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Concert de village

Chapitre 1

Surprise de taille

Hétéro
Salut à tous,Je me décide enfin à écrire et j’espère que j’arriverai à vous faire vibrer comme certains ont déjà réussi à le faire pour moi.Je suis quelqu’un de normal, je ne suis pas moche, ni une bombe de magazine féminin, mais je sais que je peux plaire aux femmes. J’ai une attirance depuis très jeune envers les femmes mûres, c’était souvent celles qui me remarquaient, je m’entendais dire « Eh bien mon chéri, tu grandis bien et tu en as un cul, j’aurai trente ans de moins, tu serais tout à fait mon genre ! » ou « Je te mettrais bien dans mon lit ! » ...si elles savaient que je rêvais qu’elles m’y mettent.
Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis touché en pensant aux gros seins de ma tante, la cousine de mon père. Ils étaient énormes et j’adore ça. Je dois dire que je n’ai pas de style, jeune ou vieille, grosse, maigre je ne suis pas fan, mais comme on dit, fontaine, je ne boirai jamais de ton eau...
Il me faut juste du feeling et de la conversation. Je suis grand brun avec le corps assez bien dessiné, les cheveux à la Georges Clooney font des ravages, yeux marron. Si à mon adolescence, je n’avais pas spécialement de succès, là je dois dire que c’est le contraire, je me rends compte que je ne laisse pas indifférentes les femmes que je croise.Mon métier m’a permis de pas mal voyager et malgré mes absences, j’ai partagé ma vie pendant plus de dix ans. Mon ex avait une addiction à la drogue, à tout ce qui te fait planer, je ne m’en suis pas aperçu au début de notre relation, j’ai eu des enfants avec.
Vous allez vous dire il est vraiment con celui-là, mais quand on aime, on est aveugle. Ce n’est qu’une fois que je l’ai su que tout a basculé... Je ne voulais pas la quitter pour les enfants... et c’est là que je suis parti en vrille. Complètement libéré de tous remords à avoir, j’ai profité de la VIE. Je suis incapable de compter le nombre de conquêtes que j’ai eues. Il me faudrait un papier et une liste de prénoms... Ah ! Ah ! Ah!
Le cadre étant à peu près posé, il va falloir que je me décide, laquelle choisir ? Je me lance.
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Un jour dans mon pays natal en plein hiver 2013. La campagne en cette saison, on ne croise pas grand monde. En vacances dans ma famille, tout seul, je m’ennuie un peu. C’est alors qu’un membre de ma famille, mon oncle, me propose de venir les aider à tenir la buvette pour le petit concert de l’hiver, je ne savais même pas qu’il y avait un tel évènement. Le rendez-vous des poivrots du village et comme toujours, ils vont me poser mille questions. N’ayant rien d’autre à faire, j’accepte son invitation.
J’ai une bonne expérience du service en pression et je ne le savais pas encore, mais j’allais l’avoir la pression.Je me prépare sans prêter plus d’attention que ça à la manière de m’habiller, juste un peu de gel dans les cheveux et une dose décente de parfum.Me voilà fin prêt pour une soirée à servir des bières.C’est parti ! Les premiers fêtards arrivent et c’est les mètres de bières qui s’envolent. Le groupe commence à se chauffer, pas de chanteuse. Je suis déçu, quand tu fais partie du staff, tu peux toujours en choper une (ce sera une autre histoire). C’est là que ça commence à être plus sympa, un groupe de femmes arrive. Elles sont cinq, et franchement pas très agréables avec mon collègue de buvette, du genre à le prendre pour un larbin alors que c’est du bénévolat. Voyant cela, je lui propose de me laisser le gang de salopes et je lui laisse les ivrognes ; étant un soiffard, il accepte avec plaisir.
La deuxième tournée, elle siffle mon collègue et c’est moi qui y vais :
— Bonsoir.— Donne-moi cinq pressions ! On est assoiffées !— Avec plaisir ! SVP et MERCI c’est encore mieux, mais je vais vous ramener ça quand même !
