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Comment une belle plante m’a mis cul nu en cours de gym

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Synopsis: Mes petits 45 kilos et moi nous sommes retrouvés en binôme avec Nadine (1m90/130 kilos) en exercice de lutte. La belle ne connaissait pas sa force et j’en fis les frais...
Ce début d’après-midi de juin était écrasant de chaleur et l’atmosphère du gymnase étouffante. Tous en short et tee-shirt, nous attendions léthargiques les instructions de notre prof de gym qui ne semblait pas plus motivé à travailler que nous d’ailleurs. Sa voix était si monotone et soporifique que je luttais pour ne pas sombrer dans le sommeil.
— Les gars, la prof de vos camarades filles est souffrante et nous allons faire classe commune.
Cette nouvelle nous réveilla brutalement. L’idée de nous retrouver avec toutes ces beautés de 18 ans en petit short et brassière de sport était vivifiante. Les discussions se turent et nous fûmes tout de suite plus attentifs.
— Je ne change rien au programme, on continue notre entraînement à la lutte. Rendez-vous dans la salle où ces demoiselles ont déjà dû avoir la gentillesse d’installer les tapis.
Dynamisés par cette nouvelle, nous trottâmes en direction des jeunes beautés qui avaient tout préparé comme prévu. La vision qui nous attendait était torride. Même si nous les connaissions depuis longtemps, nous n’avions pas l’occasion de les voir si peu habillées. La puberté avait fait des merveilles: leur fessier était rebondi et leur brassière bien remplie.
— Choisissez votre binôme et je vous explique ensuite ce que vous devrez faire.
Même si nos hormones nous titillaient, la pudeur et la timidité prirent le dessus. Aucun binôme n’était mixte. Mais comme le nombre de filles et de garçons était impair, je me retrouvai avec la grande et plantureuse Nadine. Nous nous connaissions depuis longtemps, et même si on ne se côtoyait pas beaucoup, nous nous apprécions. Par contre, Nadine était une armoire à glace. Leader de l’équipe de hand-ball, elle mesurait 1m85 pour 110 kilos. Elle était plus grande et plus carrée que tous mes camarades. Elle semblait avoir quelques kilos en trop, mais ils étaient très harmonieusement répartis sur sa silhouette hypertonique. Sa poitrine était superbe. Ses seins étaient attachés haut sur son large buste et ils étaient massifs. Ils mettaient sa brassière à rude épreuve et ils bougeaient de manière hypnotique à chacun de ses mouvements. Elles étaient déjà en sueur et ses sombres tétons se dessinaient en filigrane.
Cette immense brune avait un visage d’ange et des yeux bleus clairs qui vous faisaient fondre. Sa tenue mettait en avant ses épaules hyper-musclées. Ses énormes biceps et triceps roulaient sous sa peau bronzée et on devinait des abdominaux massifs sous sa taille puissante. Ses cuisses étaient d’un autre monde. Elles étaient si larges qu’elle avait dû déchirer le tissu de son short sur les côtés pour que ses jambes passent. Elles étaient au moins deux fois plus grosses que celles de notre prof qui était pourtant un bel athlète. Bref, Nadine était “massive”, ce qui n’était pas mon cas. Avec mes 45 kilos pour 1m65, j’étais un gringalet et j’avais perdu tout espoir de grandir encore. J’étais plus un rat de bibliothèque qu’un addict des salles de sport et par conséquent, je n’avais que peu de muscles. Mon visage quasi imberbe était fin et je ne faisais pas mon âge, alors que Nadine était maintenant une belle femme épanouie.
Nadine était venue à côté de moi et me toisait de son doux regard.
— Je crois qu’il ne reste plus que nous. Tu veux bien que l’on lutte ensemble ?— Euuuu, je crois que l’on n’a pas le choix Nadine ?
J’entendais des rires écrasés et des chuchotements moqueurs face à notre couple pas très bien assorti. Je nous regardai dans l’immense miroir et je paraissais si petit et faible face à la géante. Mes yeux n’arrivaient même pas à hauteur de ses épaules et elle était deux fois plus large que moi. Ses bras étaient plus gros que mes cuisses et ses cuisses devaient être plus lourdes que tout mon corps ! J’avais même l’impression qu’elle avait grandi encore depuis que j’avais lu ses mensurations dans le journal du lycée. 1m90 pour 130 kilos me paraissait plus proche de la vérité, ce qui ne m’arrangeait pas vraiment.
