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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 23

le voyeur, sa femme et Arthur, l'étalon blanc.

Inceste
Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne d’ailleurs dans un premier temps la parole à Damien qui m’a sollicité pour que j’écrive cette nouvelle histoire.
Elle retire le pantalon, il se soulève pour faciliter la manœuvre et je zoome, les yeux fixés sur le caleçon qui laisse entrevoir une bosse bien prometteuse. Se pourrait-il qu’Arthur bande déjà ? Glissant ses mains de chaque côté du boxer, elle le baisse par petits coups, contemplant avec stupéfaction une verge rosée et énorme qui n’est même pas en érection et doit bien faire dans les 14/15 centimètres reposant sur des couilles de belle taille bien collées de chaque côté de la hampe flasque. Ce qui me scotche le plus par rapport à son physique, c’est le diamètre de ce pénis au repos qui est déjà plus gros que le mien quand je suis « en pleine forme ».
— Je ne m’étais pas trompée l’autre jour à la buanderie, savoure Sophie. Si la suite est aussi exceptionnelle que ce que j’ai déjà sous les yeux, je vais joindre l’agréable à l’utile...

Suite :Le garçon sait de toute évidence qu’il est bien monté. Sophie, émoustillée, ne peut s’empêcher de prendre la bite avec ses deux mains, la sentant presque immédiatement gonfler et se raidir entre ses doigts. Le bâton devenu noueux est sur le podium des plus grosses queues qu’elle ait vues jusqu’à ce jour. Elle prend la main d’Arthur qu’elle glisse sous sa jupe retroussée et l’insère sous mes yeux dans sa petite culotte. Elle descend une main entre les cuisses du garçon, puis reprend sa verge qu’elle branle lentement.
— Hummm, oui, caresse ma chatte pendant que je branle ta queue.

Arthur ne peut rester de marbre, mais c’est son chibre qui petit à petit continue à prendre de la consistance. Je me remémore ma femme avec Antoine puis avec les noirs hyper-membrés (ma découverte du candaulisme, épisodes 1 à 7). Antoine est battu à plate couture et Arthur n’a rien à envier aux autres. Son sexe est plus court que ceux disproportionnés des noirs, mais il leur en remontrerait question calibre. Comment un jeune homme peut-il être monté si gros ?
— Putain ! s’exclame Sophie, toi tu as déjà dû faire des ravages ! Hummm, elle est belle ta bite, tu n’as rien contre une petite gâterie, tu aimes ? En tout cas, moi j’adore, elle doit être bonne ta queue... Je vais te sucer jusqu’à ce que tu te vides les couilles dans ma bouche.
Arthur lui donne un ordre :
— Déshabille-toi entièrement, ne garde que tes chaussures.

Sophie ne met pas longtemps à se débarrasser de sa jupe, de son haut, son soutien-gorge et de son string. Elle apparaît devant lui, les jambes légèrement écartées laissant deviner son sexe glabre, cambrée sur ses hauts talons, sa généreuse poitrine fièrement dressée. Je ne perds rien du spectacle. Arthur retire ses propres habits. Tout en caressant les grosses couilles lisses de tout poil du gamin, Sophie approche sa bouche du phallus, puis posant délicatement ses lèvres sur la chair à vif, elle sort sa langue, lèche à petits coups le gland violacé, arrachant des gémissements à Arthur, heureux d’être sucé de la sorte et qui pose une main sur la nuque de Sophie. Sans un mot, elle prend le chibre entre ses mâchoires distendues à l’extrême. Comment va-t-elle faire avec ce monstre qui grossit encore entre ses lèvres ? D’une main habile, elle tire sur le prépuce pour décalotter le gland congestionné, aussi imposant qu’un brugnon.
Elle ouvre sa bouche en grand et enfourne le bout de la verge, faisant tournoyer sa langue sur le méat entrouvert, pointant le bout de sa langue dans sa fente étroite qui laisse suinter déjà un peu de pré-sperme. Excitée par l’odeur qui se dégage du pénis massif, Sophie s’applique à sucer le membre avec application, se doutant que le jeune homme ne pourra pas s’empêcher de bientôt décharger tout son foutre.

Mais malgré son expérience, il lui faut plusieurs minutes pour arriver à ses fins.
— Ah... ah... salope de voisine... je vais cracher... oh putain, gare à la dose !

Mais Sophie ne se retire pas et Arthur pose ses deux mains dans les cheveux de ma femme. Je la vois comme convulser et repousser le garçon avec force en toussant et crachant pendant que lui continue à éjaculer sur le visage grimaçant de ma compagne. Je croyais qu’elle n’aimait pas ça...
— Excuse-moi Sophie, j’aurai dû te prévenir plus tôt.— Mais non... Tu es un sacré phénomène toi, mais j’espère pour toi que tu as plusieurs coups dans ton fusil, moi j’ai une petite envie là (en montrant sa vulve), tu peux remettre ça ?— Plus tôt que tu ne crois, mais je vais te détruire.— Ne crains rien, le rassure Sophie, j’ai l’habitude des gros calibres, et j’adore ça !

