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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 24

Sophie descend l'escalier empalée sur le chibre de l'étalon blanc.

Inceste
Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne d’ailleurs dans un premier temps la parole à Damien qui m’a sollicité pour que j’écrive cette nouvelle histoire.
Elle accélère le rythme, criant de plus en plus, les mains d’Arthur accrochées à ses fesses, la forçant à accélérer le rythme de cette queue qui la pénètre complètement, Sophie va de jouissance en jouissance.
— Je vais juter Sophie.— Ooouuuiii !!! Emplis-moi de ton foutre, engrosse-moi avec ta grosse queue !

Suite :Sophie s’écrase les seins avec ses mains dans un râle en sentant le sperme fuser dans sa matrice. Elle continue à se poignarder sur son rostre et le surplus de foutre mélangé à sa cyprine s’écoule sur la lance et finit sa course sur le bas-ventre du jeune homme. Sophie complimente le jeune étalon :
— Je n’avais jamais imaginé qu’une queue si grosse produise autant de jus. Belle séance de baise, mais j’espère qu’on remettra le couvert prochainement.
Je la vois caresser doucement le sexe d’Arthur qui malgré ses deux jouissances et une baisse significative de rigidité est toujours d’une taille impressionnante. Son pénis est posé sur son ventre et ma coquine reprend « le témoin » entre ses mains, puis dans sa bouche. Il ne faut pas une minute pour que je voie la joue gauche de Sophie déformée par ce qui doit être le gros gland de ce sexe qui a déjà repris toute sa vigueur.
— Suce-la... oui ... comme ça... Suce-moi Sophie, je veux que tu prennes la totalité de mon chibre dans ta petite bouche.
Il s’est dressé sur ses genoux, guidant la bouche féminine sur sa queue, tenant Sophie par les cheveux, son gland s’enfonçant plus loin. Je la vois s’étouffer, baver comme un bébé, mais il ne lâche pas son emprise et je suis à deux doigts d’intervenir.Il se retire, la laissant respirer, elle a abdiqué et ne cherche même pas à s’opposer quand il recommence pour obtenir la « gorge profonde » tant attendue. Il lui déforme les joues avec son large gourdin dans la bouche, la tenant le plus longtemps possible, je vois la gorge enflée de Sophie quand le gland glisse et déforme son cou.
— T’es vraiment une sacrée cochonne de voisine, une suceuse de bite de première !— Mmmpppfff !
Mais il n’insiste pas et retire enfin son sexe de la bouche, de grands filaments de bave relient encore Sophie et la verge toujours aussi orgueilleuse. Il ne lâche pas les cheveux de son esclave sexuelle, passant derrière elle, son mandrin vient se frotter au minou toujours trempé du premier assaut.Sophie attend le round suivant, heureuse d’avoir déniché un jeune étalon inépuisable. Il ne la ménage plus et les assauts sont violents, son bassin cogne violemment contre les fesses de Sophie qui hurle véritablement sous les énormes coups de boutoir. Je vois ses seins comme animés d’une vie propre.

— Salope ! Tu veux profiter de moi ? D’accord, mais à mes conditions, toutes les mêmes !!!
J’observe les doigts du jeune mâle glisser entre les fesses de ma femme et titiller son petit trou. Il humecte ses doigts des sécrétions généreuses des deux amants et force la pastille étoilée. Il retire soudain son gourdin de la chatte accueillante. Sophie est toujours à quatre pattes sur les genoux et les coudes, les fesses dressées. Arthur passe une main sur la motte gonflée et trempée, enfonçant ses doigts quelques centimètres plus loin sous les gémissements de ma compagne qui sait très bien quelle sera la suite et s’y prépare.Il crache entre les fesses de Sophie qu’il lèche ensuite, elle en frissonne déjà. Il lui donne deux doigts à sucer qu’elle prend en bouche comme si c’était sa queue, les suçant, les aspirant, les mouillant de sa salive. Il revient ensuite titiller son petit orifice avec ses doigts, enfonce une phalange, puis deux de son majeur, puis recommence l’opération cette fois avec ses deux doigts qui font soupirer de plaisir Sophie.
— Hum, je suis sûr que tu as un cul à black, il a dû en voir passer de toutes les couleurs.
Sophie veut qu’il cause moins et agisse plus.
— Viens, encule-moi, prends mon cul, défonce-moi mon cul de salope.
Arthur s’installe derrière elle, je me demande si elle n’a pas oublié la grosseur de l’engin, Arthur la lui rappelle en tapotant ses fesses avec son défonce-cul.
— Toutes les femmes ne l’acceptent pas dans leur cul, t’es sûre que tu le veux ?! Compte jusqu’à 3.— Un... De...
Et sans attendre la fin du décompte, il force l’entrée et fait disparaître son gland entre les fesses de ma chérie.
— OOOOOHHHH !PUTAIN QUE T’ES GROS ! Tu me casses le cul ! Noonn ! Ne t’arrête pas, encule-moi !
Je ne l’ai rarement entendue gueuler aussi fort, heureusement que notre seul voisin n’ira pas se plaindre vu que c’est lui qui la fait gueuler.Elle a la tête enfouie dans les oreillers, ce qui étouffe un peu ses cris, les mains agrippant les draps comme si sa vie en dépendait. Il plaque ses mains sur les fesses qu’il écarte au maximum et enfonce sa queue dans le petit cul de ma femme comme un gros bâton que l’on essaie de faire pénétrer dans un sol détrempé pour voir jusqu’où on arrivera à le faire disparaître. Arthur s’enfonce toujours plus, sa queue glissant avec difficulté dans le petit trou complètement ouvert et offert à cette grosse matraque des gendarmes d’antan. Il lui laisse le temps pour que Sophie, et surtout son trou du cul s’adapte à l’intrus surdimensionné et entame enfin des va-et-vient de plus en plus puissants. Les râles de douleur de Sophie se transforment petit à petit en râles de plaisir, mais les fessées et les mots crus d’Arthur ravivent la douleur juste à côté du puits de plaisir, je la vois perdre pied et la notion du temps.
— Je suis ta chienne soumise. Tu me fais connaître jouissance sur jouissance comme ça m’est rarement arrivé dans ma vie de débauche... Mais n’oublie pas que mon mari va bientôt rentrer, et que nos habits sont en bas.— Qu’à cela ne tienne, qu’il lui répond, après le remonte-pente, on va faire un peu de tire-fesses !

