Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil.(Cécile)Je ne sais que penser de l’invitation de ma sœur Nadège. Je sais bien que c’est un peu grâce à elle que maintenant je retrouve de la joie de vivre sous mon toit avec « l’étalon blanc), comme le surnomme Ambre. Je le voudrais pour moi toute seule et je vais devoir le partager avec elles. Je n’ai jamais pratiqué ça de ma vie et je ne sais pas comment je vais me comporter…Le jour arrive et j’y vais accompagnée d’Arthur, complètement détendu. Comment à son âge peut-il avoir un tel flegme ? Il sait pourtant bien que ça va tourner à l’orgie et que trois gourmandes voudront sucer son sucre d’orge ! Enfin…aléa-jacta-est.Suite :Nous nous retrouvons donc les quatre dans le salon privé de ma sœur, elle nous reçoit uniquement vêtue d’un déshabillé qui n’en à que le nom car il ne cache pas grand-chose. Ambre et en minishort et en top blanc minimaliste, et moi j’ai mis ma petite jupe plissée (avec rien dessous).Arthur se comporte comme le roi du même nom et Ambre a tôt fait d’extraire Excalibur du rocher, enfin j’espère que vous me comprenez… Nous nous mettons à trois pour le dévêtir et il se retrouve nu comme un ver, avachi sur le canapé avec sa dague qui pointe vers le ciel. Je remarque étonnée et un peu inquiète une estafilade rouge qui strie la hampe majestueuse du gland presque jusqu’à ses bourses. Je lui demande :-Mon Dieu ! Qui t’a fait ça ? C’est toi Ambre ? Ça te fait mal ?-Non, rassure-toi maman, ce n’est rien, un accident de parcours. Murmure-t-il.Nadège décide de prendre les choses en main et explique en quelques mots ce qui va se passer.-On va déjà « chauffer la bête », Il faut toujours un bon échauffement avant de faire du sport, même en chambre pour éviter les claquages. Une petite fellation collective pour commencer et après on va mettre à contribution notre étalon, mais pour pas faire de jalouses, il va s’occuper de nous toutes en même temps. Pendant que l’une fera du rodéo sur sa bite, une autre se fera dévorer la foufoune sur sa bouche et la troisième se fera caresser la poitrine ou doigter la minette à son choix. Il n’y aura que nous qui serons actives pour ménager les forces de notre pur-sang. Ah ! Autre chose. Si vous ne vous y opposez-pas, je vais nous filmer, mais pour garder votre anonymat, je vais mettre une cagoule sur la tête d’Arthur avec des trous pour le nez et la bouche et vous allez porter un loup. Moi je ne mets rien puisque le film servira pour certains de mes patients.Et je jeu des chaises musicales commence. Arthur s’active avec ses lèvres sur ma chatte et je ne tarde pas à l’abreuver de ma cyprine pendant que ma sœur me regarde et me plote les seins tout en jouant l’amazone en montant à cru sur le bélier de mon fils. Ambre n’est pas en reste et me donne ses lèvres en se faisant doigter par Arthur.Régulièrement nous changeons de position et par trois fois déjà, il a craché sa gourme sans pratiquement débander. Inquiète, j’en informe ma sœur.-C’est pas normal, ça fait plus d’une demi-heure qu’il bande comme un âne et malgré ses jouissances, sa queue et toujours aussi grosse.-Ne t’inquiète-pas sœurette ! Dans la boisson que le lui ai fait prendre tout à l’heure, J’y avais dissous un comprimé de Viagra pour qu’il tienne le choc. Entre ses capacités déjà peu communes et l’aphrodisiaque, rien d’étonnant pour lui d’être « toujours en forme ».Nous continuons donc notre « activité ». Arthur doit toujours rester le plus passif possible. C’est mon tour de le chevaucher pendant qu’Ambre s’occupe de la tête de mon fils coincée entre ses cuisses fuselées pour qu’il lui dévore encore une fois la chatte, la musique à fond avec un casque sur ses oreilles. Comme il court deux lièvres en même temps, l’esprit occupé par ce que fait sa langue dans la fente d’Ambre, il est moins attentif à ce que je fais sur sa trique massive pendant que Nadège à pris un caméscope pour faire des gros plans.Quand soudain :
