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la concierge

Chapitre 1

Trash

Rencontre avec la concierge


L’hiver à pris mon quartier dans la neige, la rue Lafayette, le Boulevard Saint Martin sont couverts de neige et clignotent à l’approche de Noël dans ce début de nuit sombre et noir. J’ai, du haut de mes 14 ans, fait des achats au Bazar ‘Tout à un Franc‘ pour faire plaisir, sans me ruiner, à mes parents et à ma petite sœur.


Je rentre à la maison avec mes précieux achats sans me soucier d’autre chose que de ce soir de fête ou je vais me faire chier comme pas permis dans les 3 pièces au sixième sans ascenseur.


Bien sur le Lycée est fermé et mes potes ne sortent pas ;


En remontant, au coin de la rue Chaudron et de la rue de l’Aqueduc j’aperçois un copain, Christian, je beugle pour qu’il me remarque mais le seul résultat est de faire sortir la bignole d’un immeuble qui m’engueule comme pas permis. La neige est là, la vieille fait chier ? Je fais une boule toute blanche toute ronde et lui balance dans la tronche … Pis je me barre en courant. C’est là que je me suis vautré, en essayant de sauver mes cadeaux, devant un autre porche de la rue Chaudron. J’ai mal mais mon précieux fardeau ne semble pas avoir souffert. Sauf que la concierge agressée m’a rejoint et que je sens que je vais trinquer ! Elle m’aide à me relever et me balance une baffe. On est quitte !


Je suis rentré chez moi sans autre forme de procès et ne suis sorti que deux jours plus tard pour la tournée des arbres de Noël … grands-parents, oncles et tantes etc …


Huit jours plus tard je traîne avec mes copains à la sortie du Lycée. Le grand jeu c’est de regarder les femmes, pas les filles de notre âge. Le Saint Martin et le Canal, notre terrain de jeu favori les mercredis matin avant de nous quitter pour aller déjeuner. L’après midi, l’été, on va à la piscine mais l’hiver personne ne sort, certain ont sport ou autre chose.


Je suis en train de rentrer lorsque je me retrouve face à face avec la bignole de l’autre jour. Elle a pas l’air fastoche la vioque. Une blouse en nylon est tendue de partout sur ses nichons énormes et son cul plus large que le boulevard. Elle est en chaussons avec des chaussettes de laine et sa gueule est ahurissante. Sa bouille décharnée met en valeur sa moustache et des poils de barbe, elle est rougeaude et ses petits yeux noirs sont perçants, ses cheveux gris sont dégueulasses et relevés en chignon. Elle a des paluches de déménageur et elle manie son balai pour déblayer le restant de neige devant son porche.


« ‘Alors l’artiste – beugle-t-elle – t’as retrouvé ton copain ?

— Non, m’dame – que je rétorque.

— T’as plus mal à la joue ? – demande la vieille.

— Nan ! – Je me demande si elle va pas m’en coller une autre »


Je vais pour me barrer quand un de mes copain de classe sort de l’immeuble. Patrick est le premier de la classe, un con avec sa maternelle maquillée comme une bagnole volée. Mais il m’aime bien ce naze, du coup, il m’invite à goûter … Goûter à notre âge ?! J’accepte, façon j’ai rien d’autre à foutre.


La concierge nous a observée sans rien dire mais je sais qu’elle a tout entendu, du coup je balise de me pointer à 4 h et demi.


La peur n’évite pas le danger, je sonne au porche à quatre heures et quart et la porte s’ouvre, la concierge est dans l’encadrement de son guichet, elle a le sourire … Putain, lui manque plein de dents ?!


« Alors on va voir son copain ? – s’amuse-t-elle.

— Bhen vous le savez bien. Je grogne. »


Qu’elle après midi de merde, je me suis fait chier … Bhou … Patrick est perdu pour la société. Avec les autres on parle de filles, avec lui c’est des conneries du style microscope. Vers cinq heures et quart je lui dis qu’il faut que je me barre, j’invoque un rencard avec une nana.


La concierge me gaule.

« Rentre dans la loge ! m’assène la vieille toupie

— Mais m’dame !

— Rentre je te dis ! »


Quand t’as pas le choix !


Je pénètre dans le gourbi, ça pu la pisse de chat, c’est moche et j’aime pas. La bignole me fait asseoir et m’offre un Porto. Moi qui ne picole pas… Vingt minutes plus tard je suis plutôt guilleret. La vioque s’est enfilée trois godets et elle se lève pour fermer le rideau de son guichet après avoir tourné sa petite pancarte. Je me doute de rien.


Elle s’approche de moi et me caresse les cheveux puis les épaules.


« Alors mon grand, t’es un homme toi ? demande-t-elle ».


