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La Compatibilité de la Comptabilité

Chapitre unique

Zoophilie
Toute ma vie, depuis l’âge de 13 ans, j’ai été sollicitée par tout un tas de gars, et même quelques femmes. Souvent amusée, parfois tentée, mais je n’ai jamais accepté leurs offres. Mon mari m’a eue vierge pour la nuit de noces, et je suis restée fidèle à mon mari jusqu’à ...
Il y a environ un an, un nouveau comptable a été embauché dans mon service. Farid, un gars très gentil, mais très peu bavard. Le genre «bonjour-bonsoir», aucun commentaire superflu. Grand, mince, brun ténébreux, bel homme, style prince du désert.
Le directeur a créé des groupes de travail pour faire évoluer plus rapidement les nouveaux dossiers. Nous avons été associés sur un projet. Travailler en binôme avec un type qui ne parle pas, ce n’est pas la joie. Heureusement, au bout de quelques jours, j’ai réussi à le dessaler. Il pouvait parler, et même tenir une conversation.
Il était juste extrêmement circonspect. Nous avons pris l’habitude de déjeuner ensemble au réfectoire. On continuait de parler boulot en mangeant. Petit à petit, nous avons fait le vide autour de nous. Mes anciennes copines le trouvaient chiant. J’ai fini par passer mes journées avec lui, juste avec lui, rien qu’avec lui. Ensemble, on parlait de tout.
De nos vies, de notre jeunesse, de notre parcours professionnel, puis c’est devenu plus intime, mes enfants, mon mari, ma carrière. Je parlais beaucoup, il m’écoutait, ne se découvrait pas. C’était juste une conversation sympa. Il avait fait le vide autour de moi, et il m’a séduite en s’intéressant à moi.
Au départ, j’étais un peu hésitante, ne connaissant aucun Maghrébin, mais il était très sympa, drôle parfois, et surtout très bel homme. Au bout de quelques semaines, j’avais le béguin pour lui. Notre projet prenait du retard, nous étions accaparés par tout un tas de tâches diverses, nous avons décidé de travailler le week-end pour récupérer notre retard.
Dans l’entreprise, impossible, c’est fermé le week-end. Chez moi, pas pratique, mes enfants, mon mari, nous ne serions jamais tranquilles. Il a donc proposé chez lui. Le samedi matin, je suis allée le rejoindre chez lui.
Il avait une petite maison en banlieue. Bien décorée et impeccablement propre. Il vivait seul avec son chien, Dick. Un grand chien noir, très doux. Bien dressé, quand Farid me l’a présenté, il m’a tendu la patte. J’ai fondu. Nous nous sommes installés dans le séjour et nous avons mis en place nos dossiers.
Farid nous a apporté le café, du jus d’orange et des viennoiseries pour que nous puissions nous réconforter. Au bout de deux heures de travail acharné, avons décidé d’une pause. En me levant pour aller aux toilettes, j’ai maladroitement fait tomber un dossier qui s’est répandu par terre.
Me baissant pour le ramasser, j’ai trébuché stupidement et j’ai chuté cul par-dessus tête. J’ai fini à plat dos avec ma robe troussée jusqu’à ma taille. J’étais mortifiée. Non seulement parce que je m‘étais montré stupide, mais aussi parce que je ne portais qu’un string dessous ma robe. Je me suis sentie rougir de honte.
Farid s’est précipité pour m’aider à me relever. Empruntée, gauche, idiote, je ne peux pas décrire mon état dans ce moment-là. J’aurais voulu mourir, ou me cacher dans un trou de souris. Farid m’a aidée à m’asseoir sur le canapé, il était réellement inquiet pour ma santé.
Je lui ai dit que j’allais bien, que j’étais une cruche, et que j’étais sincèrement désolée d’avoir causé tout ce tumulte. Il a juste souri en m’assurant qu’il ne garderait pas de griefs contre moi. Puis nous avons repris notre travail.
La journée est passée très vite. Les heures défilaient sans que nous en ayons conscience. Je me suis aperçue qu’il était déjà 18 heures, l’heure de rentrer. Mais nous avions un dilemme. Il ne restait pas grand-chose pour terminer, et nous ne voulions pas sacrifier notre dimanche. Après un bref conciliabule, nous avons décidé de poursuivre notre travail et de le terminer.

