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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 15

Les deux cousines chevauchent l'étalon blanc.

Inceste
Comment transformer son neveu impuissant
et harcelé en bête de sexe. 15
 Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil. -Putain de merde ! Ça c’est de la bite ! S’exclame Virginie. Excuse-moi Ambre, on a été mauvaise langue mais je vais m’en servir pour goûter son chibre.-Tu as raison Virginie, surenchérit Maelys. Il est à la hauteur de sa réputation, du moins sur ce plan là. A nous de voir si le reste est exact. Mais pour ça, c’est à nous d’œuvrer…-Mon Dieu quel engin ! S’exclame Virginie en posant une main sur la bite palpitante et en commençant un lent mouvement de va et vient.- Elle te plait maintenant on dirait ! Je constate.-Oh oui, mais elle est énorme, j’en ai jamais vu d’aussi grosse, je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts.  Suite :Eh bien, fais lui un petit bisou ! Elle est bouche bée au propre comme au figuré devant un tel engin et ne bouge plus si bien que Je finis par poser une main sur sa tête et appuis doucement mais fermement, mais elle se rebiffe, revenant brusquement à la dure réalité. -Non ! Je ne veux pas, elle est trop grosse, je n…. hhhuuummmpfffff ! Profitant  du fait qu’elle ait la bouche ouverte pour protester, J’appuie sur sa tête et l’énorme barre de chair s’engouffre en terrain conquis dans la bouche de la péronnelle qui découvre aussitôt ses limites. - Oui c’est bien ma belle, tu vois que t’arrives à prendre son gros dard en bouche, continue comme ça !                                                               Les joues déformées, les mâchoires distendues, elle se calme enfin, fermant les yeux et se concentrant sur le monstre qui envahit sa bouche et appuie au fond de sa gorge.  Maelys l’encourage :-Ce n’est pas la première bite qui franchit ses lèvres, mais c’est assurément la plus grosse et la plus longue !  Regarde Ambre ! Elle voudrait faire tourner sa langue autour de son gland mais il n’y a pas assez de place, sa bouche est complètement remplie.  Heureusement qu’elle peut respirer par le nez ! Oh merde ! Ses dents ont déchiré la peau de sa bite et il a une sacrée estafilade sur la teub, maintenant ! Pendant une vingtaine de minutes, elles s’activent sur son nœud, seule ou à deux, à deux mains ou à quatre mains, s’activant avec leur bouche qui sur le land qui sur les couilles, collant leurs lèvres de chaque coté de la formidable hampe et bavant dessus en faisant glisser leur bouche sur toute la longueur. Pendant plusieurs minutes, on entend plus que les bruits de succion et quelques commentaires salaces des cousines. Arthur donne des signes précurseurs, je vois la bite massive grossir encore plus, si c’est possible, dans la bouche de Virginie quand elle accélère sa fellation et aspire le nœud turgescent.  Je connais bien les réactions d’Arthur et je constate qu’il ne va plus tarder à juter et je préviens les cousines.-Gare aux taches les filles ! Si vous ne voulez-pas partir avec des traces de foutre sur vos vêtements, je vous suggère de vite les retirer !Elles sont si chaudes qu’elles s’exécutent aussitôt avant de revenir à la charge de la lance prête à saucer. La voix assourdie d’Arthur s’élève. -Ooohhhh oui je viens ! Avalez tout, bande de salopes !   Aussitôt, un torrent de sperme envahit la bouche de Virginie, coule dans sa gorge, et pour ne pas étouffer, elle s’extrait de cette fâcheuse position en toussant. 
— T’aimes ça hein ?! T’aimes avaler mon jus, mais qu’est-ce que tu fais ? Comme à son habitude, la lance continue d’expectorer sa crème blanche épaisse et gluante. Maelys en attente, tête contre tête avec sa cousine, vient à la curée. Les jets succèdent aux jets et ces deux petites putes de retrouvent couvertes, comme crépies, par la copieuse semence d’Arthur. Une fois la source tarie, elles se battent presque pour n’en perdre ne serait-ce qu’une seule goutte, s’appliquant à bien sucer et lécher toute la longueur de la colonne de chair striée par une marque rouge sur toute sa longueur, descendant même jusqu’aux couilles qu’elles prennent tour à tour dans leur bouche, pendant que l’autre s’attaque au gland qu’elle nettoie de subtils coups de langue et  aspirant une dernière goutte de jus qui perle du méat.-Alors les filles ! Il tient ses promesses, hein ?! Mais ce n’était qu’un amuse-gueule, si vous vous sentez d’attaque, vous pouvez vous attaquez au plat de résistance.-Tu veux dire que ? M’interroge Maelys.-Je veux dire que ! Je lui promets. Avec un peu de persévérance, vous vous rendrez très vite compte qu’il sera en forme pour un deuxième service. A vous de voir… Les filles se remettent à déguster cette friandise qui reprend vie, essayant d’en fourrer le plus possible dans leur bouche sans pour autant périr étouffer, mettant toute leur ardeur à le satisfaire.D’une voix rauque je leur ordonne :-Faites-moi plaisir, Mettez un chapeau sur ce chibre et fourrez-vous le jusqu’à la garde dans votre con avec un peu de gymnastique. Je veux vous voir gigoter comme une anguille embrochée sur un pic d’harpon!Je vois Maelys s’approcher droit sur son pénis dur et luisant de salive. Elle écarte ses lèvres intimes et guide lentement le gland qui la pénètre. La sensation doit être intense car son vagin s’ouvre comme la mer Morte sans se