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la concierge

Chapitre 2

Trash
Avec Christian
Mon pote Christian m’a raconté qu’il s’était fait dépuceler par une vieille pute vers la gare de l’Est. Il l’avait pas choisi par goût mais en fonction du peu de pognon qu’il avait réussi à réunir après les fêtes de Noël. Du coup, je lui ai expliqué pour Thérèse. Depuis la pute ou ça avait été un coup vite fait, il ne rêvait que de recommencer mais à draguer les filles plus âgées que nous ne donnait aucun résultat et les gamines de nos ages ne nous voyaient même pas.
J’ai dit à mon pote que je lui ferais tirer Thérèse.
Le jeudi après midi suivant on s’est pointé tous les deux chez la bignole. J’ai tout de suite raconté que mon pote devait les avoir pleines parce qu’il avait niqué qu’une fois. Rideau du guichet, pancarte et hop, nous voilà dans la chambre. On se déloque tous les trois, Christian est fébrile. Thérèse a gardé que ses bas qui glissent vers les pieds. Mon pote bande comme un âne et moi aussi.
Thérèse nous suce à tour de rôle puis mon copain la pousse à plat dos et la pénètre d’un coup, il s’agite, ramone, tout en, force, à grands coups de reins pour atteindre l’instant de bonheur ou je comprends qu’il gicle.
Il se retire, je retourne notre ‘ nana ‘ et entreprend de l’enculer sous l’œil incrédule de mon copain de classe. Pour faire le seigneur, je dure.
Au bout d’un temps je la retourne, lui met les jambes talon sur mes épaules et la lime dans le foutre qui dégouline.
Christian est à nouveau en forme, il voudrait l’enculer lui aussi.
Je me dégage et il l’entreprend en levrette pendant que je glisse mon sexe dans la bouche de notre cochonne. Mon pote décule plusieurs fois pour l’embrocher en force à chaque fois, moi, je tiens plus, je balance la purée dans la bouche édentée en grognant : ‘ avale poufiasse ! ‘. Elle déglutit et je m’écarte, l’autre continu, en tenant les chevilles, en tirant un bas, tant et si bien qu’elle se retrouve avec un pied nu. Il me vient une idée à la con, je me place à genoux derrière eux et commende à sucer les orteils du pied puant. Mon pote décharge dans le vieux cul et m’en informe. Mémère jouie et lui recrache la dose qu’elle vient de prendre au cul sur le ventre et sur la queue. J’ai stoppé ma sucette d’orteils.
On est allongés tous les trois et Christian est aux anges, il le dit, il voudrait encore ; il voudrait tout le temps.
Il roule un patin à Thérèse, il m’explique qu’elle pue de la gueule.
Je me marre, avec ce que j’ai balancé, tu m’étonnes !
On reste longtemps à toucher le corps de la femme, à mettre nos doigts dans tous les coinceteaux azimutés, à bouffer de la tétine. Tant et si bien que je bande de nouveau. Christian veut lui bouffer la chatte. Elle pue tellement qu’il a des hauts le cœur mais quand t’as faim.

Pendant qu’il lèche je glisse un doigt puis deux dans le cul de Thérèse, mon pote s’écarte et bientôt j’ai la main au fion de la vieille. L’autre est électrisé, il tente la même par-devant. Je sens ses doigts puis sa main au travers de la fine paroi. A deux mains on fist le cul et la moule, on y va à la manœuvre, sans ménagement. Je tape au fond du vagin et je tente de chopper l’utérus mais les mouvements de mon copain ne me rendent pas la vie facile.
On retire nos mains en même temps avec un plop de sucions et puis on se remet ensemble, en force, elle se tord … Je bande comme un fou … Cinq six fois on répète le truc puis on échange de trou, je pousse mon bras jusqu’au coude en la traitant de pute, Christian à un braquemart d’enfer, il en peut plus, il lui cloque sa queue dans la gueule et tente de rentrer ses couilles en pestant que ça fait mal. Tout d’un coup, il réussit à foutre ses deux balloches dans le gouffre de la fripée et il éjacule. Je ne me retiens pas et envoi une pétée sur les draps tandis que la vieille étouffe littéralement.
