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Comment je suis passé de youtuber à youporner

Chapitre 4

Hétéro
Toute cette histoire de vidéo gay était venue de Manu. Aujourd’hui encore, je me demande comment j’ai pu accepter .....Ah non, je sais. C’est Manu qui a tout manigancé. Figurez-vous qu’il m’a piégé. Un jour, il m’a présenté une fille qui voulait essayer le porno amateur. Je lui ai fait passer un casting en tant que Bob, car elle voulait se tester elle-même, et qui de mieux que Bob pour voir ses limites. Bon, pourquoi pas ? Seulement, elle était aussi timide. Je lui ai dit que ce n’était pas grave. On pouvait la maquiller, la grimer durant les vidéos, si elle avait peur qu’on la reconnaisse. Elle m’a dit qu’elle préférait, pour la première fois, diriger les opérations, et que j’aie les yeux bandés. Elle m’a dit avoir subi beaucoup de brimades et de moqueries, plus jeune. Elle ne voulait pas qu’on la critique, elle voulait surtout voir si elle était capable de sauter le pas, de faire ça avec un inconnu. J’ai trouvé ça touchant d’un côté, à cause de mon passé, mais bizarre aussi. C’est comme ça que je me suis retrouvé assis sur une chaise avec un bandeau par-dessus ma cagoule sur les yeux.
Cette fille avait visiblement confiance en Manu qui fut le seul à regarder. Ça m’arrangeait qu’il soit là, car il pouvait intervenir au cas où elle tenterait de me décagouler. Avant de mettre le bandeau, j’avais pu la voir à poil et ...
Elle était super bien foutue. J’ai quand même senti le coup fourré arriver. Du coup, j’avais pris mes précautions. Sans le dire à Manu, j’avais placé plusieurs des caméras sans fil que j’avais activées moi-même avant.
Ainsi j’avais les yeux bandés, et j’étais assis sur une chaise. Je sentais une paire de mains déboutonner mon pantalon, sortir ma queue et commencer à me sucer. Honnêtement, je ne voyais pas pourquoi elle était inquiète. Elle suçait bien. Elle s’amusait même à me titiller le gland avec sa langue. Non franchement, elle était bien. A un moment, je lui ai demandé si je pouvais lui caresser la tête, elle m’a dit non. J’ai trouvé ça bizarre, mais pourquoi pas ? Au bout d’un moment, j’ai entendu Manu lui dire de passer à la suite. Elle m’a dit être indisposée, et que, du coup, j’allais avoir droit à son anus ...
Pourquoi pas ? Je l’ai alors senti m’encapuchonner, me mettre du lubrifiant sur le bout et, visiblement, Manu semblait l’aider pour se positionner. Je me suis senti m’introduire en elle, et encore une fois, je ne comprenais pas sa hantise. Elle avait l’air de se débrouiller comme une championne. Vu la facilité avec laquelle je suis entré, j’avais bien deviné qu’elle devait avoir l’habitude de se faire enculer. Elle a continué jusqu’à me faire jouir. Quand elle a eu fini, j’ai voulu retirer mon bandeau, mais elle m’a dit vouloir se rhabiller avant. Elle avait un cruel manque de confiance en elle. Je me suis relevé et j’ai retiré mon bandeau, en lui disant qu’elle n’avait aucune crainte à avoir. J’ai demandé si Manu avait filmé, et là, il m’a dit « Oh mince, j’ai oublié d’appuyer sur REC ». Moi, je n’avais pas oublié. Manu l’a raccompagnée et j’ai attendu que Manu parte pour regarder ce que, moi, je n’avais pas oublié de faire, et là ... Ça a été la douche froide.
Durant toute cette séance, j’ai cru que la bouche et l’anus dans lesquels était allée se fourrer ma queue appartenaient à cette fille. Je me suis alors aperçu que dès que j’ai eu les yeux bandés, Manu s’est déshabillé, et c’est lui qui m’a pompé le dard. Et il le faisait avec le sourire en plus. Puis après, je me suis dit « Oh non, ne me dites pas que ..... Eh ben si » en voyant Manu retirer son froc et son calbar pour s’empaler sur ma queue. Je le voyais au départ avec une grimace et puis après, tout souriant de me sentir en lui. Ce petit con m’a bien eu. Son numéro était bien préparé, car la fille restait à côté de lui pour parler à sa place, et a poussé des gémissements.
