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Le commissaire et la secrétaire du marchand

Chapitre 1

Erotique
Le commissaire et la secrétaire du marchand
Lorsque le commissaire appelé pour les premiers constats liés à l’assassinat de ce riche marchand de tableaux, Chahut, abattu alors qu’il sortait d’un immeuble connu pour abriter un leu de rendez-vous, discret … il avait eu la chance, mais aussi la persévérance, de trouver la personne avec laquelle Chahut avait passé ce qui s’était révélé être le dernier moment agréable (selon toute vraisemblance) de son existence.Il visita, avec son fidèle inspecteur, les lieux de fond en comble, pour tomber finalement sur une jeune femme assise dans une pièce vide qui semblait servir de garde meubles.
Le commissaire interrogea rapidement la jeune femme : elle était plutôt effrayée, inquiète, mais certainement pas gênée de reconnaître ce qu’elle faisait là. Elle était bien avec le marchand, ils venaient régulièrement, il y avait quelque chose qui lui plaisait dans le fait de l’emmener là…. Parce que de toute façon il disposait d’elle facilement, elle était sa secrétaire, et sans être sa maîtresse ils couchaient ensemble régulièrement, et il la prenait aussi bien dans son bureau quand ça le tentait, mais il aimait bien cet endroit, même si elle ne comprenait pas bien pourquoi. D’un autre côté c’est luxueux, c’est bien agréable….
Elle put partir, le commissaire lui demanda de se trouver dès le lendemain sur son lieu de travail, elle l’aiderait dans l’examen du bureau de la victime.
Le marchand d’art avait installé ses bureaux dans un bel immeuble : luxe, tapis, miroirs et marbre, ascenseur spacieux…, ses bureaux occupaient tout un étage. On accédait au bureau du marchand en traversant une grande pièce moderne, open , plusieurs jeunes femmes y travaillent, ordinateurs hauts de gamme, grands écrans, casques sur la tête, élégantes, discrètement élégantes, jolies ; et dans le fond un bureau un peu à l’écart, la jeune femme de la veille qui se lève et vient à la rencontre du commissaire et de l’inspecteur.
« Je peux voir le bureau de votre patron ? »
Elle les conduit, porte ouverte, baie vitrée qui permet de voir une partie de l’intérieur, quand les stores ne sont pas fermés.
« Lachenal ! Tu fais le tour, prends les identités, les emplois du temps…. Moi j’interroge madame. »
Il s’assoit sur le siège du patron, la jeune femme devant lui, de l’autre côté du bureau, « asseyez-vous ».Elle est élégamment vêtue, c’est l’été, le commissaire se dit que, le marchand a dû se laisser séduire rapidement…. sa façon de se mouvoir, de s’assoir, de croiser les jambes, se pencher quand elle parle, tout invite à détailler son visage, son corps….
-    Vous étiez sa maitresse depuis longtemps ?-    Presque aussitôt après mon arrivée…. Maîtresse n’est peut-être pas le mot, comme je vous l’ai dit c’était surtout une histoire de sexe.-    Il ne vous a pas fallu longtemps pour le séduire….-    Vous vous trompez commissaire…. Il n’y a pas eu de séduction dans ce jeu…, j’ai répondu à un appel à candidatures, il y a eu quelques entretiens avec lui et d’autres personnes, j’avais les compétences requises, et quelque chose qui lui plaisait. Lors du dernier entretien il n’en a pas fait mystère, et quelques bribes de conversation entre mes futures collègues, que j’avais saisis en passant m’avaient … comment dire, éclairée ou mise sur la piste…. J’ai pensé que mon travail ne serait pas uniquement lié au secrétariat…. Et ce n’était pas pour me déplaire, je voulais voir…. J’ai vu très vite, dès le lendemain de ma prise de fonction, je devais arriver l’après midi, il était absent le matin…
-    Oui ? Il vous a fait la cour ?-    Pas vraiment…. ! Il a baissé les stores, puis il m’a appelée. Il était très courtois, souriant, il a malgré son côté macho direct, brutal en apparence…. Quand je suis passée devant lui il a accompagné mon passage dans la porte de la main, comme une amicale poussée, juste au creux des reins, comme une caresse familière, j’ai bien aimé le poids de sa main… sur mes reins…. La suite a été très professionnelle, il m’a fait visiter son bureau, signalant l’emplacement de ce qui pouvait me concerner, racontant l’histoire des œuvres qui décorent la pièce… c’était un moment agréable, mais je me suis ensuite demandé s’il ne s’agissait pas de me conduire derrière le bureau à côté de son fauteuil… Son bureau était toujours presque vide, un peu haut à mon goût pour travailler. Il s’est assis, a continué à parler, mais j’avais senti qu’il était dans une autre humeur, imperceptiblement il était devenu un mâle, j’étais une femelle tentante, je dois dire que je m’étais bien préparée pour cela… et je me suis mise…. Je me suis trouvée trempée en trois secondes…. Il s’est relevé pour déplacer un dossier et libérer une partie du bureau… j’ai compris ce qui allais se passer et comment…
Le commissaire se trouva un peu gêné… et curieux… Elle lui plaît… et il a envie de savoir ce qui se tramait…. et envie de … son côté voyeur… et elle qui raconte avec juste un peu de provocation mais beaucoup de naturel… peut-être qu’elle donnera des éléments utiles en racontant… lui qui n’a jamais failli…. Du moins est-ce l’image qu’en ont ses subordonnés….
