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Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe.

Chapitre 26

Arthur rejoint deux couples avides de sexe.

Inceste
Cette histoire est une suite de : « Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe » avec Arthur qui a maintenant 22 ans mais aussi la reprise d’une autre aventure : « Ma découverte du candaulisme » avec Damien et Sophie. Je donne maintenant la parole à Sophie.
Je sais de quoi est capable Arthur et laisse la primeur à Karine, la bouche ouverte devant le gland violacé. Les jets se succèdent et elle doit fermer la bouche pour conserver la plus grande partie de l’abondante semence, il se tourne donc vers moi pour finir de se vider les burnes. J’en profite après avoir dégluti pour nettoyer d’une langue experte la verge qui dégonfle tout doucement dans ma bouche avant de me relever comme Karine pour partager dans un baiser lesbien le nectar encore présent. Ce n’est pas que j’aime le goût du sperme, mais je ne vais quand même pas laisser Karine prendre le lead devant Arthur. Nous montrons ensuite à Arthur nos bouches ouvertes avant qu’elle ne le félicite, posant sa main sur le pénis de mon voisin.
— Excuse-moi, mais j’ai douté de Sophie, j’ai cru qu’elle affabulait en parlant de toi, de ta grosse bite, de tes éjaculations, de... mais tu rebandes déjà ? Je vais...— Non Karine ! Je m’interpose, on a plus le temps, on verra une autre fois.
Je la tire par un bras pour l’entraîner en dehors du logement d’Arthur et pendant tout le trajet pour aller à l’hôpital, elle n’arrête pas :
— Dis Sophie, on recommencera, hein ? On recommencera ? Un tel étalon, ça doit pouvoir couvrir un tas de juments.— Karine, je t’interdis de colporter des ragots sur mon voisin. Un jour il m’a raconté pourquoi il avait déménagé, à cause de femmes comme toi, et je ne veux pas changer de voisin, moi !

Suite :Deux mois ont passé, je viens d’annoncer la nouvelle à Damien, je suis de nouveau enceinte !Pour fêter l’événement, nous invitons Karine et son mari pour un dîner que nous agrémenterons ensuite d’une partie de jambes en l’air entre couples. Après un bon repas, nous nous échauffons mutuellement et en un rien de temps nous testons différents échanges réalisables entre quatre personnes. Je vous ai déjà dit que mon mari est loin d’être monté comme Arthur, mais que dire de Serge. Le pauvre n’a pas été gâté par la nature. Karine et moi sommes couchées sur le dos au milieu de la pièce, nos maris au-dessus de nous sur les genoux et les mains et nous nous évertuons à sucer leur bite tendue comme celle de chiens en rut.
Juste avant j’ai téléphoné à Arthur pour l’inviter à prendre le café, je lui ai dit de sonner à la porte et d’entrer sans attendre que l’on vienne lui ouvrir. Nous sommes si occupés que c’est à peine si nous remarquons son introduction dans la pièce. Serge s’en aperçoit soudain et lui demande :
— Qu’est-ce que tu fous là toi ? Qui t’a dit d’entrer ?Et se tournant vers moi : — Sophie, tu le connais ? C’est quoi ce petit connard ?— Comme je vous l’ai expliqué lors du repas, nous avons eu besoin d’un peu d’aide et pourquoi chercher ailleurs quand on trouve son bonheur sous le même toit.— Tu les prends au berceau ma parole ! C’est un puceau à peine sorti des jupes de sa mère. Qu’est-ce que tu lui as trouvé de plus que moi par exemple ? m’apostrophe-t-il.— Ce que je lui trouve ? je m’exclame. Déjà sa jeunesse, ensuite une chose que, excuse-moi mon amour, ni toi ni Damien n’aurez jamais. Puisque tu veux le savoir, et bien tu vas bientôt le voir. Arthur, déshabille-toi et viens nous rejoindre.


Comme si c’était parfaitement naturel pour lui, le jeune homme se déshabille sans complexe devant nous. Il est de dos et quand il se retourne pour nous faire face, Serge comprend tout de suite ce que je lui ai trouvé. Une verge flasque repose tendrement sur une belle paire de couilles. Serge réalise soudain que le petit connard, bien qu’il ne bande pas, a une queue disproportionnée par rapport à son propre sexe tendu auquel il manque plusieurs centimètres pour rivaliser face à l’engin du voisin, et que dire de plus quand il compare le diamètre de sa verge bandée par rapport à celle du « jeune puceau » au sourire innocent. Damien est moins surpris puisqu’il connaît par vidéo interposée les particularités physiques de notre voisin et il lui demande :
— Approche-toi Arthur, je veux savoir si ce que tu as entre les jambes tient toutes ses promesses.

Arthur accède à ses désirs et se rapproche jusqu’à ce que Damien lui saisisse son service trois-pièces, le soupèse pour en évaluer toutes les capacités éventuelles. Comme un acteur de porno blasé, Arthur se laisse faire et la scène qu’il a sous les yeux, ajoutée aux doigts habiles de mon mari aboutissent au résultat escompté. Estomaqué, Serge assiste à moins de cinquante centimètres de lui à la croissance exponentielle du chibre du jeune garçon. Quand enfin la dimension du gourdin est à son apogée, il réalise que face à Arthur, c’est lui le petit connard. Pour encore plus le provoquer, Damien demande à Arthur de venir se positionner devant la tête de Serge. Notre voisin, les bras croisés dans le dos présente un véritable barreau de chaise tendu à l’horizontale devant les yeux ébahis de notre ami.
— Oh putain ! Je comprends mieux maintenant, vous avez dégoté un sacré étalon ! Son chibre est si énorme que ça le fait paraître plus petit qu’il n’est en réalité. Excuse-moi Arthur, je ne voulais pas t’offenser tout à l’heure. Tu permets que je touche ta teub ? Je ne rechigne pas à partager ma femme avec d’autres hommes surtout quand ils sont montés comme toi, moi-même j’aime profiter de l’occasion pour tâter la marchandise...