Je fais la réflexion à mon gosse, ce n’est pas pour me laisser traiter comme de la merde par la première soiffarde venue !Je l’ai vue se décomposer la miss, avec un regard noir, je me suis dit ça y est, elle va péter un câble... Mais non, j’ai juste remarqué que ses joues avaient rosi. Tiens bizarre comme réaction, elle ne devait pas s’y attendre à celle-là. Je la vois de dos avec ses copines et je détaille son cul, pas de quoi casser quatre pattes à un canard, mais je la baiserais bien sans respect aucun.
Elle jette des regards dans ma direction, un peu énervée, mais incapable de soutenir cet échange tellement j’y mets de la supériorité. (Non pas que je sois quelqu’un qui se croit au-dessus, mais l’éducation c’est important dans les échanges avec autrui).
Fuyant mes billes noires, elle se retourne. Il faut dire qu’à ce moment, mon regard lui disait MERDE, mais dans ma tête, c’était plutôt que je la souillerais bien cette connasse et qu’une fois terminée, je la jetterais au pied de ses copines, la chatte et le cul remplis de foutre. En court et en bref, je la méprisais (pensées obscènes avec ce genre de garces mal élevées).
C’est dans ces songes-là qu’elle m’a interpellé. Une femme que je n’avais pas remarquée encore, dans la pénombre, elle était à l’angle du comptoir contre le mur presque dans mon dos.
— Bonsoir ! (D’une voix mielleuse)— Bonsoir ! (J’ai dû y aller un peu fort, il ne faudrait pas que je fasse fuir les clients quand même, vu comment elle m’aborde, ça a dû s’entendre)— Vous avez bien fait de la remettre en place, cette femme est une garce et une croqueuse d’hommes ! — Merci, mais je ne pensais pas être observé ni écouté. Étonnant que vous ayez entendu avec cette musique. Une connaissance ?— J’étais très attentive aux mouvements du beau serveur que nous avons ce soir et oui je la connais. Je ne suis pas la seule à vous observer.
J’étais très déstabilisé de ce qu’elle venait de me dire, car je ne m’y attendais pas, je n’ai pas trop su quoi répondre.
— Ah bon ?! Vous avez halluciné, je pense.— Vous êtes vraiment naïfs les mecs, tu n’as pas vu que la moitié des nanas ne font que te mater depuis tout à l’heure (on passe au tutoiement). Celle-là, elle s’est carrément mordu les lèvres quand tu lui as tourné le dos.
Je jette un coup d’œil et je vois que c’est la voisine de mes grands-parents, elle a vingt ans de plus que moi et c’est une bombe atomique (à mes yeux), brune, cheveux au carré, environ 1m60 et un corps de rêve, mon fantasme depuis mes quatorze ans.
Accompagnée de son mari, impossible de l’aborder comme je le voudrais. Je l’ai imaginée des centaines de fois en robe d’été, dans leur corps de ferme, en train d’étendre le linge, les seins à l’air. Je leur passais le tracteur tondeuse régulièrement et m’occupais des chiens de chasse, c’est dans ces moments que je la voyais...
Et là, elle se tourne vers moi au moment où je la revois dans mes fantasmes ! Mes yeux tombent dans la vallée de son décolleté. Mon Dieu ! Quel spectacle, deux globes de chair blanche qui bougent à la moindre secousse - à première vue au moins du bonnet D - prêts à exploser sa petite chemisette aux boutons tendus, surplombée d’un gilet ouvert (on est en hiver, mais le chauffage de la salle fait son effet). Son petit sourire en coin quand elle a vu mon regard en disait long sur sa satisfaction de voir le jeune mâle hypnotisé. La suite m’a plus déstabilisé, elle a baissé les yeux en regardant sa poitrine et m’a refixé pour me faire voir que je suis un pervers. J’étais pris mais au fond de moi j’étais satisfait qu’elle voit que je la trouve excitante !
Elle a tourné les talons et repris son mari par le bras... je n’étais pas bien car c’est quand même un gentil monsieur - il est brave comme on dit - mais moi je pouvais sentir à présent que sa femme avait le feu au cul
De là, j’entends que mon inconnue m’appelle à nouveau de l’angle du comptoir :
— Une sangria s’il te plaît ! (D’une voix suave maintenant, elle devient plus intéressante)— Bien, je t’amène ça.
