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Concours : Un conte de noël - Comme un Pape à Noël

Chapitre 1

Premier Noël chez les beaux-Parents

Erotique
— "Mais quel bordel… Ça me saoule !"— "Ben oui, mais on n’a pas le choix…"— "Si ! On avait celui de s’y prendre en avance… — "Oui, je sais bien, mais c’était pas evid…— "Ah ! Putain, une place ! J’espère qu’il n’y a pas un connard qui va me la prendre !" la coupai-je. Cette discussion tendue fut le prémice du premier Noël que je m’apprêtais à passer chez mes beaux-parents, pas plus tard que l’année dernière. Nous étions le premier week-end de décembre et c’est là qu’Alena avait décidé de faire les achats de Noël pour tous ceux qui seraient présents dans la maison familiale dans trois semaines. Et c’est cette histoire que je vais vous conter… Bien évidemment, le chaos régnait dans la zone commerciale d’Hérouville, en périphérie de notre cité Caennaise, des bouchons à n’en plus finir, les parterres de pelouses envahis de véhicules stationnés anarchiquement et une symphonie de klaxons à peine couverte par le dernier album de Bullet For My Valentine sortit un mois plus tôt et qui résonnait à l’intérieur de ma vieille 206. Heureusement, je finis par repérer une voiture qui partait et me dirigeai vers la place devenue libre tel Guillaume Le Conquérant à Hastings. Il ne me restait plus que cette innombrable foule à affronter et je savais que ça allait être un supplice, pas que je sois antisocial, mais j’étais, et suis toujours anticons ! Heureusement, Alena était avec moi et m’apaisait tout en essayant de faire de son mieux pour ne pas trainer. Elle opta pour une très bonne bouteille de vin pour son père et un coffret de soins pour sa mère. Pour sa sœur de vingt ans, de deux ans sa cadette, bien que je lui ai soumis l’idée d’un sextoy vu le portrait d’hyper coincée qu’elle m’avait fait d’elle, elle opta pour un livre d’un auteur inconnu au bataillon pour moi, qui suis plus mangas. Elle y ajouta une grande boite de chocolat pour son oncle et des plus petites mais plus jolies pour ses deux cousines. Nous repartîmes finalement assez rapidement nous perdre longuement à travers la zone et le périphérique avant de regagner son appartement et enfin respirer. Il était parfaitement situé pour elle, au dernier étage d’un immeuble en pierres de Caen, surplombant le Bô’Bar où nous avions pris nos habitudes. Il se trouvait à quelques hectomètres de la fac de droit dont elle arpentait les amphis depuis maintenant quatre ans et à quelques encablures du château.  De mon côté, j’étais en cinquième année de STAPS et j’avais rencontré Alena il y avait un peu moins d’un an lors d’une soirée étudiante de droit où m’avait convié un ami. Il faut dire que la gente féminine ne pullule pas dans ma branche et qu’il me fallait sortir des sentiers battus pour rencontrer de charmantes demoiselles, ce que j’eus la chance de faire en croisant sa route. Lorsque je la vis la première fois, entourée de ses amis, elle eut déjà une emprise sur moi. Alena mesure environ 1m68 et est brune aux cheveux longs qui entourent un fin visage au ton hâlé illuminé par ses yeux en amande et son sourire ravageur. Elle a un corps élancé, des fesses rebondies et une opulente poitrine qui semble souvent vouloir s’échapper du tissu qui l’entrave. C’était ce jour là une robe cintrée rouge comme le baume de ses lèvres et pailletée qui l’enserrait. Je n’avais d’yeux que pour elle ce soir là et elle avait dû le remarquer car c’est elle qui m’aborda la première, bien moins timide que moi. Le courant passa de suite entre nous et après quelques jours et verres échangés dans les pubs de la ville, nous nous mîmes ensemble et le sommes toujours. C’est fin octobre qu’elle me proposa de faire Noël chez ses parents, n’osant pas trop aborder le sujet sachant que je n’avais de mon côté plus aucun contact avec les miens suite à des histoires de famille que je préfère oublier. Je n’avais encore jamais vu sa famille mais j’acceptai bien volontiers. Ce serait l’occasion de les rencontrer et d’essayer de faire bonne impression. Je chargeai mon inusable 206 rouge avec les cadeaux et les valises et nous prîmes la route le jeudi, après le déjeuner, direction le sud, pour plus de 2h30 de route direction le Maine-et-Loire.  Quelques bouchons, une petite pause sur une aire désertée, où Alena profita de notre solitude pour s’adonner à ce qu’elle préfère, et ce qu’elle fait à merveille, me sucer, et nous arrivâmes en fin d’après-midi à Guinefolle, au sud d’Angers. Ses parents habitaient un imposant et charmant pavillon blanc cassé planté sur l’avant d’un terrain arboré et très bien entretenu.