J’ai appelé mon mari pour le prévenir, je lui ai expliqué la situation, je lui ai indiqué l’adresse où je me trouvais, au cas où il y aurait un souci, et je lui ai dit que je rentrerai à la maison dès que j’aurai terminé mon travail. Farid a commandé 2 pizzas, nous avons cassé la croûte, et nous nous sommes remis au travail.
Nous avons terminé vers 21 heures, pas peu fiers de nous. Nous étions tous les deux épuisés, mentalement groggy, c’est le moins que l’on puisse dire. Farid a suggéré que nous ouvrions une bouteille de champagne pour fêter ça, mais j’ai refusé en lui disant que je devais conduire pour rentrer chez moi.
Par contre, un alcool fort, genre whisky ou bourbon, en toute petite quantité, me donnerait un coup de fouet. Il m’a servi un bourbon grand réserve, une pure merveille. Assis sur le canapé, nous dégustions nos verres quand il s’est mis à dodeliner de la tête, comme pour chasser un torticolis.
Par jeu, et pour être gentille, je me suis levée, et j’ai commencé à lui masser les épaules. Je n’avais aucune intention d’être séductrice ou tentatrice. Je voulais juste être serviable et attentionnée. Je sais à quel point un bon massage peut vous détendre après une longue et dure journée. Après quelques minutes, il s’est écrié :
— D’accord. Maintenant, c’est ton tour.
Je n’allais pas refuser.

Il s’est accroupi devant moi et il a commencé à me masser les pieds. C’était merveilleux. Puis il s’est relevé pour faire le tour et masser mes épaules et mon dos. Ce qui s’est passé n’a rien à voir avec ma consommation d’alcool. J’avais toutes mes facultés et je n’avais aucun problème d’équilibre. Sur le moment, j’ai cru que j’avais une hallucination.
J’ai douté de ma vision et de ma raison. C’était impossible. Quand il s’est levé, j’ai vu, eh bien, je ne sais pas ce que j’ai vu. Un truc pareil, aussi énorme, ça n’existe pas. Ou alors, il n’est pas humain. Ou il a dissimulé une bouteille de soda dans son froc ...
Mon mari m’a déjà demandé de regarder des pornos avec lui, je sais, je connais ce qu’il convient d’appeler une grosse bite. Mais là ! Même si je ne suis pas intéressée pour pratiquer, j’ai bien trop peur d’avoir mal, j’avoue que ce truc a titillé ma curiosité. Se dire que ça peut exister, ou même que ça existe, c’est une chose.
En avoir une sous le nez, si je peux m’exprimer ainsi, c’est autre chose. Mais un détail m’a tirée de ma rêverie, et de mes pensées philosophiques. Tandis qu’il massait mes épaules, un truc me heurtait le dos. À plusieurs reprises, un contact ... Une pression. C’était un détail, mais un gros détail.
Au bout d’un moment, n’y tenant plus, je me suis retournée. J’avais son entrejambe juste sous mon nez. Et cette bosse ! Je n’ai pas pu résister. Comme hypnotisée, j’ai posé ma main dessus et je l’ai caressée. Il m’a regardée et m’a demandé :
— Bérengère. Es-tu sûre de vouloir continuer à faire cela ?
Il était loyal. Vertueux même. Lorsqu’une femme s’attaque à votre fermeture éclair, glisse la main dans l’ouverture et saisit votre sexe pour lui faire prendre l’air, lui demander si ça va, cela révèle une force de caractère, un civisme, bref, cet homme était un saint. Mais un saint équipé d’un sexe surdimensionné.

D’accord, je n’en avais pas vu beaucoup, dans la vraie vie. Les plus grandes cannes que j’aie vues, c’était dans les pornos. Je caressais, je tâtais, je palpais, mais surtout je mesurais. Sur le sexe de mon mari, je posais ma main, et seul le gland dépassait de mon poing fermé.
Sur celle-là, je posais mes deux mains côte à côte, et il y avait encore un bon morceau qui dépassait. En enroulant ma main autour, j’avais du mal à refermer ma main dessus. Pas question que cela rentre. Trop grand, trop gros, et trop lourd aussi. Son sexe pesait dans ma main. Et il était chaud. Aurait-il de la fièvre ?
