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Complicité perverse.

Chapitre 1

une maman cachotière

Avec plusieurs hommes
Tout commença par une journée caniculaire du mois de juin. J’avais dû écourter mes vacances d’une semaine suite à une mauvaise gestion de ma porte-feuille. J’étais un peu frustré d’avoir dû abandonner mes potes au camping, mais nos virées en boîtes et autres avaient eu raison de mes économies. Ma copine me quitta aussitôt pour se mettre avec un blondinet aux poches remplies de pognons, et moi, je fus obligé de revenir chez mes parents, un peu dégoûté, mais la tête remplie de bons souvenirs. Suite à une bonne demi-journée de covoiturage harassant sous le soleil (pas de clim), j’arrivai à bon port. Je marchais, l’esprit serein, direction la maison parentale: lieu sécurisé et apaisant. Elle était en plus un peu à l’écart du gros pâté de maison d’à côté. Plus j’avançais, plus j’étais apaisé. J’allais voir ma mère, souriante et aimante. Mon père en fin de semaine, car travaillant à l’étranger.
En franchissant le portail blanc grand ouvert, quelque chose m’interpella: à côté de la Clio bleue de ma mère, deux grosses motos que je ne connaissais pas.
Je décidai alors d’avancer prudemment pour voir à travers la fenêtre du salon. Ce que je vis alors me stupéfia. En effet, au milieu du salon, se tenait une femme voluptueuse aux cheveux noirs. Elle était nue, juste un bracelet doré autour de sa cheville et à quatre pattes. Ses seins étaient si gros qu’on aurait dit qu’ils allaient toucher le sol. Un homme chauve d’environ 1m75 arriva par derrière, lui saisit les hanches et la prit en levrette. La femme se mit à gémir de plaisir et sa grosse poitrine se mit à se balancer au rythme de la pénétration. La scène ressemblait à une sorte de film porno en live. La femme n’avait rien d’une Bimbo siliconée, mais restait néanmoins désirable et avait surtout deux énormes atouts cent pour cent naturels. J’aurais aimé voir son visage, mais elle était de profil et ses cheveux ondulés masquaient en partie son visage. En tout cas, à la voir en action, on aurait dit une sacrée professionnelle.
Elle prenait vraiment du plaisir à se faire prendre de la sorte.
C’était brut, sans tendresse, juste un mâle prenant une femelle en chaleur. Après quelques allers-retours brutaux, l’homme finit par éjaculer tout en grognant de plaisir. La dame fit de même, ravie de sentir la semence se rependre en elle. Il se retira lentement d’elle. La femme aux cheveux noirs se releva lentement puis regarda en face d’elle. Elle parla à un autre homme qui arriva. Cette voix, je la reconnus aussitôt, mais ce ne pouvait pas être possible, pas elle. Le deuxième homme, un grand barbu d’une trentaine d’années s’approcha et lui caressa les seins. Je faillis défaillir à la vue du visage de cette femme qui souillait la maison familiale. Oui, cette femme je ne la connaissais que trop bien, mais je ne pouvais l’admettre. C’était la femme que j’adorais le plus au monde, que je croyais vertueuse et sans défaut. C’était la femme qui m’avait consolé, allaité et mis au monde. Oui, cette femme, c’était ma mère: Maria.
Le barbu prenait du plaisir à caresser cette poitrine volumineuse. Ces seins énormes, chaleureux, rassurants étaient devenus de superbes objets de plaisirs sexuels.
Maria inspira profondément et sentit le plaisir monter en elle. L’effet des caresses lui fit durcir les tétons. La poitrine était superbe, énorme, avec de grandes et belles aréoles foncées. Je restais paralysé par la scène, surtout en ayant reconnu la dame au centre de cette scène de « porno live ». Je ne pouvais croire à cette situation surréaliste, dérangeante et à la fois intrigante. J’aurais dû courir, m’enfuir du lieu ou rentrer de force et hurler de colère, mais rien de tout ça ne se produisit. J’étais comme hypnotisé, fasciné par cette découverte. Je voulais savoir pourquoi. Oui, pourquoi tromper mon père et d’une façon aussi vulgaire et avec deux mecs en plus ? Le barbu soupesa avec envie la poitrine offerte tandis que les mains de la dame déboutonnaient le pantalon moto de son partenaire sous le regard pervers du chauve qui commençait à s’astiquer malgré sa précédente éjaculation.
