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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 3

Arthur perd sa virginité.

Inceste
Comment transformer son neveu impuissant
et harcelé en bête de sexe. 3

Arthur perd sa virginité.

Nous prenons soin de sa personne et il n’est pas peu fier des caresses buccales de plus en plus précises. Son sexe est à nouveau opérationnel, mais une nouvelle fois, sous notre double attaque, il ne peut plus se retenir et décharge à nouveau sans prévenir. Surprise, Ambre s’étouffe sous la charge de sperme et en recrache une partie que je m’empresse de lécher. Il a un goût légèrement salé mais pas désagréable. Arthur veut tout arrêter après son deuxième orgasme mais je le force à amener lui aussi Ambre au plaisir et à son tour, il doit boire à la source le suc de la fille.
— C’est suffisant pour aujourd’hui, mes poussins, je crois que vous êtes maintenant prêts à aller plus loin. A la semaine prochaine, mais avant, vous devez tous les deux faire une prise de sang pour recherche de MST. Je ne veux pas que votre première fois soit gâchée par un préservatif. Et toi Ambre, n’oublie surtout pas de prendre la pilule, Hein !
Suite : Nous nous retrouvons donc huit jours plus tard. Je n’ai plus maintenant à les encourager. En moins de temps qu’il me faut pour l’écrire, ils sont déjà nus et comme je leur ai appris, ils se donnent du plaisir mutuellement pour faire monter leur désir. J’observe la montée rapide de leur désir par le durcissement des tétons d’Ambre qui sont assez conséquents et la lente montée en érection de la lourde verge d’Arthur. Je suis fière d’avoir un neveu si bien monté. Quand il aura pris plus d’assurance, il fera des ravages parmi la gent féminine. Les « mâles » qui dépassent le double décimètre, ça ne court pas tant que ça les rues, et encore moins avec une verge aussi massive... J’espère que ça ne rebutera pas trop Ambre. Je les conseille tout de même après de longues minutes où je vois leur excitation arrivée à son paroxysme :— Arthur, je préfère que tu te mettes sur le dos et laisse Ambre à la manœuvre, et cela pour deux raisons... Pour toi, ça te mettras moins de pression et de risque de tout gâcher, et pour Ambre, ça lui laissera le pouvoir, c’est elle cette fois qui décidera de ce qu’elle veut sans que ça ne soit imposé de force par de petits cons. Et aussi vu ton engin, il vaut mieux qu’elle en contrôle la pénétration dans son vagin.
J’ai à peine fini mes recommandations qu’Ambre se met a califourchon sur les cuisses d’Arthur. Elle le regarde avec un air de défi, de dominatrice, elle frotte sa vulve sur le chibre y laissant une traînée gluante et brillante telle une limace en ondulant du bassin.— C’est doux, chaud et mouillé, mais c’est agréable, murmure Arthur.Il ne manque plus grand-chose pour qu’elle enfonce dans son ventre cette dague mais elle fait durer la « torture » jusqu’à ce qu’Arthur lui donne des signes d’impatiences.— Tu veux que je fasse entrer ta teub dans ma chatte ? Supplie-moi !— Si tu ne veux pas que je jouisse dans tes poils, il vaudrait mieux, tu attends quoi ?
Ambre se soulève légèrement, décollant ses fesses des cuisses d’Arthur et manipule avec une main la queue afin qu’elle soit face à son abricot et...... Aaahhh !!!Elle descend tout doucement, empoignant la bite en son milieu et dirige le gland contre ses lèvres intimes. Elle se baisse encore un peu et une fois que le champignon est passé, elle s’immobilise. Le gland vient de disparaître entre ses lèvres vaginales et baigne dans la douceur incroyable et brûlante de la matrice d’une femme. Ambre se soulève légèrement et se laisse choir tout en douceur. Arthur doit sentir se contracter les muscles intimes de ce fourreau autour de sa tige, ce qui doit faire encore plus monter la pression dans son pieu. Ambre redescend son corps et pousse un peu pour faire rentrer en elle ce pal hors normes, mais je la vois se crisper et contracter son vagin. Elle se retire légèrement mais pas complètement et reprend le chemin inverse, enfonçant à chaque fois deux ou trois centimètre de plus et commence à aller et venir sans essayer d’aller plus loin. Il lui faut de longues minutes pour enfin se décontracter un peu et commencer à gémir de plaisir. Elle plante alors d’un coup sec en elle la trique d’Arthur, ce qui lui arrache un hurlement. Mais il ne peut plus se retenir et déverse une dose de foutre qui gicle hors de la chatte à chaque fois qu’elle s’empale dessus.— Oh ouuiiiii !!! Vas-y, décharge dans ma chatte mais bande, bande encore, je t’en supplie !!!Elle reste un moment uniquement le gland en elle puis se laisse tomber, complètement assise sur Arthur pour s’empaler entièrement sur lui. Il l’attrape par la taille pour accompagner quelques montées et descentes puis appuie sur son dos pour qu’elle se plaque à lui mais Ambre se défoule sur lui et se laisse totalement aller sur le gland qui bute au fond de son ventre, accélérant le mouvement sur cette lance encore raide.Je suis comme scotchée devant leur accouplement, à genoux près d’eux, je me doigte vigoureusement le minou, ne pouvant résister à la jouissance qui monte en moi. Des jets de cyprine giclent puissamment de ma matrice pendant que j’encourage Arthur, trempant ma culotte.