Le sexe de mon mari tenait tout seul en l’air, il ne pesait pas comme celui-là dans ma main. Et il n’était certainement pas chaud comme ça. Je n’avais pas de souvenir précis sur la dernière fois que j’avais pris le sexe de mon mari en main. Vous savez ce que c’est ... la vie, le boulot, les enfants, les soucis ... On ne passe pas tout notre temps à la bagatelle.
Et puis mon mari se débrouillait très bien tout seul, pas besoin que je la lui tienne. Farid aussi pouvait se débrouiller seul. Mais là, c’était différent, j’en avais envie. Une goutte de liquide clair perlait à l’orée du méat. J’ai eu cette envie irraisonnée d’y goûter. Je l’ai tiré vers moi et je l’ai léché. Un petit coup de langue pour la saveur, mais la goutte coquine est réapparue au bout de son sexe. Bientôt, il m’est apparu clairement que plus je léchais, plus la goutte réapparaissait.
Alors je l’ai sucé. J’en ai mis autant que je pouvais dans ma bouche, ce qui n’était pas beaucoup. Après quelques minutes, d’une voix un peu enrouée, il a suggéré que nous allions dans la chambre. Je n’ai même pas hésité. J’étais dans un moment de pure convoitise. Dans la chambre, nous nous sommes déshabillés rapidement.
Il m’a allongée tendrement sur le lit. Il planait au-dessus de moi. Sa bouche, ses mains ... En fermant les yeux, j’avais l’impression qu’ils étaient plusieurs. Il suçait mes mamelons, mordillait mes tétons en tirant doucement dessus. C’était le paradis. Mes seins si sensibles propageaient des petites décharges électriques dans tout mon être.
Puis, lentement, très lentement, sa bouche a commencé à descendre le long de mon ventre. Une fois arrivée à la fourche de mes jambes, elle a hésité, s’est promenée, l’intérieur des cuisses, mon pubis... Sa bouche embrassait et léchait tout autour de ma chatte, comme si elle ne trouvait pas le chemin. Il me rendait folle. Finalement, j’ai attrapé sa tête à deux mains pour poser sa bouche sur ma chatte.
De toute la journée, le chien Dick ne nous avait pas dérangés, tandis que nous travaillions. Lorsque nous sommes allés dans la chambre, il nous a suivis. Même si nous ne prêtions aucune attention au chien, Dick était là, à côté, tout proche.
Assis par terre, à côté du lit, Dick regardait Farid, son maître, me manger la chatte. Quelle idée loufoque a traversé l’esprit de ce chien pour qu’il saute ainsi sur le lit, me chevauche, et me présente sa bite à sucer ? J’avais les yeux fermés, je savourais mon bonheur que me procurait la bouche ardente de Farid, je n’ai rien vu venir.
J’ai reçu une goutte sur le visage, mais cela ne m’a pas beaucoup perturbée. Après plusieurs gouttes, j’ai réalisé qu’il y avait un problème. Pleuvait-il dans la maison ? J’ai ouvert les yeux et je l’ai vu. Le chien Dick, au-dessus de mon visage, la bite tendue, la goutte qui perle au bout ... Juste au même moment, la goutte est tombée ... droit dans ma bouche !
Je n’ai pas crié parce que je ne voulais pas que Farid s’arrête. Je ne savais pas quoi faire. Mais la bite que Dick me montrait grossissait, s’allongeait, la chair rouge sortait progressivement de son fourreau, et elle dégoulinait d’un liquide clair sur mon visage. Bien sûr, j’étais un peu dégoûtée et je me suis essuyée.
Mais j’ai léché mes lèvres, et le goût n’était pas si répugnant que ça. En fait, ce n’était pas si mauvais. Non, c’était bon, très bon, même. Un goût un peu saumâtre, un mélange sucré-salé qui était vraiment intéressant. J’étais donc là, coincée entre un bel homme qui léchait divinement ma chatte, et qui me préparait pour me donner ce que j’espérais être la meilleure baise de ma vie, et un gros chien équipé d’une majestueuse bite qui perlait sur mon visage.