Le visage de la femme, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, haletante montrait une montée intense d’excitation.
Elle se pourlécha d’un air d’une chienne en chaleur. Tandis qu’elle se faisait malaxer la poitrine, ma mère extirpa le sexe du barbu qu’elle commença à branler. C’était un sexe veineux et de taille honorable. Elle se mit à genoux puis entama une magnifique fellation. La vision de cette femme à gros seins suçant cette espèce de biker aurait fait bander n’importe qui, mais étant ma propre mère, je ne pus m’empêcher de tourner la tête, car C’était trop pour moi. Je décidais de quitter discrètement la maison familiale et de digérer cette situation dérangeante. Je me pris un verre dans un bar pour réfléchir à ce qui venait de se passer. Que faire ? Le dire à mon père, mais c’est le divorce et une sacrée merde familiale. Malgré son comportement, elle restait ma « maman chérie ». J’étais déçu de la voir sous cet aspect, mais hors de question de lui faire du mal. Lui en parler ? Cela risquerait de la mettre à mal. Alors que faire ?
Mon budget vacances épuisé, il me restait un peu d’argent destiné à mes dépenses exceptionnelles.
Il faisait beau et il y avait un camping pas loin. Autant profiter de cette dernière semaine où j’étais officiellement encore en vacances à des centaines de kilomètres d’ici. J’achetai une tente à bas prix ainsi que du matériel pour camper. J’intégrai le camping deux heures plus tard. Le soir tombé, impossible de dormir. Je repensai à l’image de ma mère, nue telle une hardeuse. Je revis ses gros seins se balancer et presque toucher le sol tant ils étaient énormes. Je revis le chauve la baiser à quatre pattes puis la voilà en train de sucer le barbu. J’avais envie de savoir, d’y retourner. Peut-être même qu’à l’heure actuelle, elle continuait à se faire mettre par les deux hommes. Ah, si la famille savait ! Mais non, hors de question de tout foutre en l’air. Je tenais à la cohésion familiale et j’adorais trop ma mère pour lui faire ça. Et puis il y avait cette curiosité malsaine envers ses actes.
Je décidais donc le lendemain de retourner une petite heure avant qu’hier, je découvre le pot au rose.
En arrivant, pas de moto, juste sa Clio bleue. Vingt minutes plus tard, j’entends un bruit de moteur. C’est le barbu: cette fois, il est seul. Il se gare, laisse tourner la moto et se dirige vers la porte. Il n’a pas le temps de sonner, ma mère ouvre. Elle porte une robe d’été très légère. Un décolleté monstrueux. Le barbu lui tend le casque qu’elle met avec difficulté. Il en profite pour lui tâter les nichons à travers le fin tissu. Ils enfourchent la moto et les voilà partis. Ils ne reviendront que bien plus tard dans la nuit, je suppose, car je n’ai pas eu la patience de rester planté, caché devant la maison. J’ai bien imaginé les deux s’envoyer en l’air. Le lendemain, j’étais encore plus excité. Allait-elle commettre un troisième adultère trois jours d’affilée. La réponse fut très abrupte. J’arrivais à la même heure qu’hier, mais là, deux grosses motos étaient à nouveau garées près de la Clio bleue. Il y avait le chauve et le barbu dans le salon, une bière à la main.
Ma mère les rejoignit à poil, tout excitée.
On la croyait rajeunie. Elle sautillait presque. Ses gros seins se secouaient à la vue des deux motards intéressés. Il y avait aussi ses cheveux ondulés qui dansaient au niveau de ses épaules. Le chauve la prit dans ses bras malgré les deux « airs bags » puis lui caressèrent les cuisses passant par les fesses pour s’orienter vers son sexe. Maria apprécia et se mit à mouiller. Délicatement, le chauve l’allongea sur le beau tapis du salon et lui écarta les cuisses. Il se it à la lécher sous le regard approbateur et pervers du barbu. Ma mère se cambra, se tortilla de plaisir. La langue du quadragénaire était habile. A ce moment même, j’entendis un bruit de moteur plus exactement de deux. J’eus juste le temps de me planquer. Deux autres motards se garèrent à côté des deux motos et de la Clio. Ils rentrèrent sans sonner. Ils étaient énormes. Le barbu alla à leur rencontre. Ma mère fut surprise de cette intrusion et essaya de protester, mais le chauve la maintint au sol.