 Alena sonna et la porte en alu clair s’ouvrit quasi instantanément. — "Bonjour ma chérie ! Vous avez fait bonne route ?" lui demanda sa mère avec un large sourire.— "Bonjour maman ! Oui, très bien ! Je te présente Christophe !"— "Bonjour madame ! Enchanté !" enquillais-je poliment.— "Ah ! Le fameux !" ajouta du bout du couloir son père en nous rejoignant.— "Salut papa !"— "Bonjour monsieur !"— "Bonjour ma chérie ! Bonjour Christophe"— "Vous pouvez l’appelez Chris" conclut Alena Nous entrâmes, Alena partit avec sa mère Ioanna, d’origine grecque, à la cuisine tandis que Philippe m’invita à m’installer dans le salon. Nous discutâmes et les filles nous rejoignirent avec deux plateaux, un composé de boissons fraiches et l’autre d’une théière et de biscuits de la région. Elles les posèrent sur la table centrale et vinrent profiter comme nous des confortables canapé et fauteuils de cuir gris clair qui l’entouraient. Ses parents me posèrent forcément pléthore de questions, me laissant leur en retourner à mon bon vouloir. Philippe tenta quelques traits d’humour pas toujours bien placés sous le regard réprobateur de sa femme auxquels je m’efforçais de rire, au moins sourire. J’étais celui qui allait probablement leur arracher leur fille et ses parents me parlaient et s’occupaient de moi avec une immense bienveillance. J’étais vraiment reçu comme un Pape. Les regards que me lançaient Alena étaient eux beaucoup plus coquins. Elle profitait des regards de ses parents rivés vers moi pour promener lascivement le bout de ses doigts fins sur ses cuisses, son ventre et ses seins, ouvrant les pans de sa petite veste en cuir noir pour me laisser admirer ses tétons commencer à poindre derrière le tissu blanc de son top. C’était troublant et j’avais un peu de mal à donner clairement le change à ses parents. Je me décidai ensuite à décharger la voiture et à ramener la valise dans la chambre que m’indiqua Ioanna. C’était leur chambre parentale qu’ils nous laissaient et lorsque j’ouvris la porte, j’arrivai dans une grande chambre aux murs recouverts de tableaux de l’Acropole, de Delphes, des Météorites et autres sites antiques hellènes. Le lit, très large et recouvert d’une couette bleu mer était à droite de la porte en entrant. J’allai déposer les valises à son pied tout en entendant de loin les avis que ses parents donnaient à Alena. — "Et ben, il est vraiment très beau garçon ma chérie, un beau et grand brun bien musclé, et il a l’air vraiment gentil !"— "Oui, on voit qu’il aime et fait du sport ! Il faudra que vous reveniez aux beaux jours qu’on aille faire un petit tennis !"— "Et il a de très beaux yeux verts !"— "Merci, ça fait plaisir… Je l’aime vraiment beaucoup" ajouta Alena. Et ben, ça fait plaisir me dis-je intérieurement. C’est à ce moment, alors que je finissais de poser les affaires, que j’entendis encore moins distinctement une voix fluette. — "Bonjour…" Je me retournai et vis une petite blonde très mignonne mais semblant sortir d’une pension pour jeunes filles. Ça devait surement être sa sœur. Elle était un peu plus petite qu’Alena, encore plus fine et avec bien moins de poitrine, même si son large pull vert en laine ne laissait pas entrevoir grand-chose. Ses cheveux étaient tirés en arrière, lui donnant un air sévère à peine atténué par son très léger maquillage au niveau de ses yeux topaze. Pour le coup, elle n’avait pas hérité, comme sa sœur, du physique méditerranéen de sa mère comme le trahissait sa peau pâle. Elle portait également une jupe plissée marine et vert quadrillée de liserés dorés et des petits escarpins plats au-dessus de fines socquettes blanches. Elle était appuyée sur l’encadrure de la porte lorsque je me retournai pour la saluer à mon tour. — "Bonjour ! Daphné ? C’est ça ?"— "Oui, c’est ça, bienvenue chez nous !" me répondit-elle toujours aussi difficilement audible.