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Confession d'un homosexuel refoulé

Chapitre 6

Jeux tabous dans le jardin

Trash
Je me relève, penaud, le tee-shirt couvert de feuilles et de boue, je fixe mes pieds, n’osant affronter son regard. Loin d’être effrayée comme lors de notre première rencontre, elle m’interpelle avec ironie :
— Alors, t’as aimé ? Comment j’étais ? Un peu mou le Roger non ?— Ça va, c’était pas mal, perso je trouve que tu as été un peu dure avec Roger.— T’inquiète pas pour lui, je crois qu’il a plutôt passé un bon moment, sinon ça t’arrive souvent d’espionner les gens ?— Ha si tu savais ! En fait je faisais une petite sieste tranquille quand vous êtes arrivés, je voulais pas vous déranger.— Haha, il est mignon, tu sais que je pourrais porter plainte pour tout à l’heure, pour attouchements sexuels.— Ha ouai ? Et qui croirait une fille qui baise avec des inconnus en se filmant dans des coins peu fréquentables ? D’ailleurs je peux savoir pourquoi tu m’as fait ton petit numéro de la fille apeurée ?— T’as vu je joue bien la comédie ! J’avais d’autres plans prévus comme t’as pu le constater, puis les mecs qui trompent leur meuf en avalant des bites, beurk c’est pas mon kiff.— Intéressant ! Donc tu savais que c’était moi l’autre jour ? Et qui te dis que je suis marié ?— D’une faut croire que j’ai des talents de physionomiste, de deux t’as une alliance au doigt.— Bien joué madame la détective, ah, avant que tu partes, j’ai ton défi pour ta prochaine vidéo.— Ouai je devine, un plan à trois avec toi et ton petit copain ? Ça plairait surement à mes followers, tu sais quoi, t’as qu’à t’abonner sur mon compte “OnlyFans” et laisser ta com, c’est payant au cas ou tu serais radin, pour me trouver tu recherches Lydia des bois.— Comme c’est bizarre ! J’y manquerai pas d’y faire un petit tour.— Bon c’est pas que tu m’ennuies mais j’ai un montage à faire.— À bientôt Lydia, on se croisera surement à nouveau vu que t’aimes bien laisser traîner ta bouche dans ces bois.
Elle s’approche de moi et attrape mon sexe avec poigne.
— Laisse ta com, et peut-être que je la sucerai.
Elle m’embrasse sur la joue puis s’éloigne en trottinant. Je suis surexcité, j’ai envie de la baiser, envie d’être le futur Roger. Sur le chemin du retour, je ne peux m’empêcher avec un certain amusement de trouver des similitudes entre Lydia et Céline, leur caractère affirmé, se franc parlé et surtout cette touche d’irrévérence, je me met à imaginer une rencontre, ça serait explosif !
Rentré à la maison, je profite d’être seul (Céline est soi-disant partie boire un coup avec ses amies) pour visiter le site de Lydia mais impossible d’accéder au contenu sans abonnement, je décide de faire chauffer la carte bleu, va pour la formule un mois. Le compte semble récent, il n’y a que cinq vidéos, plutôt courtes et au scénario identique, Lydia y aborde un inconnu pour lui proposer ses faveurs sexuelles en étant filmé de manière anonyme, fellation, pénétration, éjaculation faciale s’enchaînent systématiquement. La vidéo avec Roger n’est pas encore disponible, j’y reviendrai plus tard pour y laisser un commentaire.
Une fois n’est pas coutume, ma femme rentrera tard de sa soirée, l’examen discret de son sac à main confirmera une fois de plus mes soupçons, sont stock de préservatif évolue sans cesse, passant de un à trois, sa consommation semble non négligeable. Je suis bien décidé à la piéger pour de bon ce mercredi, ma demande de congé pour l’après-midi acceptée il ne me reste plus qu’à imaginer mon stratagème. Après avoir retourné la question dans tous les sens, je me rends compte qu’il n’y a pas trente six solutions, j’en parle aussitôt à Eric par échanges d’SMS, histoire de bien accorder nos violons.
Le rendez-vous est prévu pour 14h, Eric doit passer me récupérer juste avant au château d’eau, en l’attendant j’en profite pour laisser un message sur la vidéo de Lydia enfin disponible, la revoir s’occuper de Roger m’excite aussitôt, mais à peine ai-je sorti mon sexe pour me soulager qu’Eric arrive, il ne manque pas l’occasion de se moquer.