Il était gêné par la grosse poitrine de sa partenaire qui semblait furieuse.
Elle arriva à le repousser et se leva. Visiblement, les deux gros motards n’étaient pas prévus au programme. Le chauve lui attrapa les bras et les bloqua en arrière tandis que les deux gros bikers baissaient leurs pantalons. Je sortis mon portable, prêt à appeler le 17: hors de question de laisser ma mère se faire violer. Mais là, le barbu ordonna au chauve de la lâcher puis chuchota quelque chose à ma mère, pas contente. Elle protesta un peu et le barbu insista. Il la prit dans ses bras puis l’embrassa. Ma mère semblait conquise et se mit à genoux. Les deux bikers se firent sucer de façon magistrale. Maria s’appliqua passionnément. Elle finit par les faire éjaculer et là voilà en train d’avaler le plus possible la semence de ces deux intrus. Mais elle n’arriva pas à contrôler le jet du second. Elle avait du sperme plein le visage. Peu importait, on l’aida à se relever et cette fois, le chauve l’enlaça et l’entraîna vers la chambre parentale.
Une grosse frustration m’envahit, car je ne pouvais assister au reste.
Il fut suivi par ses deux compères et le barbu. Ils allaient la prendre à quatre dans la propre chambre de mes parents. Pendant une longue heure, ils allaient se relayer pour la baiser comme il se devait. Je pouvais largement entendre les cris de bonheur de ma « tendre maman », si tendre qu’elle se sentait obligée de donner de l’amour à de parfaits inconnus. Mais ne soyons pas dupes, au vu des cris et des râles qu’elle émettait, on ne peut pas dire que pour elle, ce fut un grand sacrifice, bien au contraire. J’essayais d’imaginer la scène: se relayaient-ils ? La câlinaient-ils ensemble ? Le fait est qu’ils finirent par partir. Seul le barbu resta avec Maria. J’eus l’impression qu’ils flirtaient. Elle eut le temps de se passer un peu d’eau sur le visage. C’était bizarre de le voir habillé et elle complètement nue. Il était plus grand qu’elle, la dominait. Elle semblait amoureuse vu son bonheur à être avec lui. Ils s’embrassèrent une dernière fois et il partit sur sa moto. Elle resta derrière la porte, à poil dans ses pensées.
Elle avait l’air de regretter d’avoir baisé avec les deux intrus, mais elle l’avait fait.
Elle s’était fait prendre par les quatre bikers dans la chambre où elle couchée avec son mari. Ça l’avait horriblement excitée au début, mais maintenant, elle avait honte. Ah, si la famille savait. Elle referma la porte. Fin du « porno-live avec maman ». Le lendemain, j’étais crevé. On était jeudi. J’allai aux courses et je fus à deux doigts de croiser ma mère. Elle semblait en forme avec ses paniers pour le marché. Elle semblait même être heureuse. Elle était habillée d’une longue robe orange. Un petit décolleté sans plus. Elle s’était fait son chignon traditionnel et porte des lunettes de soleil. Impossible de reconnaître la femme d’hier soir. Cela me fit un drôle d’effet de la voir comme ça: la voir redevenir « normale ». Je décidai de retourner au camping flâner. L’heure approchait. Un quatrième adultère ? En quatre jours ? : pourquoi pas. Et ça ne loupa pas. Sauf que cette fois, j’arrivai en retard. Le barbu était déjà là, il était seul avec elle.
La robe orange froissée en plein milieu du salon. Ils devaient être dans la chambre parentale en train de baiser, et les cris de Maria le prouvaient.
Mais là, un événement inattendu se produisit : je reçus un SMS de mon père. Normalement, il rentrait pour un long week-end tous les 15 jours le vendredi soir, mais là, exceptionnellement, le voici qui arrivait dans une dizaine de minutes pour faire une surprise à ma mère. Il me dit compter sur moi pour ce week-end, car il savait que je devais rentrer de vacances, fin de semaine. Je lui répondis juste « OK pas de problème ! ». Maintenant, je devais prendre une décision : le plus sûr, c’était d’envoyer un SMS pour prévenir ma mère de l’arrivée de mon père. J’essayai, mais pas de réponse ni de réaction. Ils étaient encore dans la chambre en train de s’éclater. Le portable ne devait pas être dans la chambre. Que faire, que faire... Il ne restait qu’une seule solution...(à suivre)
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