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Confession d'un homme perdu

Chapitre 3

Fête nationale

Gay
Les mois passent et c’est le début de l’été.Les tenues plus légères des femmes m’aident à réfréner mes envies de recontacter des hommes et de me contenter finalement du peu d’ardeur de Nathalie à reprendre une fréquence de rapports plus élevée, seule la perspective de devenir grand-mère courant octobre accapare toutes ses pensées.Bien que je n’ai pas repris contact avec des hommes (bien aidé par la disparition des rubriques annonces des sites que je fréquentais), l’envie est demeurée, et au fil des précédents mois, je me suis constitué une petite boîte à plaisir.Elle contient, bien entendu, la petite culotte noire au nœud en dentelle rose et les bas gris qui avaient tant plu à Perrin le coquin, mais à ceux-ci se sont ajoutés par transhumance du tiroir de Nathalie, une culotte noire transparente Chantal Thomas, une rouge taille basse Aubade et un collant jarretelle Le Bourget noir opaque, puis en raison des soldes d’été une robe fourreau bleue taille 4 plus adaptée à ma morphologie et une paire d’escarpins noirs à talons, car autant avoir un ensemble complet.S’agissant du petit gode rose stylisé de ma femme, il a retrouvé son tiroir et je l’ai remplacé par un gode plus long (20 cm dont 17,5 insérable) et plus large (4 cm) auquel il m’a fallu un certain temps pour m’y habituer.
Comme vous l’avez deviné, je continue à me donner du plaisir anal, plus seulement sous la douche mais aussi désormais travesti devant le miroir en position accroupie.Je combine depuis les trop nombreux jours d’abstinence avec Nathalie avec une abstinence masturbatoire pour laisser ma prostate se gonfler, et profiter alors d’une jouissance plus intense lorsque je me gode.Cela aurait pu durer et devenir une petite routine perso, si la frustration n’avait pas atteint un point limite.En effet, j’espérais que les victoires des bleus en coupe du monde amèneraient Nathalie à les fêter sous la couette, mais rien n’y fit, même après la finale !De même le feu d’artifice du 13 juillet était de coutume une soirée où après le spectacle, nous nous offrions un moment à deux, mais là encore nada. Dès lors, lorsqu’elle m’annonce le 14 juillet après-midi qu’elle voulait que nous rejoignons sa fille et son beau-fils pour voir le feu d’artifice et passer la nuit chez eux, puis de faire un repas auquel était également convié son ex-mari le lendemain midi, je décide que je ne l’accompagnerai pas.
Après avoir prétexté la présence de son ex le lendemain midi pour ne pas venir, je me dis « autant fêté le 14 juillet comme nous le faisions, mais en prenant sa place ».C’est donc dès son départ que je cherche un nouveau site de rencontre sans abonnement, puis un homme qui me plaît disponible pour le soir même, ce qui fût un peu difficile à trouver, mais « lorsque l’on veut, on peut », comme le dit le proverbe.Rendez-vous est donné pour 22  heures chez mon frère dont j’ai les clés durant ses congés (et pour éviter de donner mon adresse).Je me prépare en attendant 22 heures. Je décide que je porterai la robe bleue (bien entendu), les collants jarretelle, la paire d’escarpin et la culotte rouge : je fais une très belle femme à barbe.22 heures arrivent, je suis nerveux à attendre que la sonnette retentisse.22 heures 05, toujours rien et je commence à penser qu’il m’a posé un lapin.
22 heures 10, je me sens ridicule et suis presque certain qu’il ne viendra pas.22 heures 14, j’entends la sonnette et c’est avec un peu de précipitation que j’appuie sur l’ouverture à distance, lui précise que l’appartement est au second étage, mais l’entrée au 1er et que je descends à l’entrée.Il frappe à la porte et je lui ouvre. Autant Perrin avait été choisi pour la taille raisonnable de sa queue, autant j’avais choisi Marco59 pour son physique assez athlétique et tonique, et les photos étaient conformes à la réalité…Je le fais entrer et passe derrière lui en lui indiquant que le salon est juste au bout du couloir à l’étage. Durant cette montée des marches, j’admire sa carrure d’épaules et ses fesses, et me maudis d’avoir mis les escarpins, car autant j’arrive à peu près à faire illusion sur un sol plat, autant la montée en haut talons des escaliers se relève un défi à mon sens de l’équilibre.Arrivés à l’étage, je lui demande s’il veut m’accompagner dans la dégustation d’un Martini pour se détendre un peu, ce qu’il accepte.
Je le fais s’asseoir sur le canapé, et pars servir les Martinis en me déhanchant pour qu’il ait une vue agréable de moi-même de dos.
