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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 5

Toujours plus loin, toujours plus profond, toujours plus fort.

Inceste
Comment transformer son neveu impuissant
et harcelé en bête de sexe. 5

Toujours plus loin, toujours plus profond, toujours plus fort.
Une fois que son champignon à totalement disparu, il s’immobilise pour qu’elle s’habitue à son énorme calibre. Mais je suis étonnée de la vitesse d’acclimatation d’Ambre à l’assaut monstrueux. Rapidement, elle se met à onduler du bassin permettant à Arthur de rentrer au 3/4 sa verge formidable. Maintenant il plonge en elle et il a l’air d’apprécier.— Putain ! C’est tellement bon d’aller et venir dans ses entrailles bien serrées ! La sensation est incroyable. J’ai la pine comprimée comme jamais, je n’ai jamais ressenti ça !
Suite :Il la pénètre lentement avec son gros pénis puis décule et se replante en elle jusqu’à être sur le point de juter, s’arrête pour faire redescendre la pression et se remet à la limer amenant Ambre à un nouvel orgasme. Arthur s’excite de plus en plus, sa teub n’a jamais été aussi grosse et raide. Il augmente encore la cadence et Ambre gémit de plus en plus fort sous les coups de reins d’une violence folle. Il ne va pas tarder à atteindre le point de non retour mais il veut profiter de ce cul jusqu’au dernier moment. Je profite d’un moment où il a complètement déculer pour me précipiter sur sa pine pour une fellation rapide de cette barre de fer. Il la sodomise de nouveau d’un coup sec dans le cloaque resté entrouvert et s’enfonce dans ses entrailles jusqu’à ce que ses couilles s’écrasent bruyamment sur la vulve esseulée. Le sphincter d’Ambre se contracte sous ce violent assaut et elle hurle mais cette fois autant de plaisir que de douleur. Il se met à gueuler en nous regardant:— Je vais jouir putain ! J’en ai mal aux couilles tellement ça se bouscule là-dedans !Il va et vient une dernière fois et retire sa lance prête à cracher. De son coté, les muscles du cul d’Ambre se contractent toujours alors que ça doit être son troisième ou quatrième orgasme d’affilé, cette petite salope en redemande encore... Il se déplace vite et présente « la bête » devant la bouche féminine. Il se branle énergiquement, met l’autre main dans les cheveux de la fille pour immobiliser sa tête et se plante complètement dans la bouche ouverte pour se déverser directement dans sa gorge en un flot ininterrompu.Ambre étouffe et ne peut dégager ses bronches que par le nez d’où coulent deux filets de foutre. Affolé, Arthur se retire juste à temps avant que les dents de la fille ne lui sectionnent le gland, il a eu chaud, le bougre... Il faut presque dix minutes avant qu’Ambre puisse calmer les spasmes violents déclenchés par cette éjaculation sauvage.— Excuse-moi Ambre, je ne savais plus ce que je faisais, pardon, pardon...— Espèce d’idiot ! Tu voulais quoi ? Que je crève, les poumons pleins de ton foutre ? Putain ce que tu m’as mis ! J’ai des difficultés à m’en remettre physiquement et mentalement. T’en dis quoi ? Lui demande Ambre.— J’en dis, lui rétorque Arthur, J’en dis que... que je veux encore te baiser, regarde, j’ai tellement aimé que je rebande déjà !
Effectivement, les dix minutes qui ont permis à Ambre de se remettre ont permis à Arthur de récupérer malgré ses deux assauts une trique pas piquée « des hannetons ». Le petit puceau impuissant est devenu une vraie bête insatiable de sexe. Ambre s’approche de lui, caresse son visage et l’embrasse avec tout son amour, se saisissant de sa verge qu’elle guide dans son antre. Des filets de bave et de sperme mélangés souillent son visage.— Tu es fin prêt Arthur, tu sais donner du plaisir aux femmes, toi ! Les filles qui tomberont sur toi, ne le regretteront pas ou alors elles dégusteront grave avec ton-défonce-cul de concours.— Ambre ?— Oui, Arthur ?— Je peux te reprendre le cul, encore une fois ?— Tu pourrais être plus poétique dans tes demandes, tu sais ! Allez, vas-y, baise-moi. Je ne croyais pas que j’aimerais ça à ce point.
Elle se saisit de la poutre à la base, la force à sortir de sa chatte, se retourne et la dirige vers son cul. Arthur écarte les fesses et plonge son braquemart dans le trou offert. Il recommence à l’enculer quand la rage le reprend, et qu’il ne la défonce à nouveau. Il la travaille ainsi plusieurs minutes puis se penche et empoigne les seins d’Ambre, la forçant à se redresser. Je ne sais pas comment il fait mais il arrive à se remettre sur pied sans déculer, lâche la poitrine d’Ambre pour glisser ses mains sous les cuisses de la fille et la soulever dans les airs pour la laisser ensuite retomber sur son manche de pioche. Elle hurle comme une folle sous la violence de cette pénétration acrobatique. Il faut être costaud pour réussir une telle position, je suis estomaquée mais fière de mon neveu. J’imagine les pensées qui doivent envahir l’esprit de notre ex puceau à cet instant ... Il baise maintenant comme un Dieu et il est loin le temps de « l’éjaculateur précoce ».Au bout d’un temps énorme pour une telle position, Arthur la repose et nous invite à s’agenouiller devant lui. Le moment est venu pour une troisième éjaculation de mon neveu. Son sperme gicle encore une fois sur nos visages et même dans nos cheveux. Ambre réagit très vite et reprend la lance gluante dans sa bouche pour la nettoyer sous les aveux d’Arthur :— Je suis amoureux de ton cul, tu sais !
