Le soir vient de tomber sur le quartier huppé d’Hillcrest au sud de San Diego. Une légère brise venant du pacifique rafraîchit les ruelles bordées de grands palmiers. La température reste plutôt idéale pour la saison printanière.
Un petit groupe de jeunes filles simplement vêtues d’un t-shirt moulant et d’un minishort de jean usagé, se balade en direction d’une villa éclairée de lumières multicolores. Le bruit sourd d’une musique trop forte ne laisse planer aucun doute. C’est bien la maison de Brian, le capitaine de l’équipe de foot des Raiders. Le petit portail grince, pour s’ouvrir sur une allée en forme de route en gravier blanc. Les petites bordures de buis rectangulaires viennent d’être taillées manuellement au sécateur par le jardinier de la propriété. Les parents de Brian tiennent spécialement à accueillir chaque invité. Un peu intimidées, nos jeunes demoiselles en tenues provocantes se laissent serrer une à une affectueusement par le père profitant de la situation. La mère quant à elle se contente d’une bise à peine perceptible sur les deux joues. Après que tout le monde a justifié du précieux carton d’invitation, le couple en tenue de soirée s’éclipse pour aller dîner au restaurant, à l’autre bout de la ville près de la marina. Invités par des amis, ils ne reviendront chez eux que le lendemain après-midi. Laissons la jeunesse s’épanouir. L’année scolaire de leur jeune protégé a été particulièrement éprouvante. Il a bien mérité un moment de relâche... Carla dix-huit ans, jolie blonde effilée mâche son chewing-gum nerveusement. Elle sent monter le stress. Son portable indique bientôt 23h00. A l’autre bout de la pièce, sa concurrente semble être dans le même état. Sauf que Tina la brune toujours aussi sulfureuse a enquillé au moins cinq shooters à la vodka. A moitié ivre, elle se laisse déjà caresser par deux joueurs de l’équipe de foot. A en croire la bosse visible au niveau de leur braguette, leurs bites sont loin d’être calmées. Mais il y a le fameux défit, et interdit pour Tina d’aller se détendre dans la chambre d’amis avec les deux lascars. L’horloge style 19ème fait retentir l’heure fatidique. Le son métallique du petit marteau sur une cloche de cuivre annonce les 23 coups machinalement. Les aiguilles sont figées sur le onze et le douze. L’ensemble des convives est excité, ils ont tellement attendu ce moment avec impatience. Une fille un peu plus âgée que la moyenne semble diriger les opérations. Les cheveux tirés en arrière, coiffée d’une casquette rouge, elle porte une tenue de fitness super moulante. Ses seins pointent en avant comme deux ogives prêtes à éclater. C’est Brenda l’ancienne gagnante de l’année dernière. D’une voix forte et tranchante, elle invite quelques joueurs du club des Raiders à s’aligner en file indienne. Quatre d’un côté, et quatre de l’autre. Puis elle fait signe aux deux concurrentes d’approcher. Vêtues de leur tenue officielle jaune et bleue, elles arrivent fièrement, la poitrine bien en avant, affichant un petit sourire crispé. Brenda la tenante du titre l’an passé, joue le rôle d’arbitre pour cette soirée exceptionnelle. Malgré son petit gabarit, elle mène d’une main de maître le groupe de jeunes survoltés. — Comme vous le savez déjà, le concours est très simple... Nous allons élire la meilleure suceuse de l’équipe des pom-pom girls. Il faudra faire jouir le garçon dans sa bouche le plus rapidement possible. Le sperme sera obligatoirement craché dans un gobelet servant de preuve irréfutable afin de marquer un point. Bien sûr la première qui vomit sera disqualifiée. Pour corser le tout, les deux cheerleaders auront les mains attachées derrière le dos, et seront à genoux devant le joueur. Celle qui aura marqué quatre points la première se verra attribuer une nuit d’hôtel de luxe tout compris avec la personne de son choix. Bonne chance ! Tout le monde se met en place dans un ordre défini scrupuleusement, avec une rapidité exemplaire. Les deux charmantes étudiantes sont déjà à genoux chacune sur un prie-Dieu, emprunté aux parents de Brian, fervents catholiques.
Les premières braguettes se baissent pour libérer deux jolies petites bites sans prétention. Elles rentrent en même temps dans les bouches béantes déjà un peu mouillées de salive.