-    C’est juste à ce moment qu’il a reposé sa main sur mes reins… ma culotte était trempée… je me suis légèrement appuyée sur sa main, forte, ferme… qui me soutenait d’abord puis il l’a glissée sur mes fesses…. J’étais prête à tout…. Mes mains posées sur le bureau, du bout des doigts…. Sa main évaluait mes fesses, et ses doigts ont cherché les agrafes de ma robe, la fermeture… je l’ai laissée tomber… il ne disait rien… ses doigts glissaient sur mes sous vêtements, j’avais mis ce que j’avais de plus beau…. De la dentelle légère, j’ai senti ses doigts sur le haut de mes cuisses… glisser par derrière entre les cuisses, monter, glisser le long de ma fente sur la dentelle trempée… j’ai légèrement écarté les cuisses…. Il s’est penché vers moi, a embrassé mon cou doucement, il a murmuré quelque chose… j’ai compris « tu aimes ça… je ne me suis pas trompé, on va bien s’entendre… ». J’ai senti ses doigts se glisser dans la ceinture de ma culotte, … il l’a arrachée… il m’a poussée en avant, la poitrine sur le bureau… … c’était froid… avec ses pieds il a écarté mes jambes… j’ai entendu le bruit d’une fermeture à glissière… il m’a donné des claques sur les fesses… j’ai gémi de plaisir, il a recommencé… j’ai senti son membre sur mes fesses… et sas rien dire il m’a prise… brutalement… il m’a pénétrée… son membre était gros, dur… et il m’a pilonnée… il a fait vite, je l’ai senti éjaculer… il s’est retiré… je n’ai pas eu le temps de commencer à prendre du plaisir.... « Remettez votre robe, nous trouverons bien le moyen de faire mieux n’est-ce pas ? ». Quand je suis sortie j’ai vu les regards de mes collègues, toutes savaient bien ce qui venait de se passer… très bien…, d’expérience ai-je compris instantanément….
Le commissaire a bien aimé ce récit, qui ne le laisse pas sans réactions… physiques… il laisse continuer… ça commence à l’exciter sérieusement….
