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Le con de Betty

Chapitre 1

Erotique
Betty se réveillait mollement. Sa nuit avait été chargée et ouvrir les yeux lui semblait une tâche insurmontable. Non loin d’elle, alors qu’elle s’étirait pour mieux sortir de son sommeil, elle sentit une peau chaude et familière. Greg dormait encore à poings fermés. Leurs ébats avaient duré longtemps, leur jouissance avait été explosive.
Chacun y avait trouvé son compte, y avait apporté son ardeur et sa passion. Le scénario était connu, mais souffrait toujours quelques aménagements en fonction de l’instant. Greg commençait immanquablement par approcher Betty, lui montrant par sa présence l’ardeur de ses sentiments. Ses mains, son souffle, son sexe, tous mus par un seul objectif, initier un voyage charnel avec Betty.
Le corps de Betty ne s’y trompait jamais et avant même qu’elle ne sente son esprit basculer dans le jeu ainsi offert, il réagissait par de petits soubresauts dont les signes excitants et inattendus sonnaient le début de la fête.
Le souffle chaud de Greg parcourait déjà la nuque de sa partenaire de jeu, leurs pieds puis leurs jambes s’entrecroisaient dans une étreinte aussi dominatrice que violente. La domination en pareil cas est souvent réservée à l’un ou l’autre des partenaires. Pas chez Betty et Greg qui virevoltaient tantôt dominant, tantôt dominé dans une ardente ronde charnelle.L’excitation monta d’un cran quand Greg posa ses mains sur les hanches de Betty et l’attira à sa bouche. Son sexe dressé allait attendre, le goût de celui de Betty allait couvrir sa langue. Elle ne résista pas, son désir à elle parcourait le même chemin.
L’odeur du sexe de Betty emplit la bouche de Greg et comme à chaque fois, il en fut aussi surpris que comblé. Son humidité n’était pas encore flagrante, cachée dans les plis de ses lèvres, mais son clitoris se dressait, indiquant à Greg qu’il avait frappé juste. Il s’y attarda, dardant de sa langue cette protubérance exquise, en jaugea la force et la vigueur. De nouveaux soubresauts parcoururent le corps tendu de Betty, aiguisant l’excitation de son partenaire, l’encourageant à détailler son sexe, à en parcourir les subtiles épaisseurs, à découvrir la source de son humidité.
C’est en cheminant avec sa langue vers son puits de Vénus qu’il marqua le rythme de ce jeu, renouvelé et pourtant toujours si surprenant. Le bout de sa langue flattait chaque repli, tantôt effleurant, tantôt appuyant, tantôt mordillant. De petits cris battaient la mesure de cette partition dont Greg s’était rendu maître, avec l’accord et l’abandon de Betty.
Ses mains cherchaient les points sensibles de son corps, trouvant tantôt un téton fièrement dressé, tantôt une bouche lascivement ouverte pour accueillir ses doigts, oints de l’humidité de Betty, dont elle se délectait ardemment. Ondulant au rythme des coups de langue et des caresses subtilement insistantes, Betty sentait le plaisir monter. Elle connaissait bien cette sensation et s’amusait à la réfréner de manière à la faire revenir plus puissante encore. Greg comprenait ce jeu, en acceptait volontiers les règles, redoublant d’efforts pour la faire plier.
Pour déjouer sa concentration, il changea de position, s’allongeant sur le côté de Betty et la serrant contre lui. Elle appuyant sa croupe contre son sexe turgescent qui s’insinua dans son con, humide à souhait, accueillant le sexe de Greg sans que celui-ci n’eût à en forcer l’entrée. La sensation fut ravissante, le fourreau de Betty enveloppant parfaitement l’épée de Greg. Il appuya fermement son bas-ventre sur les lobes délicieux de son cul merveilleux, conquérant définitivement son corps et son con dans une étreinte salvatrice. Son gland avait attendu ce moment, la libération ressentie le combla un trop court instant, l’obligeant à entreprendre ce mouvement de balancier dont le rythme suivait celui de leur partition commencée plus tôt.
Leur souffle s’accorda, leur corps mu par la même envie, irradiés du désir et des sensations partagées.Greg sentait le sang battre dans son vit et Betty intuitivement plaqua son cul sur lui l’obligea à rester ainsi plus longtemps.Betty saisit la taille de son assaillant, lui imprimant un mouvement contrôlé par son désir rayonnant. Elle voulait prendre le contrôle de cet instant, la situation visiblement semblant plus à l’avantage de Greg.
Non contente, elle se retourna et enfourcha Greg qui se retrouva sur son dos, toute mâture apparente. Cette vision le ravit, comme Betty, qui sans plus attendre vint s’empaler sur son membre, enfin exaucé de ses vœux. La chatte de Betty était autant accueillante qu’elle était étroite, autant juteuse qu’elle était offerte. A nouveau, cette sensation lui fit tourner la tête.