Nous regardant Nadine et moi d’un air rieur et dubitatif, le prof nous donna les instructions de l’exercice.
— Nous allons faire l’exercice de la tortue. Un de vous sera sur le tapis à quatre pattes de manière à être le plus stable possible. Le but de l’adversaire sera de tenter de renverser celui qui est au sol. C’est parti !
Nadine prit la pose de la tortue devant moi. Son dos était si large et si puissant que j’avais l’impression de faire face à un dolmen. Son fessier imposant mettait son short au bord de la rupture. Elle avait la compétition dans le sang et ne prenait pas les choses à la légère. Tous ses muscles étaient gonflés par l’effort, et elle me faisait même un peu peur...
— Vas-y ! tu peux y aller !
Je ne savais par quel bout attaquer cette immense forteresse de muscles et de courbes généreuses. Posant mes deux petites mains sur son épaule, je tentai de pousser la géante qui sentit à peine mon effort. Je m’attendais à un peu plus de mollesse à son contact, mais j’avais l’impression de toucher du béton ! Je tentais ma chance sur ses fesses cabrées dont la rondeur m’excitait terriblement. Prenant mon élan, je tentais de percuter avec mes petits 45 kilos cette immense masse qui ne bougea pas. Par contre, mon épaule avait encaissé le choc et je souffrais le martyre. Vexé d’avoir aussi peu d’effet sur ce corps immense, je la saisis par la taille pour tenter de la renverser. J’avais l’impression d’éteindre un tronc de séquoia tant ses muscles étaient durs, denses et épais. J’utilisais toute la force que j’avais dans mes cuisses d’araignée pour la retourner, mais en vain. Le prof s’approcha de moi et mit sa main sur mon épaule.
— Je crois que tu peux arrêter. Les lois de la physique sont ce qu’elles sont. Je m’occupe de son entraînement personnel et je connais bien de quoi elle est capable. Elle doit faire trois fois ton poids et peut soulever deux gars comme toi au-dessus de sa tête. Je ne vois pas comment tu pourrais la retourner, toi qui n’arrives même pas à taper assez fort pour faire passer le ballon de volley au-dessus du filet.
Le constat était là. J’étais bien trop petit et faible pour faire quoi que ce soit à cette jeune amazone. Le prof s’adressa à la belle.
— Tu peux te relever ma grande. Vous allez échanger vos places.
Nadine se releva en dépliant son corps immense et rayonnait de sa victoire. Je me mis à quatre pattes sur le sol. Mes yeux se trouvaient face à ses énormes mollets et ses pieds ressemblaient à des péniches. Je ne me sentais vraiment pas rassurer. J’avais constaté que son corps était tout en muscle, et mon prof m’avait fait comprendre qu’elle n’aurait aucun problème à me porter au-dessus de sa tête. L’amazone se tenait les genoux pliés, les jambes légèrement écartées, et les mains prêtes à me saisir. Penchée ainsi, ses seins lourds dessinaient un profond décolleté. Je la regardai une dernière fois pour lui donner le signal.
— Je suis prêt.
C’est là que mes ennuis commencèrent. Je n’avais pas fini ma phrase que Nadine était déjà penchée sur moi et je sentis son énorme main sous mon ventre. Comme si je ne pesais rien, elle me souleva pour me projeter violemment contre son torse puissant. Heureusement que sa poitrine opulente et ferme amortit le choc, car mes os auraient pu être brisés. Surprise elle-même de la facilité avec laquelle elle me manipulait, elle se rendit compte que j’offrais beaucoup moins de résistance qu’elle ne s’y attendait. Je me retrouvai la tête en bas, écrasé contre elle par son bras musclé. Ayant peur que mes viscères n’explosent sous la pression, j’utilisais le peu d’air qui n’avait pas été expulsé de mes poumons pour avertir la géante.
— Nadine, tu vas m’écraser !