J’ai pas très bien compris comment on s’est retrouvé dans la chambre.


Il y a deux greffiers sur le plumard, une salopette bleue par terre, un slip kangourou blanc de mec sur un vieux fauteuil presque éventré.


« Appelle-moi Thérèse. – me glisse la chnoque – Tu vas me montrer comme t’es un homme ! ».


Elle vire ses épingles à cheveux puis sa blouse. Elle a un pull en haut et des bas avec une gaine en bas, un slip blanc gris, ses chaussettes et ses chaussons. Même avec le slip sa touffe dépasse.


Je bande.


Elle ôte son pull et n’a pas de soutif, les deux mamelles dégouline sur son ventre proéminent enserré dans la gaine. Elle descend sa culotte et le spectacle est ahurissant, sa chatte est noire et grise en une énorme touffe qui lui bouffe un peu le haut des cuisses.


Je la bascule sur le plumard, lui malaxe les seins, elle relève les bras, ses aisselles sont aussi poilues que son sexe. Va savoir pourquoi, j’enfonce mon nez sous son bras gauche, ça pu ! J’agite ma langue dans les poils gras. Mes mains ne savent plus ce qu’elles font, les seins, le ventre … je me réserve la chatte. Ma première vraie chatte de femelle ce sera lorsque je serai sevré de ce moment enivrant.


Je suis comme un fou, je l’embrasse sur la bouche glissant ma langue entre les dents manquantes, elle gémie .. Du moins il me semble.


J’en peux plus, je défais ma ceinture, baisse mon froc et mon slip et la queue tendue je tente de baiser pour la première fois.


Elle me repousse la concierge !


J’ai fait quelque chose ?


« Prend ton temps mon cochon. – qu’elle me glisse »


Je recule du pieux pour me déloquer, elle enlève ses chaussons style charentaises et ses chaussettes et défait le haut de ses bas en dégrafant les jarretelles de sa gaine. Elle se glisse hors de sa gaine. Putain, elle a le ventre poilu, en fait sa touffe lui remonte jusqu’au nombril.


Je suis à oilpé et je bande comme un âne.


« Viens me bouffer la chatte salopio ! »


Je me vautre entre les deux cuisses, ça sent fort, c’est humide, je glisse mon nez, elle me choppe les oreilles et m’agite le groin … Je manque d’air. A tout hasard je tends la langue, ça pue de plus en plus d’autant qu’elle serre ses cuisses après m’avoir lâché les esgourdes. Elle se tend la vieille et moi j’ai envie de ne plus être puceau.


« Viens » qu’elle me souffle.


Je remonte sur son corps, la bite tendue, elle écarte les flubes et je glisse dans son ventre !


Je suis plus puceau !


Je tente de retenir ma jouissance le plus longtemps possible mais une déferlante m’emporte …


Je récupère comme n’importe quel gamin, vite. J’ai pas compté le temps mais je sais déjà que j’ai envi de recommencer. Je le lui dis.


La v’la qui m’a couché sur le dos et qui commence à me sucer. C’est doux, ça fait du bien. Je re trique déjà.


La vieille m’éponge, plein d’idées se bousculent, des trucs vus dans Satanics, lus dans des journaux ‘ cochons ‘. Les maîtres mots sont : fellation, sodomie, cravate de notaire … Faut choisir ? Du coup je dure sous les efforts de la pompeuse … P’t’être que l’occase se représentera pas de si tôt ? La découper façon Satanic c’est pas mon éducation. La cravate de notaire ? Je vois pas l’intérêt. La pipe, je suis en train de donner, reste ‘ enculer ‘. J’ai plus de retenue, je suis le maître du monde ! Je lui dis, crûment que je vais lui casser le cul, une expression de mes lectures nocturnes sous les draps, en loucedé.


Elle se positionne en levrette.


Avec le recul c’est ce que je préfère. Je me mets derrière elle et faute d’expérience je rentre d’un seul coup, en force. Elle meugle !


Après deux trois vas et viens je suis mal à l’aise, y a un truc qui bute contre le bout de ma queue et qui n’est pas agréable. Comme je suis en plein délire et sans retenue, je sors de son cul, enfonce deux doigts dans l’anus dilaté pour chercher ce qui me gâche le plaisir, une boule de merde est évacuée et je re tente la pénétration. Whouah, c’est plus désagréable mais j’ai une boule de merde au bout des doigts. Je défonce le cul de Thérèse jusqu’à ne me préoccuper que de mon plaisir et j’éjacule pour la seconde fois.


On reste collés, elle a sa boule de crotte sur le dos et je renifle mon index et mon majeur. Je suis plus puceau et je suis un roi de la bite !