-    Je suis allé aux toilettes, me nettoyer… je suis revenue, en m’asseyant je me suis prise à espérer que je n’allais pas mouiller ma robe… j’ai dû aller m’essuyer plusieurs fois aux toilettes par précaution… c’est là que j’ai commencé à parler avec certaines qui en ont profité pour venir par curiosité… elles avaient entendu les claques sur mes fesses, et mes gémissements… « On y passe toutes…, m’a dit la première que j’ai vue, Anne qui est une bonne amie maintenant, mais on aime ça, ça crée une solidarité… et il nous fait jouir, c’est toujours bon à prendre non ? … tu as bien  joui ? Bon, ne te fais pas de souci, il va te rappeler… » Il m’a rappelée le soir quand toutes mes collègues allaient partir… avant, pour qu’elles sachent toutes…. Il m’a tournée vers le bureau, sans un mot, il a relevé ma robe, découvert mes fesses…. « Tu as une sacrée belle croupe… » Penchée sur le bureau, j’ai compris que ce serait plus brutal d’une certaine façon…. « Oui quelle croupe ! » Il m’a fessée de nouveau, j’ai gémi, j’ai senti son membre… sur mes fesses, il le promenait entre mes fesses… un moment j’ai pensé… puis il l’a enfoncé d’un coup, de toutes ses forces, dans mon con trempé…. Il a poussé un ahanement… j’ai crié car sa queue a frappé tout au fond, je me suis cognée contre le bureau… et il s’est mis à me pilonner brutalement, mais en se contrôlant cette fois…. Je sentais que le plaisir montait, peu à peu mes gémissements étaient plus aigus… je me cramponnais au bureau, comme un réflexe devant la montée du plaisir…. Je criais… il accompagnait chaque coup de rein d’une bruit rauque… de temps en temps je reçois une claque… sur les fesses…. Mon dieu je suis trempée rien que d’y repenser… ma culotte est trempée…. J’ai joui comme une folle, bruyamment, quand il a déchargé… puis je suis restée sans force courbée sur le bureau…. Il se rhabillait déjà… j’ai rabattu ma robe, je suis sortie du bureau, la porte était restée ouverte, je croyais tout le monde parti…. Elles étaient toutes là, il est sorti pas la porte de son bureau, nous sommes restées ensemble, les secrétaires…, Anne m’a tendu des mouchoirs en papier, je me suis essuyée sans pudeur… mais un peu gênée qu’elles m’aient entendue… …. Puis elle a ajouté « Notre job est de répondre aux besoins de notre patron… bienvenue… tu y passeras plus souvent que nous, mais ne soit pas jalouse si parfois c’est l’une ou l’autre qui crie sur le bureau…. On aime bien entendre les cris, ça évite de laisser penser que quelque chose existe en douce… il nous baise, toutes, toi plus que les autres parce que tu es sa secrétaire…. Mais tu n’as pas l’exclusivité…. Ça nous a fait plaisir de comprendre qu’il te faisait jouir comme une folle… j’aime bien tes aigus ! J’en suis toute mouillée…. Mais on l’est toutes… ». Voilà commissaire…. Voilà, je suis toute trempée de raconter tout ça, vous n’imaginez pas… si le cœur vous en dit…. Ce ne serait pas de refus…
Le commissaire bande comme un taureau…. « Voulez-vous fermer la porte ? »Puis « Il vous payait ? »
-    Non, il me récompensait, en nature, des vêtements, des sous-vêtements, des bijoux… -    « Et il vous a demandé autre chose ? du genre satisfaire les clients ? »-    Moi non, mais d’autres, oui…. Anne bien sûr, c’est la plus classe ! et il paraît qu’elle est douée et accepte presque tout… moi je ne déteste pas que ce soit un peu dur, mais elle aime que ce soit vraiment brutal… alors elle accompagne les clients parfois…, surtout les plus importants ou les plus bizarres….-    « Il y en a d’autres ? »-    Une ou deux, occasionnellement, quand il y a plusieurs clients…. Avec Anne elles ont fait quelques parties assez …   pornos…. -    « C’est un gentil proxénète votre patron…, enfin c’était…. »-    Ça arrangeait tout le monde, les filles se font un peu d’argent, ou des vêtements, des parfums…. On mange dans de bons restaurants, les filles sont allées dans des hôtels dont je ne connaissais même pas le nom à Paris… Anne et ses copines se sont lancées dans l’accompagnement des touristes, des escorts girls de classe ! ….. et les affaires du cabinet d’Art marchent bien…. Si le cœur vous en dit commissaire…. Je suis … j’ai besoin…. Avec toutes ces émotions…
Elle est là, assise devant lui, elle a laissé sa jupe remonter lentement, si elle écartait les jambes un peu elle ouvrirait une jolie vue sur sa culotte… quand elle se penche, ce qu’elle fait de temps en temps, elle découvre ses seins pris dans une dentelle si fine…, et ses yeux disent tout ce qu’elle est prête à donner…. Le commissaire bande au point que ça devient presque douloureux…. Mais son grade, mais son épouse… mais c’est un témoin…. Il la prendrait bien sur le bureau… vite fait comme son patron….    Plus tard….
Il s’est abstenu… et poursuit son enquête, rencontre le Directeur financier, l’épouse, apprend qu’il y eut un comptable qui fut licencié… indélicat…. Ben voyons ici on est plein de délicatesse en permanence.