Je lui ramène son verre et elle me dit :
— Mais quelle salope celle-là, elle se mord les lèvres quand tu as le dos tourné et quand tu lui regardes ses petits seins, elle fait l’offusquée.— Petits seins, c’est une blague ! Ils sont tout à fait présentables et à mon goût ! ahah haha ! (Je n’en revenais pas de la tournure de la conversation mais quel plaisir, je commençais à sentir de la chaleur.).— Pff ! Les miens sont bien plus gros si tu veux savoir, mais j’ai le cul qui va avec.
Je ne l’avais pas vraiment détaillée encore, un peu dans la pénombre du coin du bar, je n’avais pas fait attention à sa silhouette. Il est vrai qu’elle n’était pas mince du tout, voire grosse même.
— Je n’ai pas fait attention. (Le maladroit)— Qui fait attention à moi de toute façon ?— Mais non ne dis pas ça, je me suis mal exprimé et je trouve que tu as du charme, un beau regard et une belle bouche (je ne voyais pas grand-chose de plus du fait de la pénombre).— Oui, surtout du charme au niveau de la poitrine...
Joignant le geste à la parole, elle se redresse du mur où elle était adossée et attrape ses deux grosses mamelles pour les présenter à hauteur du bar. Autant vous dire que lorsqu’elle s’est appuyée sur le comptoir, mon sexe a bondi dans mon boxer. Elle les a déposées sur le rebord ce qui a eu pour effet de les gonfler davantage : sa poitrine et la bosse de mon pantalon. Son décolleté était bien plus osé que celui de la voisine et je pouvais même distinguer une veine tellement c’était tendu. Un moment, je me suis demandé si les gens autour avaient la moindre idée de ce qui se passait ici... Mais je n’en avais rien à faire, ma queue était juste en train de prendre la direction de mes pensées...
— Effectivement, tu as une de ces paires de seins ! Outch ! il y a de quoi faire... Mais tu as aussi de très beaux yeux en amande et marron clair, voire jaunes. Ça te donne un air félin. Merci pour le spectacle, la sangria c’est pour moi.— Pas la peine de me faire des blablas, je suis grosse et un mec comme toi c’est juste deux catégories au-dessus de la mienne et encore. Si tu veux baiser tu n’as qu’à claquer des doigts ! Ce soir tu jetterais ta bite en l’air qu’elle retomberait dans un cul, mais d’ici la fin de la soirée il va bien y en avoir une qui va réussir à te choper. Vu comme elles sont chiennes quand elles te regardent.— Et toi, tu me regardes comment ?— Comme un objet inaccessible, une voiture de sport dans une vitrine. C’est moi qui devrait te payer à boire, dit-elle en pouffant de rire...
Le spectacle n’en était que plus joli. Son visage était très charmeur quand elle rigolait, mais voir sa poitrine se balancer à moitié sur le comptoir, c’était un appel au sexe. Je commençais à ne plus savoir comment me mettre pour cacher mon érection.Là, j’entends que l’on me demande de servir ; c’est la voisine qui vient à la charge ; je regarde mon collègue et lui dis de s’en occuper. La déception dans son regard est jouissive, vais-je le regretter ? Rien à faire, j’en avais plus pour les gros seins de mon inconnue. A partir de ce moment, je n’ai plus trop servi à boire, c’était moi qui voulait aller directement à la source.
— Eh bien je ne m’attendais pas à ce que tu laisses passer l’occasion de lui reluquer ses tétines.— Je préfère reluquer tes gros seins à présent. La vue est bien meilleure et tu es beaucoup plus agréable d’un point de vue conversation.— Vraiment ? Tu es surprenant, si on m’avait dit que c’était la grosse qui allait avoir le droit à ton attention, j’aurais dit que c’était des gros mythos... Mais attends là, tu es sérieux ? Ils te plaisent tant que ça, tu veux les voir ? — Ce serait un pur bonheur que de les voir. J’en serai honoré même (avec un air très sincère).— Pff, tu me fais marcher.
Je me tourne et dis à mon collègue que je vais aller prendre une pause clope, lui étant déjà déchiré, il n’a rien calculé car tout le monde fume déjà au bar...
— Je prends une pause, si tu veux venir, c’est avec plaisir.— Tu veux bien que je vienne ?— Je la prends pour toi.— Viens !!
