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Comment je suis passé de youtuber à youporner

Chapitre 2

le début d'une carrière

Hétéro
J’étais dégoûté. Ok je venais de coucher pour la première fois mais cette fille m’avait reconnu. Tous ces efforts pour passer incognito réduits en poussière à cause d’une connerie. Il y avait combien de chance pour que je tombe sur une fan ? Une sur dix millions ? Elle m’avait coincé. Ce n’était plus la peine de se cacher.    -         Alors ? C’est bien toi, non ? Je ne me trompe pas ? -         ….. Non tu as deviné. C’est bien moi. Lui ai-je répondu résigné -         Je le savais. Si j’avais su que je coucherais avec une célébrité d’internet …. -         Célébrité tout est relatif. -         J’ai dépucelé Max ….Faut absolument que je raconte ça aux copines. -         Hein ? Ah non s’il te plait. Ne fait pas ça. -         Mais non ne t’en fait pas. Je déconne. De toute façon, elles ne savent surement pas qui tu es. Mais dis-moi je n’ai pas bien compris ce qu’il se passe avec ta chaîne. T’a été banni d’internet ? -         Si on veut.  
 Là je lui ai expliqué mon conflit avec les droits à l’image et tout le reste en détail et elle a compris ce qu’il se passait. Heureusement que je pouvais compter sur mes revenus locatifs pour vivre sinon j’étais bon pour revenir chez mes parents. Quand j’ai évoqué une possible reconversion de carrière et surtout en quoi elle consistait, elle a failli éclater de rire. Elle m’a dit que j’allais un peu trop vite en besogne, que ce n’était pas parce que j’avais couché une fois que ça allait le faire. C’est vrai qu’au final, Elle avait raison. Je brûlais surement les étapes. Il allait falloir acquérir plus d’expérience dans ce domaine. Et bien croyez-le ou non mais elle s’est porté volontaire pour ça …. Mais pas gratuitement.   Oui j’allais pouvoir de nouveau coucher avec cette fille mais sous condition … Pourquoi pas après tout, ça m’avait plu. Cette condition la voilà : elle m’offrait la possibilité de travailler pour elle. En fait, elle aussi elle voulait faire du porno sur internet sauf que, elle au moins, elle avait l’expérience. En fait, Elle allait avoir besoin d’un technicien, d’un homme de l’ombre. Pour elle, je tombais à pique, avec mon expérience YouTube car elle ne savait pas à qui s’adresser et surtout j’avais les connaissances qui lui fallait. Elle voulait faire ça parce que, déjà, elle aime le sexe. C’était aussi un moyen de se faire du pognon facile. Et puis, recevoir des clients comme ça, ce n’était pas une solution d’avenir. On s’est mis d’accord. Elle me reversait un petit pourcentage des recettes qu’elle allait recevoir et en plus j’avais le droit de coucher avec elle une fois par semaine gratuitement.   Au début, elle voulait diffuser des « spycam », comprenez par là des caméras cachées. Elle voulait se filmer avec ses clients en train de vous savez quoi. Elle avait pensé à ça mais se demandait si elle risquait des plaintes. Je l’ai rassuré sur le fait qu’il était possible de modifier les voix et de cacher les visages en les floutant. En plus je lui ai dit que peu de personne n’irait se plaindre publiquement d’avoir été filmé avec une pro, en train de coucher sur internet et encore moins si le mec est marié. C’est le genre de truc qu’on préfère cacher. Elle avait déjà fait plusieurs tentatives mais quand j’ai vu son matériel et surtout la qualité des vidéos, je me suis dit « OK alors va falloir moderniser tout ça parce que le caméscope de mamie, planqué sous des fringues pour pas qu’on le voit, ça ne va pas le faire ».   Elle me faisait confiance pour le choix du matériel. J’ai opté pour des modèles de mini caméras HD sans fil, pas plus grosses qu’un bouchon de stylo, reliées sans fil à un disque dur enregistreur. Ça permettait de les placer discrètement n’importe où. Ok ce n’était pas donné à l’achat mais rentable sur la durée et surtout pratique à l’utilisation et offrant plein de possibilité de prise de vue. Il ne fallait juste pas oublier de les charger pour que la batterie tienne. Je me souviens encore quand je suis venu lui installer tout ça. Je lui ai expliqué comment placer les caméras, comment les recharger avec le pupitre fourni et comment les utiliser avec la tablette mise à disposition qui permettait de monitorer le disque dur et visualiser ce que voyait individuellement chaque camera, … Je me souviens de ce jour car quand j’ai voulu faire quelques essais, elle m’a demandé si je voulais prendre quelque chose. C’est quand je lui ai dit non qu’elle s’est approché pour me demander, au creux de l’oreille, si je voulais la prendre, elle. Je n’ai pas eu le temps de répondre. Elle m’a entraîné sur son lit et on a fait son premier enregistrement, ne serait-ce que pour tester le matériel en condition réelle.   