Le lendemain, je l’ai convoqué et je lui ai montré ce que j’avais. Il ne savait plus où se mettre. Il m’a avoué qu’il était bi et que je lui faisais envie. Je lui ai bien fait comprendre que jamais il ne se passerait quoi que ce soit entre nous. Toutefois, j’avais bien compris le but de la manœuvre. Ayant goûté à un anus masculin, je n’avais noté aucune différence avec celui d’une femme. C’est clair que sous l’effet d’une pilule bleue, ça pouvait le faire, mais si je dois rouler une pelle à un mec ... Va me falloir de l’alcool pour me désinhiber. Sobre, je doute que je puisse le faire. J’ai alors donné mon accord, mais juste pour une vidéo pour le moment. Manu s’est porté volontaire, mais je lui ai dit non. Quand il a voulu savoir pourquoi, je lui ai montré la caméra du doigt. « Si c’est toi qui passes à la casserole, qui va filmer ? ».
Manu était déçu. Il aurait bien voulu que je l’encule ... Raté. Je lui ai dit que c’était une punition pour sa petite manigance de l’autre jour. Si j’ai accepté, c’était uniquement à but professionnel. Si je ne voulais pas perdre une partie de mon public, il fallait bien que je leur offre de temps en temps de quoi se faire les dents. Toutefois, je gardais à l’esprit que ça ne reflétait en aucun cas mon avis personnel. Je suis hétéro, et je ne passerai jamais de l’autre côté de la barrière. Manu a alors trouvé un de ses amis, et on a fait la vidéo.
Pour la vidéo, Manu est arrivé avec un certain Sébastien. C’était un jeune minet, fin comme une brindille qui, comme il le dit lui-même, considère son cul comme étant son sexe. En gros, il était pleinement passif. Il se faisait prendre et il suçait. Je ne demandais rien de plus pour la vidéo. Pour le tournage, on avait prévu le scénario suivant : il était hétéro, et sa copine devait de l’argent à des personnes peu recommandables. Bob, homme de main, arrivait pour se payer sur la bête et forcer la fille à coucher avec lui, mais comme elle n’était pas là, c’est son mec qui allait payer à sa place. Oui, je sais, ce n’est pas du Spielberg, mais ce n’est pas ce qu’on demande à ce genre de film.
Au début de la scène, il était à la cuisine quand on me voit arriver par derrière lui. Je le chope et le plaque contre la table, en demandant où est sa copine, il me dit qu’elle n’est pas là. Il demande ce que je veux, et je lui explique pourquoi je suis là, mais lui n’a pas d’argent. C’est là que je le retourne, lui allongé sur la table, et sortant un faux couteau, je lui dit « si elle ne peut pas me rembourser en nature, c’est toi qui vas prendre » et là, je lui roule une pelle. Au début, ce petit con se laissait faire, alors qu’il était censé me repousser. Heureusement, j’avais bu un verre de gnole avant la scène. Le goût lui parvenant à la langue, il a fait la grimace, et là, il m’a repoussé, ou du moins, a tenté de le faire. Après, je l’ai mis à genoux et j’ai sorti ma queue.
Je lui tenais la tête en essayant de forcer sa bouche avec ma queue, mais cette fois-ci, il jouait le jeu, il la gardait fermée. Puis quand je lui ai pincé le nez, il a ouvert, et là, je suis entré. D’ordinaire, avec une fille, j’aurais pris mon temps pour apprécier ce moment, mais là, je voulais expédier cette vidéo au plus vite. Je lui ai tenu la tête et j’ai violé sa bouche. À côté de nous, Manu, caméra au poing, lui disait de ne pas sourire alors qu’il le filmait. Pas grave s’il se loupait. Il y avait toujours un moyen de se rattraper au montage. Manu m’avait bien dit que le sexe entre hommes était le plus souvent, un rapport de force entre les partenaires. Ça m’allait, car je voulais finir au plus vite. En plus, le côté sauvage genre « je ne fais pas dans la dentelle » me convenait. Il m’a sucé durant deux minutes environ, le temps d’avoir les prises de vue qu’il nous fallait, et suffisamment de matière pour le montage. Quand je me suis retiré, il a fait semblant de pleurer.