Il faut bien connaître mon état d’esprit à ce moment-là. Je pensais au sexe, et uniquement au sexe. J’étais dedans, j’avais envie, j’avais faim. J’ai donc saisi cette grosse bite que Dick me tendait et je l’ai sucée. Farid a levé les yeux et m’a vue en train de sucer la bite de Dick. J’ai lu la surprise, puis la volupté dans son regard.
Finalement, il a gémi et s’est occupé de ma chatte avec sa langue. Dick a essayé de me baiser la bouche, aussi j’ai gardé ma main sur sa bite pour qu’il ne puisse pas devenir bestial. Il devenait vraiment grand aussi. Pas aussi épais que Farid, mais gros. Très vite, il a commencé à sécréter du vrai sperme dans ma bouche.
C’était un liquide chaud, mais pas très épais. La température était beaucoup plus chaude que celle d’un homme. Et quelle quantité ! Sans s’arrêter de pomper, le jus coulait de sa bite comme d’un robinet mal fermé. Longtemps. Je ne savais pas quoi faire. J’ignorais que ça se passait comme ça avec un chien.
C’était difficile, mais j’ai réussi à avaler presque tout. Puis Dick descendit du lit et s’allongea pour se lécher la bite. Pendant ce temps, du coin de l’œil, Farid me regardait avec sa langue sur ma chatte. Farid était prêt à me baiser. Il m’a dit que c’était la chose la plus chaude qu’il ait jamais vue sur le plan sexuel. J’écartais les jambes, mais j’étais inquiète à cause de la taille de son engin. J’étais bien préparée, bien mouillée, bien excitée, mais anxieuse à cause des dimensions de ce sexe géant.
Je lui ai recommandé d’être doux et compréhensif. Il m’a caressée plusieurs fois avec son gland tout le long de ma fente. Puis il s’est aligné sur mon ouverture et il a poussé. Le gland est entré. Je me sentais remplie, pleine, étirée juste avec le gland en moi. Puis il a continué de pousser, par à-coups réguliers. Progressivement, il s’enfonçait en moi.
Doucement. Patiemment. C’était plus inconfortable qu’agréable. J’avais l’impression d’un accouchement à l’envers. Je lui ai dit que c’était douloureux et il s’est arrêté. Il m’a dit qu’il allait prendre son temps pour me laisser m’ajuster, et voir ce que je pourrais en supporter. Il m’a dit de ne pas m’inquiéter, que jamais aucune femme n’avait renoncé, et qu’au final, toutes avaient pris beaucoup de plaisir avec sa bite.
Cela a pris longtemps, chaque fois que je me sentais mieux, je lui disais, et il recommençait à s’enfoncer plus loin en moi. Chaque fois que je disais stop, il s’arrêtait et patientait en m’embrassant amoureusement. Finalement, j’ai senti ses couilles contre mon cul. Nous étions aussi surpris l’un que l’autre. Il m’a dit que ce n’était pas si fréquent, les femmes qui l’acceptaient entièrement. Je me sentais remplie, pleine, étirée, distendue. Il me chamboulait.
Je me sentais comme une gamine devant son premier flirt. Épinglée sur le lit, possédée, envahie, offerte. Il a commencé à bouger très lentement en moi, observant mes réactions. J’avais l’impression d’être habitée. Il ressortait presque entièrement, et j’avais un sentiment d’abandon. Il heurtait le fond de mon vagin, et j’avais l’impression qu’il pénétrait mon utérus, c’était presque douloureux. Puis le rythme, lentement, s’est accéléré, et mes hanches l’ont accompagné.
La houle de mon ventre a donné vie au ressac de tout mon corps. Mes jambes se sont enroulées autour de ses reins et tout mon corps a remué sous lui. Je l’implorais pour qu’il me baise avec plus d’énergie. J’avais le besoin d’être baisée, profond, dur, brutal. Je voulais être baisée comme une femme a besoin d’être baisée.
Quand il a éjaculé en moi, il était tellement à l’étroit que j’ai senti le sperme progresser dans sa bite. Il est resté en moi et nous nous sommes embrassés amoureusement. Nous nous sommes câlinés longuement, puis cette bite monstrueuse a repris vie. J’étais subjuguée, mais ma chatte était défoncée. J’avais atteint les limites de sa résistance.
