Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 71 J'aime
  • 5 Commentaires

Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 22

La bête de sexe rencontre Damien et Sophie

Inceste
La bête de sexe rencontre Damien et Sophie. 1


Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur, mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne d’ailleurs dans un premier temps la parole à Damien qui m’a sollicité pour que j’écrive cette nouvelle histoire.
Sophie et moi (Damien) essayons d’avoir un autre enfant, mais ça ne prend plus, Sophie est de plus en plus pressée et a peur de ne plus en avoir. Elle a quarante ans, 1m60, blonde, cheveux coupés au carré avec des yeux noisette clair qui tire un peu sur le vert, bien foutue et qui prend énormément soin d’elle. Elle a encore un corps superbe après ses maternités. Une belle poitrine encore ferme, ni trop menue, ni trop lourde avec ses aréoles bien roses au centre desquelles pointent de petits tétons. Elle a déjà eu des aventures qu’elle a partagées avec moi pour certaines, mais maintenant elle veut connaître à nouveau la maternité. Pour combler cette peur, elle se ferait sauter par n’importe lequel de ses anciens amants, mais le Covid a chamboulé ses plans.
Au même étage que nous dans notre petite résidence vient d’emménager un jeune ingénieur. Il a le même type d’appartement en duplex que nous, cuisine et salon en bas et deux chambres et salle de bain en haut. Cette résidence est super-sécurisée et un système vidéo nous permet de contrôler tous les espaces communautaires par des caméras que l’on peut visionner sur une chaîne attitrée sur sa télévision.
Plusieurs fois, j’ai vu le voisin aider ma femme à porter ses courses. C’est un jeune homme serviable prénommé Arthur. J’aime bien regarder ce qui se passe dans notre résidence et je laisse parfois en fond d’écran la chaîne dédiée sur ma télévision. On peut à la demande passer d’une caméra à l’autre ou mettre en gros plan sur une seule. La caméra installée dans la buanderie me fait découvrir notre voisin en train de faire sa lessive. Je ne sais pas si c’est une habitude chez lui ou alors qu’il a peu d’habits, mais je le surprends en train de transférer son linge de la machine à laver au sèche-linge, il est en slip et torse nu. Sur ces entrefaites, la porte s’ouvre et Sophie entre pour transférer elle aussi son linge de la machine à laver au sèche-linge. Elle est un peu surprise de la tenue du voisin, mais après un moment d’hésitation fait comme si c’était parfaitement normal d’être en slip dans les parties communes.
Après avoir réglé le programme de la machine, elle va s’asseoir sur le banc à côté du voisin. Ni l’un ni l’autre ne porte de masque à cause du covid, mais comme ça fait deux semaines que nous sommes enfermés, le risque est pratiquement nul d’être contaminé. La caméra est placée au-dessus des machines et je vois de face Sophie qui ne peut s’empêcher de regarder discrètement le slip d’Arthur qu’un gros paquet gonfle sur le devant. Sans tenir compte de ma femme, il pose sa main dessus pour se gratter les couilles sous le regard gourmand de Sophie, surprise, très agréablement surprise par la vision qu’il lui donne. Je connais bien ce regard et je crois qu’elle a une idée derrière la tête. Arthur est bien foutu, un ventre plat où se dessine des abdominaux de jeune sportif, un bassin assez étroit et je suis aussi surpris que Sophie de deviner un service trois pièces que je verrais plus sur un beau black baraqué d’un mètre 95.
Mais contrairement à ce que je redoutais, il ne se passe rien. Ils récupèrent chacun leur linge sec. Arthur enfile un de ses tee-shirts et son pantalon puis avec courtoisie ouvre la porte à Sophie. Je les vois maintenant avec la caméra des escaliers et j’ai comme l’impression qu’il en profite pour la coller le long du mur. Je coupe vite la télévision quand j’entends la porte s’ouvrir, faisant comme celui qui n’a rien vu. Sophie pose sa corbeille de linge dans la salle de bain et revient dans le salon. Toujours aussi directe, elle m’annonce :
— Je viens de rencontrer Arthur dans la buanderie en petite tenue. Ce petit jeune est plutôt bien fichu, mais ce qui m’a le plus scotchée, c’est ce que cache difficilement son slip. Bien que son sexe fût complètement au repos, j’avais sous les yeux une grosse chose flasque très prometteuse à peine dissimulée. Tu sais que j’ai envie d’un enfant au plus vite et que nous sommes coincés ici pour un temps indéfini à cause de cette saloperie de virus. Je sais que ça va peut-être te faire du mal, mais comme avec toi tu n’arrives pas à me mettre en cloque, si tu m’y autorises comme tu l’as déjà fait avec d’autres hommes, pourquoi ne pas se servir du voisin comme donneur de sperme. Et il n’y aura pas besoin de pipette, directement du producteur au consommateur. Et comme je sais que tu aimes épier, je m’arrangerai pour que ça se passe dans notre loft que tu trufferas de caméras très discrètes.