Quand son visage était hors champ, je le voyais sourire. D’ailleurs, je ne m’en suis rendu compte qu’après, mais à un moment, on voyait le reflet de son visage dans la fenêtre. C’était trouble, mais en regardant bien, on voyait bien son sourire. Je l’ai attrapé par le cou et je l’ai jeté sur le canapé en lui ordonnant « Allez, vite ! Retire ton froc ! » Le menaçant de mon couteau. Il jouait la pucelle effrayée, et dès qu’il a retiré. Je me suis jeté sur lui. Je me suis couvert et je l’ai enculé. Comme mon but était de faire vite, j’y suis allé comme une brute. Sébastien qui était plié en deux sur le canapé, sa tête maintenue par moi dans les coussins et les fesses en l’air. Je l’entendais gémir des « ça fait mal » ou des « arrêtez s’il vous plaît ». Toutefois, je sentais aussi des gémissements de plaisirs entremêlés. Je lui ai bourré la rondelle jusqu’à la jouissance, et je me suis rhabillé, lui était en position fœtale, simulant des pleurs.
Une fois fringué, je l’ai repris par la nuque en lui disant « Ce que j’ai pris n’était qu’une avance, donc je vais revenir. T’as intérêt que ta gonzesse soit là la prochaine fois, sinon je recommencerais. Pigés ? ». Je suis parti, Manu a fini avec un gros plan sur son visage, et a crié « Elle est bonne, on la garde ! ». Au moment où le tournage s’est fini, il s’est relevé, tout souriant. Je suis revenu et je lui ai tendu son enveloppe, puis il est parti.
Après ce tournage, Manu m’a alors demandé « Alors ce n’était pas si terrible ? ». Non, ce n’était pas si terrible effectivement, c’est vrai, mais uniquement parce que ce n’est pas moi la femme. Manu m’a assuré qu’avec ce genre de vidéo, genre une par mois, le nombre d’abonnés pouvait augmenter et ..... Bah, il a eu raison. Quand la vidéo est sortie, il y a eu pas mal de commentaires du genre « moi aussi j’ai des dettes » ou alors « si je mets une perruque et une robe et que je dis que je suis sa copine, ça passe ? ». Devant le résultat, j’ai accepté de faire une vidéo avec un mec par mois, dans laquelle je suis actif, tout en continuant mes vidéos hétéros.
Ça faisait maintenant quelques mois que j’avais amorcé ce nouveau style de vidéos, que j’ai fait une rencontre. Une rencontre qui allait changer pas mal de choses. Je n’ai jamais vraiment eu de copine. La seule qui aurait pu prétendre à ça, c’était Kathy, l’escorte qui m’a dépucelé et avec qui je couchais quand je travaillais pour elle. Un jour s’est présentée une femme de vingt-neuf ans. Elle s’appelait Katerina et venait d’Ukraine. Elle avait postulé à une de nos annonces pour trouver des actrices. Quand elle est arrivée ...
PFFF, elle était belle ! Waouh ! Je ne sais pas ce qui m’a mis dans cet état, mais elle me plaisait. Je me suis présenté comme étant Max, un assistant technique, puis je suis parti, la laissant avec Manu. Elle m’a vu prendre la voiture, mais ce qu’elle ignorait, c’était qu’en fait, je l’avais garée à quelques mètres après mon départ pour revenir dans le studio par la porte arrière, afin de devenir BOB. Manu, se faisant passer pour le boss, lui a dit qu’elle allait passer un test avec BOB qu’elle avait déjà vu sur nos vidéos. Elle lui a dit qu’elle s’en foutait de qui allait la tester. Elle avait besoin d’argent.