Nadine relâcha son étreinte et mon corps se mit à glisser vers le sol. Pour m’éviter de me fracturer le crâne, Nadine attrapa ce qu’elle put avec sa main afin de me retenir. Je sentis son immense paluche agripper mon short, et mon slip par la même occasion. Ça n’empêcha pas mon petit corps de continuer à glisser jusqu’à ce que mes genoux soient au niveau du bras qui m’écrasait. Le souci est que mon short et mon slip n’avaient pas suivi, et je me retrouvai le pubis à l’air devant tout le monde, exposant mon sexe minuscule, pendant que l’amazone, rouge de gêne, me tenait pendu la tête en bas, comme un petit poisson qu’elle aurait pêché. Nadine était tétanisée, pendant que je gigotais comme une anguille pour m’extirper de cette situation humiliante. Tout le monde s’était arrêté pour regarder la scène. Fixant le prof de gym, Nadine attendait un ordre libérateur de sa part. Comme si rien ne pouvait l’étonner, le prof s’adressa à elle de son ton monocorde.
— Nadine, tu peux le relâcher et le rhabiller. Tu as gagné.
La géante fléchit ses énormes jambes pour me déposer doucement. Quand mes fesses eurent atteint le sol, elle relâcha mes jambes. Je me retrouvais quasi nu par terre, exposant mes petites fesses et mon entrejambe à mes camarades qui chuchotaient.
— Tu as vu comment elle l’a soulevé !— Il faut dire qu’il est vraiment maigre. Il ne pouvait pas faire le poids face à elle.— Il n’a même pas de poils !— Je n’avais vu de fesses aussi squelettiques !— Il a un pénis ou un clito ?
Entravé par mon slip et mon short sur mes genoux, je rampais aux pieds de l’amazone comme un ver sur le sol et n’arrivais pas à me relever pour me rhabiller. Nadine, voulant bien faire, se baissa et me saisit de ses mains larges et puissantes sous les aisselles. Alors qu’elle voulait simplement me remettre sur les pieds, elle me souleva si haut que je ne touchais à nouveau plus le sol. A nouveau tétanisé par son mauvais dosage de sa force, elle ne savait quoi faire et me maintenait en l’air à bout de bras comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon. Mon petit séant était à nouveau exposé à la vue de tous. Mes fines jambes battaient dans le vide sans que la géante en soit perturbée. Avec une voix frêle et mêlée de sanglot, je l’implorai.
— Pose-moi s’il te plaît !
La belle obéit et me posa par terre délicatement, comme une poupée de porcelaine qu’elle ne voulait pas ébrécher. Avant même que je ne m’accroupisse pour remonter mes vêtements, Nadine avait déjà saisi dans ses battoirs les côtés de mon slip et de mon short pour me rhabiller, comme le lui avait demandé le prof. Plus fébrile et nerveuse que jamais, elle remonta si rapidement mes vêtements qu’elle me décolla à nouveau du sol. Je me retrouvai soutenu uniquement par le tissu qui me rentrait dans les fesses et écrasait mes petites bourses. Je pleurais de douleur alors que la géante se retrouvait à nouveau tétanisée, soutenant toujours mon faible poids du bout de ses bras puissants, par le truchement de mon slip et de mon short. Même si je n’étais pas très lourd, mes vêtements bas de gamme cédèrent. Nadine se retrouva avec deux bouts de tissu dans les mains pendant que je chutais lourdement à ses pieds sur mes petites fesses nues.
Je levais les yeux pour regarder le visage de l’amazone, plein de désarroi de m’avoir fait subir involontairement un traitement aussi humiliant. Je me relevai rapidement, saisis les côtés de mon tee-shirt pour le tendre et tenter de masquer ma nudité. Je fuis la salle sous les rires moqueurs des garçons et des filles, trottinant quasi nu.
J’allai dans le vestiaire où je pris mes affaires de rechange aussi vite que possible, et me réfugiais dans un autre vestiaire désaffecté au fond du couloir. Une fois assis en sécurité, je pris ma tête dans mes mains pour m’effondrer en larme. Mon téléphone se mit à vibrer et je recevais déjà la vidéo de la scène que mes pseudo amis se faisaient un plaisir de propager. Nadine m’avait vraiment manipulé comme un jouet, mais il était clair sur son visage que ce n’était pas sa volonté. Elle ne connaissait et ne maîtrisait pas sa force, c’est tout. J’étais si léger pour elle. Je me vis fuir la salle en trottinant, tortillant mes petites fesses nues que le tee-shirt ne cachait quasiment pas. Tout était allé si vite. Qu’allai-je faire maintenant ?
A suivre.
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