— Quand tu auras fini tu passeras à la mienne !— Ouai économise toi pour ma femme, allez on y va.
Je range mon sexe dur, et prends place à l’arrière de son utilitaire. Enfin arrivé, je reste dissimulé et observe discrètement Eric qui sonne à la porte. Après quelques secondes il pénètre dans la maison, je m’exfiltre de la voiture, et me faufile à pas de loup en contournant la maison jusqu’à la fenêtre du salon, plaqué contre le mur, je jette des coups d’œils furtifs mais je parviens difficilement à voir à travers les stores baissés, s’ils restent dans la maison je ne verrai pas grand chose, mon seul espoir est qu’ils aillent sur la terrasse, par chance il fait divinement beau et chaud et je sais que Céline aime profiter du salon de jardin. Bingo ! Après quelques minutes, ils rejoignent la terrasse par la porte vitrée côté cuisine.
J’attends quelques instants qu’ils soient bien installés et m’introduit dans la maison, depuis la fenêtre de la cuisine j’aurais une vue imprenable bien caché derrière les stores, la baie vitrée étant restée entrouverte je pourrais parfaitement entendre leurs discussions. J’envoi un message à Eric, pour le prévenir que je suis dans la cuisine mais surtout pour le mettre à l’aise, je veux qu’il soit le plus naturel possible, quitte à baiser ma femme. Après avoir consulté mon message, il jette rapidement un coup d’œil dans ma direction sans qu’il ne semble me voir, les stores et reflets de la vitre me rendent quasi invisible. Il ne me reste plus qu’à sortir le pop-corn et assister au spectacle.
Tandis qu’Eric sort de sa poche le devis pour la salle de bain, Céline lui demande ce qu’il souhaite boire, astucieusement Eric hésite longuement pour me laisser du temps, je me cache rapidement dans le couloir, le temps que Céline fasse un aller-retour à la cuisine pour rejoindre Eric avec deux bières fraîches. À l’instar du récit que m’a fait Eric de leur premier rendez-vous, Céline est très sexy, elle porte une mini jupe rose bonbon, moulante et ras des fesses, et un tee-shirt blanc avec de la dentelle fine et transparente au niveau de la poitrine qui trahit l’absence de soutien-gorge. Très rapidement l’attitude de Céline est sans équivoque, son regard déroutant ne lâche pas une seconde Eric tandis que sa langue glisse langoureusement sur le goulot de sa bouteille de bière, comme si cela ne suffisait pas à attiser la libido d’Eric, elle prend un malin plaisir à croiser et décroiser les jambes, marquant de petites pauses les cuisses entre ouvertes.
Eric est perturbé, la main crispée sur sa bouteille, il descend sa bière à grosses gorgées, je me doute qu’il ne résistera pas longtemps. Avec un art inné de la comédie, Céline se penche longuement au-dessus de la table basse pour éplucher le devis qu’Eric à déposé, elle sait que sous le poids de sa poitrine, ses tétons qui pointent ne passent pas inaperçus à travers la dentelle. Continuant son numéro, elle feint de ne rien comprendre, elle se lève et contourne la table basse pour venir s’asseoir à ses côtés, cuisses contre cuisses, puis l’interroge de manière faussement ingénue la main posée sur son genou :
— Eric, expliquez moi toutes ses lignes, je n’y comprend rien.— Qu’est ce que vous voulez savoir ?
Céline remonte légèrement sa main sur sa cuisse
— Ça ne va pas me coûter trop cher tout ce que vous avez marqué là, ça fait beaucoup de choses ?— Ah non, vous trouverez pas moins cher, si vous passez par une entreprise vous paierez quasiment le double.— Tant mieux, et si besoin y’a possibilité de s’arranger pour le paiement ?— C’est-à-dire ?— Vous acceptez les paiements en nature Eric ? (sa main remonte encore un peu sur le haut de sa cuisse)— En nature ?
Céline se relève puis enjambe soudainement Eric, elle s’assoit sur ses cuisses face à lui et enroule ses bras autour de son cou, prit de court, il laisse échapper sa bière qui se déverse sur un coussin du canapé.
— C’est pas grave, je nettoierai ça plus tard, dis moi Eric, je te plais ?
Eric lance un bref regard dans ma direction, presque désolé, il tente vainement de raisonner Céline en bégayant :
— C’est peut-être pas prudent, on pourrait nous surprendre, et votre mari, je serai pas à l’aise quand il sera là ?— T’occupes, il n’y verra que du feu, est ce que je te fais envie ?— Heu, oui…— C’est un petit oui, tu vas me vexer Eric.
