Cette histoire est vrai à 90%, et j’en suis fier, bien qu’elle soit immorale par moment... Ma libido est importante et mes besoins sexuels , (j’ai besoin de jouir fort et beaucoup) sont vitaux pour moi. Peu importe comment j’ai acquis ma garçonnière, le fait est que cette masure a une histoire bien particulière . Ce fut ma soeur qui fut la première fille que j’ai baisé dans cette garçonnière, ma mère fut la seconde. Dès lors, les partouzes se succédèrent, ma mère et ma soeur y prenaient part également , mais voilà, une partouze allait changer ma vie. J’avais 20 ans à l’époque, et ma mère 38, quand à ma soeur je l’ai baisé depuis ses 16 ans, avec son consentement et la bénédiction de notre mère.Ma soeur me demanda un jour si elle pouvait inviter deux filles, soeurs jumelles, de 18 ans à participer à nos ébats sexuels en groupe, un moment de folie sexuelle avec nous. Ma réponse fut un oui sans hésitation, pouvoir prendre deux jeunes filles plantureuses, qui n’avaient pas beaucoup de kilomètres au compteur. Au cours des mois qui ont suivis, nous étions un petit groupe qui n’était pas contre une partouze de temps en temps . La petite masure devint désormais un baisodrome, temple de l’amour et du plaisir, toutes jouissances y étaient admises. J’eus à l’occasion, le privilège de me faire enculer lors de la première partouze, par un fort calibre qui y alla très doucement , me donnant uniquement du plaisir. Ce salaud m’a fait bander comme un âne, et j’ai même joui quand il m’a remplit de sa semence, il m’a fait sucer sa bite après, j’avais l’impression de jouer à la pute soumise. Depuis j’encule et me fait enculer avec toujours beaucoup de plaisir... Ma soeur et ma mère participent activement. Devenues très salopes et trop bonnes putes lors de nos ébats sexuels multi-couples . Nous sommes arrivés à former un club très fermé, nos membres sont sains et exempts d’antécédents de maladies vénériennes, et l’hygiène est de rigueur . Cela m’excite de baiser une femme pendant qu’un autre baise ma soeur ou ma mère . Les échanges entre femmes ou entre hommes étaient aussi très courants et jouissifs, les femmes se masturbaient en voyant un accouplement entre deux hommes, et vice-versa . Puis, j’ai fais la connaissance de Laura et Amélie, les deux soeurs jumelles, ce fut le point charnière du changement de ma vie.Elles allaient devenir mes femmes, même si la polygamie est interdite en France, une déclarée et les autres mères célibataires c’est pas compliqué quand même !!! Ce pays nous empêche de baiser et d’enfanter ? Et bien pas pour moi !! Elles devinrent elles aussi, adeptes des partouzes, seul signe distinctif entre elles, Laura avait une rose rouge tatouée sur la fesse droite, et Amélie un dauphin bleu, aussi à droite. Elles allaient devenir mes femmes et les mères de nos enfants.