Une demi-heure après on se casse pleins de l’espèce de cinoche qu’on vient de se faire.
Depuis Christian vient souvent après les cours, moi, je dois rentrer à la maison. Et des fois on se retrouve pour niquer Thérèse ensemble.
Christian et son mauvais trip
Ce printemps, on traîne pas mal gare de l’Est avec les potes, pas beaucoup de filles. Moi, j’ai une copine muette de mon âge. On se bécote dans la rue, je la touche et elle me touche. Des fois on va au ciné et, Annie, ma copine, me branle pendant le film, des fois je lui mets les doigts dans la chatte. On a pas baisé mais je m’en fous, pour niquer j’ai Thérèse.
A cette période Christian s’est mis en tête de fumer du hash. On fumait plutôt des goldos parce que c’était pas cher mais lui voulait tenter de fumer de ‘ l’herbe ‘. Cet après midi là, un jeudi, il s’est pointé à la maison et m’a emmené tout excité dans la rue. Dans un petit passage entre la rue de l’Aqueduc et le boulevard il a sorti un papier chocolat en alu et m’a montré son ‘ hash ‘. Il avait du papier à rouler et je lui ai refilé une gauloise et je l’ai aidé à rouler son pétard. J’avais appris à rouler en Cornouailles anglaise lors d’un séjour dans une famille.
Le con s’est mis à tirer sur son clope comme un malade, moi j’ai préféré me la donner avec une bonne Gauloise.
Une plombe après mon Christian me semblait bien bizarre et on a décidé d’aller ramoner un peu la Thérèse.
Comme d’hab le petit coup de blanc dans la cuisine. La vieille éclusait bien, nous on suivait. Une demi-heure plus tard comme je pelotais le cul de mémère mon pote se lève et dégueule tripe et boyaux au milieu de la cuistance. On amène l’ahuri jusqu’au plumard et Thérèse commence à nettoyer. A voir son cul bouger, j’ai relevé la blouse, écarté son calfouette et lui ai mis une pétée dans la chatte. Elle continuait sa besogne en me disant de continuer à lui travailler la tuyauterie. Elle trempe la serpillière dans un baquet et recommence à laver, moi je sors de sa chatte et l’encule direct. Quand elle a fini, moi aussi.
On se met la radio et un p’tit coup de blanc.
Un peu plus tard on entend couiner dans la chambre, on va voir.
Christian a choppé un chat, l’a roulé dans un bleu de travail dégueulasse qui traînait là et est en train de le bourrer comme un dingue.
La vieille lui saute dessus et le tabasse de ses paluches maousses, du coup, le greffier s’échappe mais il a l’air mal en point.
Mon Christian a pas l’air frais il divague un peu …
Notre cochonne voyant son état et après explications s’empresse, le cajole, lui glisse un téton dans la bouche. L’autre tête comme un bébé la queue tendue. C’est là que le vieux est rentré. Le Julot était pas en renaud mais bien arsouillé. Il s’est déloqué et effondré sur le pajot. Christian avait une vue sur le cul tout poilus du mari de Thérèse. Il était tétanisé, toujours la bite au garde à vous. Il est passé du côté du vieux, lui a écarté ses fesses velues et il l’a enculé à sec. L’autre a commencé à gueuler. Thérèse lui a dit de la fermer qu’il était qu’une pauvre lope impotente. Le vieux l’a fermé et, vas savoir si c’est l’effet du hash, il lui a bourré la rondelle une demi-heure. La vieille a saisi la vieille queue et l’a branlé doucement. Sans bander son mari s’est mis à jouir un vieux jus tout liquide.
De son côté, Christian s’est tendu comme un arc, signe de son éjaculation dans le cul de pépère. La vioque est venu câliner la pine de mon pote, elle a sucé la merde de son mec mêlée de jute.