Cette femme était parvenue en France par la pire des façons possibles. A dix-neuf ans, elle a postulé à une audition pour trouver des danseuses dans son pays. C’était pour un spectacle qui allait tourner dans toute l’Europe et les rendre célèbres, elle et les autres qui l’accompagnaient. Jeune et naïve, elle est tombée dans un réseau qui l’a exploitée dans des clubs peu recommandables en Belgique et aux pays bas. Durant deux ans, elle a joué la serveuse topless, puis danseuse, et enfin pour les clients qui payaient, Pute occasionnelle. Tout ça s’est arrêté quand les flics ont fait une descente. Au moment où ça s’est passé, elle était dans les vestiaires avec une autre dans la même situation qu’elle. Quand elles ont entendu la police arriver et les cris dans la salle, elles sont montées à l’étage, ont récupéré ce qu’elles pouvaient (surtout leur argent) et sont passées par la trappe de la salle de bain qui donnait sur les toits.
Après avoir fait plusieurs centaines de mètres sur les toits, en redescendant, elles sont arrivées dans la cour d’un garage, bien sûr fermé, compte tenu de l’heure tardive. Seulement si Katerina est parvenu à sauter sans encombre puis à sortir dans la rue, sa copine n’a pas eu autant de chance, car en sautant, elle s’est fait mal à la jambe. Avec le bruit que ça a fait, ça a déclenché l’alarme et alerté le chien. Ne voulant pas se faire prendre, Katerina a pris la fuite, laissant à regret sa copine sur place, voyant que le garagiste arrivait sur place.
Elle a erré dans les rues durant des mois, pendant presque un an, mangeant ce qu’elle pouvait, bien souvent dans les poubelles. Elle a fait la manche et parfois, offert ses charmes pour un peu d’argent. Elle a fini par se retrouver dans cette ville, même ville où nous étions installés, trois ans après être partie de son pays. Alors qu’elle marchait sans but précis, elle a rencontré un homme, gérant d’un hôtel qui l’avait remarquée passer plusieurs fois dans la rue, complètement perdue. Semblant vouloir l’aider, il lui proposa un boulot de femme de ménage dans son hôtel. Elle était logée dans une des chambres, mais surtout, elle était payée et, pour elle, ça voulait dire la fin des problèmes. Elle s’est rapprochée de son patron et ils ont entamé une histoire. Durant deux ans, elle avait des rapports avec son patron. Il lui disait qu’il l’aimait, qu’ils allaient se marier ...
Enfin bref, tout pour la faire rêver. Comme elle justifiait d’un salaire, elle entama aussi les procédures pour être régularisée. Un jour, elle constata qu’elle était enceinte et elle s’imaginait déjà mariée avec son amant, mais quand elle lui annonça, ce fut la douche froide. Il n’avait aucune intention d’aller plus loin avec elle, car marié, il l’était déjà, avec trois mômes. Déçue, elle quitta son travail, ne voulant plus le voir, mais pas sans avoir appelé sa femme pour lui expliquer, étant parvenue à récupérer leur adresse. Cet évènement fut un tel choc émotionnel qu’elle perdit alors le bébé. Tant mieux dans un sens, car seule, ça aurait été difficile.
Elle n’était pas la seule femme en galère que j’avais auditionnée, mais elle, je la sentais différente. Quand Manu l’a menée à moi, habillée en BOB, elle s’est assise à côté de moi sur le canapé. Elle a retiré le haut et PFFFF quelle paire de loches ! Elle était refaite oui, mais c’était superbe. Elle m’a alors dit que c’était un cadeau de son ancien patron qui aimait les grosses poitrines. Il s’était arrangé pour faire passer ça sur le compte de l’hôtel par le biais d’une magouille comptable pour que ça ne lui coute pas trop cher, et elle s’est retrouvée avec deux sublimes pare-chocs.
Je n’ai pas attendu. Je les ai empoignés, léchés ... voire même presque dévorés. Quand j’ai retiré mon froc, elle a de suite compris et .....Oh bah ça alors ! Elle m’a complètement gobé la queue ! Elle me faisait une gorge profonde. Elle y allait à fond. Manu lui avait dit que si elle se démerdait bien, on ferait souvent appel à elle pour nos vidéos ...
Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde visiblement. Elle m’a pompé la queue PFFFF ! Elle savait y faire. Elle avait une belle bouche et elle savait comment s’en servir. Je ne sais pas si elle était la meilleure que j’ai connue, mais elle était sur le podium, ça c’était clair. Je l’ai fait arrêter, et après, elle s’est empalée sur moi, assise sur ma queue, face à moi. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle y allait de bon cœur. Je lui ai caressé les seins, et c’était vraiment bon. Je l’ai fait s’arrêter. Elle s’est relevée et a pris appui les deux mains sur le mur en face, à poil, et les jambes écartées. Je suis arrivé derrière elle, j’ai positionné le bout de mon gland, encapuchonné sur sa rosette préalablement lubrifiée. Je lui ai demandé « t’as déjà fait ça ? ». Elle avait à peine dit oui que je commençais déjà à entrer. En face d’elle, il y avait un miroir. Je voyais son visage et surtout sa petite grimace au début quand je suis entré.
Une fois enfoncé jusqu’à la garde, j’y suis allé à fond. Durant cette sodomie, mes mains alternaient entre sa taille pour la tenir, et ses seins pour mon plaisir. Au fur et à mesure des coups de reins, je l’entendais soupirer, puis gémir, jusqu’à ce que ce soit moi qui râle avec ma grosse voix rauque quand j’ai joui.
Durant tout le long, Manu avait filmé. Quand je me suis retiré, je lui ai dit, face caméra, « elle est bonne pour le service. Elle va être une bonne gagneuse » et je suis parti. Pendant que Manu s’occupait d’elle en lui montrant la douche, les pommades calmantes et en voyant avec elle quand elle était disponible pour les tournages. Moi je me suis remis en mode Max. Je suis sorti du studio par là où j’étais arrivé, j’ai repris la voiture et j’ai attendu cinq minutes. J’ai fait un tour du pâté de maisons et je suis revenu avec un sac de fausses courses à l’effigie du centre commercial pas loin. Quand je suis rentré, je suis arrivé avec un « Manu c’est bon j’ai récupéré ta commande ». Katerina, que j’appellerai plus tard Kate, était là (non pas Kathy. C’était déjà pris et je tenais à faire la différence), avec Manu. Manu m’a présenté, et curieusement, elle semblait me connaître. Pendant un moment, elle m’avait fait peur.
J’avais cru qu’elle m’avait reconnu malgré mes lunettes de vue et ma voix plus aigüe que celle de BOB. En fait, elle avait vu mes vidéos sur YouTube. Quand ils ont eu fini, je l’ai raccompagnée.
On a fait appel à elle plus que toutes les autres. Normal, c’est moi qui choisissais. J’avais envie de la revoir. J’avais envie d’elle. Avec Bob, elle était très pro. Une fois chaque vidéo tournée, Manu lui proposait alors plusieurs scenarii possibles pour la prochaine fois. Elle était contente qu’on la sollicite et moi ...
Bah je voulais me la faire, mais je me suis vite aperçu que j’allais dans une impasse. C’est Bob qui la baisait, pas moi, pas Max. Heureusement, je ne sais pas pourquoi, mais quand je revenais en Max après chaque scène, et que je lui tendais son enveloppe, elle me faisait un grand sourire. Avec moi, elle semblait à l’aise. Une fois, après avoir fait une scène, elle a voulu rester avec moi, voir mon boulot. D’ordinaire quand une de nos actrices me demande ça, je fais semblant de bosser. Là, j’avais l’impression qu’elle s’intéressait à moi et à ce que je faisais ...
Et ça s’est vérifié, car un jour, elle a suggéré qu’on se voit en dehors du travail. J’étais fou comme un gamin. Je l’ai appelée et on a diné. Pour l’occasion, je m’étais fait tout beau et j’avais un bouquet de fleurs pour elle. Elle était charmée.
Durant le dîner, je lui ai demandé pourquoi elle m’avait choisi, pourquoi moi, y avait-il une raison particulière à ce rendez-vous ? Parce que je pensais que Bob l’intéressait plus, elle m’a répondu qu’avec Bob, ce n’était que professionnel, qu’elle n’y allait que pour le fric. Elle ajouta aussi que même si elle aimait les Bad Boys, au final, elle se cherchait plus un homme sérieux et sage, pour éviter les emmerdes. J’étais attendri par son histoire personnelle, et j’avais envie de l’aider. Toutefois, je me doutais bien que ça pouvait ne pas marcher. Je fus vite rassuré, car en sortant, elle me demanda de la raccompagner, n’ayant pas de voiture, et les bus ne passant plus devant chez elle.