Tina la brune alcoolisée suce, faisant le contour du gland de son partenaire en érection mieux qu’une professionnelle. Elle aime sentir son sexe dur lui limer la bouche bien à fond jusqu’à la garde. On dirait que c’est lui qui donne le rythme avec des coups de reins bien prononcés. Le duo prend du plaisir à l’unisson. Carla, c’est l’inverse. Elle préfère sucer le gland comme un bonbon. Par petites succions accentuées, ses lèvres pulpeuses aspirent littéralement l’extrémité arrondie. Étonnement, la technique semble marcher à merveille, déjà le liquide blanchâtre coule le long de son menton. Un crachat dans le gobelet, voilà rapidement un point de marqué. Une deuxième verge se présente à elle, légèrement plus grande. Elle exécute la fellation de la même manière. Mais Jason impose une pénétration plus agressive. Voilà notre petite blonde la bouche bien remplie, c’est une première pour elle. Tina vient de cracher la première semence, ne pouvant résister, elle avale comme une offrande le sperme délicieux et légèrement salé. Le second mâle un peu pressé présente sa belle queue plus longue et épaisse à la jeune brune pour son plus grand bonheur. L’engin l’excite, elle décide de le sucer comme une furieuse. De jeunes spectatrices en émoi se caressent l’entrejambe en se roulant des pelles. Cette petite leçon de voyeurisme les met dans tous leurs états. Que c’est bon de voir ces deux petites salopes, si prudes d’habitude, en pleine action !Carla sent le jet épais envahir le fond de sa gorge. Un peu soulagée, elle marque le second point, complètement essoufflée. Le salaud ne l’a pas ménagée. Mais le défi continue... La troisième bite est considérablement plus volumineuse. On peut même contempler les veines gonflées de désir palpiter nerveusement tout le long du pénis rougeoyant. Le calibre se glisse péniblement au début, puis trouve enfin sa place.
Le gobelet de Tina se remplit à nouveau. Cette fois, un peu en retard sur le timing, elle fait signe au troisième étudiant de se presser. Sa bouche enfourne sa queue plus grosse que la précédente en une fraction de seconde. Un peu sale, elle sent l’urine. Tina excitée par le parfum si particulier suce avec ardeur le phallus dégoûtant. La blonde a vraiment du mal, elle tousse et manque de s’étouffer sous les assauts du jeune Steven déchaîné par le moment singulier qu’il est en train de vivre. C’est la première fois qu’on s’occupe de sa bite de cette manière. Il veut profiter de chaque seconde. — Tu vas me faire jouir petite salope continue !... hurle-t-il comme un fou.
Brenda observe scrupuleusement la petite blonde en difficultés. Ses yeux se plissent comme pour mieux voir les détails de sa bouche déformée. Hum, c’est limite on dirait, pense-t-elle. Mais Steven lâche tout dans un râle presque bestial. Sortie de la bouche dégoulinante, sa bite libère deux puissants jets sur le visage de la petite blonde. Les gouttes épaisses coulent sur les paupières fermées, gâchant au passage le maquillage de Carla. Le jeune footballeur se branle sans complexe sur elle pour terminer son ouvrage. Impossible de se nettoyer le visage, la jeune fille toujours impeccable d’habitude meurt de honte, mais ne se décourage pas. Voilà enfin le quatrième et dernier jeune garçon. Il baisse son short tout doucement comme pour créer un moment de suspense. Cette fois il s’agit d’un véritable serpent noir. Tout le monde pousse un cri d’admiration. — Tu as vu son truc oh là là ?! Mais il est énorme ! C’est la première fois que je... murmure une jeune fille prête à lâcher son verre de whisky coca.
Au même moment Tina rattrape son retard, Brandon jouit dans sa bouche avec fureur. Il décide comme son camarade de se vider les couilles sur son visage, en branlant doucement son sexe dressé au plafond. Complètement défigurée, elle ne s’en laisse pas compter. On dirait même qu’elle lèche avidement le foutre tiède comme pour nettoyer le contour de sa bouche souillée. Encore sous le choc, Carla ose à peine sucer l’énorme bite d’ébène de Mike, le black de la promo. En baissant un peu la tête, on dirait qu’elle s’avoue presque vaincue. Je ne vais pas pouvoir... Il le faut pourtant... Il le faut... ce serait trop bête si près du but !... Voyant sa concurrente décontenancée, Tina voit une chance inespérée de gagner la partie. Seulement voilà, elle n’a pas encore découvert le dernier monstre qui pourrait l’amener à la consécration... Son dernier mâle affichant une certaine décontraction, semble lui aussi prendre tout son temps pour dévoiler sa jolie bite. Pantalon de jean enfin baissé, voilà encore un fantastique spécimen offert à la vue de tout le monde. — Oh la vache ! Voilà une deuxième bonne bite, la concurrence va être rude, ne s’empêche de s’écrier une jeune étudiante les yeux écarquillés.