Le spectacle était surréaliste. Le julot au cul défoncé fuyait du cul en pleurant doucement tandis que sa mouquère épongeait mon poto.
Je l’ai traité de vieille pute. Son mari a tourné le regard vers moi au moment où j’enfilais le cul de la vieille avec le cul de la boutanche de vin blanc. Je lui ai branlé le fion avec ce machin énorme en me branlant de l’autre main. Elle a du jouir puis elle s’est effondrée sur le plumard. C’était une véritable porcherie. Je me suis fini à la main en regardant le champ de bataille et ses acteurs.
Christian a remonté son bénouze, il était un peu à l’ouest mais j’ai réussi à le faire déhotter. Dans la rue il pleurnichait en me chuchotant : ‘ tu diras pas aux autres que j’suis devenu pédé hein ?! ‘. Bien sur que je dirai rien, tu me vois avouer ce que nous avons fait dans la loge avec la vieille peau et son poivrot de mari ?
En fait, mon pote c’était un mauvais trip.
Depuis, je sais que la fumette et l’alcool ça rend malade et qu’avec un peu de drogue tu peux prendre du plaisir à bourrer le fion velu d’un mec.
Thérèse a été notre meilleure prof. On pinait comme des dingues dans son gourbi. L’odeur de la pisse de chat, de la merde ou du vomi de son mec ne nous dérangeait pas.
Imagine … L’éducation qu’on a reçue. L’odeur, le toucher, le bruit et
J’ai revu Thérèse plusieurs fois, jusqu’à ce que je déménage pour un quartier chic.
En fait, elle a fait mon éducation sexuelle mais pas seulement.
Six ans plus tard je suis retourné dans le quartier, j’avais l’assurance des plus de vingt ans … dis-moi pourquoi je me suis retrouvé en pleur lorsqu’une dame de la rue m’a annoncé que Thérèse était décédée.
Il s’en est passé des choses en six ans.
Duchesse
Il fait doux au mois de juin sur les bords de Marne derrière chez nous. Maintenant je suis élève dans une école réputée pour sa formation d’ingénieurs.
Les cours sont bondés, plus de 70 élèves pour des classes de 1 h 45.
Franchement cette école me gonfle surtout les cours de Philo, de dessin industriel et les cours d’anglais … Façon je suis bon en anglais, nul en dess duss et ma philo à moi est loin d’être du goût des Profs. Du coup je sèche. C’est pratique, ça permet de glander au bistrot en jouant au flipper ou de draguer les filles d’une école de secrétariat voisine.
C’est là que je me suis dégotté une petite amie. Mais elle n’est pas aussi salingue que Thérèse et j’ai besoin de grosses cochonneries.
Pour me défouler, je fais du footing sur les bords de Marne, surtout le week end.
Donc nous sommes en juin, je passe sur le chemin terreux derrière la piscine puis le moulin vert jusqu’au pont qui rejoint la station RER de Champigny puis je me goinfre la trotte dans l’autre sens.
Au retour je fais une halte au Moulin Vert, un bistrot des bords de Marne. Je suis en sueur. La salle est profonde, au fond un baby foot, à l’avant, à gauche en entrant, le bar et face au bard quelques tables et des chaises. La patronne est une très vieille dame toute fine qui était mariée avec un légionnaire. Ici venaient des voyous comme Pierrot le fou.
Je m’attarde sur ma bière en tapant la causette avec un portugais et un arabe. Un serveur, petit et trapu, très maghrébin, s’active pour satisfaire tout le monde.
Trois gars de mon age jouent au 4 21.
Je me joins à la partie.
Jean Pierre, un des trois fait un peu rat crevé, il a les cheveux longs et se voûte toujours pour jouer. Jean Louis est un rigolo, brun mais grande gueule. Le troisième, Alain doit-être un rien débile mais sympa.
Après plusieurs tournées, je décide de remonter à La varenne.
Le lendemain je retrouve mes potes de 4 21 au bistrot et le courant passe bien.
Du coup je les rejoins pour une virée nocturne au Red Lyon sur les champs.