Il interroge de nouveau la jeune femme sur le comptable, dans le bureau de son patron, elle lui a montré des papiers, le coffre, tout le monde est parti, il lui demande de raconter ce qu’elle sait sur le renvoi du comptable…. Elle est émue en racontant, dans les lieux mêmes de la scène,  comment son patron a traité l’indélicat, il l’a frappé, traité de tous les noms, il a laissé éclater tout le mépris qu’il avait pour lui, du vrai mépris, qui date de bien avant la découverte des détournements…. Ce qui a humilié cruellement le comptable….
-    « Et vous en avez pensé quoi ? cela éclaire votre patron d’un nouveau jour, gentil, proxénète, violent, hautain, … ça ne vous a pas empêchée de coucher avec lui… »-    Non, parce qu’il était tout ça… et que j’aimais bien nos séances de baise… et ça m’assurait des orgasmes, des beaux draps… il savait me prendre, me faire jouir…. Parfois… les filles disaient que personne ne jouit comme moi…. -    « Oui encore une question là-dessus…. Le Directeur financier… semble avoir des relations particulières avec l’épouse de votre patron… comment tout cela se passait-il, tout le monde trompe tout le monde… baise comme vous dites… et personne n’est jaloux, pas même Madame…. -    Oh, Madame Chahut… c’est autre chose, mais ils n’avaient plus rien en commun. Ils vivaient à la même adresse, c’est tout. Je m’entendais bien avec elle, quand j’allais chez eux pour une raison ou une autre elle était gentille, accueillante, souriante… en fait je la débarrassais du souci de satisfaire son époux, ce dont elle n’avait aucune envie… ils ne s’aimaient pas, et elle avait ses amants…. Je crois qu’elle n’y est pour rien….
Le commissaire la regardait, debout dans le bureau, à côté d’elle, il pensait aux dessous en dentelle qu’il avait entrevus, regardait la poitrine discrète mais qu’elle fait se soulever avec beaucoup de grâce quand elle reprend sa respiration parfois…. Elle a senti… le mâle est en train de prendre le dessus…. Elle virevolte un peu, joue des effets du tissus de ses vêtements pour souligner ses formes, sourit, ses yeux prennent des reflets qui promettent tant de choses…. Elle laisse venir… elle temporise, le laisse deviner qu’il a une chance, mais il ne se décide pas…. elle le remet sur la voie de la curiosité….
-    Il a eu une maîtresse un temps, la femme d’un éditeur de livres d’art…. il paraît qu’elle et son mari étaient des pervers… échangistes… lui se tapait la femme de Chahut…. Un jour je suis entrée dans ce bureau, enfin je me suis arrêtée vite… la porte était entrouverte, du coup je n’ai pas fait de bruit…. après tout ça a peut-être un intérêt.… Ils étaient là tous les quatre… Chahut avec l’épouse de l’autre… l’autre avec la femme de Chahut… ils ne m’ont pas vue, trop occupés… j’ai refermé la porte, presque, comme elle était avant mon arrivée, je suis restée à regarder par la porte entrouverte…. Chahut sodomisait la femme de l’éditeur…. Elle criait…. L’insultait… mais elle laissait faire… l’éditeur baisait la femme de Chahut, et elle, elle mangeait le con de l’épouse… et léchait les couilles de son mari de temps en temps…. Ça m’excitait… j’ai jamais accepté qu’il me sodomise… mais j’ai senti dès le début qu’il aimait ça… à sa façon de promener sa queue entre mes fesses…. J’étais toujours obligée de l’arrêter…. Pas comme ça… il m’aurait payée je crois pour pouvoir me la mettre là… je regardais… je n’en croyais pas mes yeux… je me suis fait jouir…. Étrange impression du coup j’y ai presque participé….
Le commissaire ne dit rien… ah, une autre piste…. Un éditeur d’art, tiens… bien sûr la secrétaire est toujours aussi tentante… et il bande…. Mais cet éditeur… il faudra le trouver….