C’était bon et cette fois j’étais moins nerveux car je savais ce qui m’attendait. On s’est déshabillé l’un l’autre, chacun a sucé les seins de l’autre et on a enchaîné par un 69. J’ai essayé de faire comme dans les pornos que j’avais vu et visiblement ça allait. Elle par contre pour me sucer, nul besoin d’instruction. Je lui ai demandé d’arrêter de me sucer et contrairement à la dernière fois, cette fois-ci c’était moi qui étais au-dessus. J’étais content. J’étais vraiment en action, ma queue plantée entre les jambes de ma partenaire. J’étais content mais peut-être un peu trop pressé. A son goût, je suis allé trop vite et ça aurait été bien que j’aille plus doucement …. Ok ce sera pour la prochaine fois alors. « De toute façon vu ce que va donner notre coopération, je vais avoir tout le loisir de m’améliorer » Voilà ce que je me suis dit.   En plus du matériel et du montage de ses vidéos, Kathy (qui a tenu à ce que je l’appelle par son nom de scène) m’avait demandé de lui créer un site avec abonnement payant pour tout diffuser. Aucun problème pour moi puisque j’avais déjà fait le mien à l’époque Youtube. Honnêtement, je ne me suis pas casser le cul. Sur internet, il y avait déjà des squelettes de sites de ce genre. J’en ai pris un, j’ai changé les couleurs, rajouté les photos, ….. Pour tout ce qui est paiement sécurisé c’était pareil. Il existait quantité d’applications libres de droits. J’avais juste à rajouter l’adresse IP du serveur bancaire dans le code source et hop c’était bon. Chaque semaine, je venais la voir. Je récupérais les vidéos enregistrées durant la semaine (en général, une par jour) pour en faire le montage une fois chez moi et je les mettais sur le site. Je profitais du montage pour faire des versions plus courtes des vidéos en coupant exprès le plus intéressant. A la fin de ces versions édulcorées, je mettais « si vous voulez en voir plus, allez sur le site » et je postais ça sur les sites de streaming en version monétisé avec de la pub. Bien évidemment, s’il y avait un problème avec le matériel, j’étais chargé de la maintenance gratuitement. Ce n’était que quand j’avais fini qu’on passait dans la chambre.   Avec elle, j’en ai appris des choses. J’en ai essayé des positions. Autant vous dire que j’ai rattrapé mon retard en matière de sexe. On ne s’enregistrait pas toujours mais quand on le faisait je m’en gardais une copie. Il m’arrivait de me les repasser tout seul chez moi. J’ai appris des choses mais elle aussi a appris des choses. Déjà sur le plan technique, elle a acquis quelques bases. Mais surtout elle a appris quelque chose sur moi, un secret de fabrication de mes vidéos YouTube. Dans mes vidéos, on entendait parfois la voix grave d’un autre homme, comme un complice ou un acolyte. Cette voix en fait c’était moi qui la faisais. Au moment de tourner, je laissais un blanc, je faisais semblant de regarder quelqu’un, un pseudo cameraman, alors qu’en fait, j’étais tout seul et seulement après, en post production, je rajoutais cette voix au montage. Ça rendait les vidéos plus vivantes et, surtout, ça me permettait de sortir des grossièretés par le biais de cette voix, de dire tout haut ce que certains disaient tout bas, me laissant ainsi le beau rôle. Cette voix en fait c’était la mienne mais poussé dans les graves que je faisais moi-même sans trucage. Ça me donnait une voix genre gros routier tatoué. Contrairement à ma vraie voix un peu aiguë qui me donne dix ans de moins, cette voix là est plus brutale, plus rocailleuse. Ado je m’en servais pour faire des canulars téléphoniques avec les copains, me faisant passer pour mon père. Je disais donc qu’elle a tout découvert le jour où j’ai voulu essayé la sodomie. Comme chaque semaine, je venais de prendre les vidéos et de vérifier si tout fonctionnait bien. Comme à notre habitude, avant de m’en aller, on s’est rendu dans la chambre, on s’est déshabillé et c’est alors que je commençais à la prendre en levrette que j’ai évoqué l’envie de « changer de trou ». Elle m’a indiqué où elle avait du lubrifiant et après en avoir mis plus que nécessaire, j’ai essayé.