La soirée se passe bien et nous allons vers les deux heures du mat en boîte à Saint Michel. Avant le premier métro on se retrouve dans un bar pour un pot avant de rentrer.
Là il y a une faune. J’ai remarqué une superbe brune mais il y a du monde sur le coup. Le loufiat interpelle régulièrement une femme d’age mur : ‘ Hé duchesse, encore une coupe ? ‘.
On s’est retrouvé à la table de duchesse et la dame nous explique qu’elle a connu de grands noms, Juliette Gréco, Léo Ferré … On passe le temps jusqu’à l’ouverture du métro. Dès que ça ouvre le groupe de trois m’invite à décaniller. Je suis bien à papoter avec cette ‘ Lady ‘. Ils se tirent. C’est comme ça que je me suis retrouvé chez cette nouvelle amie. Le ton a été rapidement donné, elle voulait un jeune, je devais la sauter pour un billet de 50.
En fin de nuit, avec l’alcool, je l’ai assaisonnée à la papy pendant trois quart d’heure avant de décharger. J’étais claqué, je me suis endormi. Vers midi l’odeur du café m’a sorti de mon sommeil.
Duchesse était en robe de chambre de soie dans un élégant salon meublé avec soin. Les toiles et les gravures aux murs devaient valoir une fortune, les meubles, probablement d’origine et patinés m’auraient suffit pour mes vieux jours.
J’étais à poil, elle m’a fait enfiler un truc en soie très rococo et moche pour boire le café accompagné de croissants.
Elle était très belle, bien sur, sans maquillage elle faisait plus âgée que la veille mais les jambes étaient splendides, les seins sans doute un peu lourds et les cheveux noirs faisaient ressortir sa peau blanche. Finalement, la veille je l’avais tiré sans la regarder. Elle semblait ravie et amusée que je la détaille de cette façon.
J’ai posé ma tasse, suis venu contre elle pour l’embrasser à pleine bouche. Elle s’est serrée fort contre moi, je sentais son parfum. Moi, je devais puer de ne pas m’être douché.
Comme elle a senti que l’issue serait forcément que nous fassions l’amour elle s’est laissé aller. J’ai ouvert son peignoir puis lui ai écarté les jambes pour découvrir son sexe finement recouvert de poils blancs. J’ai glissé pour enfouir mon museau entre ses jambes. Elle sentait bon, sa peau toute douce et l’intérieur de son sexe humide à souhait m’ont donné une envie infernale. Je jouais du bout de la langue, de haut en bas, parfois insistant sous son bouton, glissant plus bas puis happant son intimité. Ses mains, ne m’appuyaient pas sur la tête, juste posées, elles ne forçaient pas, donnaient juste le là d’une symphonie de sens. Elle ne levait pas les jambes, les écartait plus ou moins suivant la montée de son plaisir puis soudain elle m’a caressé les joues en feulant son plaisir et lâchant son plaisir sur mon visage. Nous sommes restés un moment, je ne bougeais plus. Elle tressaillit une fois pendant ce calme et se laissa aller une nouvelle fois.
Elle me qualifia de sacré numéro puis, lorsque je fus debout, pris mon sexe dans sa bouche, tout doucement. Je n’ai pas eu à bouger, elle m’imprimait son rythme avalant mon membre pour se retirer doucement et me reprendre avec un peu plus de force. J’étais aux anges, je n’y tenais plus, je lui ai dit que je voulais la pénétrer, l’embrasser, la sentir chatte sous mon ventre. Elle me prit la main pour me guider vers le lit. Elle s’est débarrassée de sa robe de chambre et nue s’est allongée, une jambe un peu pliée, l’autre étendue.
Je contemplais, ses jambes étaient belles, ses pieds adorables aux ongles rouges me fascinaient, son sexe légèrement ouvert était trempé, son ventre un petit peu mou tenait bien et ses seins s’étaient un peu avachis de leurs propres poids. Son cou délicat, un peu ridé faisait un lien splendide avec son visage entouré de cette somptueuse chevelure brune.
