qu’un jouet, j’ai l’impression de me faire sucer. J’adore comment elle s’y prend. Et son regard me fait fondre.À ce moment-là, je désire posséder Amélie pour moi seule. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est plus soumise que moi ou parce que j’ai une part dominatrice en moi. Je suis certaine que ma cousine Chloé, qui fait des études de psychologie, trouverait une explication rationnelle.Je pense que sa timidité naturelle et l’excitation sexuelle créée par cette relation saphique y sont pour quelque chose dans mon désir.Après Amélie, c’est à mon tour de me faire prendre par les godes. Je m’applique du mieux que je peux pour les fellations. Pour les pénétrations vaginales, il y a une grosse différence entre la brutale vigueur de Sandrine et la douceur d’Amélie. La première me fait du rentre-dedans sans me ménager. Alors que la seconde y va plus doucement.Après un moment qui me semble avoir duré une éternité, Sandrine déclare.— Il est temps que je t’offre ta récompense. Suivez-moi !Sans un mot, nous allons dans la salle de bain. Les murs de cette pièce sont recouverts de carrelage représentant des scènes de la mer. Sandrine m’indique la baignoire.— Amélie et moi-même allons t’offrir notre nectar doré. Et c’est Amélie qui va commencer.Une fois que je me suis installée dans la baignoire, Amélie se met au-dessus de la baignoire. Elle a les pieds sur les bords, et elle s’accroupit pour ne pas tomber. Elle s’approche le plus prêt qu’elle peut. Voyant qu’elle a du mal à se lancer, la blonde annonce avec une voix à l’intonation autoritaire.— Vas-y, pisse lui a la face. Axelle est une pute à pisse. Au début, il n’y a que quelques gouttes qui tombent. Puis c’est un jet qui m’arrive dessus. Elle me mouille même les cheveux. Je bois quelques gorgées, et le reste coule sur mon corps. Une fois qu’elle a fini, elle laisse sa place à Sandrine.- Alors tu as aimé. C’est vrai qu’une putain comme toi ça ne mérite que cela. Dorénavant, tu seras ma pissotière.Elle prend beaucoup de plaisir à me pisser dessus. Et tout comme pour Amélie, je joue avec son liquide jaune. Je me sens enfin remise à ma place. J’adore sentir couler le liquide bien chaud sur ma peau. Je prends tellement de plaisir que j’ai un orgasme.Une fois qu’elle a fini, je lui nettoie la chatte avec ma langue. Je récolte les dernières gouttes de pisse.Pour éviter que je sente l’urine à plein nez, Sandrine m’autorise à prendre un bain.- Comme tu le voir, je te récompenserai à chaque fois que tu le mériteras.- Merci Sandrine.- Quand nous serons ainsi, tu m’appelleras maîtresse.- Oui maîtresse.- Je vois que tu apprends vite. Ma mère va bientôt arriver et vu qu’elle ne sait rien de cela, je vous libère. Je vois recontacterai plus tard.Amélie et moi, nous nous séparons en passant le portillon. Je rentre chez moi toute heureuse. Je suis impatiente de découvrir ce qui m’attend.
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