-    « Et il s’appelle comment votre éditeur… ? »-    Son nom est dans l’agenda, je vais vous le retrouver…
Elle passe devant lui, s’installe entre lui et le bureau, allume l’ordinateur… se penche en avant… attend, se cambre un peu…. Il ne peut pas être si insensible…
Non, il ne l’est pas, elle sent la main qui se pose sur ses reins, qui remonte sur sa hanche droite, caresse le bas de son sein…, l’empoigne, le malaxe… il se colle contre elle, il bande… une bonne queue bien grosse et bien raide…. La main descend, sur la hanche… et les doigts cherchent la ceinture, dégrafe la robe, la main gauche ouvre le corsage, abaisse le soutien gorge… elle a les seins à l’air… sa jupe tombe… elle est devant lui… culotte de dentelles… il ne la déchire pas, il la descend, jusqu’à ce qu’elle glisse le long des jambes, elle lève un pied, écarte les jambes… il se recule, la pousse sur le bureau…. Il n’a pas vu une femme dans cette position depuis des lustres… depuis qu’il est marié…. Mais c’est vrai une croupe de femme,…. C’est beau, il regarde les lèves ouvertes… les fesses, le trou étroit… lui qui n’a jamais…. Sa main droite glisse sur les fesses, ses doigts explorent la fente… et frôlent le petit trou… pour l’avertir que… il y pense… elle sent la main gauche crispée sur son sein, la droite qui ouvre le pantalon….
Le commissaire la prend, sa queue la pénètre, lentement… il ne dit rien… les deux mains sur ses seins, ses doigts lui font presque mal, et il commence à la pilonner…. Elle pensait que ce serait tendre…. Mais c’est dur, il la baise, il tire un coup, elle s’est offerte il en profite… il pilonne, et lui aussi ahane, c’est rauque, sa queue frappe au fond, elle se cogne sur le bureau…. Et elle sent son plaisir qui monte… lui contrôle, mais est de plus en plus brutal, elle émet des gémissements saccadés, de plus en plus aigus… elle se cramponne au bureau et est emportée par l’orgasme qu’il déclenche en la pilonnant comme une brute… personne n’entend ses cris…. Elle balance la tête d’un côté à l’autre, elle aime ça….  Elle jouit encore…. Il semble se calmer, il fait durer…. Se retire… elle le sent qui se courbe derrière elle, il ramasse quelque chose…. Quand il se redresse elle comprend il a ramassé sa culotte… il a pris sa queue dans sa main et la glisse entre ses fesses…. Il se penche, murmure…. : « Ouvre la bouche…. » Elle obéit et elle comprend pourquoi il a ramassé la petite culotte…. Il a mis sa queue sur le petit trou… : « je ne suis jamais passé par là…. Ce sera notre première fois à tous les deux…. Je vais faire attention à ne pas être brutal».
Le salaud…. Il l’encule… sa grosse queue la pénètre, elle va pour crier « Non pas comme ça », mais elle n’y arrive pas, elle va pour retirer la culotte de sa bouche, mais il bloque ses bras… : « Laisse », peu à peu il enfonce sa bite, jusqu’à la mettre presque entièrement, et c’est elle qui donne un grand coup de rein en arrière pour la sentir toute, elle grogne, et relance de nouveau son cul en arrière… et encore… il lance ses reins à sa rencontre… il n’en espérait pas tant, elle aime… il grogne tous les deux, leurs peaux claquent à chaque rencontre… elle lance son cul, il lance sa bite… elle grogne il ahane… et encore, et encore… leurs cris sont de plus en plus forts, synchronisés… il crie soudain comme une bête cul… ahane… et décharge, accompagne chaque jet d’un cri, il lui remplit le ventre… elle jouit, tout en haut des aigus, dans sa culotte…
Enfin il l’a fait, depuis des décennies qu’il en avait envie….
Il se retire, elle retire la culotte de sa bouche, il la lui prend des mains pour s’essuyer….
-    Salaud commissaire…. -    « Petite cochonne, tu as aimé ça…. »-    Oui, je n’aurais pas cru… je voulais vous satisfaire de toute façon, je voulais vous donner tout ce que vous voudriez, et il a des semaines que je n’avais pas été baisée… je ne me contrôle pas bien dans ces cas là…
L’éditeur n’y était pour rien, mais le comptable avait bien assassiné Chahut….  On le trouva avec un peu de difficulté, et puis finalement il se rendit….Il fut jugé… Lisant le compte rendu de l’ouverture du procès le commissaire se posa une question idiote… : Comment le comptable avait-il su que Chahut se trouvait à cet endroit, à ce moment précis… qui avait bien pu le renseigner…. ?
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