Je me suis glissé sur elle, en essayant d’être léger et mon sexe est entré délicatement en elle. C’était bon, nous nous fixions les yeux dans les yeux, je faisais de lents vas et viens, mes mains se sont posées sur ses joues et je l’ai embrassé tendrement. Le temps n’avait plus de sens, les mots sortaient tout seuls : ‘ tu es belle duchesse, si douce, j’aime ton corps … je reculais sur mes avant bras, regardais sa poitrine … J’aime tes seins ma douce … J’ai accéléré sans à coup. Le temps durait sûrement depuis longtemps. J’ai très envie de toi en levrette ma douce … ‘. Je me suis retiré pour la laisser se tourner. Elle a mis un peu de temps pour se mettre à quatre pattes mais la vue était un must. Ses fesses tenaient bien, je les ai doucement écarté, elle n’avait pas de poils à l’anus, j’ai léché sa rosette, glissant ma langue à l’intérieur puis embrassant ce trou du cul. J’ai voulu le sodomiser … ‘ Pas tout de suite ‘ a-t-elle dit. J’ai pénétré son sexe. J’étais plus profond, plus à mon aise, j’ai rapidement accéléré … elle devait-être bien, elle a murmuré ‘ maintenant tu peux me sodomiser. ‘. Je me suis retiré pour appuyer mon gland sur l’entrée convoitée et j’ai appuyé. Le gland est entré mais elle m’a dit qu’elle n’était pas tout à fait prête. J’ai de nouveau câliné son anus puis suis revenu à la charge, plus doucement encore. J’ai poussé mon sexe au plus profond de son anus, elle était serrée mais souple. Je me suis mis à doucement faire glisser mon membre puis j’ai accéléré la cadence, son cul s’est mis en branle à contre sens, nos allions de plus en plus vite, elle s’est mise à couiner son plaisir en me disant des oui, vas-y, tu m’encules, j’aime to sexe, baise moi … Et puis elle a été prise de tremblements et j’ai joui fort, à la limite de la perte de connaissance, collé contre ses fesses en grognant comme un animal.
Là encore je suis resté un moment sentant mon sexe repus rétrécir et son anus m’expulser en un pet délicat, très peu bruyant mais très humide.
Nous nous sommes allongés, je la serrais, la tête contre mon torse. Elle m’a embrassé, des larmes perlaient sur ses joues.
Une heure plus tard, douché, habillé, je voulais prendre congé. Elle me dit, tout à trac : ‘ C’est combien pour le plaisir que tu m’as donné ? ‘. Je lui ai fait remballer ses sous. Comment est-ce que j’aurais pu me faire payer ?
Elle n’a pas osé demander si nous pourrions nous revoir. Je n’ai rien dit. Le samedi matin suivant, je sonnais chez elle. J’avais acheté un petit bouquet très printanier. Elle m’a ouvert et m’a sauté dans les bras.
Nous avons passé le samedi et le dimanche ensemble avec une escapade dans un restaurant ou je lui ai tenu la main tout le repas.
Le dimanche après midi, avant que je ne parte, elle m’a embrassé puis m’a glissé à l’oreille : ‘ tu es terrible, je t’aime. ‘. Je suis parti prendre mon métro, en sortant j’ai glissé ma main dans ma poche pour trouver mon paquet de gauloises, il y avait une boîte … Surpris, je l’ai ouvert, une très jolie montre, extra plate, rectangulaire avec un bracelet en lézard gris et un petit mot ‘ Merci ‘.
Pendant un an, j’ai vu Duchesse tous les week end et puis je suis parti soldat.
J’ai écrit deux trois lettres à Duchesse, en ai reçu aussi mais le courrier suivait mal en Afrique et il y avait des filles qui n’attendaient que moi.
J’ai perdu Duchesse de vue. En rentrant de l’Armée je suis parti en stage aux Etats Unis puis j’ai obtenu des postes de direction en province pour ne revenir à Paris qu’à vingt huit ans passés.
Marc O. Paulo
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