Je lui emboîte le pas, il est vrai qu’elle a un gros cul, mais franchement, j’ai vraiment envie de la baiser. Elle fait 1m60, et je pense, pas loin de 85 kilos, mais c’est très homogène. Sa robe lui va très bien et je peux voir des bas ou des collants... qui sait. On monte dans sa voiture, elle met le contact et la musique. On s’allume une cigarette et on se regarde une seconde. Mes yeux tombent dans son décolleté et sa réaction est de démarrer la voiture. Sur le coup, je demande si elle a froid, mais elle dit « Attache-toi ! Je ne voudrais pas que tu valses de trop ». Et c’est parti pour une session rallye, une vraie pilote. Le plafonnier allumé, je me régalais de la regarder. La robe légèrement remontée et les seins prêts à jaillir hors de leur carcan. On est vite loin de la salle des fêtes, elle s’arrête en haut d’une colline. Joli point de vue, mais rien à faire, la vue est bien meilleure à l’intérieur.
— Alors, tu as changé d’avis, ils ne te plaisent plus mes seins ?— Oh que oui, ils me plaisent ! Et j’entends bien en profiter un max !
Mon sang ne fait qu’un tour, je l’embrasse à pleine bouche, je fais vite la rencontre de sa langue de velours. On est chacun sur notre siège, le truc génial, c’est que sa voiture est en version commerciale et aménagée. En moins d’une minute, on est à l’arrière sur un genre de couchette très confortable. On continue de s’embrasser et j’attrape enfin l’un de ses seins qui me faisaient tant bander depuis le début de la soirée et encore aujourd’hui alors que j’écris. Il est lourd et puissant, plus ferme que je ne l’aurai pensé.
— Ils sont encore plus gros que je n’osais l’imaginer ! Waouh, le fantasme absolu !! Hum et la veine bleue dessus c’est ultra excitant !— Je fais un bonnet G et il n’y a pas qu’une seule veine dessus.— Sans déc. ! Je ne demande qu’à voir ! Tu me fais baver là !!
Je la revois encore les faire sortir un à un de son soutif ou plutôt de ce qu’il restait encore dedans, on aurait dit qu’ils étaient encore plus gros une fois libérés. Je m’y jette littéralement dedans, son souffle est plus que saccadé et les pointes de ses tétons prêtes à exploser. Je les agace, les mordille ; j’adore les coincer entre une lèvre et les dents ; je me blottis la tête en plein milieu. Mais quel pied, c’est encore mieux que dans mes plus gros fantasme de ma voisine !Elle, de son côté, ne veux pas laisser la bête s’échapper. Sa main déjà fourrée dans mon boxer, ma queue bien prise dedans ; elle me branle. Un bouton, puis la braguette, le jean valse et me voilà cul nul dans cette voiture au milieu de nulle part… avec une monumentale paire de seins juste sous mon nez ou plutôt dessus...
— Tu bandes bien et effectivement tu baves, il ne faut pas laisser tomber ça !
Elle se laisse tomber sur le côté et moi à genoux.Un coup de langue au bout du gland :
— Il ne faut pas gâcher la première goutte elle est si belle !
Elle me prend en bouche et le fait rentrer doucement ! Oh putain ! C’est bon, quelle douceur ! Je me régale de sa pipe. Et hop, une gorge profonde et puis deux, mais c’est un véritable puits à queue me dis-je. Ses lèvres sont exquises, sa langue très habile et les bruits obscènes qui sortent de sa bouche et de sa gorge me font penser à un film de cul ! Vraiment le pied total…Oh là là, je sens que le plaisir monte. Je commence à lui attraper le bas de sa robe et je la remonte le long de ses collants. Non ! C’est carrément des bas comme je le voulais. Arrivé à moitié cuisse je sens carrément de la mouille.
— Whouahhh !! Tu es trempée ! — Je t’ai dit que tu es au moins deux catégories au-dessus, je ne t’ai pas menti. Tu crois que j’ai l’occasion de me taper un mec comme toi tous les jours.— J’adore la mouille et avec toi je suis servi. Je n’avais jamais vu un tel filet frapper au milieu de la cuisse. Tu me gâtes ! Hum et, je vais pouvoir toucher ça de plus près.
