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Ma compagne s'offre sur la plage

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Voici pour une fois une histoire vécue, qui m’est réellement arrivée à quelques détails près. Mais ces quelques détails imaginés ne font qu’agrémenter l’affaire. La réalité est là, à commencer par la très grande facilité avec laquelle ma compagne aime jouir des plaisirs de la vie, et sa très grande sociabilité.Pour ne pas trahir sa confiance, je l’appellerai Laura. Elle a quitté sa Bretagne natale à l’âge de 18 ans et est venue s’installer dans le sud pour ses études. Nous nous sommes rencontrés il y a une dizaine d’années. Elle était très jolie étant jeune, mais je dois dire qu’à 45 ans elle a pris quelques kilos. Mais peu importe, elle est toujours séduisante, et je dirais même que ses formes supplémentaires se sont réparties à des endroits qui conviennent parfaitement à une large partie de la gent masculine. Lorsque nous nous sommes rencontrés, avec Laura, je lui ai dit que je n’avais pas envie de me fixer. Je sortais d’une relation difficile et j’avais envie de profiter de la vie.
— C’est pas grave, me dit-elle. On n’a qu’à se voir uniquement pour baiser. On s’entend bien de ce côté-là et ça me suffit.
Évidemment, j’ai accepté cette proposition. Elle adorait le sexe et me faisait des fellations absolument divines. Je suis issu d’une famille catholique traditionnelle, et le mot "sexe" ne faisait simplement pas partie de notre vocabulaire à la maison. Cette situation me convenait donc parfaitement bien, me permettait de couper un peu plus avec la rigidité familiale.
Nous avons donc eu une vie sexuelle assez dense, et nous avons même fait ensemble nos débuts dans le libertinage avec la fréquentation régulière des clubs échangistes du Sud Est. J’ai adoré ça. Dans ce milieu, le sexe est pratiqué avec naturel, sans tabou. C’était tout ce qui m’avait manqué jusque-là. Laura n’avait pas froid aux yeux, jamais timide, toujours aventurière en la matière. C’est même souvent elle qui allait au-devant des couples, caressait les femmes, entamait le dialogue. Mais si elle aimait la douceur féminine et se régalait de lécher des chattes, elle ne dédaignait jamais un bon coup de bite, ce qui de mon côté me permettait de m’occuper avec plaisir des compagnes de ces messieurs.
Evidemment, nous sommes restés ensemble plus longtemps que prévu, et nous avons même fini par emménager ensemble. Nous habitons donc actuellement dans le Var, d’où je suis originaire. La scène dont je parle s’est déroulée il y a quelques mois. C’était un samedi matin, une de ces belles journées d’automne qui chez nous ont encore des relents d’été. Laure tournait en rond à la maison.
— Et si on allait faire un pique-nique à la plage à midi ? m’a-t-elle proposé. Il fait tellement beau aujourd’hui et j’en ai marre de ce confinement.
Nous étions en effet début novembre et la France était résignée à subir encore longtemps les désagréments de ce sale virus. Mais dans le sud, le beau temps persistant ne donnait pas envie de rester enfermé.
— OK, on prend le risque. On peut aller à la plage naturiste si tu veux. — On pourrait se baigner même peut-être. — L’eau n’est plus très chaude, tu sais. — Et alors ? Allez on y va.
La plage dont je parle est connue, très fréquentée l’été (c’est même, en fin de journée, le lieu de certaines rencontres coquines), mais assez déserte en cette période de l’année. Quelques hommes solitaires en mal de soleil et sans doute de sexe allaient et venaient dans les rochers. Nous nous sommes installés sur les rochers et nous nous sommes déshabillés. Il était très agréable de nous retrouver nus, au soleil.A quelques mètres de nous, un gars sortit de l’eau. Il devait avoir entre quarante et quarante-cinq ans, dégarni, un peu bedonnant. Il était en combinaison de plongée. Il devait nager depuis un moment, car nous ne l’avions pas vu. Il enleva sa combinaison et s’installa à poil sur sa serviette, non sans avoir jeté un coup d’œil vers nous.Laura s’était avancée dans l’eau jusqu’à mi-mollet, mais l’eau n’était vraiment pas chaude. Elle renonça finalement à se baigner entièrement et fit donc demi-tour. Elle regarda en direction du gars qui de loin s’adressa à elle.

— Elle est fraîche, n’est ce pas ? dit-il en rigolant.
Laura, toujours contente de parler (c’est une incroyable bavarde) s’avança un peu vers lui, bien sûr sans rien cacher de sa nudité. Elle n’avait strictement aucune pudeur de ce côté-là.