Je l’ai donc raccompagnée, une fois en bas de son immeuble, elle me proposa alors de boire un dernier verre. J’étais en mode midinette naïve. C’était mon premier vrai rencart finalement. Je l’ai accompagnée, elle a ouvert la porte, et à peine avais-je passé le pas de la porte qu’elle la referma et la verrouilla. Elle me plaqua contre le mur et m’embrassa. J’étais surpris, et comme un con, je n’avais pas vu le coup venir malgré l’évidence. Elle s’est ensuite mise à genoux et a commencé à défaire mon pantalon. Là, j’ai paniqué. Elle allait voir ma queue, cette queue qu’elle avait déjà sucée à plusieurs reprises quand j’étais Bob, et donc qu’elle avait vu de près. Allait-elle la reconnaitre ? Allait-elle faire le rapprochement ? Je l’ai alors stoppée dans son élan. Elle m’a demandé pourquoi, si j’avais peur, parce que j’étais peut-être encore puceau.
Je l’ai rassurée en lui disant que j’avais déjà eu des expériences, et puis je me suis rappelé que pour les vidéos, je prenais du Viagra pour être au top à l’écran. Quand elle voyait ma queue, elle était au moins à demi molle. Là, elle l’était complètement. J’ai retiré mes mains de ses épaules et je me suis laissé faire en me disant « Oh et puis merde ».
Elle m’a sucé langoureusement durant quelques minutes ... C’est fou ce que c’était bon. Ses lèvres pulpeuses, sa langue qui me titillait le gland ... Elle me portait vraiment de l’intérêt ? C’était l’impression que ça donnait ? Je me suis bien aperçu que si une main me tenait l’engin, l’autre était fichée entre ses cuisses, ce qui me laissait envisager du reste. Quand elle s’est arrêtée, je lui ai demandé de poursuivre, mais elle m’a dit qu’il serait dommage de ne pas aller dans la chambre. J’ai attrapé mon froc et je l’ai suivie. Une fois dans la chambre, elle m’a déshabillé en un temps record. Pour moi, sa robe fut facile à enlever. C’était ce que j’appelle une robe Flamby. Tu tires la languette et ça se démoule. Une fois à poil, elle m’a poussé sur le lit, m’a encapuchonné le gland, et est venue sur moi.
J’étais allongé sur le dos, sur le lit. Ma queue était enfoncée dans son vagin. Je me sentais nerveux et elle le voyait. Je baisais cette fille à visage découvert. J’avais l’impression de revivre ma première fois. Quand j’ai posé mes mains sur ses seins, elle s’est exclamée d’un « Ah ! Bah quand même ». On a continué comme ça jusqu’à ce que je jouisse. C’est clair que j’étais heureux. Elle me faisait envie, elle me plaisait et visiblement c’était réciproque, car elle m’avait entraîné chez elle pour coucher avec elle. On a fini la nuit, lovés l’un contre l’autre.
Quand je me suis réveillé, j’ai mis un temps avant de me souvenir où j’étais. Je me suis levé, j’ai remis mon caleçon et j’ai rejoint la cuisine où elle m’avait préparé un bon petit-déj. En voyant ça, je me suis dit « elle, elle est bonne à marier ». Ensuite, je suis reparti chez moi après qu’on se promette de se revoir. Je suis rentré tout guilleret chez moi, mais un détail m’est revenu en tête. Avec Bob, j’avais toujours une double vie. Baiser sans sentiment juste pour le pognon c’est ce que je faisais et elle aussi avec BOB, mais comment sortir de tout ça ? Elle, elle le faisait par nécessité, et moi, parce que c’était une de mes activités professionnelles, et disons-le clairement, la plus lucrative. Ne voulant plus lui mentir, car voulant que ça marche, je me suis torturé l’esprit jusqu’à ce qu’elle m’offre une porte de sortie.
