Quelques semaines plus tard, Carl me donna rendez-vous chez lui encore une fois. J’arrivai chez lui vers 21h00. J’étais nerveuse, mais excitée. Carl, qui est policier, a une autorité naturelle. Étant une jeune femme timide, il est facile de me dominer. C’est ce que fait Carl. Il me téléphone lorsque cela lui plaît et me fait découvrir les joies du sexe anal. Il m’avait déjà sodomisé deux fois et je savais qu’il allait recommencer ce soir-là. Je frappai à la porte. — Anna-Belle! Que tu es jolie ce soir! J’ai envie de toi depuis si longtemps. Viens, entre. J’entrai. J’étais vêtue d’une robe légère bleue marine avec de petites fleurs blanches. En dessous, je ne portais qu’une culotte blanche. Je n’avais pas mis de soutien-gorge, je n’en avais pas besoin de toute façon. Il me prit par la main et m’emmena vers une pièce que je n’avais encore jamais vue. C’était une grande chambre avec un grand lit en plein milieu et un petit bureau dans le coin droit. Le lit était recouvert d’une couette rouge vif. Le reste de la pièce était vide. Je ne savais que penser. Cette pièce me donnait la chaire de poule. Je levai les yeux vers Carl. Son regard avait changé. Il était plus grave et j’y vis une ombre de perversité. Il fouilla dans son bureau et y sorti quelques gadgets dont j’ignorais l’utilité. — Viens sur le lit ma belle. Nous allons nous amuser ce soir. Je fis ce qu’il dit. Il releva ma robe et la remonta au dessus de mes seins. Il les caressa longuement et les pris tour à tour dans sa bouche. Il me téta les mamelons, les fit durcir. Il me malaxa les seins de ses grosses mains habiles qui passèrent ensuite sur tout mon corps. Il caressa mon ventre plat et l’embrassa passionnément. Il fit ensuite descendre ma culotte qui commençait déjà à être trempée. Ses baisers descendirent vers mon pubis, puis sa langue trouva ma chatte. Sa langue chaude titilla mon bouton. C’était exquis. Je mouillais de plus en plus. Je sentis un objet froid se coller contre ma vulve. C’était un gode en métal. Carl joua à l’entrée de mon vagin avec l’énorme objet puis le fit pénétrer à l’intérieur de moi. Je décollai rapidement. Une sensation étrange m’envahit. Je fus immédiatement secouée de spasmes. Je sentais ma chatte écartelée au maximum. Je me sentais excitée par l’obscénité de la scène. Carl fit entrer et sortir le gode de ma chatte. Je criais mon plaisir, mon corps raidit par les violents soubresauts. Quand il s’arrêta enfin, ce fut pour me retourner sur le ventre. Il prit des cordes puis me les noua autour des poignets. Il m’attacha à la tête du lit. Il fit de même avec mes chevilles. J’étais écartelée dans son grand lit de soie rouge. Je ne dis rien et attendais la suite. Je n’avais pas peur; J’avais confiance en mon amant qui ne m’avait jamais fait le moindre mal. Il sorti un autre gode d’une grosseur phénoménale et me le montrai. Il m’expliqua que c’était un plug anal et qu’il allait me le mettre dans le cul. Je regardais l’objet avec une certaine crainte. C’était bien trop gros pour entrer dans mon petit trou. Il devait bien faire deux fois la taille du sexe de Carl. Il s’approcha de moi et me releva le cul, m’obligeant à prendre une position vulgaire. J’avais le cul relevé, les jambes bien écartées. Carl pouvait admirer mes trous à sa guise. Se plaçant derrière moi, il m’écarta les fesses de ses deux mains. Il me lécha la chatte puis remonta vers mon anus. Il le léchait grossièrement, en y mettant beaucoup de salive. Sa langue cherchait à y entrer, m’obligeant à me relâcher peu à peu. Je me détendis enfin. La langue habile entrait dans mon anus pendant que de deux doigts, il me fouillait le vagin. Je jouis rapidement, encore une fois. Sans que je ne m’y attende, il m’écartela l’anus. Il inséra ses deux pouces dans mon rectum et tira de chaque côté. Je laissai échapper un cri de douleur. Carl me calma rapidement. — Calme-toi Anna-Belle. Détends-toi. Ca ne va pas faire mal si tu te détends. Je respirai plusieurs fois puis me détendit. Il m’étira encore davantage. Je n’avais jamais été autant ouverte de toute ma vie. Lorsqu’il retira ses doigts de mon cul, ce fut pour y insérer le plug qu’il m’avait montré un peu plus tôt. — Tu vas vivre ta première pénétration double. Tu vas te faire mettre par les deux trous en même temps. Tu vas aimer j’en suis sûr. Le plug anal bien inséré dans mon cul, les mains toujours attachées, il me pénétra longuement. Il devait parfois remettre le plug car mon corps cherchait à repousser l’objet inconnu. Carl gémissais de plus en plus fort. — Que c’est serré! Mmm ouiiii c’est bon! Après plusieurs minutes et juste avant l’orgasme, Carl s’arrêta. — Je vais jouir dans ton cul, Anna-Belle. J’aime trop ton petit cul. — Oui, prends-moi par le cul… Il fit ce que je demandai. Il retira l’objet énorme de mes fesses qu’il m’écarta avec les mains. Il regarda mon cul bien ouvert. Il y fourra son sexe d’un coup. Je n’eus pas mal car j’étais déjà bien ouverte. Je jouis rapidement. Carl, quant-à-lui, fit durer le plaisir. Il me pénétra longuement, changeant la cadence ou le rythme lorsqu’il se sentait près de l’orgasme. Quand il en eut assez de se torturer, il jouit au fond de mon cul. Il gicla encore et encore en donnant des coups de reins. Il poussa des cris bestiaux pour ensuite s’effondrer sur moi. Il me détacha ensuite et me laissa prendre une longue douche très chaude. Je me rendis ensuite chez moi. Je tremblais ce soir-là dans mon lit. J’avais vécu des émotions intenses. J’avais jouis pas moins d’une quinzaine de fois. J’eus du mal à m’asseoir dans les jours qui suivirent. Cela me faisait mal et me rappelait l’énorme objet dans mon cul ainsi que le sexe de Carl. J’étais devenue une sodomite…