— Ho oui, trop froide ! répondit-elle. Mais il fait si beau ! C’est vraiment agréable. — Oui ça fait du bien. Mais avec une combinaison c’est mieux pour se baigner.
Laura se rapprocha encore du gars pour discuter. De loin je voyais qu’il était heureux d’avoir un peu de compagnies, surtout de la part d’une femme aussi affable et visiblement peu farouche. Laura a toujours été très sociable, et je dois dire qu’elle m’a toujours surpris par sa faculté d’aborder les gens, sympathiser avec eux. Elle s’est assise avec le gars, et il lui a offert une cigarette (elle fume, c’est un de ses rares défauts). Lorsqu’elle est revenue vers moi, elle m’a lâché :
— Il est sympa ce gars. Et je crois que si j’étais d’accord, il serait d’accord aussi...
Elle parlait de sexe, bien entendu.
— Tu m’étonnes, ma chérie ! C’est pas tous les jours qu’il doit tomber sur une femme qui fait le premier pas, sur cette plage. Surtout en cette saison, alors qu’il n’y a personne. — Je sais pas. En tout cas, je lui plais bien. Il bandait même un peu.— Ha bon ? Carrément ?... Et elle était comment sa queue ?
Ma coquine de compagne me fit un petit sourire coquin.
— Ça va, pas mal. Plutôt grosse.

Le gars s’était levé et fit genre "je me promène, je cherche des coquillages dans les rochers"... en se rapprochant de nous. De temps en temps, il jetait un petit coup d’œil discret dans notre direction.
— Je lui propose un café ? me demanda Laura.
Nous avions en effet un thermos de café bien chaud, que nous réservions pour le pique-nique.
— Pourquoi pas, si tu veux, ma chérie. C’est toi qui décides.
Elle se leva, s’approcha de lui et lui proposa de se joindre à nous. Le gars, tout content, accepta. Il n’était ni beau ni moche, assez banal, mais plutôt motivé. Et en effet assez bien membré. Il s’assit à côté de nous et entama la discussion, avec un bon accent provençal.
— Vous venez souvent ici ? — Non, mais avec le confinement, on avait vraiment besoin de sortir. — Ha c’est sûr. Ce fichu Covid, on n’en est pas débarrassé !
Evidemment le gars s’était collé tout contre Laura, touchait son pied. Tout en discutant, voyant que ni elle ni moi ne manifestions de désapprobation à le voir collé aussi près, il remonta sa main sur le mollet de Laura. Son geste n’entraîna pas non plus de réaction de notre part. Il laissa donc sa main là et commença même à caresser la jambe de Laura.
Celle-ci, comme à son habitude, loin de s’offusquer, s’allongea en arrière et écarta même un peu les jambes, libérant la vision vers son minou. C’était clairement une invitation pour que le gars poursuive ses caresses à l’endroit où il n’aurait jamais pensé pouvoir accéder aussi facilement : sa vulve. Il semblait fasciné, n’en revenait pas. Une telle opportunité c’était inespéré pour lui qui était juste venu pour nager un peu et se faire dorer le cul au soleil.
Pour ma part, je n’étais pas étonné par l’attitude de Laura. Elle agissait de la sorte lorsqu’elle avait décidé de prendre du bon temps. C’est elle qui décidait, quitte à se servir des hommes juste comme des objets sexuels pour servir à son plaisir. Je n’avais rien contre ce fonctionnement, ce n’était que juste retour des choses face au machisme de beaucoup de mecs. Et ça m’excitait aussi pas mal.
Le gars commença à approcher la main de l’entrejambe de Laura, puis de sa chatte. Il la caressa un peu, en décrivit le contour, puis glissa un doigt entre les lèvres. Son doigt pénétra alors dans le vagin offert. Il farfouilla doucement à l’intérieur, les yeux ronds, ébahi d’admiration. Laura écarta encore un peu les jambes, et tourna la tête vers moi. Elle me fit un clin d’œil complice en me souriant. Elle aimait ce qui se passait.
Alors le gars, visiblement excité, descendit son visage et posa sa langue sur la vulve qui lui était offerte. Il commença à la lécher, d’abord timidement puis comme un affamé, tellement heureux de goûter cette chatte providentielle. Laura me regarda en se mordant les lèvres. Le cunnilingus du gars semblait efficace.
Pendant qu’il léchait sa chatte, elle chercha ma queue et se mit à me masturber doucement.
— C’est bon, ce qu’il te fait ? murmurai-je à son oreille. — Oui plutôt bon. Je pense que j’aimerais qu’il me baise. — Ha ? OK...