Durant les semaines qui suivirent, on continuait à coucher ensemble de temps à autre, en étant Max. Elle ne m’a pas caché sa volonté de se trouver un mec bien. Elle cherchait un homme sérieux dans sa démarche et, tant qu’à faire, qui pourrait l’aider à s’en sortir. Je lui ai dit que j’étais prêt à le faire. On était bien ensemble à mes yeux. Elle m’a demandé si ça ne me gênait pas qu’elle couche avec Bob. Je lui ai dit que non, que j’en comprenais la nécessité pour elle même si, si on officialisait, elle allait devoir me promettre de diminuer voir arrêter. Elle m’a aussi dit que si elle continuait, c’était aussi parce qu’elle me trouvait un peu trop timoré ou classique dans nos rapports. Elle continuait de voir Bob pour le fric, c’était entendu, mais aussi pour avoir plus de piquant au lit. Je sentais comme quelque chose de bizarre dans ses propos. Comme si elle me disait « soit tu deviens comme Bob, soit on ne va pas continuer nous deux ».
— C’est pas vrai, je me fais cocu par mon alter ego, me suis-je dit. A ce moment-là, on était chez moi. Elle devait partir travailler. Elle est partie et moi je suis resté seul en me posant des questions. Dois-je lui dire ? Et surtout comment ? Le paradoxe dans tout ça, c’était que ce personnage de fiction était en train de me ravir ma copine. J’avais toujours été timide et trop trouillard pour affronter les difficultés. Cette cagoule me donnait un peu d’assurance, car personne ne me reconnaissait. J’ai fait un bilan sur moi. A quarante piges passées, il me fallait décider. J’étais à un âge où je pouvais tout assumer. « On a une scène ensemble dans deux jours ? OK C’est là que je me lancerais » me suis-je dit à moi-même. J’étais déterminé, en tout cas, autant que pour ma première fois. Je voulais la garder, elle était belle, elle me plaisait et ... Je peux le dire, c’était un coup de foudre. Mais elle m’avait fait comprendre qu’il me manquait quelque chose que Bob lui donnait pour que ça dure. « Il est temps de ne plus me cacher derrière cette cagoule », me suis-je dit.

Deux jours plus tard, c’était le grand jour. Le scénario pour la vidéo : Je suis un homme de main d’un mafieux qui vient punir une femme qui doit de l’argent à mon patron. Bien évidemment, elle n’avait pas l’argent, et je devais la punir à grands coups de boutoir. Quand elle est arrivée au studio, j’étais déjà prêt. Je l’ai entendue demander à Manu où était Max. Il lui a répondu que j’étais parti en repérage pour des prises de vue en prévision d’une vidéo YouTube. Elle n’a pas insisté et elle s’est mise en place. J’ai sonné, elle est venue m’ouvrir et elle devait faire semblant de tenter de fermer la porte. Je parvins à l’ouvrir, et l’attrapant d’une main sur le cou, je la plaquai contre le mur.
— Tu sais qui je suis ? Tu sais pourquoi je suis là ?— S’il vous plaît, ne me faites pas de mal, dit-elle alors en faisant semblant de pleurer.— La réponse est oui apparemment, et j’en déduis que t’as pas l’argent visiblement ?— Non, je ne l’ai pas.— OK, donc tu sais ce qui t’attend. Lui ai-je dit en l’entraînant de force dans la chambre.

Je l’ai ensuite jetée sur le lit, j’ai sorti une cordelette de ma poche pour lui attacher les mains ensemble à la tête de lit. J’ai très vite retiré mes fringues, puis les siens, et j’ai présenté ma queue devant sa bouche. Elle m’a sucé goulûment pendant qu’avec mes doigts, je lui préparais son trou pour me recevoir. Dès que je l’ai sentie prête, je me suis encapuchonné et je l’ai prise en levrette. Comme il était écrit dans le scénario, elle me suppliait d’arrêter, puis à un moment, je lui ai posé la question « Alors ça te plaît de te faire bourrer par un vrai mâle ? C’est à croire que tu le fais exprès parce que t’aimes ça ». Là, elle me répond « Si t’étais un vrai mec, tu ne te cacherais pas derrière une cagoule ». C’était l’instant que j’attendais. Je fis signe à Manu qui filmait qui ne comprenait pas ce que je voulais, et là, j’ai retiré la cagoule face caméra, je l’ai jetée sur la tête de lit en disant « si y a que ça pour te faire plaisir ... ».
