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Complicité perverse.

Chapitre 4

Ma mère prise sur la clio

Inceste
Me voici réveillé vers 8 h 00 du mâtin. J’étais bien reposé. Ma mère était déjà debout. Elle était en nuisette transparente. Elle était seins nus, mais portait une culotte. D’ailleurs, on voyait très bien la lourde poitrine qui bougeait sous la fine voilure foncée. Visiblement, me montrer ses seins ne lui posait plus de problème, mais elle était encore un peu prude en ce qui concernait son vagin. Mais déjà, c’était un bon début et je n’allais pas être au bout de mes surprises. D’abord grand sourire. Elle était bien contente de me voir.
— La nuisette te va superbement bien !— Je vais respecter tes volontés vu ton soutien à ma vie de vilaine femme infidèle.— On en a déjà discuté, je crois.— Hmm, oui ! Et crois-moi, tu m’enlèves un peu de culpabilité !
La journée commençait donc bien, nous déjeunâmes puis Maria exprima l’idée d’aller faire quelques emplettes comme hier. Dire qu’autrefois, cela m’énervait de faire du lèche-vitrine avec elle, mais là, notre relation prenait une tout autre tournure. Au bout de vingt minutes, elle revint avec à ma grande surprise une belle robe violette avec des motifs ronds blancs. Le décolleté était superbe et ses gros seins bien mis en avant. Elle portait des sandales ivoire.
— Magnifique, maman !— Je savais que cela pourrait te plaire !Elle se tourna pour me faire admirer son corps et sa belle robe.— Dire qu’à une époque, tu avais assez honte de sortir aussi décolleté ?— Ce n’est pas vraiment ça, mais si jamais les gens me voient sortir seule, habillée comme ça, ils vont se poser des questions sur ma fidélité envers ton père.— Tu ne dénoues pas des cheveux ?— Non plus, mon chignon montre que je ne veux pas séduire ! De même que je garde mon alliance et mon meilleur joker, c’est toi, mon propre fils.— Moi ?— Oui, car même si je suis habillée légère, nul ne peut soupçonner que j’ai envie de séduire, car quelle mère oserait faire cela avec son propre fils à ses côtés ?— Tu fais de sacrés calculs, maman. Je te croyais prude et là, je vois avec bonheur que tu es une coquine.— Assez parlé, mon fils, allons faire des achats. J’ai envie de nouvelles tenues et je compte sur toi pour m’aider à choisir.-Ca, tu peux compter sur moi.
Alors nous partîmes. Et là, comme hier, jamais je ne fus aussi fier de Maria. Les hommes ne pouvaient s’empêcher de reluquer son décolleté. Nous croisions des voisins, des connaissances. Tous remarquèrent la nouvelle façon de s’habiller de ma mère et surtout ses gros seins bien mis en valeur. Mais que pouvaient-ils dire ? J’étais là. Garant de la fidélité maternelle. Nous fîmes les boutiques et elle me demanda conseil. Bien sûr, je lui fis acheter des vêtements les plus sexy possible. Le but de la manœuvre, c’était qu’elle finisse par porter le moins de tissus possible. Ma perversion envers elle augmentait. Le fait que je sois à ses côtés la désinhibait totalement. Elle prenait plaisir à me surprendre. Au final, je rejoignais Jack dans son délire sur ma mère. Il voulait sans doute la dépraver et moi aussi. Le tout, avec la bénédiction de l’intéressée.
A peine nous eûmes le temps de tout ranger dans la Clio que le portable de Maria se mit à sonner. À son sourire d’amoureuse, je sus que c’était Jack. Ils restèrent 5 minutes à se parler puis ma mère d’un coup se mit à dire tout fort :
— Hein ? Mais pourquoi là-bas ?... OK, OK. Je mets le GPS et on vous rejoint... oui, mon fils est avec moi.

