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Confession d'un homosexuel refoulé

Chapitre 3

ma femme comme défouloir

Hétéro
Je cours aussi vite que possible, boosté par l’envie de prendre ma femme pour assouvir mon excitation, car si Éric s’est généreusement déchargé, ce n’est pas mon cas. Avec cette chaleur étouffante, je transpire abondamment, parfait pour rendre l’alibi du footing plus crédible, Céline ma femme est tellement suspicieuse. Après quelques minutes de footing sur le chemin du retour, je rattrape la jeune demoiselle qui nous avait surpris tout à l’heure au milieu du bois, mince, je l’avais oubliée, celle-là. Je ralentis l’allure et reste prudemment à distance, j’aperçois qu’elle a des écouteurs dans les oreilles et qu’elle ne m’a pas entendu arriver.
Je trottine sur la pointe des pieds pour me rapprocher d’elle le plus discrètement possible, je la suis quelques instants et en profite pour la mater, elle est jeune, elle ne doit avoir guère plus de la vingtaine, sa silhouette est élancée, ses longs cheveux blonds attachés en queue-de-cheval se balancent de gauche à droite au rythme de sa foulée, tout comme ses fesses bien rondes qui semblent bien à l’étroit dans son shorty. Elle est tellement fraîche, son cul est à portée de mains, je n’ai jamais eu l’occasion de baiser une fille beaucoup plus jeune que moi, rapidement des pensées obscènes parasitent mon esprit, je m’imagine l’attraper par les fesses et la blottir contre moi, je frotte mon sexe contre son pubis, elle se débat, tente de se libérer de mon emprise, je resserre aussitôt mon étreinte, plonge une main sous son shorty pour caresser sa chatte lisse et déploie ma langue baveuse dans le décolleté de sa brassière...
Oula ma tête est en train de vriller, je préfère m’arrêter de suite et la laisser filer, le temps de recouvrer mes esprits pour ne pas faire de bêtises. Je me reconnecte sur le tchat, pour patienter, Éric est toujours là et m’envoie aussitôt un message.
— C’était trop bon, hâte de recommencer !— Oui moi aussi ! Je suis encore tout excité, ma femme va prendre cher tout à l’heure !— Cool, envoie-moi des photos !— Heu, ouais, suis pas sûr que madame accepte.— Je blague, fais comme tu peux, allez je te laisse.— À plus !
Après quelques minutes, je reprends mon chemin, les images se bousculent dans ma tête, Éric martyrisant mon anus, le goût de sa bite, la joggeuse et son sublime cul, j’ai la queue en feu et ne pense plus qu’à baiser Céline. J’arrive enfin chez moi, je me faufile discrètement à l’intérieur de la maison, par chance, j’aperçois à travers la baie vitrée, Céline qui se prélasse dans le jardin, j’en profite pour filer dans la salle de bain me rincer le visage qui sent encore le sperme, sans quoi je n’ai aucune chance d’échapper à son redoutable odorat. Après une dernière inspection d’éventuelles taches suspectes sur ma tenue, je la rejoins dans le jardin, je suis affamé et mon sexe étouffe dans mon short. Céline profite de cette fin d’après-midi ensoleillée pour parfaire son bronzage en mode topless, elle porte un maillot bleu turquoise qu’elle a coincé dans la raie de son cul pour mieux exposer ses fesses au soleil et de grandes lunettes noires.
Elle est allongée sur le ventre, accoudée sur ses deux bras et dévore un roman, elle ne se rend pas compte de ma présence. Je m’approche encore d’elle et la regarde en caressant la bosse de mon short. Plus âgée que moi de quelques années, Céline n’en reste pas moins une ravissante brune toute menue avec de petits seins et un cul ferme et délicieusement rebondi, je pose mes yeux dessus avec appétit, faisant grimper ma libido en flèche. J’engage la discussion pour lui signifier ma présence.
— Hum, tu lis quoi de beau ?
Elle me répond vite fait, sans décrocher le nez de son bouquin.
— Ha t’es là toi, c’est le dernier Musso, dis donc c’était long ce footing !— Oui, je me suis un peu perdu, mais j’ai trouvé un petit chemin très sympa, faudra que je t’y emmène la prochaine fois.— OK, on verra.
S’ensuit un silence gênant, absorbée par son bouquin, Céline ne déborde pas d’envie de poursuivre la discussion. Je tente malgré tout une nouvelle approche à peine voilée de sous-entendus.