Je regardais autour de nous. La plage était déserte, personne n’était passé depuis un bon quart d’heure. Et puis même si quelqu’un passait, les gens savaient à quoi s’en tenir dans ce genre d’endroit...
— Il y a des préservatifs dans mon sac, prends-les, me demanda Laura.
Elle était ainsi : elle exprimait ses désirs de façon claire et nette. Elle avait envie de sexe, juste à ce moment, c’est tout. Et ce gars tombait à pic. J’attrapai donc le préservatif et je le donnai au gars. Je lui glissai à l’oreille "Vas-y si tu veux. Tu peux la prendre". Le gars était stupéfait, mais ne se fit pas prier. Il enfila le préservatif assez nerveusement sur sa bite déjà bien dure. Il cala une serviette sous ses genoux pour éviter de s’écorcher sur le rocher et vint se positionner entre les jambes de Laura, au-dessus d’elle. Il avait visiblement hâte de la pénétrer.
Il rentra alors son sexe dans le vagin de ma compagne et entama de lents va-et-vient. Laura regardait le gars la baiser, se mordant les lèvres de plaisir. En général, j’aimais bien ça, voir Laura se faire baiser par un autre mec. Ça a toujours eu quelque chose de très excitant pour moi. Je deviens ainsi spectateur de son plaisir, de ce mystérieux plaisir féminin : ce n’est pas moi, mais c’est une bite qui lui procure ce plaisir. Juste une bite quelconque, anonyme, un simple objet.
De temps en temps, pendant que le gars la baisait, Laura tournait la tête vers moi, me souriait avec un petit air de complicité, comme si elle était heureuse que je partage son plaisir. Elle tenait toujours ma bite dans la main et me masturbait, ne s’interrompant que lorsque le plaisir était trop fort. Il était important qu’elle s’occupe aussi de moi dans ces cas-là. C’était sa façon de rester en contact avec moi.
De son côté, le mec était aux anges. Il pilonnait ma douce Laura avec entrain, regardant avec délice sa bite pénétrer la chatte de cette cochonne providentielle. Il s’appliquait, faisait de son mieux pour satisfaire Laura, même si les rochers d’une plage ce n’est pas l’idéal pour les genoux (je devais avouer compatir avec le gars, car j’avais déjà testé plusieurs fois la dureté des rochers des plages provençales).
Laura en tout cas appréciait le traitement. Pendant que le gars la baisait, elle se mit à me sucer doucement, ce qui fut vraiment agréable...Cependant, le gars ne tarda pas à montrer des signes d’une trop grande excitation. Il n’était pas loin de jouir. Bien sûr, il n’était pas là pour faire des prouesses sexuelles, d’autant plus que le confort manquait. Alors que l’affaire n’ait pas duré plus que quelques minutes n’était pas gênant. Son contrat était rempli dans la mesure où il avait apporté du plaisir à ma gourmande de Laura.
Il ne tarda pas à haleter, accélérer ses mouvements, puis il poussa un gémissement rauque. Il jouit, bouche ouverte, yeux fermés, ravi d’avoir eu la bonne idée de venir sur cette plage ce matin-là. Il resta quelques secondes à l’intérieur de Laura, mais se retira vite. Il enleva son préservatif, fit machinalement un nœud, pour retenir le sperme à l’intérieur et le posa à côté de lui.
— Ha merci, c’était vraiment bon, dit-il en embrassant Laura. Tu es délicieuse. — Merci à toi, pour moi aussi c’était très bon. — Ha c’est bien ! Je dois dire que c’est la première fois que ça m’arrive ça. — Ha bon ? Pourtant c’est une plage assez connue, plutôt chaude. — Oui, j’ai déjà fait des connaissances avec des femmes, j’ai eu des aventures, mais jamais fait ça comme ça, directement. — Hé bien tant mieux. Il faut en profiter. — Bon, hé bien, à bientôt peut être ? Je peux peut-être vous laisser mon numéro de téléphone ? On peut se voir à l’occasion. J’habite pas loin.
Laura nota son numéro en sachant très bien qu’il n’était pas question de le revoir. Elle s’était juste fait plaisir, elle n’en voulait pas plus de la part de ce gars. Lorsqu’il fut parti, Laura se tourna vers moi.
— Ça va ? — Oui, ça va. Je dois dire que tu me surprends toujours. C’était bon ?
Elle rigola.
— Plutôt, oui. Il avait une bonne queue, ça a duré juste le temps qu’il fallait, pas trop longtemps, c’était bien. C’était juste ce dont j’avais envie. L’imprévu c’est toujours agréable, non ? — Oui...
Elle regarda mon sexe.
— Tu veux que je te suce ?
Et elle se pencha vers ma queue.
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