Je reviens, lui tends son verre, m’agenouille de côté sur le tapis de côté et lui dit ce que Nathalie m’avait dit un jour :
— Oups, j’ai oublié de le mélanger à la cuillère, et la cuisine est trop loin.
Il ne comprend pas jusqu’à ce que je le fasse avancer sur le bord du divan pour pouvoir ouvrir sa braguette, prendre sa queue encore molle (circoncise une première pour moi !) et l’utiliser pour touiller la boisson. Puis après avoir nettoyé la « cuillère » avec la langue, j’ajoute :
— Suis-je bête, il me manque l’olive
Et je trempe l’une de ses couilles dans le verre, le repose sur le sol et gobe sa couille humide en bouche en faisant tourner ma langue tout autour.Marco59 semble autant apprécier que moi cette façon de préparer le Martini.Après quelques gorgées de part et d’autre, il me dit
— reprends ma bite dans ta bouche et fais moi bander.
Sans discuter et désormais à genoux entre ses jambes, je lui enlève ses chaussures, fais glisser son pantalon et boxer, il s’occupe seul de sa chemise. Je prends sa queue en main, la lubrifie avec ma salive et commence à sucer sa demie-molle avec application, tout en massant ses bourses. Très vite son engin durcit entre mes lèvres, et je la sens palpiter sous mes coups de langue. Plus elle gonfle, et plus je me rends compte que même si sa bite n’est pas de la taille de mon nouveau gode, il n’a pas à rougir de la comparaison, et ça devient un défi de réussir à la garder en bouche. Cependant, ça ne semble pas être l’avis de Marco59 qui m’appuie sur la tête, tout en poussant sur ses hanches pour pouvoir en faire entre un maximum. J’étouffe sous ses coups et ai des réflexes de déglutition, mes yeux pleurent malgré moi, et après quelques va et vient supplémentaires, Marco59 me relâche la tête que je relève aussitôt, restant relié à sa queue par un long filet de bave coulant de ma bouche.Il dit alors :
— passons aux choses sérieuses.
Je me relève, essuie ma bouche et lui réponds :
— C’est la fête nationale, et je suis patriote, regarde ma robe est bleue,
Je fais descendre la robe sur une épaule et ajoute en me tournant sur le côté.
— ma peau est blanche,
Lui tournant le dos, les jambes légèrement écartées, je commence à relever la robe en me penchant en avant pour qu’il aperçoit les jarretelles et termine le show en la soulevant au dessus de mes fesses pour qu’il voit ma culotte et déclame :
— voici le rouge ! Fais moi un feu d’artifice !
Tout comme j’avais foncé sur Nathalie lorsqu’elle m’avait fait cela il y a quelques années, il n’a pas fallu attendre longtemps pour qu’il se lève, empoigne mes fesses et commence à me les malaxer.Très vite, la culotte se trouve le long de mes chevilles et je me tiens toujours penché en avant en essayant de garder l’équilibre.Marco59 me demande de retirer la robe, de me mettre en levrette sur le dossier du canapé et d’écarter les fesses avec mes mains.Toujours très obéissant, j’enlève la robe, laisse le slip autour de l’une de mes chevilles et monte sur le canapé pour me mettre en position, ne portant plus que le collant jarretelle et les hauts talons. C’est le signal qu’il attendait pour commencer à me lécher l’anus, cracher dessus, y glisser sa langue. Il me bouffe littéralement le trou du cul et j’adore cela. Ses coups de langue sont très agréables et habiles et je lui demande de continuer.Mais au lieu de cela, il enlève sa langue et je sens son pouce appuyer sur le sphincter, cracher dessus pour le lubrifier, puis assez rapidement, glisser un deuxième doigt en moi, et il commence à les faire tourner pour me détendre l’entrée. Alors que je commence à m’y habituer, il me dit :
— retourne toi et suce moi bien pour qu’elle entre facilement.
Je lui réponds :
— mets un préservatif, j’en ai avec moi.
Il n’est pas trop partant, mais accepte finalement que je lui enfile un préservatif nervuré (pour le plaisir des deux selon la notice) après que je lui ait taillé une pipe pour lui faire retrouver toute sa vigueur. Je me remets en position sur le canapé en écartant bien les fesses avec mes mains et son vit se place devant ma rondelle, qui n’avait connu que des godes jusqu’à maintenant, et très vite je comprends  que c’est différent.Même si sa queue est légèrement moins longue que mon gode, je ne peux pas en dire autant sur le diamètre du gland, et comme ce n’est plus moi qui donne le rythme de pénétration, c’est beaucoup plus douloureux. Je ne peux m’empêcher de dire :
— Ralentis, je crois qu’elle est trop grosse— Non, ça va aller, le gland vient de passer, me répond-il, en continuant à pousser.
