Suite à la demande de mes fans, j’ai écrit une suite à cette histoire. J’espère qu’elle vous plaira. Vous pouvez aussi découvrir la plastique d’Arthur sur ma page d’accueil. Je comprends mieux maintenant les recommandations de Nadège, il faudra que je la remercie. Nous retournons dans le solarium et après une douche revigorante, je demande à Arthur de m’oindre le dos de crème pour le bronzage. Il s’applique consciencieusement et quand je me retourne pour lui demander de faire le coté face, je me retrouve face à une barre tendue entre ses cuisses. -Mais c’est pas vrai ! Tu es un vrai faune, toi ! Mais cette fois-ci, laisse-moi faire… Suite : Je le fais s’étendre sur le sol et cette fois, c’est moi qui mène la danse. Il m’a fallu toute ma science et un tour complet de la petite aiguille pour qu’il rende enfin les armes. Je suis complètement vidée mais il était hors de question que j’abdique devant lui. Je comprends mieux maintenant ce que voulait dire Nadège en parlant de son endurance. Je me demande si… Le lendemain matin, je me lève est repense encore à la baise torride que j’ai eu avec le neveu de ma meilleure amie et collègue. J’en suis encore tout excitée et mon vagin tout endolori, je repense à ce sexe énorme et infatigable et au bien qu’il m’a procuré. Ce n’est pas très professionnel de dire ça mais je n’ai qu’une envie, c’est de recommencer… Le problème, c’est que je suis si boulimique qu’en un rien de temps c’est moi qui le supplie. Ça le fait rigoler quand j’aborde le sujet. Avec certains de mes patients, surtout des couples, je leur propose pour vaincre des interdits ou débloquer leur libido, ou des trios, ou pour un mari voyeur et candauliste, de faire participer Arthur, le visage dissimulé sous une cagoule pour garder son anonymat. Souvent mes patients tiquent un peu au début en remarquant assez facilement la jeunesse d’Arthur, les hommes surtout. Mais quand les femmes découvrent ébahies l’organe de « mon poulain », on ne peut plus les retenir. Certains hommes même ne peuvent résister et en présence ou avec l’aide de leur épouse, prennent en main ou en bouche cette poutre infatigable jusqu’à la faire dégorger. Le bouche à oreilles fait que maintenant, il faut attendre deux à trois mois pour prendre rendez-vous à mon cabinet.
Je donne aussi des cours dans un hôpital universitaire dans ma branche si spécifique de la médecine, la sexologie. Pour étayer mon cours, j’ai demandé à Arthur s’il voulait bien servir de cobaye au lieu des habituels mannequins anthropomorphiques. Rien ne le rebute et il accepte cette nouvelle expérience. Nous nous retrouvons donc tous les deux devant un amphithéâtre assez bondé car j’ai fait courir le bruit que cette année le cours serait « plus vivant », si vous voyez ce que je veux dire. Les futurs médecins sexologues ne savent comment réagir quand je fais entrer Arthur, cagoulé. Je demande deux volontaires pour venir le dévêtir, ne lui laissant que son slip. -Mesdemoiselles, messieurs ! Ce jeune homme a bien voulu servir de support bénévolement à ce cours et vous permettra de mieux comprendre les fonctions du corps humain et de l’organe reproducteur masculin en particulier. Pour mieux voir, j’ai sélectionné un homme suffisamment pourvu de ce coté là. Mesdemoiselles, voulez-vous retirer son slip… Elles s’exécutent et un brouhaha se répand dans l’amphi. -Vous pouvez constatez que l’âge n’a rien à voir avec la taille de la verge. La taille du pénis humain tourne en moyenne au moment de la copulation autour des treize à seize centimètres avec une circonférence entre dix et quatorze centimètres. Mesdemoiselles, que l’une prenne une règle rigide et l’autre un mètre de couturière et mesurez chacune l’une de ces deux côtes puis annoncez le résultat. -Quatorze centimètres. -Quatorze centimètres. -Bien. Ce jeune homme a donc un sexe bien au dessus de la moyenne. Le, ou plutôt les deux problèmes avec des hommes dotés d’un gros sexe c’est que souvent ils viennent voir les sexologues pour des problèmes d’érection trop « molle » ou pour des problèmes d’éjaculation très faibles et difficiles à atteindre. Il y a-t-il deux autres volontaires pour la suite, faire « bander » notre cobaye ? Je n’ai que l’embarras du choix car pratiquement toutes les filles et même quelques garçons ont levé le bras, je choisis un de chaque sexe. -A vous d’œuvrez… Les trois filles car les deux premières n’ont pas voulu partir et le garçon s’occupent de caresser tout le corps d’Arthur et plus particulièrement son entre-jambe. Les caresses chastes ne durent pas. Les filles se battent presque pour lui masser les couilles, le branler et jouer avec son nœud qui grossit et grandit à vitesse grand V. L’une d’elles l’embrassant à pleine bouche, les langues dansent ensemble et s’emmêlent alors que les salives se mélangent. Une autre finit par se pencher pour venir lécher son énorme phallus, promenant sa langue sur son gland et chatouillant son frein, avant de prendre cette belle verge en bouche pour l’aspirer tout en massant ses baloches, Arthur place une main dans ses cheveux pour la faire descendre de plus en plus loin sur son pieu, avalant presque entièrement sa bite, aspirant et suçant comme une affamée l’organe. -Holà ! Holà ! Stop ! Reculez-vous tous pour que vos futurs collègues profitent aussi du spectacle. Bien, vous constaterez que notre cobaye, contrairement à mes dires de tout à l’heure, « bande comme un âne ». Vous remarquerez l’exceptionnelle rigidité de son pénis qui malgré son poids se dresse fièrement vers le ciel. Il y a toujours des exceptions à la règle. Tiens, en