Après encore quelques séances, j’annonce à Arthur que je n’ai plus rien à lui apprendre. Je n’en reviens pas du contrôle qu’il a maintenant sur son érection, arrivant presque à bander ou débander à la demande. Ses conquêtes vont adorer ou alors au contraire être effrayées par cet amant qui pourra les faire jouir indéfiniment avant de baisser pavillon.— Tu es prêt Arthur, j’ai rempli mon rôle. Je mets fin à ton « traitement » avant que je ne puisse plus me retenir et franchisse une ligne que je me reprocherai, surtout vis-à-vis de ma sœur. Vole de tes propres ailes et montre à tes harceleurs et à ses petites putes de quoi tu es capable.Il me sourit, m’embrasse, me sert dans ses bras, et je sens contre mon pubis une barre significative, il bande pour moi !!!
<Arthur>Les autres me traitent toujours pareil, bande de connards !Je vais avoir ma vengeance. On approche de la fin d’année et l’un de ces petits cons organise chez lui ce qu’on peut appeler une fête un peu spéciale. Je sais qu’ils m’ont invité car je suis quand même l’un des plus beaux gosses de l’école, mais surtout pour encore se foutre de moi devant les filles et les garder pour eux. Nous nous retrouvons donc autour de la piscine et le fils du propriétaire donne les règles du jeu.— On va tous s’asseoir sur le bord de la margelle, chaque fille choisira un garçon, lui massera la bite à travers le maillot avant de le sucer. Chaque fois qu’un de nous éjaculera, il sera retiré du jeu et la fille donnera un « coup de main » à ses copines.
Je jeu commence. Bien entendu, je suis le dernier choisi mais comme il n’y a que de belles filles, je n’ai pas à me plaindre. Sophie est une belle blonde aux hanches fines, à la poitrine arrogante et au postérieur rebondi, une petite bombe. Elle me masse l’entrejambe comme dégouttée de ce qu’elle fait et de son manque de chance. J’applique les exercices appris et me force à ne pas réagir à ses caresses. Elle m’engueule presque :— J’ai vraiment pas de bol, Dumbo... Toujours aussi impuissant ? T’as dix secondes pour bander ou alors tire-toi !Je n’attendais que ça et me concentre, en moins de temps qu’elle m’en a donné, le serpent amorphe se transforme en manche de pioche. J’ai choisi exprès un maillot de bain taille basse qui n’a aucune chance de contenir mon érection. Sous les yeux sidérés de Sophie, plus de dix centimètres dépassent maintenant de mon slip. Elle jette un regard affolée à ses copines en plein travail sur les verges des autres garçons. Ses yeux reviennent sur moi, puis redescendent vers mon bas-ventre. Elle prend son courage à deux mains et retire mon slip, admirant maintenant la barre de fer qui cache mon nombril.Elle se saisit à deux mains de ma hampe, gobe mon gland puis le recrache en s’exclamant assez fort pour que tout le monde l’entende :— Bordel de merde ! Je reconnais cette putain de bite ! Dumbo, c’est... c’est « l’Etalon blanc » !
A ces mots, toutes les filles interrompent leur fellation et tournent la tête vers moi, les garçons aussi d’ailleurs...Très fière d’être le point de mire de tous les regards, elle s’active maintenant comme une folle sur ma queue. Je dois résister de toutes mes force mentales, détourner mon esprit de ce qui se passe plus bas pour ne pas jouir aussitôt. Pendant presque deux minutes, Il n’y a qu’elle qui bosse, si je puis dire, puis petit à petit les autres filles reprennent où elles s’étaient arrêtées. Les abandons se succèdent, je jette un œil quand une fille lève le bras pour voir éjaculer mes concurrents, d’une misérable goutte qui suinte sur un gland à une ou deux craches peu glorieuses pour d’autres. A chaque abandon, les restants se partagent les filles en surnombre et je dois dire que je les attire comme les mouches sur le cul d’une vache. Sophie fait la gueule de devoir partager sa « sucette » avec ses copines.— Eh ! Moi aussi je veux sucer « l’étalon blanc » ! — Moi aussi ! Il n’est pas qu’à toi, Sophie !
Je suis maintenant le bon dernier, tous les autres garçons font la gueule au bord de la piscine, la bite pendante entre les jambes, plus un seul n’ose se foutre de moi. J’ai maintenant rien que pour moi dix filles qui se battent pour me sucer. Il faut que je les recadre sinon ça va se finir en crêpage de chignons.— Ecoutez les filles, Il y en aura pour tout le monde... Que cinq d’entre vous se mettent côte à côte pour le premier service, les autres ne vous en faîtes pas, il y aura du rab !Avec un peu d’incompréhension elles obéissent quand même. Je me saisis de mon gourdin et me branle puis ouvre les vannes. Chacune d’elles a droit à sa dose de foutre, sur les seins pour l’une dans la bouche pour l’autre dans les cheveux pour la suivante et ainsi de suite. — Allez, maintenant laissez la place à vos copines !
Les suivantes sont si pressées qu’elles tirent par les épaules la première fournée qui termine dans la piscine pour prendre leur place. Une fois en place, elles n’en reviennent pas :— Merde ! Regardez ! Dumbo, le Puceau IMPUISSANT n’a même pas débandé après s’être vidé complètement les couilles ! Je reprends aussitôt cette péronnelle.— Complètement ? Tu en es sûre ? A voir, ou plutôt à vous de voir si votre copine à raison et à moi de vous prouver le contraire !
À suivre...
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain (e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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