déchirer tellement elle est mouillée. Maelys se mord la lèvre pour éviter de crier mais continue son effort. Je regarde ce braquemard entrer en elle et écarter les chairs sans pitié. Elle pousse sur ses talons hauts pour remonter un peu et se coller sur la cloison pour profiter de la totalité disponible sortant du mur. Malgré l’obstacle, on dirait qu’il touche le fond du vagin et pourtant quelques centimètres de la bite n’ont pu être absorbés.Elle se retire presque complètement de l’engin turgescent, avant de le replanter jusqu’à la garde dans sa chatte d’un mouvement de reins, poussant de toutes ses forces l’étroitesse de son conduit sur le pieu d’Arthur.Quand enfin cette chose énorme, parvenant à se frayer un chemin, déchirant ses chairs, boute sur le col de son utérus, elle pousse un terrible hurlement, de douleur ou de fierté d’avoir  réussi à faire pénétrée en elle cette barre de fer rougie.Chacune de ses poussées la secoue jusqu’au tréfonds de ses entrailles. Elle continue de se mordre les lèvres, gémissant d’un plaisir intense, A présent que la voie est frayée, elle peut entrer au plus profond le mufle énorme dans son vagin tuméfié, chaque mouvement sur ce tison ardent lui arrachant  un cri de douleur et de jouissance entremêlés. Elle ne s’économise pas jusqu’à atteindre l’orgasme libérateur avant de céder la place à Virginie. L’excroissance horizontale sortant de la cloison attend fièrement la suite, comme indifférente à ce qui se passe de ce coté du mur. Virginie prend directement la bite entre ses nichons et commence à la branler avec. Elle pousse même le vice à l’haranguer.-Tu ne voudrais pas mieux venir nous rejoindre et jouer avec mes seins ! Mais la queue ne quitte pas le trou rond. Je m’attends à ce qu’elle se pénètre à la hussarde d’un coup de reins violent sur la verge offerte, mais au lieu de cela, elle pèse tout doucement, progressivement son pubis sur la bête, ses grandes lèvres s’écartent  et son vagin accueillant absorbe par petites secousses la poutre avec d’infinies précautions, jusqu’à la faire disparaître en entier.-Putain de merde ! S’écrie-t-elle. Ça c’est de la bite ! Je suis gavée comme une oie !Elle se pénètre, jubilant sous ses propres assauts en se tordant dans tous les sens comme un ver planté sur un hameçon, faisant semblant de vouloir échapper à ce clou de chair incandescent qui la cloue à la paroi.Je m’approche pour mieux voir la cheville qui relie les deux bassins, celui de Virginie est luisant de sueur. Sa vulve ruisselle comme une source sortant d’une fente de la terre. Des gouttes de liqueur perlent de sa toison en triangle. Le cylindre noueux parcouru de veines violettes glisse avec une puissance de piston entre les bourrelets de chair du minou de Virginie. Elle est ruisselante comme une huître et un clapotis terriblement excitant rythme le va-et-vient. Lorsqu’elle pousse son corps contre la paroi, un chuintement suggestif accompagne la disparition centimètre par centimètre, de la formidable trique dans son sexe.Elle finit elle aussi à prendre son pied sans pour autant avoir fait rendre les armes à Arthur. Elles reprennent donc une fellation double, se retirant la friandise de la bouche toujours d’une imposante raideur à tour de rôle avant que la cartouche ne s’engage dans le canon et qu’il gronde à nouveau.Elles sont à genoux, une main entre leurs cuisses pour se doigter la minette et l’autre s’occupant du pieu près à cracher. Elles gémissaient en le masturbant, donnant des petits coups de langue sur le gland. Arthur se met à nouveau à éjaculer abondamment mais elles ont retenu la leçon et n’en perdent pas une goutte, chacune à son tour s’abreuvant de la divine liqueur. Une fois l’orage passé, elles se penchent en arrière, la bouche ouverte pour me montrer le sperme encore à l’intérieur de leur bouche avant de la fermer pour avaler son jus. Ensuite, elles rouvrent la bouche pour fièrement me montrer qu’elle est vide de la dose de crème.-C’est qui ce mec ? Il a pratiquement éjaculé aussi fort que la première fois. Me demande Virginie.— Un putain d’étalon reproducteur ! Surenchérie Maelys. Tu peux nous le présenter maintenant, Ambre. On ferait bien un petit trio avec lui, ou même un quatuor avec lui à la coloc.-Désolée Maelys, je lui rétorque. Mais il veut préserver son identité, sinon il croulerait sous les demandes.Elles partent, un peu déçues, mais moi aussi, je veux qu’il se réserve pour moi, et peut-être aussi pour sa tante et sa mère. D’ailleurs j’ai reçu un appel de Nadège, elle veut qu’on se retrouve toutes les trois chez elle samedi avec Arthur, et il va falloir qu’il recharge ses accus à bloc. (Cécile)Je ne sais que penser de l’invitation de ma sœur Nadège. Je sais bien que c’est un peu grâce à elle que maintenant je retrouve de la joie de vivre sous mon toit avec « l’étalon blanc), comme le surnomme Ambre. Je le voudrais pour moi toute seule et je vais devoir le partager avec elles. Je n’ai jamais pratiqué ça de ma vie et je ne sais pas comment je vais me comporter…Le jour arrive et j’y vais accompagnée d’Arthur, complètement détendu. Comment à son âge peut-il avoir un tel flegme ? Il sait pourtant bien que ça va tourner à l’orgie et que trois gourmandes voudront sucer son sucre d’orge ! Enfin…aléa-jacta-est. A suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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