Douceur et volupté, luxure et ardeur, le voyage enchanteur était maintenant rythmé par les mouvements du bassin de l’écuyère. Le mouvement particulier de Betty avait longtemps intrigué Greg. Elle agissait pour combler simultanément les attentes de deux partenaires de jeu. Les siennes d’abord, en frottant convulsivement son sexe sur le pubis soigné de Greg, son clitoris s’écrasant délicieusement sur cette surface délicatement rasée. Ces sensations irradiaient le bas-ventre de Betty, l’encourageant à continuer sa danse plus nerveusement encore, en lâchant, à chaque passage, un halètement de plus provocateur.
Celles de Greg, tout autant, en prenant soin de faire jouer les muscles de son vagin autour de la hampe de son sexe, en augmentant le volume de son gland qui frottait follement sur les parois de son puits, découvrant ici ou là quelques replis humides et mystérieux.
Cette éteinte des sexes trouvait son prolongement naturel dans l’étreinte du reste de leurs corps imbriqués : Greg maintenait la taille de Betty au plus proche de la sienne, accentuant encore la pression des deux sexes enchevêtrés. Betty, quant à elle, prenait appui sur la poitrine musclée de Greg, cherchant à tordre un téton ou à serrer un bras, imposant ainsi sa loi et son désir.
Leurs mouvements se firent plus nerveux, le bassin de Greg soulevant le corps de Betty pour changer l’angle de sa pénétration, plaquant son gland sur l’arrière de son pubis, cherchant un certain point qu’on dit G. A chaque coup de boutoir, Betty gémissait de plus belle, sentant que la fin était proche.
Elle se ravisa, quitta sa position et afin de faire durer cet instant, s’affaira sur le sexe de Greg, de ses lèvres puis de sa bouche tout entière. Elle savait son penchant pour cet exercice, mais connaissait aussi une de ses particularités : il aimait plus que tout être mordu, alors que sa belle le gobait, à divers endroits de sa hampe, fermement et longuement.
L’entreprise rondement menée ravit Greg, l’assomma de plaisir. Il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits et il décida que la partie avait assez duré. Betty devait jouir... maintenant. Il retourna vers son con, merveilleusement huilé, toujours surmonté par son mont, affirmant fièrement son excitation. La bouche de Greg l’engloutit, suçant, mordant, frottant, aspirant tous les effluves du corps de Betty, montant et descendant la pointe de sa langue dans le sillon offert. Il sentit Betty monter vers le paroxysme de son plaisir, par son souffle, la tension de sa croupe et l’abondante lubrification qui remplissait les narines de Greg. A cet instant, retenant son souffle pour mieux concentrer ses mouvements, accélérant la cadence de ses gestes, appelant ses doigts en renfort pour encadrer son sexe, il appuyait sur le bas-ventre de sa conquête et tirait sur le haut de son con pour mieux faire ressortir son clitoris et l’offrir à sa bouche.
Betty tortillait son cul de plaisir, recevant chaque mouvement comme une offrande à sa sensualité. Sans que Greg ne pût le prévoir, elle céda, comme cède la digue d’un fleuve en crue, comme rompt un pont surchargé, comme Betty explose lorsqu’elle jouit. Les narines de Greg se remplirent du jus de Betty dont l’abondance et la finesse le ravissent.
De longs soupirs de satisfaction, des caresses dans les cheveux de Greg, la décontraction soudaine de Betty renseignait son conquérant sur la profondeur de son extase. Il savait que Betty, une fois ses esprits retrouvés, allait se jeter sur lui. Simplement pour lui rendre la monnaie... Simplement pour ne pas être juste celle qui reçoit.
Elle saisit la tige de son partenaire et le branla si ardemment et si précisément, insistant sur la base de son gland, à l’endroit où les lobes se rejoignent, le plaçant tour à tour dans sa bouche et dans son puits, agitant, suçant, serrant, mordant, attrapant sa bourse pour mieux dégager sa flèche, avalant ses couilles toujours impeccablement rasées.
Un jet rageur de foutre marqua la fin de ce supplice délicieux. Greg ne pouvait réprimer les soubresauts libérateurs de son corps vaincu. Betty avala sa bite une nouvelle fois pour en recueillir le reste de semence, telle une récompense à l’effort fourni.
Les amants s’embrassèrent goulûment, échangeant leurs fluides pour leur plus grande satisfaction, marquant ainsi le début d’un repos aussi mérité que repoussé par leurs ardeurs irrépressibles du début de cette nuit.
Ainsi en était-il des étreintes de Betty et Greg depuis plusieurs années et leur surprise était intacte, de voir leur plaisir grandir et s’affirmer avec le temps.
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