Sûre de son pouvoir de séduction, elle blottit la tête d’Eric dans le creux de sa poitrine, tout en se dandinant des fesses sur ses cuisses, puis relève sa jupe au-dessus de la taille et attrape ses mains pour les poser sur ses fesses. Malgré ses efforts, Eric reste désespérément inerte, savoir que je l’observe l’inhibe sûrement mais cette pseudo compassion à mon égard m’irrite plus qu’elle ne me touche et lorsqu’il regarde à nouveau dans ma direction, j’écarte les stores et lui lance un regard noir pour lui fait part de mon mécontentement, je lui envoi aussitôt un texto : “baise moi cette chienne” et agite mon téléphone à travers la fenêtre pour qu’il consulte le sien. Son téléphone est sur la table basse, il l’attrape du bout des doigts et consulte rapidement mon message ce qui a le don d’agacer Céline :
— Putain qu’est ce que t’es coincé, dis le si je t’intéresse moins que ton téléphone.
Furieuse, elle se relève et réajuste sa jupe tout en ruminant sa frustration :
— je crois que je vais chercher un autre arti…
Elle n’a pas le temps de finir sa phrase qu’Eric la saisit vigoureusement par la taille et la rassoit sur ses cuisses. Il relève sa jupe et pétrie ses fesses sans retenue avec ses imposantes mains.
— Je vais te montrer comment on baise une chienne comme toi !
Pas impressionnée pour un sous, Céline le défi du regard et se déhanche de plus bel écrasant son sexe de tout son poids. Déchaînée, elle relève son tee-shirt et frotte ses seins contre la barbe fournie d’Eric. Débordé par sa fougue, Eric tente de reprendre le dessus en usant de sa force physique, il la soulève comme une vulgaire brindille et la repose sur le dos dans le coin du canapé, il lui écarte les jambes et plonge son visage entre ses cuisses. Céline ricane de manière hystérique, sans doute chatouillée par les poils de la barbe à Eric, puis gémit, se tortille et s’agrippe aux quelques cheveux d’Eric qui semble particulièrement habile avec sa langue et ses gros doigts. La chatte en feu, Céline à besoin de temporiser, elle tire Eric par le col de son tee-shirt.
— À mon tour de m’occuper de toi, fais moi voir ce que tu caches.
Eric s’agenouille de part et d’autre de la poitrine de Céline, elle se redresse, et défait aussitôt les boutons de son pantalon qu’elle fait glisser le long de ses cuisses. Elle caresse lentement son caleçon, parcourant avec sensualité les contours de l’imposante bosse qui s’y dessine, prenant un malin plaisir à jouer avec sa patience. Eric en profite pour jouer les détectives pour mon compte.
— On dirait que madame aime le sexe ?— J’adore ça, c’est mon péché mignon en quelque sorte.— Tu aimes sucer ? Ma femme déteste ça cette conne !— Si j’aime ? À toi de juger.
Elle fait glisser son caleçon, libérant son pénis qui se dresse fièrement sous son nez, impressionnée par l’imposante bête, elle virevolte tout autour en le reniflant. Eric poursuit son interrogatoire tout en se masturbant, essayant d’attraper la bouche de Céline qui prend un malin plaisir à se dérober à chaque fois.
— Tu en as rarement sucé des si belles, avoue ?— Petit présomptueux ! T’es pas le premier, je ne les compte même plus, pas plus tard qu’hier d’ailleurs !— Oh ! On peut savoir qui était l’heureux élu ?
Elle referme ses doigts autour de sa verge et décalotte son gland pour l’embrasser du bout des lèvres tout en lui lançant un regard suspicieux.
— Tu es bien curieux ?— Je sais, mais ça m’excite, j’aime les chiennes dans ton genre, si ma femme pouvait être comme toi !— Je ne sais pas si je dois le prendre pour un compliment !— Alors ! C’était qui ?— Il veut tout savoir le coquin, c’était Michel, un collègue de travail.— Et elle est comment la bite de Michel ?— Délicieuse ! très bonne travailleuse, on va voir si tu tiens la comparaison.— T’inquiète pas pour moi et ton mari dans tout ça ?— Nico ? Il se doute de rien, le pauvre s’il savait il ferait une syncope.— Ça ne te dérange pas, je veux dire t’as pas de remords ?— Non pourquoi, je devrais ? Je suis pas la femme d’un seul homme ! T’es bien marié toi aussi !— Bien vu !