— Fais la crier, montre que tu es un homme, un vrai !Je ne sais pas si c’est mes encouragements ou à force de coulisser entre les lèvres vaginales d’Ambre mais on dirait qu’il se remet à bander comme s’il ne venait pas de jouir en elle quelques minutes plus tôt. Il la retourne de force et la travaille au corps avec des « han » qu’il pousse, digne d’un bucheron ou d’un tennisman, à chaque fois qu’il se plante en elle avec force coups de reins sous les gémissements d’Ambre. De peur de lui avoir fait mal il se retire lentement. Quand elle sent que le gland quitte sa grotte, elle le supplie:— Non reviens ! Prends-moi encore !Arthur se retire entièrement, posant son champignon entre les fesses rebondies d’Ambre et enfonce lentement son gland dans la chatte affamée de sexe. Une fois que la tête est passée, il se plante en elle violemment sous des grognements de plaisir. Mais alors que ça fait seulement quelques minutes qu’il la baise sauvagement, je remarque à son visage qui se crispe qu’il doit sentir à nouveau la sauce monter. Arthur fait encore quelques allers/retours en elle et se retire. Il remonte vers son visage et lui aussi se met à gueuler en balançant de grosses giclées, mais contrairement à la première fois, les jets qui se succèdent viennent recouvrir les cheveux et le visage de la jeune fille. Mais Ambre veut elle aussi atteindre le Nirvana.— Embrasse-moi ! dit-elle ! Elle se déplace sur le corps de mon neveu et lui tend son cul. Arthur dépose un bisou sur ses fesses. Sa main se glisse entre les cuisses pour entretenir le feu qui couve en elle, alors qu’il n’a pas complètement débandé.
Il s’applique à donner du plaisir à la chaude brune tandis que je n’y tiens plus et tente de le refaire bander en asitquant sa queue d’une main habile. Mon neveu y trouve son compte car à ma grande surprise, son sexe se remet déjà à grossir. J’en profite pour entreprendre une pipe, je m’empare de sa teub que je serre entre mes doigts. Elle est brûlante. Mon sacerdoce est quand même bien agréable et je ne regrette pas la promesse faite à ma sœur. Je me laisse tomber à genoux, et prends sa verge dans ma bouche. Ma langue lèche son dard, visitant les moindres parties sensibles de cet instrument de plaisir. Mes lèvres se referment sur son gland, glissent le long de son manche du gland aux bourses et des bourses au gland. J’ai les yeux révulsés de plaisir. Mais sa colonne de chair a repris ses proportions maximales et je ne peux tout bonnement plus y arriver. Je relâche son chibre pour glisser ma langue sous ses couilles après lui avoir avoué en le regardant avec tendresse.— Ah, vous les jeunes, vous avez toujours la santé, mais il est rare comme toi Arthur, d’être toujours prêt pour la baise ! Je vais faire de toi, le meilleur coup de ton université !
Mais ce dernier ne pense plus qu’à rechercher le plaisir pour Ambre. Il mordille maintenant les seins de la fille tandis qu’il pince avec un doigté habile son bouton. Ambre renverse sa tête en arrière, gémissant et l’encourageant dans ses entreprises. Pendant ce temps, ma langue lèche comme une flamme le jonc vigoureux dressé dans son entrecuisse. J’admire à nouveau ce sexe terrible, prêt à saillir encore, dur comme un pieu de bois durci au feu et qui va dans une seconde peut-être s’enfoncer tout ardent dans les entrailles bouleversées de cette jeune femelle en chaleur qui défaille sous ses assauts linguales et manuels, émettant des râles et le suppliant :— Prends-moi encore ! Pénètre-moi le plus loin possible, tout au fond, enfonce-toi tout entier dans mon corps, plante-moi ton sabre que j’en meure !
Je m’approche d’elle et dépose un baiser sur sa joue. Elle a comme un frisson lorsque mes lèvres effleurent les siennes, elle n’a pas un mouvement de recul quand ma langue force la chaude frontière de ses lèvres. Ses dents s’écartent et nos langues se lovent l’une contre l’autre pendant qu’Arthur plonge sa main dans la féminité d’Ambre. Nous jouons de son corps comme deux virtuoses sur un clavier de piano. Elle gémit doucement sous nos assauts. Je caresse les seins gonflés, je les tète. Ambre cambre les reins, livrée comme une proie consentante aux assauts de tendresse d’un neveu et de sa tante lubrique. Elle murmure dans un souffle:— Oh ooouuuiii !... Embrasse-moi encore... Là !... Là !... Hummm... Et toi Arthur... Vous êtes diaboliques.Je caresse les seins durcis, les aréoles endolories dont j’en éprouve la chaleur et la souplesse, la chatte en feu, Ambre ne peut plus se retenir et se contorsionne sous un terrible orgasme.— "Ohhh mon Dieu..... Mon Dieu... Oh... Oh... oh... Ooouuuiii !!!
On a réussi à la faire jouir, à lui faire découvrir ce qu’est l’orgasme féminin, et je suis fière aussi que ça ne rebute pas Arthur qui boit son jus. Elle a voulu du sien, là maintenant c’est lui qui accepte le sien !Je n’aurais pas cru que ça puisse m’arriver, avoir envie de mon neveu, de le sentir en moi ! Moi qui suis une vraie professionnelle, je suis trempée de l’entrejambe depuis belle lurette, la pénétration ne pourrait qu’être bonne avec un tel étalon mais je ne peux pas faire ça à ma sœur !
A suivre...
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain (e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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