   C’était bon. Etroit mais bon. Au début je voyais Kathy faire la grimace. Elle m’a rassuré, elle m’a dit que ça allait et j’ai continué jusqu’à jouir dans son anus. Sur le coup, je ne me suis rendu compte de rien. Durant l’acte j’avais sorti des « Oh oui c’est bon » ou encore « Il est bien ton petit cul ». Je ne me suis pas rendu compte que j’avais pris cette grosse voix inconsciemment. Pour moi, ça m’avais paru presque naturel. C’est quand on a eu fini qu’elle m’a demandé comment ça se faisait que j’avais la voix de Bob, mon complice imaginaire. Cette voix était restée un mystère pour mes fans. Souvent en convention, on m’avait demandé « Il est où Bob ? Pourquoi il n’est jamais là ? ». Je répondais alors qu’il ne voulait pas être reconnu, ce qui était vrai. Quand Kathy a tout compris, elle a été déçue au début. Derrière  cette voix grave, elle s’imaginait un type genre gros déménageur quinquagénaire tatoué et obèse. Bah obèse je l’étais mais pour le reste c’était faux. Elle m’a dit aussi que quand elle avait commencé son métier d’escort, elle me suivait encore à ce moment-là, elle s’était mise presque à fantasmer sur cette image qu’elle avait de lui. « Désolé mais Bob c’était un puceau de trente-cinq ans à l’époque » Lui ai-je dit. Après cette révélation, elle m’a demandé de reprendre cette voix lors de nos galipettes, ça l’excitait. Pour moi, pas de problème. On s’amusait déjà pas mal.   C’est comme ça que chaque semaine Je m’envoyais en l’air avec  …. Disons le carrément : ma patronne. Elle, de son côté, commençait à recevoir le fruit des abonnements de son site et des diffusions monétisées mais tronquées de ses vidéos sur des sites de streaming pour adultes. On a diffusé quelques-unes de nos vidéos. Toutefois, comme je floutais le visage de ceux avec qui Kathy couchait, j’en faisais de même pour moi. Comme je changeais ma voix, impossible qu’on me reconnaisse. Elle, elle n’avait pas cette crainte mais moi si.    Un jour, elle m’a demandé de venir habiller en bleu de travail, avec une caisse à outil et rasé de près. Je n’ai pas compris pourquoi. J’étais pourtant venu deux jours avant pour notre séance hebdomadaire. Quand je suis arrivé, elle a voulu me faire une couleur. Je n’ai compris pourquoi que quand elle m’avait dit que ses abonnés avaient exprimé le désir de voir les vidéos sans floutage sur le forum du site. Ainsi elle avait décidé, sans m’en parler avant, qu’on allait faire des vidéos sans cacher le visage de ses partenaires. « Ok …. Mais alors qu’est-ce que je fous ici ? » Lui ai-je demandé. Et bien j’étais là pour la première du genre, voilà.    Cette nouvelle m’a fait peur mais elle a tenu à me rassurer. Elle avait prévu une moustache postiche maintenue avec une colle spéciale. Ça plus la couleur de cheveux et ma voix trafiquée allait suffire pour qu’on ne me reconnaisse pas. « De toute façon, le visage du mec c’est pas ce qu’on regarde dans un porno » m’a-t-elle dit et elle avait raison. Elle m’a fait ma couleur, le genre temporaire qui s’en va sous la douche. Elle m’a révélé avoir un CAP coiffure pour me rassurer. Une fois sec, je me suis isolé pour mettre la moustache et m’habiller. Quand je suis ressorti, elle m’a dit que je lui faisais penser à un plombier