Que lui répondre ? Je suis d’un caractère jaloux qui s’émousse petit à petit et je sais très bien qu’elle n’en fera qu’à sa tête que j’approuve ou non sa proposition, alors autant en profiter. Ce n’est pas que ça me fasse plaisir d’être rabaissé comme ça au rang d’eunuque, elle me connaît très bien et sait que j’aime la voir prise par d’autres hommes.
Je sais qu’avec mon sexe des plus communs, je n’arrive pas à la combler autant qu’elle le désire et que la première fois qu’elle m’a trompé, c’était avec Antoine, mon meilleur copain et sa queue de compétition. Alors pourquoi pas avec le jeune voisin, et en plus ça égaiera un peu la prison qu’est devenue notre appartement depuis tant de semaines. Heureusement que j’ai tout le matériel voulu à la maison, et en un rien de temps le duplex est devenu un vrai plateau de cinéma.
Nous avions pris l’habitude de grouper nos courses pour qu’une seule personne de la résidence aille faire les magasins. Ça fait déjà plusieurs fois que Sophie chauffe Arthur et après un moment d’hésitation, elle déclare qu’elle est pratiquement certaine qu’il ne résistera plus à ses avances.
Elle a donc invité Arthur chez nous et m’a donné une liste de courses longue comme le bras pour qu’il comprenne bien que je ne reviendrai pas avant plusieurs heures. Les courses... Elles sont déjà faites et sont à côté de moi dans mon petit bureau où je me suis réfugié.Je les observe et les écoute avec les différentes caméras. Comme à son habitude, Sophie fonce bille en tête :
— Ecoute Arthur, je vois bien que je ne te laisse pas indifférent et toi aussi tu me plais. Tu n’es pas puceau tout de même ? Si tu le désires, on a pratiquement une heure ou deux devant nous pour une partie de jambe en l’air, qu’en penses-tu ?— Vous n’y allez pas par quatre chemins, Sophie... Non, je ne suis plus puceau ! Et si je vous expliquais pourquoi et comment, je ne sais même pas si vous ne me traiteriez pas de grand mytho. Quand j’ai loué ce loft, c’était pour ne plus cohabiter avec ma logeuse (Prudence, épisodes 20 et 21) qui profitait un peu trop de moi. Bien sûr que vous me plaisez, mais Damien, votre mari ?— Ne t’occupe pas de ça Arthur, c’est entre lui et moi. Je ne vais pas te mentir, je voudrais un enfant et il n’arrive pas à m’en donner un. Si tu acceptes de m’engrosser, il sera le plus heureux des hommes.

Elle y va fort et ma fierté d’homme viril en prend un sacré coup. Mais autant qu’elle fasse ça devant moi plutôt qu’avec un inconnu derrière mon dos.
— OK, OK, mais ça s’arrêtera là pour moi, je serai peut-être le géniteur, mais Damien sera son papa.— Je ne le conçois que comme ça, le rassure Sophie en le caressant. Il se laisse faire et la main de ma femme finit entre les jambes d’Arthur.— Hummm, prometteur tout ça. Mais je demande à voir...
Et ni une ni deux, elle ouvre sa braguette et en femme experte plonge sa main dans le pantalon d’Arthur pour mettre à la lumière son sexe, mais se heurte à son boxer.
— Pas mal, pas mal... Laisse-moi te retirer ton pantalon que je puisse voir les deux orphelines. Je crois que j’aimerai cette queue que je présume grosse et longue pour toutes les émotions qu’elle me donnera.

Elle retire le pantalon, il se soulève pour faciliter la manœuvre et je zoome, les yeux fixés sur le caleçon qui laisse entrevoir une bosse bien prometteuse. Se pourrait-il qu’Arthur bande déjà ? Glissant ses mains de chaque côté du boxer, elle le baisse par petits coups, contemplant avec stupéfaction une verge rosée et énorme qui n’est même pas en érection et doit bien faire dans les 14/15 centimètres reposant sur des couilles de belle taille bien collées de chaque côté de la hampe flasque. Ce qui me scotche le plus par rapport à son physique, c’est le diamètre de ce pénis au repos qui est déjà plus gros que le mien quand je suis « en pleine forme ».
— Je ne m’étais pas trompée l’autre jour à la buanderie, savoure Sophie. Si la suite est aussi exceptionnelle que ce que j’ai déjà sous les yeux, je vais joindre l’agréable à l’utile...

A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live