Ma mère me regarda et me dit :
— Nous avons rendez-vous avec Jack ici !
Elle désigna l’endroit sur le GPS.
— Mais c’est un terrain vague, je connais. Ça fait des années que c’est à l’abandon.— Je ne sais pas ce qu’il veut, mais il a insisté.— Alors, allons-y, M’an !
Nous nous mîmes en route. L’endroit choisi était assez déroutant, mais commençant à connaître Jack, je me doutais qu’il mijotait quelque chose de pas très net. Au bout de vingt minutes, nous voici arrivés. Il y a un portail depuis longtemps forcé et grand ouvert.
— Tu crois qu’on peut rentrer à l’intérieur ?— le portail est grand ouvert. Je pense que tu peux y aller m’an.
Nous rentrâmes et nous pûmes voir au milieu du terrain Jack et trois de ses amis dont le chauve. Nous les rejoignîmes. Ma mère était contente de voir Jack. Elle enleva sa ceinture de sécurité qui compressait sa grosse poitrine et se jeta dans les bras de son amant. Les trois autres sifflèrent et ricanèrent.
— Eh, ben, t’as de la chance Jack, superbe gonzesse.
Jack la tourna vers ses potes bikers pour bien l’exhiber et dit :
— Elle, c’est Maria ! Je vous avais dit qu’elle avait de gros nibards.
Ils la regardèrent et furent d’accord. Il commença à lui caresser les loches.
— J... Jack ! Non ne... pas devant ces hommes, je...
Jack continuait, car il connaissait bien ma mère. Il remonta sa robe et lui caressa les cuisses. Le regard des hommes changea. Ma mère leur plaisait. Jack sourit.
— Je vous l’avais dit ! c’est une bombe ! Tenez, elle est à vous.
Il leur donna Maria déjà excitée par les caresses de son amant. Par amour, elle accepta d’être possédée par le chauve et les deux inconnus. Je voyais ça, assis dans la voiture, côté passager de la Clio. Ils lui enlevèrent sa robe, puis ses sous-vêtements rouges qu’ils balancèrent à droite à gauche. Puis elle fut plaquée, à poil et sur le dos sur le capot du véhicule. Le chauve fut le premier à la chevaucher. Il lui malaxa vigoureusement sa grosse poitrine. Le véhicule était secoué par leurs ébats et moi avec. Les mains du chauve étaient pressées de toucher les seins de Maria. Le chauve, sur elle, sortit sa bite et la pénétra frénétiquement. Ma mère gémit. La situation lui plaisait : Un guet-apens et presque prise de force par ces brutes. Elle écarta les cuisses pour bien sentir la queue lui faire plaisir. Le chauve éjacula. Suivant : le second fit pareil. Il se vida les couilles rapidement. Le troisième la retourna.
Je vis avec un immense plaisir les énormes seins de ma mère être écrasés contre le capot. Je vis son visage se crisper et je compris : le troisième homme humidifia l’anus maternel avec sa salive et commença à la sodomiser. Le véhicule était ballotté sous les coups de reins de l’homme. Ma mère poussa de petits gémissements à chaque pénétration. Puis à son tour, il se lâcha dans le conduit. Lorsqu’il se retira, du sperme coula de l’anus. Jack dit :
— Les gars, vous êtes vraiment nuls ! Elle fait de superbes pipes ! Vous avez gâché votre moment.
Les trois hommes s’en foutaient. Ils avaient juste besoin de vider les couilles. Sans dire quoi que ce soit, ils allèrent enfourcher leur bécane et partirent laissant ma mère, à poil et à plat ventre sur le capot. Jack l’aida à se relever et la mit dans le véhicule.
— Bon, on se rejoint chez vous. Il faut que je baise moi aussi.
Il prit la robe et enfourcha sa moto. Ma mère se retrouva nue à l’avant du véhicule.
— Va derrière maman, et cache-toi. Je vais contourner le centre.
Alors, me voici en train de rentrer avec à l’arrière du véhicule, une femme mature à gros seins et qui venait de se faire baiser par trois motards. En règle générale, personne ne remarqua la chose hormis quelques piétons chanceux. Maria était morte de honte, tentant de cacher sa grosse poitrine avec ses mains au cas où quelqu’un verrait. Une fois arrivé à la maison, Jack attendait sur le pas de la porte. Il prit ma mère par le poignet et la direction le lit conjugal. Là, Jack fit hurler ma mère de plaisir. Ce fut intense et rapide. Une fois les couilles vidées, il lui dit :
— Allez, je t’aime à la prochaine !
Et il partit. J’allais à la chambre pour voir Maria. Elle était sur le dos, jambes écartées. Elle était épuisée.
— Bon, eh bien sacrée journée, maman !
Elle soupira, se toucha les seins et me dit :
— Ils m’ont bien eue ces salauds, mais j’étais aux anges.
Comme d’habitude, elle alla se doucher, revint en peignoir et se vautra sur le canapé devant la télé. Je la rejoins.-Je voulais savoir, mon chéri ?--Demande-moi !
— As-tu aimé voir ta maman chérie se faire prendre devant toi ?
Je posais ma main sur sa cuisse nue.
— J’étais deux doigts de me branler devant eux et j’aurai adoré participer ! te voir te faire baiser, nue sur le capot a été un régal.
Elle mit sa main sur ma bite. Je me mis à bander aussitôt. Elle sortit mon sexe de mon pantalon et me branla.
— Je veux que tu prennes ton plaisir aussi. Je suis ta maman, certes, et je veux aussi être ta putain !— Merci beaucoup !
Je jutais aussitôt. Ma mère savait y faire. Oh que oui ! Le portable sonna : c’était mon père qui venait aux nouvelles. Ma mère prit le téléphone, un peu gênée du fait de la situation précédente, mais elle assura. Ce week-end, gros barbecue avec toute la famille réunie à la maison. Maria était ravie. De temps en temps, ça fait plaisir d’avoir toute la famille réunie et de retrouver son rôle de mère de famille avec ses enfants et son mari.
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