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Concours : Le déjeuner sur l'herbe : Assez pausé, évadons nous !

Chapitre 1

Assez pausé, évadons nous !

Hétéro
En ce bel après-midi d’été, il commençait de faire bien chaud dans la salle 29 du musée d’Orsay.
C’était maintenant l’heure creuse, celle des dernières visites matinales, avant la foule de l’après-midi, et j’étais en cet instant seul à contempler mon tableau favori, « le déjeuner sur l’herbe » d’Édouard Manet. Et comme d’habitude -et comme beaucoup- je me posais la même question, à savoir pourquoi les femmes étaient dénudées alors que ces messieurs restaient tout habillés. Perdu dans ma pensée je fermais un instant les yeux pour mieux me concentrer, espérant ainsi qu’aujourd’hui, peut-être, j’obtiendrai enfin réponse à ma question. Les rouvrant bientôt, je crus être victime d’une hallucination ! En effet, il me semblait qu’Alice, toujours en me fixant, laissait pendre son bras droit le long de son corps, ce qui oh splendeur me laissait admirer la totalité de son sein, ce sein d’une blancheur de neige, dont le téton déjà bien rougi se détachait de l’aréole sombre. Figé sur place je n’osais plus bouger, craignant que cet instant magique ne s’évanouisse. Mais au lieu de s’évanouir, il s’animait au contraire, et c’est ainsi qu’Alice maintenant se levait, me permettant alors de la contempler dans toute sa nudité. Debout, ses formes et ses courbes étaient exquises, et sa fine toison brune cachait à peine un con que l’on sentait désireux de donner du plaisir.
Mais Alice n’était pas la seule à prendre vie ! Au fond du tableau, comme piquée par la jalousie de voir Alice exhiber seule les splendeurs de son corps, Héloïse se dévêtait et offrait à mon regard hagard un corps d’une beauté saisissante. Plus menue qu’Alice qui avait un corps comme on les appréciait dans l’autre siècle, elle avait, elle, plutôt l’allure d’une sportive accomplie avec un corps exempt de toute once de graisse. Légèrement gonflé et bien mis en avant, son pubis était une invitation à la débauche, et ses seins conquérants se terminaient par des tétons gros comme des myrtilles prêtes à éclater.Alice se retourna, pour voir approcher Louise et lorsque les deux femmes furent réunies, elles se regardèrent longuement, chacune détaillant d’un regard inquisiteur les perfections du corps de l’autre. Et cette observation dut être concluante, car elles échangèrent ensuite un long baiser sur leurs lèvres sensuelles et charnues.Elles se tournèrent alors vers Louis et Paul :
— Allons messieurs... allez-vous encore longtemps nous laisser seules à être dévêtues ? Mais peut-être préférez-vous que nous nous chargions chacune de vous dévêtir ?

Et sans même attendre leur réponse, Héloïse s’approcha de Paul tandis qu’Alice rejoignait Louis.Un peu surpris tout d’abord, ils se plièrent cependant bien vite aux caresses de leurs nymphes, tant celles-ci mettaient dans tous leurs mouvements de grâce et de charme. Plus rapide (ou plus impatiente ?) Héloïse fut la première à dévêtir l’homme qu’elle avait élu, et l’éclair qui parut dans ses yeux prouva qu’elle était ravie du spectacle qui s’offrait à elle et qu’elle était enchantée de toutes les ivresses que cela lui assurait. Et après quelques allers-retours de sa main aux doigts fins sur le sexe de Paul qui prenait de belles proportions en pointant vers son nombril, elle ne fut pas longue à refermer ses douces lèvres sur un gland tout heureux de l’aubaine.
À la voir faire on sentait tout de suite l’habitude qu’elle avait de ce genre de situation, et voir ses lèvres, sa langue et parfois ses mains s’activer sur le membre de plus en plus raide et tendu de Paul, ainsi que sur ses testicules qu’elle semblait soupeser avant de les engloutir une par une au fond de sa gorge était un spectacle d’une grande beauté.Quant à Louis, c’est lui qui avait pris l’initiative auprès d’Alice, et après de fougueux baisers sur ses lèvres pulpeuses et gonflées de désirs, il avait ensuite fait descendre sa bouche pour atteindre la poitrine de sa belle maîtresse, et sa langue se montrait très active sur les tétons déjà tumescents. Lorsqu’elle commença de gémir de plaisir il lui demanda d’appuyer les deux mains contre un arbre, et de se cambrer pour lui offrir la partie la plus charnue de son anatomie. Mettant son majeur dans sa bouche pour bien l’humidifier, il vint ensuite trouver la petite rondelle que ses doigts parcoururent en de longs cercles concentriques qui bientôt se fixèrent en leur centre. Crachant alors sur l’anus offert il y enfouit un doigt inquisiteur, avant de présenter son gland à la rondelle accueillante quand il eut acquis la certitude que son doigt circulait librement et que la pression du rectum s’amenuisait. Et lentement il commença de la sodomiser, ses mains empoignant bien les hanches de la belle.Détendue de tout son être Alice ronronnait de plaisir sous cet assaut attendu qui se faisait de plus en plus rapide et violent. Quand Paul, sous les vifs assauts d’Héloïse se fut répandu avec beaucoup de bonheur dans la gorge de celle-ci, il ne pensa plus qu’à donner à son tour le plus grand des plaisirs à la jeune femme. Aussi, l’allongeant dans l’herbe tendre et lui écartant légèrement les jambes, il vint se placer entre celles-ci et, caressant d’abord de sa main le sexe qu’elle lui offrait, il ne fut pas long à y poser sa bouche pour lui prodiguer la plus intime des caresses.Ainsi, sous les lèvres et la langue de Paul, Héloïse réalisait elle l’un de ses fantasmes les plus espérés : se faire faire un cunnilingus par un homme à barbe et à moustache. Oui, son fantasme le plus caché était de se faire honorer sa petite chatte par un homme équipé de ces deux artifices, pour en apprécier les chatouilles sur la partie la plus sensible de son anatomie.Et pour cela Paul était un as, et ses cunnis devenaient vite des œuvres d’art, des moments de bonheur intégral.Si les poils pubiens d’Héloïse luisaient maintenant de la salive de Paul mélangée à son abondante cyprine, il en était de même des endroits pileux de ce dernier qui sous les rayons du soleil brillaient comme les pièces d’’un inestimable trésor.Dans la chaleur de ce bel été Alice, Héloïse, Louis et Paul s’aimaient, et leurs gémissements, leurs cris de plaisir étaient comme des applaudissements au chef-d’œuvre de Manet.Et moi, face au tableau du maître, vu ce jour sous un jour bien nouveau, j’avais l’impression de vivre en stéréo, tandis que me parvenaient d’un côté les cris de plaisir d’Alice qui allait bientôt se rendre à la fougue de Louis, tandis que de l’autre côté me parvenaient les doux soupirs d’Héloïse à qui Paul faisait atteindre les cieux.Mais le brouhaha reprenait, l’heure creuse du déjeuner était passée. Il était temps que les personnages reprennent leur place et se figent de nouveau, en ce bel après-midi d’été !
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