portugais qu’elle avait appelé une fois et que c’était aussi ce qu’elle avait prévu : Le plombier vicieux qui se fait payer en nature. Classique et caricatural mais ça allait le faire. Elle voulait qu’on fasse ça en totale impro. Quand je me suis vu dans le miroir, Je ressemblais à Super Mario. Je me suis dit « dans quoi je m’embarque, sérieux ? ». On a placé les cameras pour qu’on puisse tout suivre et, ensuite, c’était à nous de nous placer pour favoriser l’angle de vue. C’était à moi de bosser ensuite pour le montage avec tous les angles de vue disponibles. Je suis sorti de chez elle et, avant de frapper pour re-rentrer, J’ai réalisé que c’était, à l’origine, ce que j’avais prévu de faire : baiser devant la caméra. Rien que ça, ça m’a boosté. « Si je réussi ça, c’est que j’en suis capable » me suis-je dit avant de sonner dix secondes après qu’elle m’en ait donné le signal.   -         Bonjour mam’zelle. Chuis le plombier. Ai-je dit avec ma grosse voix en la voyant m’ouvrir en minijupe et avec un chemisier suffisamment ouvert pour laisser entrevoir un beau terrain de jeu. -       Bonjour, je n’ai plus d’eau chaude depuis ce matin. Je ne sais pas ce qu’il se passe. A-t-elle dit en me guidant dans le salon alors que je montrais bien, à la caméra, que je regardais son cul.  
 Elle m’a guidé au lavabo de la cuisine et j’ai ouvert le robinet.    -          Tiens …. Bah c’est bizarre ça. C’est de l’eau chaude qui coule pourtant. -         Ah bah oui tiens. Pourtant je vous le jure, il n’y en avait pas. -         OK voyons voir la salle de bain alors. -         Là aussi il n’y avait plus d’eau chaude. A-t-elle dit en me précédent. -         Voyons voir …. Mais il y en a ici aussi. -         Je ne comprends pas. Je vous jure que je n’avais plus d’eau chaude. A-t-elle dit en se confondant en excuse de retour au salon. -         Moi je commence à comprendre -         Ah oui ? -         Oui …. En fait t’es une sacrée petite coquine. -         Comment ça ? -         Ce n’est pas la première fois qu’on me fait le coup.  -         Quel coup ?  -        Ne fais pas l’étonnée. Tu m’as fait venir parce que t’avais juste besoin d’un mec, hein ? T’as besoin d’un mâle avec une vraie bite pour te faire ramoner ton petit cul, hein ? -         Mais …. Mais non. Répondit-elle, semblant étonnée par mon attitude. -        Bah voyons. Les filles comme toi, j’en ai déjà vu. Des petites nymphos qui sautent sur le premier mec qui passe comme le facteur. Ai-je dit en me rapprochant de plus en plus d’elle et en m’arrangeant pour lui faire un clin d’œil hors champ de camera. -         …… -         Tu ne dis plus rien. J’ai visé juste pas vrai ?  -         Oui et non. C’est vrai que je suis seule en ce moment mais j’étais vraiment en panne d’eau chaude ce matin. -         Dans ce cas profitons-en. Tu me laisses faire tout ce que je veux et toi tu ne payes pas le fait de m’avoir fait venir pour rien. -         Euh … Je …. -      Allez laisse-toi faire. Tu vas voir. Laisse faire le gros Marius. Je vais te faire crier. On va bien s’emboiter tous les deux. Lui ai-je murmuré à l’oreille avant de la lui mordiller. -         D’accord mais vous ne le direz à personne.  -         Promis juré. Maintenant, fout toi à poil.  