Sans un mot de plus il saisit à pleine pogne la dague tendue pour tester la dureté et la douceur du sexe masculin.
— Sophie je te comprends et je subodore, je ne sais pas pourquoi, que telle que je te connais tu as voulu en faire profiter ta meilleure copine, c’est-à-dire Karine, d’un jouet si exceptionnel.— Tu as raison Serge, tu me connais aussi bien que ta femme. Heureusement que tu n’es pas un homme jaloux. Si tu le veux bien, tu vas te rendre compte que chez Arthur, il n’y a pas que la taille de son sexe qui soit exceptionnelle...

La scène serait digne de figurer sur certains sites dédiés. Deux hommes se font tailler le crayon pendant qu’eux-mêmes s’occupent d’une teub hors gabarit d’un garçon qui a la moitié de leur âge.Karine me regarde en coin et cligne de l’œil, car nos maris, émoustillés par leur jouet, n’en bandent que plus fort avant chacun à leur tour se vider dans nos bouches avides que ne rassasie pas la dose homéopathique de sperme expulsée. Comme libérés, ils sont maintenant agenouillés comme à l’église, priant le saint Priape et son goupillon, mais avec les mains et la bouche, se passant l’objet de leur convoitise. Karine et moi nous relevons et embrassons notre « jeune poney », le caressons pendant qu’il explore nos grottes juteuses d’une main habile. Je ne sais pas pourquoi mon esprit divague, comparant nos trois hommes et leur organe. Serge a une queue comparable à un petit spray de 75ml, Damien en a un de 125 ml alors que le chibre d’Arthur a pratiquement les dimensions de la bombe ménagère de 300 ml. Faites vos pharmacies et vos placards ménagers et vous trouverez sûrement une taille de chaque pour vous rendre compte par vous-même qu’ils ne jouent pas tous dans la même catégorie.
Je ne sais pas si Arthur a déjà été sollicité par quatre partenaires, peut-être que si, mais sûrement pas quand deux sont des hommes, les époux de femmes qu’il a déjà empalées sur son sexe et qui ne demandent qu’à recommencer sous les yeux de leurs hommes. Damien a de la difficulté à emboucher un tel morceau, mais ce n’est pas le cas de Serge qui arrive à coller ses lèvres sur les burnes d’Arthur à chaque gorge profonde. On voit qu’il a de l’expérience pour cette pratique. Il recrache la bête et s’extasie :
— Putain ! J’aime les gros morceaux et là je suis comblé. J’ai bien cru renoncer, mais je ne rechigne jamais à la tâche et tu ne seras pas le premier à me prendre en faute. Et il replonge en apnée pour un tour de manège supplémentaire.

Arthur, malgré tant de sollicitations résiste vaillamment à la surprise de nos époux, mais toute chose a une fin.— Aaaahhh ! De vraies sangsues ! Encore pire que leurs femmes ! Attention, je vais juter !

Serge abandonne son sucre d’orge et le pogne avec vigueur pour faire profiter du bouquet final toute l’assemblée pendant que Damien lui met un doigt dans le cul et que je lui pétris les bourses pour éviter les grumeaux. Karine s’est mise derrière son mari, les mains sur ses épaules pour pouvoir se pencher. Une goutte de présperme sort du méat et coule sur le prépuce suivi d’une giclée d’une dizaine de centimètres après trois aller/retour rapides de la main fébrile de Serge sur la hampe gonflée à son maximum. Ensuite les projections deviennent dantesques, espacées toujours de trois ou quatre astiquages de Serge. Plusieurs montent si haut que c’est Karine qui en profite. Le liquide séminal éclate en petits geysers sur ses seins avant que son mari ne redresse le tir, bouche ouverte, pour goûter la divine liqueur avant que la source ne se tarisse, stupéfait que ce jeune étalon continue de se vider les burnes. Il referme enfin la bouche pour apprécier la cuvée du voisin.
— Hummm ! Pas mal... Belle robe... Un arrière-goût iodé avec une pointe de miel... Et une cuvée abondante, très abondante... Une année exceptionnelle... Il remplirait un fût à lui tout seul !

Nous éclatons tous de rire devant les superlatifs, mais Serge continue de branler le manche de pioche d’Arthur et en embouche le gland pour en essorer la dernière goutte avant que « la bête » perde de sa superbe. Il réalise soudain que la verge qui avait perdu quelques instants de sa superbe reprend vie et il libère l’animal fièrement tendu comme la lance d’un hallebardier.
— Sainte Marie mère de Dieu ! Il en redemande déjà ! C’est une bite sur pattes ce mec ! Si votre rejeton est un mâle et qu’il a de tels chromosomes, faudra le surveiller à l’adolescence !Et il replonge pour une exploration plus profonde.— Eh ! Laisses-en pour les autres ! s’écrie sa femme. Ne monopolise pas Arthur ! D’ailleurs, c’est la pause-café, il est venu pour ça, rappelez-vous !

A suivre...
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