Vingt minutes après je me barre comme n’importe quel môme qui vient de faire un mauvais coup avec l’esprit englué de fierté et le sentiment d’avoir joué un mauvais tour.


A la sortie du Lycée


Déjà le mois de mars, souvent, le jeudi après midi je passe voir Thérèse. A chaque fois c’est du délire, je la baise, je l’encule et tout le tintouin.


Une fois, lorsque je suis arrivé, elle m’a dit qu’il fallait qu’elle aille au petit coin. J’ai suivi. Les chiottes étaient étroites, elle a levé sa blouse, baissé sa culotte et s’est assise sur la lunette. J’étais en face, ne perdant rien du spectacle … Quoi que je ne voyais pas grand chose. Le bruit m’a rapidement indiqué qu’elle pissait.


J’ai relevé les plis du ventre et elle a écarté les cuisse puis ses grandes lèvres pour me montrer le jet d’urine. Ses poils étaient trempés de pisse. Tout à coup, j’ai entendu ploc ! Elle était en train de chier. Pour lever le doute, l’odeur m’agressa les narines. J’ai ouvert ma braguette pour lui mettre ma queue dans la bouche. Elle suçait en se vidant les intestins. Il fallait que je la nique maintenant avant de lui envoyer la totale dans la bouche. Je lui ai dit de se relever et de se tourner. Les deux mains sur la cuvette des chiottes, le cul en bombe, elle était à ma merci. J’ai écarté les fesse. Le trou était tout merdeux. Ma bite est rentrée comme dans du beurre. L’odeur ? Les grognements ? La situation ? J’étais dans un état second. Mes couilles tapaient contre la chair, mes mains serraient ses cuisses, malaxaient le cul. Je matais les poils gris et noirs qui ourlaient ses fesses … Je bourrais comme un malade. J’y tenais plus, fallait stopper avant de lui décharger la dose. Elle se remis sur le trône et pétant bruyamment plusieurs fois elle se remis à chier. Je me suis fait sucer de nouveau, le gland plein de ses excréments … J’ai pas tenu, j’ai tout lâché.


Pour nous remettre on s’est tapé un coup de blanc. Elle a allumé la radio, y’avait pas de télé. Elle me racontait des trucs qu’elle avait fait étant jeune. Elle manquait pas de ressources. Elle s’était fait défoncer à la Villette par des louchébèmes au beau milieu des carcasses suspendues dans l’odeur du sang. Plus jeune elle s’était fait pistonner en cirant les escadrins de l’immeuble par un bourgeois et son fiston. Pendant que les deux l’astiquaient, un type était descendu d’un étage supérieur et avait rejoint la fête. Elle m’a expliqué aussi qu’un jour, le bougnat l’avait culbuté dans un stock de charbon, qu’elle avait eu mal au cul pendant huit jours parce que le gougnafier auverploume lui avait enfilé des boulets d’anthracite dans le cul pendant qu’il la pistonnait. Bref, ces histoires me plaisaient bien.


On s’est remis le couvert, sur la table de la cuisine. La vieille, à poils, se faisait sodomiser copieusement lorsque son mari s’est pointé. On avait pas fait gaffe à l’heure. En bleu de travail tout pourrit avec une sacoche en bandoulière, le voilà qui rentre et nous découvre en pleine baise. Il avait tété dur le Papy, bourré comme un coing, il titubait mais il a tout de suite compris et s’est mis à beugler des salope, putain … Il a choppé une tapette à tapis en osier dans un coin et il a commencé à cogner comme un dingue sur sa gonzesse. J’étais toujours dans le cul de la vioque et je bougeais plus mais les coups provoquaient des contractions et c’est Thérèse qui m’a conduit jusqu’à la jouissance en se faisant massacrer par son Jules.


Une fois que j’ai eu fini d’exploser, je me suis retiré et j’ai ré-ajusté mes fringues, l’autre continuait de frapper. Je sais pas ce qui m’a pris, je lui ai balancé une droite d’enfer, il a titubé en arrière et s’est affalé. Je croyais qu’il était mort. Sa femme était rouge sur tout le dos et par endroit du sang perlait.

Elle me dit : ‘ Remplace le, fais moi saigner la peau du cul que je jouisse encore ! ‘. J’ai choppé la tapette et ai continué l’ouvrage du julot, cognant de toutes mes forces jusqu’à ce qu’elle propulse un jet monstrueux sortant de sa chatte et de son anus.


Dans l’entre temps l’autre était revenu à lui, s’est barré dans la chambre pour se vautrer sur le plumard.


Deux jours plus tard, j’ai rencontré le mari de Thérèse, il m’a dit qu’il m’en voulait pas, façon, il bandait plus.


Du coup, j’étais plutôt content.

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