J’avais joui de nombreuses fois entre la pénétration et l’éjaculation. Je pensais que ma chatte ne pourrait pas en supporter davantage. Je lui ai demandé de se retirer parce que je voulais le sucer. J’avais comme objectif de le sucer jusqu’à ce que son sperme jaillisse dans ma bouche. Serais-je capable de l’avaler ?
Je me suis accroupie entre ses jambes écartées, et je l’ai pris en bouche, en m’excusant de ne pas pouvoir faire mieux, parce qu’il était trop fort pour moi. Mais il m’a dit que je faisais du bon travail, et qu’il trouvait ma fellation très agréable. Tandis que j’étais occupée à câliner la bite de Farid, Dick est revenu à la charge. Il a grimpé sur lit pour renifler mes fesses qui s’agitaient en l’air. J’étais accroupie entre les jambes écartées de Farid, les mains et la bouche occupées à câliner sa magnifique bite, la tête pleine de rêves, lorsqu’une langue râpeuse m’a fait sursauter.
Nos jus mélangés qui s’échappaient de ma chatte devaient être un fumet délicieux pour Dick, car bientôt, cette merveilleuse langue râpeuse me faisait chavirer de bonheur. Que celles qui n’ont pas connu l’extase sous la langue râpeuse d’un chien me jettent la première pierre. Comme sensation, cela ne ressemble en rien à une langue humaine.
Plus longue, plus énergique, recouverte de milliers de petits picots qui vous électrisent. Bien évidemment, ces sensations m’ont emportée dans un tourbillon de plaisir, et de ma chatte s’est mis à sourdre un liquide au fumet capiteux. Cette attaque de phéromones a rendu le chien Dick fou de désir.
Il ne lui a pas fallu longtemps avant de sauter sur moi et de pleurnicher pour me couvrir. Je savais ce qu’il voulait. Et je voulais ce qu’il voulait. Je voulais sentir la grosse bite de ce chien en moi. Mais il s’agitait de manière désordonnée, sa bite heurtait mes fesses au hasard, et je craignais que des circonstances malencontreuses le fassent pénétrer dans le mauvais orifice. J’ai donc saisi la bite de Dick à pleine main, je me suis alignée, et je l’ai introduite en moi.
Bon, en réalité, je l’ai juste présenté à l’entrée de ma vulve. Lorsqu’il a compris qu’il était au bon endroit, il m’a poignardée d’un grand coup de reins qui m’a fait crier. C’était très différent, le contact d’une bite de chien avec celle d’un humain. La surface est granuleuse, et le contact de cette bite contre les chairs martyrisées de ma chatte m’ont fait jouir presque instantanément. C’était une expérience incroyable.
Il m’a baisée avec une brutale bestialité. Son but était d’inséminer la femelle, pas de me faire plaisir. Et pourtant... L’accouplement a été bref. Mais lorsque son nœud m’a pénétrée, j’ai cru mourir. Il a poussé cette boule en moi et m’a maintenue là, soumise et vaincue. Impossible de m’échapper.
La vulve remplie de sperme de chien, j’ai joui encore plus fort qu’avec Farid. Farid, qui avait tout vu et tout compris, a profité de ma soumission pour maintenir ma tête à deux mains et jouir dans ma bouche. J’ai failli m’étouffer sous l’importance de sa jouissance, mais finalement, j’ai pu en avaler une bonne partie.
Après que les deux mâles m’aient libérée, j’ai fait une toilette rapide et je suis rentrée chez moi, car j’étais trop épuisée et il était trop tard pour continuer.
Pour abréger mon histoire, j’essaye à présent de passer une fois par semaine chez Farid. J’ai un double des clés. Que Farid soit là ou pas, Dick est toujours heureux de me voir.
Ses démonstrations de tendresse se terminent toujours de la même façon. Moi, accroupie sur le sol, et Dick qui me chevauche. Mon mari n’a aucune idée de mes activités extra-conjugales. Nous avons toujours des relations sexuelles régulières, mais c’est pour son plaisir, pas le mien.
Avec mon mari, je simule, parce que je ne ressens rien. Je suis la maîtresse de Farid, et la femelle de son chien Dick, le bien nommé.
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