parlant de règle, au boulot mes demoiselles… -Vingt centimètres pour la longueur. -Dix sept centimètres pour la circonférence. -Pour ce qui est de la taille, c’est déjà assez peu commun, plus ou moins deux ou trois pour cent des hommes européens sont dans ce cas. Pour ce qui est du diamètre de cette verge, c’est tout autre chose. De telles dimensions sont rarement atteintes, moins de un pour cent. La combinaison des deux place notre cobaye dans une catégorie assez restreinte. Je vais demander à mes assistantes et assistant de céder la place à quatre autres volontaires. C’est presque la foire d’empoigne et je dois faire la police et choisir moi-même. -Toi, toi, toi et toi. Bien, vous avez compris, je présume, la phase suivante. Vous devez le mener jusqu’à l’orgasme mais vous reculerez pour que tout l’amphi puisse voir les dernières phases du plaisir et libérerez son chibre au moment de l’éjaculation. Allez ! Au boulot ! Je n’ai jamais vu mes étudiants si concentrés sur ce qui se déroule sur l’estrade et des volontaires si consciencieux. Mais malgré la stimulation démultipliée de mes élèves, Arthur résiste pratiquement dix minutes avant d’attirer mon attention en grognant. Je fais reculer avec difficulté tout mon monde. -Stop ! Stop ! Arrêtez tout ce que vous faites et éloignez-vous du champ des caméras. Les premiers rangs ont les yeux tournés vers le podium et les plus éloignés fixent les écrans disséminés de chaque coté de l’amphi. La colonne de chair est enfin libre de toutes entraves. Un « Ooohhh ! » suivit de plusieurs « Ouuuiii ! »Sort des multiples bouches à l’unisson à chaque éjaculation dantesque de cette formidable lance, rythmée par les contractions du périnée contrebalancées par la gravité qui la font osciller de bas en haut. Comme à son habitude, les premiers jets sont si puissants qu’ils tracent sur le sol plusieurs trainées blanchâtres après des arabesques dantesques dans l’air. Si vous êtes des aficionados du biathlon, c’est la même ambiance que sur le pas de tir quand l’athlète tire chacune de ses cinq balles avec un OOOUUUIIIHH !!!sonore à chaque cible qui bascule. Je demande à l’une de mes étudiantes de mesurer au sol la distance la plus grande séparant la goutte de sperme la plus éloignée des orteils d’Arthur. Elle doit s’y prendre à deux fois car le mètre de couturière est insuffisant, et à une autre de comptabiliser le nombre de trainées. -Un mètre soixante huit ! -Cinq, six, sept, huit ! Je reprends la parole après un silence peu habituel dans cette enceinte : -Comme vous le constatez, il ne faudra pas dans votre futur cabinet prendre pour argent content toutes les statistiques et les affirmations dont on vous farcit la tête et faire vous-même votre diagnostique. Mais que faîtes-vous Sylvie ? Elle n’a pas pu résister et nettoie avec avidité la verge souillée qui avait perdu sa dureté de manche de pioche. Cette petite pute suce avec gourmandise le prépuce, aussitôt rejointe par une autre fille jalouse. Les regards sont toujours fixés sur les écrans et sont ébahis en voyant le résultat rapide obtenu par ces deux gourmandes. Le gros dard qui avait baissé de la tête et perdu une trentaine de degrés par rapport à l’horizontal redevient le jonc vigoureux en quelques minutes et relève la tête. -Tss, tss, tss les filles ! Qui vous a permis ? Reculez-vous, je vous prie ! Et me retournant vers mon public. Pour la plupart des hommes, il faut plusieurs dizaines de minutes, sinon plusieurs heures avant de pouvoir de nouveau copuler. Mais pour de rares cas, certains hommes, le plus souvent de jeunes hommes au summum de leur capacité sexuelle, peuvent passez-moi l’expression, remettre le couvert presque immédiatement une deuxième fois, et même une troisième fois. Messieurs… Ne vous sentez-pas rabaissés… Il n’y a pas plus d’athlètes qui font le cent mètres en moins de dix secondes que d’hommes qui ont de telles capacités sexuelles. Vous comprenez maintenant pourquoi j’ai voulu garder secrète son identité. Monsieur X, merci de votre coopération, vous pouvez vous retirer. Mesdemoiselles, aidez-le à se rhabiller. Elles sont déçues de devoir cacher avec peine, l’objet de leur convoitise mais s’exécutent et Arthur quitte l’amphi. -J’espère que ce cours un peu particulier vous a informés sur les possibilités du corps humain qui sont loin d’être toutes explorées. Et vous mesdemoiselles, contentez-vous du commun des mortels car vous avez plus de chance de gagner le gros lot au loto que d’avoir comme compagnon un homme qui cumule comme notre cobaye toutes ses capacités. Si vous dégottez déjà chez votre partenaire ne serais-ce qu’une seule de ces capacités, votre serez la plus heureuse des femmes… (Et dans mon for intérieur, j’en sais quelque chose.) Arthur est resté quatre ans chez moi, les plus belles années de ma vie, jusqu’au jour où il a trouvé chaussure à son pied. Il m’a raconté ses expériences précédentes et je ne sais pas s’il se contente maintenant de son épouse ou trempe encore son biscuit dans le cloaque familial. Avec moi, il n’a jamais rompu le pacte avec sa femme et je dois faire ceinture. Mais j’ai l’occasion une fois par an de refaire ce cours si particulier avec mes étudiants. Ce cours a maintenant une telle renommée que pas mal de mes confrères et consœurs réservent le premier rang de l’amphi pour admirer mon poulain, cet étalon blanc infatigable qui conserve toujours son anonymat. Je ne sais pas si sa femme est au courant de ce jour si particulier… J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos likes pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