Je n’ai jamais vu un homme comme cet Arthur. Il redresse ma Sophie en la pognant par les seins, lui demande de se tenir avec les mains sur ses bras à la musculature saillante puis lui fait mettre les pieds sur le lit. Sophie a presque une position assise alors il glisse ses mains sous les cuisses de ma chérie et la soulève. Elle est face à l’objectif de la caméra et je peux zoomer sur cette cheville qui a pratiquement disparu dans le cul de ma femme qui se mord la lèvre inférieure. Comme tout à l’heure, je dois jongler sur les caméras pour suivre le numéro d’équilibriste des deux corps, le dos de ma femme bien collé au torse d’Arthur. La descente est aussi épique que la montée des escaliers, mais cette fois ma femme déguste le manche de pioche dans son anus et cette salope en jute sur les marches de plaisir.
— Oh oui ! Oh oui ! Oh putain ! Oh putain ! Je vais crever avant d’atteindre le rez-de-chaussée ! Aaahhh !

Mais sans coup férir, il arrive en bas des marches sans se casser la gueule. Je croyais avoir tout vu, mais c’est mal connaître ce putain d’étalon ! Il refait toucher terre à Sophie, au propre comme au figuré, la retourne, la prend dans ses bras et dans une manœuvre acrobatique que j’ai à peine le temps de saisir, lui met la tête en bas les pieds en haut. Sophie forme un grand L, ses jambes reposant sur les épaules d’Arthur lui donnant sa chatte à brouter. Elle se retient comme elle peut à ce qu’elle a sous la main, la verge toujours fièrement dressée. Après la stupeur de la position, elle entreprend alors la fellation la plus incroyable de sa vie. Cette position faisant porter le corps de ma femme sur les épaules du garçon est beaucoup moins fatigante que la précédente et les deux s’en donnent à cœur joie. Je les vois de profil et suis frustré, car je ne discerne pratiquement rien. Il la repose enfin et se branle devant elle qu’il a forcée à se mettre à genoux.
— Troisième service ma belle, avant que ton Jules revienne...

Il se branle d’une main, son pouce n’arrive même pas à toucher ses autres doigts sur cette hampe magnifique, je dois bien le reconnaître. Il ouvre la bouche, une unique goutte de sperme suinte au bout du méat suivie d’une petite giclée, le troisième jet est beaucoup plus copieux qui explose comme un feu d’artifice sur le front de ma femme. Quand il a fini d’éjaculer, elle doit se nettoyer l’œil droit tellement une semence encore épaisse s’est accumulée à cet endroit-là.
— T’es vraiment un cas, toi ! S’exclame Sophie, faudra que je te présente ma collègue infirmière, Karine, (ma découverte du candaulisme), elle adore les grosses queues et leurs propriétaires quand ils savent bien s’en servir ! Mais maintenant, il faut vite que je fasse un peu de nettoyage et refaire le lit avant que Damien n’arrive.

Chevaleresque, Arthur l’aide à tout remettre en état. Je fais semblant de rentrer en claquant la porte et entre avec mes courses. Je les trouve dans le salon assis sagement côte à côte dans le divan. Je pose les sacs sur le bar et vois dans un miroir Sophie qui ne peut s’empêcher de mettre la main entre les cuisses d’Arthur. Quand je me retourne, elle retire prestement son bras des jambes écartées d’Arthur qui n’a pas le temps de cacher l’énorme bosse qui déforme son pantalon. Je fais le cornard qui ne voit rien et nous prenons l’apéro avant qu’il ne récupère ses courses et regagne son loft.
— Mais c’est qui ce petit merdeux ? J’explose. Je veux bien que tu couches avec lui pour qu’il te mette en cloque, mais je trouve que tu y as trouvé un peu trop de plaisir à mon goût.
Réponse sibylline de Sophie :
— Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir. T’as vu le mec ? Sa queue ? Et putain il sait s’en servir ! J’ai le cul en compote. Mais je ne suis pas dans la bonne période d’ovulation et il va falloir que je me « dévoue » encore plusieurs fois pour être sûre que ce formidable étalon saillisse encore sa pouliche pour avoir un beau poulain.

A suivre...
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