— Tu veux pas que je te passe de la crème sur ton joli petit cul, tu vas griller sinon ?— Non merci, pas besoin ! Tu peux te décaler s’il te plaît, tu me fais de l’ombre ! Et puis va prendre une douche, tu pues la transpi à des kilomètres !
Céline a son petit caractère et ne prend pas de détour pour dire les choses, sa réponse sans équivoque contrarie mes plans, mais je suis trop excité et décide de passer à l’action, quitte à me faire renvoyer dans les cordes pour de bon, mon cœur s’emballe, stressé à l’idée de me frotter à son tempérament volcanique.Je me déshabille le plus silencieusement possible pour ne pas éveiller ses soupçons, l’effet de surprise est ma seule chance. Nu et le sexe tendu comme un arc, je m’agenouille discrètement entre ses jambes écartées, Céline qui sent que je suis toujours là réitère ses envies de tranquillité avec véhémence sans se douter de ma présence entre ses cuisses.
— T’es encore là ? Tu veux pas aller voir ailleurs si j’y suis ?
Je tremble, mon gland turgescent crache du liquide préséminal sur son merveilleux petit cul bombé qui n’est qu’à quelques centimètres. Flairant l’entourloupe, elle jette un coup d’œil par-dessus l’épaule et découvre effarée ma présence entre ses cuisses, elle baisse ses lunettes sur le nez et me fusille du regard comme pour m’intimer l’ordre de vite partir. Je ne peux plus reculer, sans lui laisser le temps de réagir, je m’allonge de tout mon poids sur elle et passe mes bras sous son torse. Le corps rendu glissant par la sueur, j’ondule telle une anguille sur son dos, frotte mon sexe lascivement contre ses fesses et pelote ses petits seins entre mes doigts avec précaution. Je l’embrasse dans le cou, lui susurre des obscénités à l’oreille puis glisse mon sexe sous son maillot.Sa riposte ne se fait pas attendre longtemps.
— Putain tu fais chier Nico, dégage ! Va te vider les couilles sous la douche si t’es excité !— Allez, une petite levrette vite fait, t’aimes bien quand je te baise comme une chienne (je frotte mon gland timidement contre sa chatte)— J’ai pas envie là, je suis pas ta pute !!!
Elle se relève brusquement et me fait basculer sur le côté avec une incroyable énergie avant de m’envoyer une gifle bien sentie, puis s’assoit les jambes repliées et reprend la lecture de son bouquin, très agacée. Plus à une humiliation près, je persévère et m’allonge à ses côtés en me masturbant pour tenter de la culpabiliser.
— Tu vas pas me laisser comme ça, regarde dans quel état tu me mets !— Je t’ai déjà dit d’aller te soulager ailleurs, fous-moi la paix bordel !— Allez, je te bouffe la chatte pendant que tu lis si tu veux, t’as qu’à écarter les jambes.— Mais t’es vraiment casse-couilles quand tu veux, je te branle vite fait et après tu me fous la paix !!!— OK, promis !
À défaut de mieux, je me contente de cette maigre consolation. Furieuse, elle attrape mon sexe de sa main gauche et commence à me branler sans ménagement de manière quasi-robotique, tout en continuant la lecture de son livre qu’elle tient de la main droite. Réduit au rang d’objet encombrant plutôt que sexuel de désir, ma fierté masculine en prend un coup, mais paradoxalement son attitude dédaigneuse et humiliante ne fait que renforcer mon excitation. Je me risque une nouvelle fois à tester sa patience, j’attrape son sein gauche, le caresse tendrement et lui pince le téton, mais elle reste impassible, comprenant que plus vite je serai soulagé, plus vite elle sera débarrassée de moi. Pressée d’en finir, elle accélère nettement la cadence, la paume de sa main heurte violemment mon pubis à plusieurs reprises, c’est douloureux, mais très stimulant, à ce rythme-là, je ne tiendrai pas longtemps.
C’est alors que je repense à Éric et à sa demande de prendre des photos, discrètement j’extirpe mon smartphone du brassard encore accroché à mon bras gauche et commence à filmer en gros plan. Céline s’en aperçoit assez rapidement et lève les yeux au ciel, exaspérée. Je n’essaye même plus de me justifier, le pourrai-je ? J’aimerais filmer plus qu’une simple branlette, instinctivement j’attrape Céline par la nuque et tente de rabattre son visage sur mon sexe, sans surprise, elle résiste, à peine-ai je effleuré ses lèvres du bout du gland qu’elle me repousse et me lance un regard noir, sans trop y croire, j’essaye de la stimuler en jouant la provocation.