Je joins le geste à la parole et fais glisser ma main (Ouf ! Elle lâche ma queue, j’ai bien cru que j’allais exploser dans sa bouche). Je relève complètement sa robe pour la faire valser, il ne lui reste que ses bas, sa culotte et son soutif. Je me place sur elle et je recommence avec ses seins, le contact de ma cuisse avec sa mouille me déclenche une décharge dans tout le corps. Je laisse glisser ma main jusqu’à sa culotte qui ruisselle de jus d’amour. Je la fais glisser le long de ses jambes. Mon Dieu que sa chatte est trempée, une source d’eau chaude enivrante. Un très bel exemplaire comme je les aime, un peu défoncée avec de belles lèvres qui sortent et un clito bien balaise. Malgré le faible éclairage qu’offre la voiture, je peux voir carrément des bulles de cyprines formées entre ses lèvres et son bouton et en plus de longs filets bien bandants. Je suis toujours sur elle et je remonte entre ses seins.
Impossible de résister à cette occasion de branlette espagnole, j’en rêve depuis que j’ai l’âge de me branler. Ma queue se perd au milieu rapidement car elle a vite compris où je voulais en venir. Je ne suis absolument pas monté comme un acteur X. La plupart des histoires présentent des bites à vingt centimètres, ce n’est pas mon cas. Donc ma queue disparaît au milieu de ces deux ballons de basket taille six. Mes doigts glissent dans sa chatte trempée et je la sens proche de l’orgasme. Ses jambes tremblent et elle a du mal à tenir ses meules plaquées sur mon sexe, je quitte un peu mon nid douillet pour le lui mettre en bouche. Dans le même temps je lui branle le clito en le faisant rouler entre mes doigts puis, balancer de droite à gauche de façon énergique quand soudain, un gros jet de cyprine jaillit... Elle hurle son plaisir sans retenue et me supplie de continuer de la branler
— Oui vas-y encore, continue je vais encore jouir !— Tu es parfaite, une vraie cochonne comme j’aime !— Hmmm je viens oui !!!
Vlan ! deuxième jet, elle se laisse tomber en arrière, les yeux révulsés, tout ça dans une petite lumière de plafonnier. C’est une scène surréaliste et super bandante. Tout en tombant, elle lâche ses seins et ma bite se retrouve de nouveau au frais. Se rendant compte que je suis comme ça, elle se relève vite et me reprend en bouche. Je lui fais lécher mes doigts, mais c’est bien ma queue qu’elle veut et elle enchaîne encore sur des gorges profondes. J’ai les fesses qui se tendent et lui dis que je vais jouir juste au moment où elle me sort de sa bouche. Elle me branle encore un peu et laisse partir la première giclée, direct sur son sein, elle m’avale entièrement pour la suite. Hum quelle cochonne, le pied !
— Hum, tu es sacrément douée !— Attends, je n’en ai pas fini avec toi ! Je vais te sucer encore et te refaire bander. Tu vas me baiser !!!— On fume une clope et on s’y remet.— Tiens, prends-en une et moi je te suce. Ce n’est pas une clope que je veux entre mes lèvres.
Quel pied ! Elle me reprend en bouche lentement et de ce temps, je crame ma cigarette. Ça ne faisait pas partie de mes fantasmes, mais je peux vous dire que j’ai bien apprécié ce moment. Depuis j’ai arrêté de fumer, mais je veux bien en cramer une autre si elle me suce !!! Elle m’a vite remis en forme, comment résister à un tel traitement... c’est avec gourmandise qu’elle me lèche. Elle regarde ma bite comme un bonbon. J’ai cru voir un œil d’enfant à ce moment-là...
— Mais j’y pense, je ne connais même pas ton prénom et encore moins ton âge...
Elle sort ma bite de sa bouche et me répond qu’elle s’appelle Viviane et a dix-neuf ans puis me replonge au fond de sa gorge. J’apprécie à nouveau ce traitement de luxe et arrive quand même à répondre.
— Bastien, j’ai vingt-neuf ans, je ne te pensais pas si jeune... Tu es sacrément douée de ta bouche, qu’est-ce que ça va être dans quinze ans... hum ! Quel pied ! Tu suces vraiment trop bien et tellement de douceur.