Au moment où je l’ai fait, j’ai vu Manu, les yeux écarquillés braquer l’objectif de la caméra sur moi. Il était fou de joie et me fit un signe d’approbation pouce en l’air comme pour me dire « cette vidéo va faire un carton parmi nos abonnés. Depuis le temps que les abonnés veulent voir ça ». Kate, elle, mit quelques secondes avant de réaliser que je venais de retirer la cagoule. Elle se tourna pour voir mon visage et constata avec un large sourire que c’était moi, Max. Ce sourire ne resta que le temps où son visage était hors champ. Elle s’est alors souvenue qu’on avait une vidéo à terminer dans laquelle elle avait un rapport forcé. Je lui ai alors dit « Alors ? Ça te va comme ça ? ». A cela, elle me répondit « ça ne change rien. T’es quand même une grosse tarlouze ». C’est là qu’on revenait sur le scénario. Je me suis retiré d’elle, je fis semblant de retirer la capote, je l’ai retournée face à moi pour revenir en elle.
Là, elle fit semblant de paniquer genre « non arrête, je ne prends pas la pilule » et moi avec un rire sadique, je continuais jusqu’à jouir en elle, en lui disant que ça lui ferait un souvenir. Quand on a eu fini, elle faisait semblant de pleurer en position fœtale. Je me suis rhabillé et je lui ai dit que désormais, tant qu’elle n’aura pas l’argent, c’est ce que je lui réservais à chacune de mes visites.
Quand Manu cria « Coupez ! Elle est bonne, on la garde » J’étais de retour dans l’embrasure de la porte. Kate se releva et se précipita dans mes bras pour m’embrasser à pleine bouche. Manu ne comprenait pas ce qu’il se passait. Il nous signala que le tournage était terminé. Je ne lui avais rien dit pour nous, mais je n’ai pas eu besoin ne de lui dire, il avait deviné en disant « Ah ... OK, je comprends pourquoi tu voulais tant l’avoir sur les tournages. En fait, vous vous voyez en dehors, c’est ça ? »
On s’est rhabillé, elle a pris sa petite enveloppe et on est parti bras dessus bras dessous. Là, elle m’avoua avoir deviné que j’étais Bob depuis le début. Elle avait eu des soupçons dès le premier jour. Max est là, Max part, Bob arrive, bob part, max revient .....
Quelle coïncidence ! Elle n’a jamais été dupe. Elle me révéla en avoir eu la certitude lors de notre premier soir quand elle m’a vu tout nu. J’ai toujours cru que c’était ma queue qui allait me trahir, même pas. « Comment ça se fait que, toi et Bob, vous ayez la même cicatrice d’appendicite au même endroit ? » ......
OK je n’y avais jamais pensé. Du coup, notre relation s’en retrouva renforcée. N’ayant pas beaucoup d’affaires, elle vint s’installer chez moi. J’avais de la place. Elle qui cherchait à s’en sortir dans la vie et se trouver quelqu’un de sincère, elle l’avait trouvé. Au fur et à mesure, je me suis confié à elle sur mon parcours. Elle a émis un petit rictus quand elle a su que je m’étais fait dépuceler à trente-sept ans. Du coup, elle a compris le pourquoi de la cagoule. Ça servait à cacher ma timidité latente. Moi je lui apportais un certain confort de vie en plus de gros câlins et elle m’aidait à surmonter ma timidité et mes phobies éventuelles.
Plus tard, je l’ai présentée à mes parents. Ma mère était folle de joie. Elle et Kate se sont tout de suite entendues. Mon père me demanda d’où je la connaissais vraiment, la petite histoire du « je l’ai rencontré lors de la Paris Games Week dans la partie YouTuber » ne l’avait pas convaincu. Je lui ai alors révélé la vérité, que je l’avais rencontrée lors d’un de mes tournages. Désormais nos films ensemble c’était nos sextape. On s’éclatait tous les deux.
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