Il me tient les hanches et centimètre par centimètre, Marco59 s’enfonce dans mon fondement, et j’éprouve chaque centimètre de sa progression me demandant si cela va s’arrêter quand enfin ses couilles butent sur mes fesses.Il commence alors un lent retrait avant de replonger brusquement jusqu’à la garde, et alterne des remontées douces assez agréables suivi d’un empalement douloureux sur son pieu, puis finalement il décide de me pilonner le trou du cul.J’ai mal, les larmes aux bords des yeux, me mords les lèvres pour ne pas crier, mais bizarrement, je découvre que je bande dur comme je n’ai pas bandé depuis des années et en baissant la tête, je vois ma bite s’agiter fièrement dressée sous chaque coup de butoir.
— T’aimes ça, me dit-il, elle n’est plus trop grosse, hein ?
Et il s’arrête, attendant certainement ce que je vais lui dire :
— N’arrête pas, continue de me baiser, s’il te plaît
Il m’attrape alors par les épaules, nous tournons d’un quart sur le canapé, et là déclare :
— Tu vas la sentir maintenant.
Je suis désormais allongé sur le ventre, le visage contre l’accoudoir, et il me pénètre profondément en se couchant sur moi. Je discerne son souffle dans mon cou, son halètement et je suis bien avec sa queue que je sens masser ma prostate, et je gémis de plaisir, chuchotant :
— Vas-y, plus fort, mon cul est à toi.— Crie le plus fort, me répond-il.
Naturellement, je m’exécute pour ne pas qu’il s’arrête, mais contrariant comme il est, il stoppe pour changer de nouveau de position. Il s’assied et me déclare :
— Si t’aimes ma bite, viens t’empaler dessus et remue ton cul.
Je l’enjambe et comme souhaité, je place mon petit trou, qui est désormais élargi au dessus de son vit qu’il tient droit d’une main et entreprends la descente, mais à mon rythme. Machinalement, je passe mes bras autour de son cou pour garder l’équilibre lorsque je penche mes fesses pour faciliter la pénétration, et le regarde dans les yeux. Il agrippe mon cou, attire mon visage vers le sien et m’arrache un baiser que finalement je lui rends. Ma bite frappe sur son ventre à chaque mouvement de balancier que j’effectue et je lui confie alors :
— Je vais bientôt jouir— Moi aussi. Soulève toi un peu et passe tes jambes autour de mon corps
Il se met à genoux sur le canapé, pendant que je suis ses conseils, et il m’encule de tout son long avant de basculer vers l’avant.J’ai désormais la tête sur le sol, et les jambes en l’air autour de son corps et Marco59 en une espèce de position de pompe, les jambes sur le canapé et les mains de chaque côté de mes épaules. Il me donne ses derniers coups de reins qui m’arrachent des « oh, c’est bon, n’arrête pas » et  compte tenu de la position qui est la mienne, j’empoigne ma bite pour la diriger vers ma bouche.Lorsque l’orgasme me frappe, une première giclée atteint mon visage et j’avale une partie de mon propre sperme, le reste s’étalant en plusieurs saccades de ma barbe à mon nombril. Marco59 n’y tient plus non plus et éjacule dans un dernier râle. C’est alors que je comprends qu’il a profité du dernier changement de position pour enlever le préservatif et pouvoir jouir en moi. Je sens sa queue palpiter au fond de moi et je profite de ses instants.
 - Tu as avalé ?, sont ses premiers mots— Oui, et j’ouvre la bouche pour lui montrer.
Il me donne une petite claque sur la joue, m’embrasse de nouveau et déclare :
— Tu l’as eu ton feu d’artifice, ma poule.
Marco59 se rhabille rapidement, alors que je suis incapable de me lever, partagé entre le plaisir intense que je venais de ressentir en me comportant ainsi et les questionnements sur ce qui m’avait amené à laisser un homme m’enculer et jouir en moi sans protester.Finalement comme les chats, je commence ma toilette, je récupère le sperme sur  mon  corps, puis les lèche et comme mon cul palpite, je me mets un doigt pour récupérer sa semence qui commence à goutter, et le porte également à ma bouche. Une fois Marco59 parti, il est à peine 23 heures, je retire les escarpins, remets la culotte, et vais me coucher dans cette tenue sans prendre de douche laissant du sperme sécher dans ma barbe. C’était un beau 14 juillet, et ce n’est qu’une fois par an.Normalement...
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