Elle me ressort de sa bouche :
— Je connais ton prénom, figure-toi que les filles ça parle ah haha. On s’entraînait avec ma cousine quand on était ados, on se demandait comment donner du plaisir aux hommes avec nos corps assez charpentés. Voyant les collègues de classe se taper tous les mecs du canton, on a vite compris que lorsqu’on allait en choper un, il faudrait lui faire oublier les petites salopes. On s’est vite mise à sucer des légumes ou autre pour s’entrainer.— Eh bien, je veux bien la rencontrer ta cousine aussi Ah ! Ah ! Ah!!— Laisse-moi t’achever et on verra si tu as encore faim après t’avoir léché la dernière goutte. Ma cousine était présente à la soirée et c’est une des filles du groupe, celle que tu as envoyé chier en plus.— Hum, le moins que l’on puisse dire ; c’est que tu sais me parler... et pour ta cousine, je pense que c’est mort alors ! Je comprends que tu m’aies dit que tu la connaissait, si elle suce aussi bien que toi c’est dommage de l’avoir rembarrée autant ! Regarde comment tu me fais bander à nouveau ! Rien qu’en regardant tes seins, ma queue durcit déjà mais avec ta bouche c’est juste bon à me faire exploser à nouveau.— Oui je vois bien qu’ils te plaisent mes roploplos, attends, ne bouge pas.
Elle se relève et s’avance vers moi pour me coller la tête entre ses meules. Je ne me fais pas prier et sors ma langue pour lécher un téton. Je sens sa cuisse effleurer ma queue quand elle m’enjambe. L’humidité qui se révèle à présent au contact de mon gland ne me laisse aucun doute. C’est bien sa chatte trempée qui est placée au bout de ma queue et ma tête toujours entre son énorme poitrine. Je sens que ça coule le long de ma bite, je me demande combien de temps elle va tenir avant de s’empaler dessus mais le traitement qu’elle m’inflige est inédit pour moi. J’ai l’impression d’être une stalagmite dans une grotte, ça ruisselle dessus et à ce rythme le calcaire risque de sortir tout seul. Sentir ce jus me rends dingue. Enfin, elle commence à descendre et semble vouloir profiter un max de ce moment.
— Un délice ta chatte, mon Dieu que tu es trempée.— Oh oui ! Ça faisait longtemps que j’attendais d’en avoir une. Hum c’est bon !! Je te sens bien, c’est meilleur que mes jouets.— Hmmm tu es une bonne salope et je me régale. Fais-toi plaisir avec !! Dommage que tu n’aies pas tes jouets, je t’aurai taquiné en même temps.
A ces mots, elle me saute littéralement dessus, je sens bien son poids à présent, mais il ne me dérange en aucun cas. Elle pourrait m’assommer avec ses seins tellement ils ballottent dans tous les sens. C’est une scène surréaliste pour moi. Je ne pensais pas baiser avec une grosse un jour, mais là je ne regrette absolument pas de m’être laissé tomber dans son piège à quatre roues qui n’arrête pas de grincer. Les pauvres suspensions sont bien mises à mal, mais ma bite, elle, est dans un état de nirvana. Aucune mauvaise manœuvre de sa part. Je commence à me dire que c’est le coup parfait et qu’il fallait en profiter encore plus. Tout ça me redonne de la vigueur et je lui attrape ses gros seins pour la pousser en arrière et me placer sur elle. Les chevilles entre les mains, je lui défonce la chatte, elle hurle son bonheur !!! Des « baise-moi ! » qui filent entre des cris de plaisir.
— Hum t’aimes ça !— Encore, prends-moi, je veux que tu me baises toute la nuit ! Défonce-moi la chatte, je suis en transe !— Tu es une chienne comme je les aime !!! Tourne-toi !
Elle se retourne et me présente son gros cul, bien tendu. Cette vue me fait bander davantage ou du moins je sens que ma queue est prête à exploser. Je me renfile dans sa chatte et lui mets des grosses claques sur ses fesses. La réaction est terrible :— Baise-moi à fond, je suis une chienne !!! Je la pilonne comme un dingue et de voir ce petit trou offert me donne encore des idées... Je place mon pouce dessus comme par accident, hum je peux sentir qu’il palpite sous mes coups de reins dans son con. Je tournoie un peu sur le bord et y crache dessus. Mon pouce est carrément rentré direct dans son anus, comme aspiré. Presque jusqu’à la garde, je sens ma bite de l’autre côté.