C’est la queue de Dylan cette fois. Tellement longue, vigoureuse et si épaisse. Objet de tous les fantasmes féminins, rien que quelques secondes à la regarder, et déjà toutes les petites culottes sont trempées. — Oh Dylan promis tu me baises après d’accord ?! lance une petite chaudasse qui lui caresse le torse.
Elle se fait vite écarter par le bras énergique de Brenda l’arbitre. Pas de place pour les petites pétasses de son genre, d’autant plus que le moment est crucial. Tina et Carla se regardent intensément avec animosité. Aucune d’elles ne veut rien lâcher.
Voilà les énormes bites en position. Deux bouches impatientes grandes ouvertes les attendent. Mike et Dylan les queutards de la classe jubilent et s’envoient un clin d’œil. Le fait de se faire sucer en public les excite comme deux animaux en rut. Devant la taille des monstres de chair, Brenda prend pitié pour les filles. Contrairement au règlement, sa main attrape un petit couteau suisse posé sur la table. D’un geste vif, elle sort une petite lame pour couper les liens de chacune d’elles sous les sifflets du public. — Je sais, je sais ! Mais vous avez vu les calibres de cette année ! Alors merde !... clame Brenda pour retrouver un semblant d’autorité.
Les cheerleaders ont compris à l’instant qu’elles pourront branler les énormes queues trônant devant leurs visages. Sans plus attendre, Tina et Carla actionnent des deux mains les phallus tendus, tout en les suçant vaillamment. — Alors les salopes on se sent plus à l’aise, lance Dylan tout en se balançant à petits coups de reins.
Carla voudrait bien lui répondre, mais avec sa bouche pleine c’est assez difficile. Tina quant à elle, adopte la stratégie de masser l’énorme paire de couilles marron toutes poilues. La technique semble payer. Le joueur peau d’ébène, ferme les yeux et commence à gémir doucement. La petite blonde préfère fixer droit dans les yeux Dylan tout en pompant avec ardeur le gland baigné de salive tiède. Il aime son attitude de vicieuse, la sève en lui est montée d’un cran. Ses deux cuisses se durcissent, et une décharge électrique parcourt son chibre dorloté par la demoiselle à bout de force. Son jus explose prestement, inondant du même coup la gorge accueillante de Carla. Pour valider son score, elle crache victorieusement une incroyable quantité le sperme épais dans le gobelet rouge. L’autre en profite pour essuyer sa queue sur les joues rosées de la jeune fille.
Mais encore tout excitée par l’expérience qu’elle vient de vivre, la cheerleader continue de le sucer, oubliant même qu’elle vient de remporter le concours. Sa langue nettoie proprement le phallus dont elle semble tomber amoureuse. Ses yeux se ferment de plaisir, sa bouche pompe et pompe encore jusqu’à perdre haleine. La voilà devenue une vraie salope, se dit-elle complètement désinhibée. Pendant ce temps, Tina crache à son tour la semence du black. Le fait de lui caresser les couilles tellement grosses ne lui aura été d’aucun secours. La malheureuse commence à pleurnicher, sa meilleure copine lui tapote l’épaule, elle en profite pour mater la bite désormais pendante du joueur de foot. Peut-être voudrait-elle s’en occuper un peu plus tard... Hum la soirée n’est pas finie loin de là ! Les deux mâles ravis remballent leur terrible engin, pour ne pas déclencher l’hystérie collective de la gent féminine. Brenda est heureuse que tout se soit déroulé dans de bonnes conditions, sans débordements... enfin presque, si vous voyez ce que je veux dire... Enfin debout Carla embrasse sportivement les joues souillées de sa rivale. Elle passe la main dans sa chevelure collante. Ils lui en ont mis vraiment partout les salauds ! Inutile de préciser qu’un passage à la douche est obligatoire. Brenda sort de son petit sac à main l’enveloppe rectangulaire contenant les deux passes pour l’hôtel Del Coronado. Le couple chanceux pourra goûter aux mets les plus exquis dans une ambiance de palace avec piscine, jacuzzis et massage à la demande... Pourtant, une question lui brûle les lèvres... — Mais au fait avec qui veux-tu partager ton petit séjour ?! interroge-t-elle impatiente d’entendre la réponse.
Carla un peu nerveuse au début répond devant toute l’assemblée devenue silencieuse... — Et bien s’il est d’accord, euh avec... Dylan ?!!! crie-t-elle comme une folle.
Un tonnerre d’applaudissements résonne dans la salle de séjour, les filles jalouses hurlent comme des folles, tout en regardant le jeune couple s’embrasser sur la bouche. Dylan lui caresse les fesses amoureusement, et sent gonfler sa queue à nouveau. Ils risquent de passer une nuit blanche bien agitée... Descollages
L'auteur a signalé qu'il n'y aura pas d'autre chapitre pour cette histoire.