— "Merci !" Nos regards restèrent figés l’un dans l’autre pendant quelques instants, un moment, je ne saurais le dire, le temps me sembla suspendu, comme un éternel éphémère. Elle finit par le détourner la première et alla rejoindre ses parents et sa sœur dans le salon. De mon côté, je me sentais quelque peu troublé par ce regard transperçant mais je me remis rapidement les idées à l’endroit de rapides mouvement de tête horizontaux et les rejoignis à mon tour. Le soir, nous mangeâmes tous sur la grande table de bois brut foncé un repas assez rapide. Ioanna voulait en faire plus mais vu les repas qui nous attendaient les jours suivants, Nous décidâmes tous d’aller au plus rapide et au plus simple. Nous discutâmes ensuite dans le salon autour d’un café ou d’un thé pour les filles et d’un petit Jet 27 accompagné de glace pilée pour Philippe et moi. Chacun alla ensuite se coucher pour être en forme pour le lendemain. — "Mmmm, tu es déjà bien dur, je n’ai encore rien fait, comment ça se fait ?" me demanda Alena une fois que nous étions couchés en posant sa main sur mon sexe— "Je ne sais pas, c’est monté comme ça d’un coup !"— Je ne vais pas me plaindre, je vais pouvoir sucer directement ta grosse bite bien dure !" me dit-elle en se faufilant sous les draps et en prenant en bouche mon sexe qu’elle caressa de ses lèvres sur toute la longueur en accompagnant de délicieux mouvements de langue. Je ne pouvais lui dire mais ce début d’érection était lié au fait que je repensais à sa sœur, notre échange de regard et son air strict qui la rendait terriblement sexy. Et je n’arrivais pas à m’empêcher de m’imaginer que c’était elle qui était justement en train de prendre entièrement mes dix-sept centimètres de corps spongieux. Et oui, quand elle me parle de ma grosse bite, c’est assez généreux de sa part… Mais ça fait toujours plaisir ! En quelques minutes cette bouche saliveuse eu raison de moi et me garda au plus profond d’elle au moment ou j’éjaculai. J’étais en train de me répandre au fin fond de la gorge d’Alena, ou de sa sœur, je ne savais plus très bien à ce moment-là. Elle m’aspira ensuite le gland afin de bien le nettoyer avant de me montrer, bouche ouverte, sa langue noyée dans un épais liquide albâtre. Elle l’avala ensuite ostensiblement et le prouva à nouveau bouche ouverte avec un regard des plus érotiques. Le lendemain, je me réveillai comme je m’étais endormi, mon sexe dans la bouche d’Alena qui avait décidé de m’offrir ce formidable réveil. Elle sentit que je m’étais réveillé mais resta appliquée à sa fellation, yeux fermés et joues creuses. Elle le faisait définitivement divinement bien, si bien que mon érection atteignit rapidement son paroxysme. C’est à ce moment qu’elle vint se mettre à quatre pattes à côté de moi, complètement cambré et le visage enfoui dans l’oreiller. Elle était si excitante, ses gémissements étouffés alors qu’elle passait un bras au-dessus de son dos pour promener ses doigts entre son anus et son clitoris. Je vins me positionner derrière elle, admirant encore un peu ses caresses, avant de m’introduire dans son vagin déjà bien humide. J’étais déjà terriblement excité et mes va-et-vient étaient déjà rapides, alors qu’elle faisait tourner son majeur lubrifié de cyprine autour de son petit trou. Je ne décrochais pas mon regard de ce fin doigt qui dansait autour de cet œillet, tentant parfois d’y rentrer, alors que j’imprimais un rythme frénétique, agrippé à ses hanches. Heureusement que ses geignements étaient absorbés par l’oreiller me dis-je intérieurement en relevant la tête vers la porte me demandant si on pouvait nous entendre de l’autre côté des quatre centimètres de sapin. Et c’est là que je vis Daphné en train de nous observer, porte semi-ouverte. Elle n’avait plus son pull de la veille mais juste une fine chemise