 Elle s’est déshabillée devant moi et elle jouait super bien la timide en essayant de cacher ses attributs avec ses bras et ses mains. Je me suis déshabillé aussi et une fois à poil, je l’ai prise par le bras pour la serrer contre moi en la bloquant avec mon bras par la taille. Là, je lui ai roulé une pelle  en lui malaxant frénétiquement les seins et juste après, je lui ai mis mes mains sur les épaules pour la mettre à genoux et je lui ai dit « Maintenant tu vas me sucer ». Je m’étais arrangé pour me placer de manière à ce qu’on puisse voir la scène par une caméra placée sur le côté et une autre devant moi pour qu’on la voit sous plusieurs angles différents. Au montage j’allais pouvoir alterner les angles de vue pour rendre ça plus dynamique. Le plus difficile étant de ne pas regarder la camera pour bien me placer. Je lui maintenais la tête avec mes deux mains en disant des phrases du style « Oh ce qu’elle est bonne ta bouche » ou encore « T’es vraiment une suceuse de compet’. Ça aurait été dommage de ne pas en profiter ». Elle m’a bien sucé durant deux bonnes minutes. Je l’ai fait s’arrêté et je l’ai allongée sur la table. Penchée sur le côté, je lui ai fait lever une jambe pour faire passer son genou par-dessus mon épaule, lui tenant la cuisse avec une main. Après m’être couvert, je l’ai pénétré tout en faisant vagabonder mon autre main sur ses seins. Elle, pendant ce temps-là, commençait ses soupirs de plaisirs un peu exagérés. Dans cette position, les deux caméras qui avaient filmées la pipe ne pouvaient rien manqué de l’acte. J’ai continué à la bourrer comme un sauvage Jusqu’à la jouissance.    -         Ah bon sang ! C’était bon. Une bonne baisse comme je les aime. Ai-je dit en reprenant mon souffle et en m’essuyant le front. -         Alors ? c’est promis vous ne direz rien ? je n’ai pas envie que ça se sache. M’a-t-elle dit en se relevant, assise sur la table. -         T’en fais pas. Une petite salope comme toi, je n’ai pas l’intention de la partager. -         Quoi ? Comment ça ? -      Je vais revenir. Après tout faut bien que je vérifie si ta tuyauterie fonctionne. Et ça, ça se fait sur la durée. Ai-je dit en finissant de me rhabiller. -         ….. -         Au fait, la prochaine fois que tu veux te faire troncher, appelle moi plutôt sur mon numéro perso plutôt que de passer par la centrale. Tiens v’la ma carte. Je serais ravi d’inspecter en profondeur ta tuyauterie et, si besoin, te dépanner gratos si tu te laisses faire. Bon moi je me rentre. A la prochaine.  
 Je suis alors sorti de la pièce, j’ai attendu quelques secondes et je suis revenu.    -         Alors ? C’était comment ? -         C’était …. déroutant. -         Comment ça ?  -       Bah je ne m’attendais pas à ça en fait. J’avais plutôt prévu de te proposer la bagatelle parce que je ne pouvais pas payer la note mais t’as improvisé d’une manière que je n’attendais pas. -         Ah …. Désolé si j’ai tout fait foirer alors. -         Non ! T’as rien foiré du tout. C’était même mieux que ce que j’avais envisagé.  -         Ah bon ? Bah merci alors -         Dis-moi t’as pris des cours du soir ce n’est pas possible ? -         Pourquoi tu dis ça ? -         Bah c’était vraiment bon. J’y ai presque cru moi-même. -         J’ai surtout regardé pas mal de porno. Ça m’a inspiré. -         Et bien écoute …. C’était vraiment bien. J’ai hâte de voir le montage final. Dis-moi, c’est possible de mettre des sous-titres en anglais ?  -         Pour toucher plus de monde sur le net ? Oui mais ça va être long à faire.  -         Je te fais confiance.   