-Putain de merde ! Maman tu exagères ! Maintenant tu organises des parties fines directement dans ton salon ! Qui c’est, ces deux poufiasses qui font du cheval sur cet homme ?En entendant ces cris, je tourne la tête et découvre horrifiée la fille de Nadège. Le pire c’est quand une autre fille entre à son tour…ma fille… Mais que font-elles là ? Je ne savais même pas que ma nièce était rentrée d’Angleterre… J’expulse la bite de ma chatte et me redresse à coté d’Arthur toujours en pleine action avec Ambre, puis essaie de me cacher à leurs vues. Ils n’ont rien entendu…elle avec son casque et lui avec les cuisses de la fille qui obturent ses oreilles. Mais ce que dit ensuite ma fille Maelys est encore plus traumatisant pour moi.-Telle mère, telle fille. Virginie, je comprends pourquoi tu aimes tant le sexe, tu as été à bonne école avec ta mère… Mais regarde ! On connait cette queue ! Tu ne reconnais-pas la trace que tes dents ont laissées sur le chibre de « l’étalon blanc ? Mais alors la fille doit être…Ambre !Elle s’approche rapidement de la petite copine de mon fils et lui retire son casque et son loup.-Alors comme ça Ambre, on n’est pas assez bonnes pour lui mais pour toi et deux couguars, là il n’y a pas de problèmes !!! Je vois quand même que tu lui a mis une cagoule sur la tête pour qu’elles ne puissent voir son visage et bavasser avec leurs copines sur lui. Continue de te faire bouffer la chatte, pendant ce temps, nous, on va s’occuper de son barreau de chaise qu’elles n’ont même pas réussi à satisfaire.Elles se mettent chacune d’un coté d’Arthur et branlent à quatre mains son braquemard qui n’en demandait pas tant.-Nooonnn ! Vous ne devez pas ! S’écrit Nadège, c’est…-Oui on sait. C’est un très bon coup, la coupe sa fille, tu ne veux pas partager avec nous ?-Ce n’est pas ça, lâche Nadège, c’est, c’est…Mais elle n’a pas le temps de trouver ses mots que la situation dégénère encore plus et que Maelys chevauche le corps d’Arthur et se poignarde la chatte dessus sans même retirer sa culotte.-Aaahhh ! C’est quand même plus pratique comme ça sans faire les acrobaties de l’autre jour. Ça c’est de la queue de compétition qui n’attendait qu’une jeune pouliche. Et toi Ambre, pousse-toi pour que virginie prenne ta place.Ma sœur et moi, ne savons plus quoi faire sans envenimer encore plus les choses. Virginie retire prestement sa culotte et se met entre Maelys et Ambre. Elle la pousse brusquement pour aussitôt prendre sa place sur la tête d’Arthur. Je me demande même s’il a eu le temps de voir qui dorénavant se fait dévorer la foufoune.Sans même interrompre leur occupation, elles font passer par-dessus tête leur haut et retire leur soutien-gorge. Elles s’activent de longues minutes, inondant de leur cyprine la bouche et le sexe d’Arthur avant qu’une quatrième fois dans la soirée, il se vide dans le vagin de ma nièce qui aussitôt houspille sa cousine.-Dégage de là que je lui fasse déguster son sperme ! J’aurais cru qu’il m’aurait remplie plus que ça vu mes souvenirs!Maelys rampe sur le corps d’Arthur en se servant de ses mains et de ses fesses et j’assiste à un troisième cunnilingus de suite. Mais Maelys et vraiment déchainée et s’emporte :-Tu ne vas pas t’en tirer comme ça. Je ne me contente plus d’avoir sucé ta grosse queue et de m’être donné du plaisir avec, tu vas changer de lèvres, je vais te rouler une galoche mais je veux connaître ton visage.Elle se redresse, Le prend par le cou pour lui retire la cagoule et se penche pour lui rouler un patin d’enfer quand elle s’interrompt en découvrant le visage de son frère.– Hey! Sainte Marie mère de Dieu ! Mon frère, mon puceau de frère ! J’ai baisé Arthur, Virginie ! Et toi tata, tu n’as pas honte d’avoir dévergondé ton neveu pour le plaisir de ces poufiasses mal baisées qui veulent de la chair fraîche ! Mais alors…il faut que j’en ais le cœur net.Maelys se précipite sur moi qui aurais voulu disparaître dans un trou de souris et m’arrache le masque qui dissimule mon visage.-Quelle horreur ! Maman ! Quelle famille de désaxés ! Pas l’une pour rattraper l’autre ! J’étais déjà outrée que ma tante se tape mon frère, mais toi, toi ! Comment as-tu pu faire ça ? Puis se tournant vers ma nièce, viens Virginie, on ne peut pas rester une seconde de plus dans cette maison de fous.Elle se rhabille ainsi que Virginie et quitte le salon. Ma nièce tourne une dernière fois la tête vers Arthur avant de passer la porte, comme à regret de devoir abandonner cette lance qui a à peine baissé la tête après son dernier exploit.-Dommage ! Et elle referme la porte.Après cette intermède, le cœur n’y est plus et nous mettons fin à cette drôle de réunion de famille. À suivre…J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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