à manches courtes qu’elle parcourait de sa main gauche, surtout au niveau de sa petite poitrine qui était sans conteste libre de tout arceau. Elle se mordait les lèvres, certainement pour rester discrète, et nos regards se croisèrent de nouveau. J’eus alors l’impression de devenir une bête, glissant mon pouce droit là où Alena avait entamé sa préparation, lui déclenchant un petit cri, plus de surprise que de douleur. Je me saisis de sa fesse gauche de l’autre main, l’écartant au maximum et j’accélérai encore le rythme, bien que déjà presque au maximum, bien agrippé à sa fesse et dans son petit trou.  Je fis cela le regard constamment noyé dans le topaze des yeux de Daphné qui avait passé ses deux mains sous sa jupe plissée. Elle la releva comme pour bien me montrer qu’elle se caressait par dessus sa culotte de coton blanc de l’autre main. C’en fut alors terminé de moi et je zébrai alors le dos et les fesses d’Alena de ma jouissance, toujours sans quitter du regard sa sœur qui dégageait à ce moment un incroyable potentiel érotique.  Elle s’en alla alors rapidement, refermant discrètement la porte alors qu’Alena me remercia pour cette baise sauvage avant d’aller se nettoyer dans la salle d’eau attenante à la pièce. Je me rallongeai dans le lit, l’esprit aussi embué que devait l’être le miroir dans lequel allait se regarder Alena une fois lavée. En fin de matinée, nous profitions du jardin avec Alena, bien couverts et mains dans la main, lorsqu’arriva un gros SUV Audi bleu nuit aux vitres arrières teintées, un Q7 ou Q8 surement. Il se gara au bout de l’allée, juste derrière ma citadine Française qui faisait bien pâle figure. Le chauffeur sortit le premier, la bonne cinquantaine bedonnante, chemise et costard, suivi de celle qui devait être sa fille, une magnifique rousse. — "Oh ! Tonton Bernard !" s’exclama Alena manquant de m’octroyer une double fracture Radius /Ulna en s’agitant. L’homme en question, que je devinai d’une infaillible déduction être son oncle la salua de la main. — "Ça va Chris ? Tu fais vraiment une drôle de tête d’un coup ?" me demanda Alena, visiblement inquiète, en me regardant.— "Hein ?! Non, tout va bien !" — "OK… Tant mieux…"— "C’est parce que t’as failli me péter le bras !" tentai-je de la rassurer. Et ce n’était effectivement qu’une vaine tentative car ça n’allait pas du tout. — "Emma ? C’est pas possible ?" me dis-je intérieurement. En effet, la jolie rousse qui suivait Bernard, et donc la cousine de ma copine, ressemblait comme deux goutes d’eau à Emma, une de mes ex ! Ça ne pouvait être qu’elle, les mêmes cheveux, le même visage, le même style vestimentaire. Je ne savais plus quoi faire et me demandai comment Alena allait pouvoir réagir à ça. — "Léa !" C’était Ioana qui venait de crier cela en sortant vivement de la maison. Léa ? Ce n’est donc pas Emma ? Incroyable à quel point elle se ressemblait. Plus que rassuré, je suivis Alena pour rejoindre Ioanna, Bernard, et donc Léa sur le pas de la porte pour les saluer, le cœur bien plus léger qu’il y avait quelques minutes. — "Ah ! Emma ! Tu t’étais endormie dans la voiture ou quoi ?" C’était à nouveau la mère d’Alena qui s’époumonais mais cette fois, cela me glaça le sang au lieu de me sortir de ma léthargie. Je me retournai vers la file de véhicules et je vis cette fois Emma, celle que je redoutais de voir peu de temps auparavant, pas que nous nous soyons séparés en mauvais termes mais par rapport à la potentielle réaction d’Alena. Elle nous rejoignit et nous salua à son tour. Elle ne put s’empêcher de me glisser un petit sourire avant une bise plus appuyée que celle de sa sœur mais n’en rajouta pas. Je la remerciai intérieurement et nous entrâmes tous dans la maison retrouver Philippe et Daphné qui s’affairaient déjà aux préparations.
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