 Ainsi avec l’aide de Kathy, je venais de tourner mon premier porno …. YESSS !!! J’étais fier de moi … Dommage que je ne puisse pas m’en vanter. Enfin bon, ce n’était pas grave. Comme c’était ma première scène, moi aussi j’étais impatient de voir le montage et pour le coup j’étais perfectionniste. Pour le début c’était facile. J’arrive, j’entre, je passe de pièce en pièce …. L’enchainement des angles de vue était facile à faire. Ça m’a pris dix minutes, même pas. J’ai remarqué qu’il y avait des angles de caméra que je pouvais exploiter en plus. Notamment quand je lui dis  « on va bien s’emboiter », hop gros plan sur mes lèvres à deux centimètres de son oreille depuis une caméra que j’avais placé là pour un tout autre usage. Quand elle me pompait, j’utilisais les vues de deux caméras prévues à cet effet en plus de celle du couloir que je n’avais pas jugé exploitable ou on me voyait de dos, les mains de Kathy sur mes cuisses puis sur mes fesses. Ensuite, quand je l’ai culbuté sur la table, J’enchainais les prises de vues et je zoomais en recadrant sur une zone de l’image. Je voulais que ce soit parfait. J’en ai fait des essais. Ça m’a pris plus de deux jours car en plus j’en ai profité pour rajouter des propos salaces quand on ne me voyait pas parler. Toutefois j’ai dû m’arrêter en plein milieu. Pourquoi ? Parce que j’avais d’autres vidéos à travailler, qui allaient me prendre moins de temps mais que je devais mettre en ligne. Kathy fut surprise de ne pas les voir en temps et en heure. Je me suis lancé dessus car, c’était les ordres de la patronne. J’ai fait la première : OK, la deuxième : OK, la troisième … Oups problème.   Dans cette vidéo je voyais Kathy recevoir un homme, lui offrir à boire l’emmener dans la chambre et faire ce qu’ils avaient à faire. Tout dans cet homme me rappelait quelqu’un. Je connaissais sa voix et quand j’ai vu le visage de cet homme, je me suis exclamé « Papa ? Mais qu’est-ce que tu fous là ? Et Maman, t’en fais quoi ? » J’étais chamboulé. Mon père allait voir ailleurs. Je ne voulais pas que ça sorte. Je comptais bien interroger le principal intéressé …. Mais pas pour le moment. Déjà je voulais lui laisser une chance. A savoir que je ne dirais rien en cas de non récidive. J’ai alors interrogé kathy qui m’a dit que ce n’était pas la première fois qu’il venait. Bizarre, je l’aurais vu dans les vidéos pourtant. J’ai cherché et j’ai fini par le trouver parmi ce qu’on appelait les oldies sur le site. A savoir, les vidéos improvisées que Kathy avait essayées de faire seule, avant notre collaboration. Le son était mauvais et l’image un peu trouble. C’est pour ça que je ne l’avais pas reconnu. Du coup si jamais, il lui prenait l’envie de recommencer j’allais le savoir.   Avec Kathy, en plus des vidéos d’elle et de ses clients, on en faisait à nous. On n’a pas donné dans l’originalité. On a fait l’élève qui se tape le proviseur pour ne pas passer en conseil de discipline, Le propriétaire de l’appartement qui perçoit son loyer en nature, ….. Vous voyez, rien de bien folichon. Kathy a même voulu qu’on fasse un remake de ma première fois. Pourquoi pas. Entre son don pour le maquillage et son CAP coiffure, elle parvenait à me donner une autre tête. Pour ce remake, …. Mon dieu la touche que j’avais …. Elle m’avait déguisé en premier de la classe, tout timide et penaud avec des lunettes cul de bouteille, …. Bon honnêtement, en regardant bien on me reconnaissait si on savait mais c’était suffisant pour donner illusion. Le résultat de ces nouvelles vidéos ne s’est pas fait attendre. Le nombre d’abonnés au site a doublé. Il faut dire que l’offre abonnement premium avec TOUTES, et je dis bien toutes, les vidéos sans floutage, ça y a contribué. En plus, les versions édulcorées que je mettais en ligne rencontraient elles aussi leur succès. Ce qui signifiait plus de pognon grâce à la monétisation. Pour kathy, c’était l’occasion de prendre moins de client au quotidien.    