C’est au tour d’Arthur de s’occuper de ma « Sosso », à petits coups de langue, il descend le long de son cou, de son buste, gratifiant de baisers au passage les seins aux pointes dardées, s’attardant au ventre palpitant. Elle s’abandonne, se laisse manipuler sans la moindre résistance jusqu’à l’insoutenable par les mains et la bouche expertes. Il lui écarte doucement les jambes et sa main droite, se rapproche lentement et progressivement de la vulve bombée entre les cuisses ouvertes.
Il effleure plusieurs fois la zone sans en franchir la porte, provoquant chez Sophie des frémissements de plus en plus intenses. Les doigts sur le pubis de ma femme deviennent plus inquisiteurs et commencent à masser lentement les grandes lèvres de son vagin. Sophie soupire, écartant davantage les jambes pour marquer son assentiment. Elle chavire au contact de son pubis qui frotte contre cette main habile qui éprouve l’élasticité de sa motte. Le voisin appuie davantage ses caresses, tout en écartant ses lèvres intimes, il introduit deux doigts dans les replis de la chatte offerte, lui arrachant un petit cri. Lentement, gardant uniquement le majeur fiché dans son vagin, il tourne sa main pour masser du pouce son petit œillet sans jamais chercher à en forcer l’entrée. Je vois la verge d’Arthur se remettre de son premier exploit et reprendre ses proportions dantesques.
Il la force à se coucher sur la table du salon et se met à lui pétrir les seins, les masser longuement en les faisant rouler dans ses paumes. On dirait qu’elle apprécie énormément cette caresse et gémit doucement. Ses gémissements s’amplifient lorsque Arthur recommence à introduire un doigt dans son sexe, le faisant lentement coulisser dans sa grotte trempée. Un deuxième puis un troisième doigt viennent prêter main forte, si je puis dire.
Mon épouse, les yeux fermés, commence à accompagner de son bassin les mouvements de la main d’Arthur. Ses mamelons durcissent encore, accentuant son plaisir, des frissons et des sensations agréables augmentent à chaque fois que la paume de la main touche ses parties les plus intimes.
L’autre main de ce jeune amant est sur sa poitrine, titillant les pointes des seins. La langue gourmande maintenant la lèche, pénétrant partout où c’est possible... Sophie ne peut plus se retenir et a son premier orgasme.
Soudain, elle remarque la bite durcie pressée contre son ventre qui fait chavirer son esprit. Elle sent les cuisses installées entre ses jambes.
— Ne t’inquiète pas, je vais y aller doucement...
Elle est un peu crispée et serre un peu les dents au début, mais ne peut retenir un cri de plaisir quand la queue massive la pénètre.
— Aarrggh ! Mmmhhh !
Il s’enfonce doucement, puis s’arrête, comme pour lui laisser le temps de savourer et d’apprécier la taille de son sexe.Puis il rythme ses pénétrations, s’enfonçant, et se retirant de quelques centimètres à chaque fois... A chaque aller-retour, Sophie pousse des cris de plaisir, son sexe se remplissant de plus en plus complètement par cette formidable poutre, se laissant faire comme si c’était tout naturel d’avoir une queue d’âne entre les cuisses.Il pénètre un peu plus vite son minou qui épouse la forme du mandrin massif. Il joue avec ses seins puis glisse ses bras dans son dos et la redresse. Elle est empalée sur son rostre, ses jambes ceinturant le corps du voisin, les pieds croisés dans son dos. Je l’entends demander :
— Où est ta chambre ? A l’étage ? Je t’y emmène.

Arthur marche vers les escaliers avec sa charge de chair gémissante à chacun de ses pas. Mais dès la première marche, Sophie ne peut plus se retenir et grogne comme une truie qu’on égorge à chaque marche quand son corps retombe de tout son poids sur le chibre qui lui défonce les muqueuses intimes au-delà du possible.
— Oh putain ! Mon Dieu ! Aaahhh ! Pas si vite ! Laisse-moi le temps de récupérer entre chaque marche ou je tomberai dans les pommes de plaisir avant le palier.
Mais au contraire, il la soulève encore plus pour qu’elle s’empale toujours plus loin sur ce rostre infatigable. Elle doit salement dérouiller ma Sophie, mais elle s’agrippe encore plus à son tortionnaire, le visage rayonnant, en extase comme si elle avait vu la Vierge. Mais tout supplice a une fin et je dois changer de caméra pour les voir pénétrer dans notre chambre.
Avec sa charge, il s’allonge sur le lit, et lui fait comprendre qu’il veut qu’elle s’empale seule sur son gourdin...
— Je te laisse faire un peu d’équitation le temps que je récupère un peu.
Sophie le chevauche comme un vacher faisant du rodéo sauvage sur un horse jamais débourré. Je vois cette belle bite coulisser en elle, c’est à la fois tendre et puissant et Sophie prend un pied incroyable, profitant de la grosseur du chibre pour se limer comme jamais.Elle accélère le rythme, criant de plus en plus fort, les mains d’Arthur accrochées à ses fesses, la forçant à accélérer le rythme sur cette queue qui la pénètre complètement, Sophie va de jouissance en jouissance.
— Je vais juter Sophie.— Ooouuuiii !!! Emplis-moi de ton foutre, engrosse-moi avec ta grosse queue !

A suivre...
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