— Non je ne veux pas par là.— C’est bien dommage, tu as l’air très réceptive !— Peut-être, mais tu as déjà de quoi faire avec ma bouche, mes seins et ma chatte en chaleur qui en redemandent. Je garde ce trou pour mon futur mari, au moins que je sois vierge de quelque part.
Cette déclaration stoppe net mes projets de sodomie, mais pas grave, comme elle l’a dit, j’ai de quoi faire. La levrette continue, avec de grands coups de boutoir et bruit de couilles qui claquent, une main qui attrape un sein. Je garde encore un peu ce doigt dans ce trou interdit et continue quand même de jouer avec. D’un coup, elle gueule :
— Putain ton doigt !! Salop, tu me défonces, tu vas me faire jouir, je veux ta queue dans mon cul ! Ah ! Ah ! Ah !
Cette phrase la fait partir dans un orgasme foudroyant. Je lui glisse deux doigts supplémentaires dans le fondement et je peux sentir les contractions vaginales à l’intérieur de son anus totalement en train de s’ouvrir au plaisir. Ce sont ses filets de mouille qui pendent jusqu’au matelas... Les jambes tremblantes, je la tiens par un sein ; enfin ce que j’arrive à garder dans ma main, car dans cette position, sa taille est surréaliste. Ma queue toujours dans sa chatte et mes doigts dans son cul, je recommence des va-et-vient lentement. Ce sont les chutes du Niagara là-dedans, un pur bonheur pour une bite.
De sa main, elle me retire les doigts et me confirme qu’elle ne veut toujours pas, mais en même temps, elle m’envoie de méchants coups de cul et me dit de la défoncer pour venir jouir sur elle.Quelques coups supplémentaires et je sens le jus arriver. Je la préviens mais au final elle décide de se tourner sur le dos en relevant légèrement son buste. Elle prend ma queue au fond de sa gorge directement, une fois, deux fois puis trois... Je la ressors et là elle me lance un regard qui me fait exploser sur son visage. Hum je lui envoie une bonne dose au coin des lèvres qu’elle lèche immédiatement... Elle se lèche les babines la chienne. Elle récupère le reste avec ses doigts pour les porter à sa bouche, même ce qui est tombé sur ses gros seins n’est pas perdu.
— Ouah ! Tu m’as fait jouir comme un dingue, moi qui rêvais de gros seins, tu m’as tout donné !— Presque tout donné, ! J’espère que tu n’es pas déçu de ne pas avoir eu mon petit trou. Je t’ai même dit de le prendre à un moment, mais je me suis ravisée quand j’ai joui.— Non, ne t’en fais pas, je suis aux anges.— Super, bon on va redescendre, il ne faudrait pas que l’on s’aperçoive de ton absence, sinon les autres salopes vont vite se rendre compte que tu t’es fait attraper et moi je vais avoir envie de t’enfermer chez moi. Ah ! Ah ! Ah !
Nous nous rhabillons, mais avant qu’elle range ses seins, je lui demande de mettre une dernière fois la tête entre. Elle me gratifie d’une grosse pelle et d’une branlette espagnole du visage. Ah ! Ah ! Ah ! Le pied total.
— Tu pourras toujours m’appeler quand tu reviendras dans le coin, je sais que tu n’es pas souvent là. Je suis disponible pour toi.— Ah bon, hum avec plaisir je te reprendrai mais qu’est-ce que tu sais d’autre encore à mon sujet ?— On dit que tu es un homme à femmes dans le canton, que certaines seraient déjà tombées sous tes charmes, mais peu se vantent d’avoir couché avec toi. Juste embrassées ou chauffées auprès d’un arbre.— C’est vrai que j’ai déjà eu des flirts ici, mais je n’avais pas voulu aller plus loin, déjà certaines connaissaient ma copine et je ne voulais pas d’ennui. J’en ai eu qui avaient un mec - les agriculteurs et bûcherons ce n’est pas les plus fins et les trois quart ont un fusil ! Je ne voulais pas me faire plomber le cul pour avoir profité de leur femme pendant qu’ils étaient à l’apéro au bistro.— Tu crois qu’elles seraient assez connes pour aller le leur dire, non franchement, je ne pense pas que les filles de chez nous soient comme ça ! Même si une ou deux pourraient le faire, ce n’est pas dans leur intérêt.— Bon tu m’as convaincu la prochaine qui bat de l’aile je la plombe ! Ah ! Ah ! Ah !— Arrête je vais me mettre à roucouler !