— Vas-y, suce-moi la bite petite salope, montre-nous tes talents de star du x à la caméra !— Pardon !? Tu me parles autrement ! Je suce pas sur commande, puis c’est qui nous ? Tu vas la balancer sur le Net ? La montrer à tes abrutis de potes ?— Mais non, t’es folle, jamais je la montrerai sans ton accord, non c’est pour nous, histoire de bien s’exciter quand on baise.— Putain t’es chelou ! Ça te pète comme ça d’un coup ?— Ben oui, pourquoi pas ? Décide-toi vite, je vais pas tarder à jouir.— Je sais pas, tu me prends un peu à l’improviste.— Allez chérie, une petite pipe et après je te laisse tranquille, promis !
Bien qu’elle soit toujours en colère, son début d’hésitation me donne un mince espoir, le plan sexe-tape semble réveiller sa libido. Je tente une dernière fois de lui faire changer d’avis.
— Tu veux pas juste essayer ? T’as pas envie de te mater en vidéo ? C’est hyper-excitant non ?
Céline souffle longuement puis après une brève hésitation, elle enjambe ma cuisse et s’agenouille face à moi et l’objectif de la caméra. Tout à ma joie, je me concentre sur le cadrage pour ne rien manquer de la scène. Céline penche sa tête au-dessus de mon sexe et déploie sa langue de velours pour le caresser tout en douceur, glissant le long de mes veines gonflées et remontant pour venir tourner autour de mon gland et titiller mon frein, son regard sensuel et félin, lui, joue avec l’objectif de ma caméra sans le lâcher. Je suis aux anges, il y avait bien longtemps qu’elle ne m’avait pas sucé la queue avec tant d’application.
Tandis que ses ongles vernis se plantent dans la chair de mes cuisses, son visage disparaît sous mon pénis, je sens mes testicules être tour à tour aspirés entre ses lèvres humides, et mâchouillés avec délicatesse dans sa bouche, puis elle remonte et vient frotter ses lèvres avec délices sur mon gland avant de s’empaler lentement sur ma verge et l’engloutir toute entière sans sourciller. Quelques voluptueux aller-retour suffisent à faire monter la sève, alertée par mes gémissements de plus en plus rapprochés, Céline se retire immédiatement et se fige la bouche ouverte au-dessus de mon sexe, prise de spasmes, tout en toisant la caméra de plus belle avec son regard de petite bourgeoise dévergondée. Quelques mouvements de poignets toujours aussi brutaux suffisent à m’achever et me faire exploser tel un geyser, une première saillie, puissante et généreuse, vient tapisser sa cavité buccale et sa joue gauche, les suivantes se déversent paresseusement en abondance le long de ma verge.
Elle s’attelle aussitôt à un minutieux travail de nettoyage, faisant courir ses lèvres et sa langue sur ma verge, mes couilles et mes poils pubiens, léchant et aspirant avec gourmandise le précieux nectar. Les joues gonflées, elle s’approche de la caméra puis ouvre sa bouche en grand, sa langue est chargée de sperme qu’elle avale aussitôt. Tout sourire, elle m’interpelle telle une petite garce espiègle.
— Alors, monsieur est satisfait de la prestation ? La pipe était à son goût ?— C’était parfait, si je puis me permettre, il en reste un peu sur votre joue.
J’essuie sa joue avec mes doigts qu’elle s’empresse de sucer goulûment.
— Vous avez raison, monsieur, ça aurait été dommage de gâcher !— Souhaitez-vous en échange de bon procédé que je vous lèche votre petit minou ?— Non merci, j’ai pour cela un jouet bien plus efficace que votre langue, contentez-vous de m’envoyer la vidéo, maintenant si je puis enfin être tranquille, j’apprécierai !— ...
J’arrête de filmer, vexé par sa dernière remarque et lui renvoie un regard quelque peu dépité, c’est alors qu’elle extirpe, caché sous sa serviette, un sex-toy qu’elle exhibe sous mon nez avec un sourire moqueur comme pour enfoncer le clou, avant de replonger tranquillement dans la lecture de son livre. La mine déconfite, je file à la douche, malgré tout satisfait : j’ai eu droit à une délicieuse fellation et j’ai en prime une vidéo que je pourrais montrer à Eric. Cette fin d’après-midi aura été assez folle, à la fois riche en expériences et en émotions, et quand bien même mon comportement n’a pas été exempt de tout reproche, les vexations que m’a fait subir ma femme m’ont laissé en bouche un goût amer et une soif de revanche...
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