Plus tard, kathy a proposé à ses abonnés de tourner avec elle. Les postulants devaient se présenter soit en vidéo, soit en sonore ou juste à l’écrit pour les plus timides. Y avait de tout parmi les postulants : des jeunes, des vieux, des gros, des moches, des prétentieux se prenant pour des acteurs pro et qui prétendaient pouvoir la faire crier …. Alors eux, aucune chance. Je me souviens de l’un d’eux qui avait fait sa vidéo à poil en train de se branler devant la caméra allongé sur son canapé. Quand elle a vu son engin, Kathy s’est dit « No Way, même pas en rêve. Il va m’ouvrir en deux avec son truc ». Tout ça pour dire que ce n’était pas les plus gâtés qui gagnaient, c’était même le contraire. Lors de ces vidéos, moi je jouais le cameraman et je la filmais en train de s’envoyer en l’air. Honnêtement j’avais souvent la trique et parfois du mal à me retenir d’aller me branler. Il n’était pas rare, en scene poste générique, qu’elle arrive en disant « bah alors le cameraman ? T’as la trique ? Attend je vais te soulager ». Je la filmais comme ça en train de me pomper et moi, de lui juter au visage en guise de final. Kathy voyait ça comme une …. Mission sociale pour ses abonnés. Elle aimait le sexe oui mais pas le brutal ou trafiqué comme dans les films pornos moderne. C’est pourquoi, c’était souvent les plus timides ou au physique atypique qui étaient choisis.    Je me souviens du premier : Un chef d’entreprise quinquagénaire, divorcé, bedonnant, chauve et pas forcement séduisant. Quand on lui a dit qu’il avait été sélectionné, il a cru à canular. On avait prévu pour lui un classique : l’entretien d’embauche qui finit en parti de jambe en l’aire initié par la candidate qui était prête à tout. Quand il a fini sa scène, il avait un grand sourire de joyeux et des étoiles dans les yeux. Par contre, dans le lot il y a eu un fiasco et j’y suis pour quelques choses.   Kathy proposait une baise par mois à un de ses abonnés …. A conditions qu’il puisse nous loger si c’était trop loin. Pour le choix, c’est simple c’était un tirage au sort. Un jour, comme chaque semaine, Je relevais les vidéos, je faisais un bilan de l’état du matériel, ….. Et enfin, je finissais ma queue entre les cuisses de mademoiselle ou dans sa bouche. C’est là qu’elle m’a dit qu’elle avait choisis son abonné suivant. Quand elle m’a montré sa fiche, j’ai failli avoir une attaque : Mon père qui visiblement c’était abonné. Désolé Kathy mais cette fois je vais te casser ton coup. Il avait visiblement loué une sorte de garçonnière. On y est allé et j’ai laissé Kathy y aller d’abord me dirigeant vers le coffre pour sortir le matos. Quand je me suis pointé, J’avais une casquette et des lunettes de soleil. Quand Kathy nous a présentés, Il s’est figé sur place me voyant retirer mes accessoires. Je lui ai tendu la main en lui disant « Bonjour Papa ».   Dans cette garçonnière il y avait un silence de mort. Je n’avais rien dit à Kathy qui ne savait plus où se mettre. Elle est sortie faire un tour et nous a laissé seuls. Là ça a été un pugilat. Je l’ai engueulé de manière bien sentie. Il ne savait plus où se mettre. Il m’a presque imploré de ne rien révéler. Il m’a dit vouloir plus de fantaisie dans sa vie. Je lui ai dit que je ne dirais rien à maman s’il ne recommençait pas. Quand Kathy est revenue on a tout remballé et on est parti. Valait mieux pour tout le monde ne pas poursuivre. Je n’avais aucune envie de filmer mon père en train de baiser ma patronne, de faire des gros plans sur sa queue coulissant dans l’anus ou le vagin de Kathy. Durant le trajet de retour, Kathy m’en a voulu de ne rien lui avoir dit …. J’aurais dû, oui mais en même temps, je ne voulais pas la mêler à mes histoires de familles ; surtout si il ne récidivait pas.   