On éclate de rire et c’est sur ces mots que l’on se met sur le retour à la fête.En arrivant sur le parking on croise les premiers cadavres de la soirée. Il est une heure du matin quand je retourne derrière la buvette. Petit bilan, je me suis déjà vidé deux fois les couilles, j’ai les jambes en compote et plus la même dynamique. Mes gestes sont plus lents. Je retrouve mon collègue qui ne s’est même aperçu que j’étais parti et que c’était une miss qui m’avait remplacé le temps de ma longue pause. Par contre la remplaçante, elle, avait vu l’heure tourner et ne s’est pas gênée pour me le faire remarquer.
— Elle était bien longue cette pause clope, tu as dû fumer au moins un paquet que ça doit sentir le plastique brûlé !
Tout ça avec un sourire en coin et une pointe de vice dans le regard. Chez moi quand on dit le plastique brûlé c’est la capote qui fume... Tout ça me ramène au fait que je n’ai pas mis de capote en plus... Et voilà que je me trouve mal.
— Tu te sens bien ? me dit-elle. — Oui oui, répondis-je, j’ai un coup de mou. — Va t’asseoir à l’arrière et je t’apporte une bière. Ne t’en fais pas, personne n’a rien remarqué au comité, juste la cruche qui a pris ta place, mais qui aurait bien remplacé l’autre.
Je n’en reviens pas, mais qu’est-ce qu’il se passe dans ce village, elles ont toutes le feu au cul ou quoi ? Me dis-je en allant m’asseoir à l’arrière-salle. C’est un truc de fou quand même, moi qui avais tant galéré étant ado, là je me fais littéralement alpaguer tous les trois mètres. Ce n’est pas la plus jolie du comité mais elle aussi est pas mal. Je suis sorti avec étant ado et j’ai souvent pensé à elle pendant mes plaisirs solitaires en vacances. Les lieux étaient propices à l’imaginer me sucer au coin de la grange ou d’autres lieux où l’on s’était baladé. Je reviens à moi et me dit qu’une c’est déjà pas mal et que si j’en rechoppe une je vais avoir sérieusement mal à la queue le lendemain. Et là un petit jeune de l’organisation arrive et me dit :
— Il y a une dame qui a laissé ça pour toi, elle a fermé le papier et m’a dit de ne pas l’ouvrir. Elle m’a carrément montré le haut de sa poitrine pour que je ne fasse pas le curieux.— Et alors tu l’as fait ?
Tout en lui posant la question, j’ouvre le papier et vois le Numéro signé de son prénom. VIVIANE (et une petit mot).
— Oui, mais je n’avais pas envie de ne pas l’ouvrir. Elle était grosse quand même !— Quoi donc ?— Autant elle que sa poitrine ! Franchement c’était...dingue ! Il en perd ses mots. Ce jeune devait avoir tout au plus quinze ans. A son âge, si l’on m’avait fait voir une paire de seins comme ça, je serais tombé à la renverse avec la queue pointée vers Vénus. Je pense qu’il a apprécié le moment et que cette cochonne lui a fait naître des envies ou fantasmes.— Tu gardes ça pour toi minot !— Pas de problème.
Je ne dis rien de plus et accorde ma confiance à ce garçon que j’ai connu dans le berceau. Je lis la suite du message où il y a écrit :
— La prochaine fois tu pourras me la mettre !
En découlera une correspondance très hot avec elle et d’autres rencontres bien chaudes.Suite...N’hésitez pas à me donner vos critiques sur la manière de tourner mon récit. Je précise que tout ça s’est bien passé en vrai. Le début de ma débauche !!!... Au plaisir de vous lire.
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