On a continué notre collaboration malgré tout avec Kathy. On avait besoin l’un de l’autre. On baisait ensemble une fois par semaine, parfois deux pour remplir le site. Elle recevait moins de client chez elle. Ceux qui venaient encore étaient des habitués. Ils savaient qu’ils étaient filmés et acceptaient que je les films ouvertement. De toute façon leurs ébats étaient diffusés. La seule différence était : à visage découvert ou flouté ?   Avec mon père, mes relations étaient un peu tendues quand on s’est revu après l’avoir pris la main dans le sac. Comme promis, je n’avais rien dit. Lui de son côté n’avait pas intérêt à dire quoi que ce soit sur moi, sachant que, pour mon cas, je lui avais dit que c’était purement professionnel et qu’il aurait quand même dû expliquer comment il l’avait appris. Toutefois, un jour, lors d’un déjeuner dominical du dimanche, il a voulu qu’on fasse une mise au point. Je lui avais dit qu’avec Kathy c’était purement pro et qu’il ne se passait rien entre nous …. Il a fini par deviner qu’on couchait quand même ensemble. Il m’a emmené dans son bureau et m’a montré certaines vidéos du site. Ok il ne pouvait pas coucher avec Kathy mais je n’avais aucun moyen de savoir s’il était resté abonné. Il a commencé par m’en montrer une où je filmais un VRP, camera à la main. Alors que cet homme était en train de ruiner l’anus de Kathy, Le VRP a alors dit « Eh toi avec ta camera ! T’as pas envie d’en profiter aussi ? Aller, fais pas ton timide. Viens au moins te faire sucer. Si tu veux on alterne après » C’est comme ça que j’ai filmé la scène : J’ai activé les mini-cameras disposées à des endroits stratégiques au préalable tout en gardant l’autre camera à la main. Une Gopro sur un bandeau aurait été plus pratique mais je n’en avais pas. C’est comme ça que, sur la vidéo que mon père me montrait, on me voyait baiser Kathy. Je ne savais plus quoi dire. Quand je lui ai dit que c’était la première fois que je le faisais, il m’a montré toutes les vidéos que j’avais mises en ligne et dans lesquelles je couchais avec mon visage flouté ou grimé. Je suis resté muet mais mon père m’avait reconnu. Il m’a alors pris dans ses bras, me disant qu’il était rassuré. Ne m’ayant jamais vu avec une fille, il m’avait cru puceau au mieux, homo au pire selon ses termes. On est resté sur ce statu quo : personne n’en parle et tout se passera bien.   Ma relation avec Kathy a duré un peu moins de deux ans. Je gagnais ma vie grâce à mes pourcentages sur les recettes du site et des monétisations du streaming. Ça plus mes revenus locatif, je m’en sortais bien. Un jour j’ai eu La bonne nouvelle que je n’attendais quasiment plus : L’autorisation par Youtube de publier à nouveau des vidéos. Ce retour sur cette plateforme, je ne savais pas si je voulais le faire. J’ai quand même décidé d’y retourner avec un nouveau format de vidéos. Pourquoi cette décision alors que j’aimais ce que je faisais avec Kathy ? Et bien tout simplement parce qu’elle m’a dit qu’elle allait arrêter. Elle avait rencontré quelqu’un. Un de ses clients qui lui était resté fidèle. Elle avait décidé de le suivre aux USA. Ça m’a foutu un coup quand même mais je savais que ça pouvait arriver car je dépendais d’elle. Ainsi j’allais reprendre Youtube, m’offrant ainsi une vitrine publique mais je ne comptais pas arrêter le reste. Le cul sur internet, j’aimais ça, hors de question d’arrêter.
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