Eric lance dans ma direction un sourire satisfait, fière des preuves qu’il vient d’extorquer. Je suis estomaqué, si je sais qu’elle me trompe, j’étais loin d’imaginer que ma femme est une nymphomane insatiable qui mène depuis des années une double vie sans une once de remord, je n’ose même pas imaginer avec combien d’hommes ni avec qui. Si une colère froide m’envahit, je me garde bien d’intervenir tant je suis également excité de voir cette queue que j’ai sucé s’agiter devant la bouche de ma femme. Tandis qu’elle le masturbe mollement et lèche timidement sa verge, elle lui pose une question pour le moins surprenante.
— T’as pas envie de pisser ? Avec la bière que t’as avalé d’une traite…— Heu non, ça va, merci.— T’es sur ?— Peut-être un petit peu mais rien qui presse, ça attendra.— Fais-moi dessus.— Pardon ?— Fais-moi dessus !!!— Tu veux que je te pisses dessus ?— Oui, quoi t’ose pas ? T’aime pas ça ?— Non, c’est que j’ai jamais fait ça.— Y’a une première à tout, tous les mecs qui ont essayé avec moi ont kiffé !— Je sais pas… je veux bien essayer si t’insiste !— Ok, on va se mettre dans le gazon j’ai pas envie de saloper mon salon de jardin.
Elle se lève et l’entraîne avec elle en le tenant par la queue, elle se débarrasse de sa jupe et son tee-shirt, puis s’allonge sur la pelouse entre ses jambes.
— Vas-y !— Tu veux que je fasse ou ?— Ou tu veux, tu peux sur le visage si tu veux.— Ok, par contre j’ai pas une grosse envie.— C’est mieux que rien.
Le sexe en main, Eric reste figé quelques instants, le temps que l’envie lui vienne. Lorsqu’il se met enfin à uriner, il arrose instinctivement sa poitrine, faisant courir un jet fin et translucide de gauche à droite, visant avec précision ses tétons. Eric ne semble pas rebuté, bien au contraire, il semble même y trouver son compte, assouvissant sûrement ses désirs déviants d’humiliation. Que dire de Céline qui gémit de plus belle tout en se tortillant et se caresse jusqu’entre les cuisses pour enduire son corps d’urine. Eric se soulage de ses dernières gouttes en visant la bouche de Céline. Des filets d’urine dégoulinent sur son visage, mouillant sa frange et infiltrant les plis de ses yeux et de sa bouche, Céline s’en délecte, se léchant les lèvres et suçant ses doigts. Eric a le regard brillant, complètement fasciné par le spectacle inédit qui s’offre à lui, il bande plus dur que jamais, c’est alors que Céline se met à hurler de plaisir :
— Ho oui, putain c’est bon !!! Vas-y baise moi, baise moi comme une chienne !— Tu sais que tu m’excites toi ! Salope !— Va chercher ma bière.— Quoi ?— Va chercher ma bière !!!— Ok, ok j’y vais.
Eric s’empresse d’aller récupérer la bouteille sur la table basse, puis la lui tend.Céline la lui arrache des mains et arrose sa chatte et son anus avec le fond de bière.
— Putain, mais qu’est ce que tu fous ?— Vas-y, prends-moi ! Baise mon petit trou !
Eric ne se fait pas prier, il s’agenouille entre les jambes de Céline puis soulève son bassin qu’il repose sur ses cuisses. Après avoir huilé son sexe dans le mélange de bière et d’urine qui ruissèle entre les cuisses de Céline, il introduit délicatement son gland dans son anus et s’enfonce lentement, tandis qu’elle crie à tout rompre. Après quelques va et vient, elle lui tend la bouteille de bière après avoir lécher le goulot pour le lubrifier :
— Baise moi la chatte !— Avec la bouteille ?— Oui ! Baise moi !!!
Eric se saisit de la bouteille et enfonce le goulot dans sa chatte, Céline mouille tellement qu’il est instantanément avalé, prise en double pénétration, elle se contorsionne dans tous les sens, pince ses tétons et se mord les lèvres pour ne pas hurler davantage. Mais comme si cela ne suffisait pas, Céline attrape la main d’Eric qui tient la bouteille et tire dessus, le message est clair, sans se faire prier, Eric enfonce le ventre de la bouteille au trois quart dans son vagin dilaté tout en pilonnant son anus avec brutalité. Les orifices sauvagement martyrisés, Céline est au supplice, haletant de plus en plus fort tandis que ses mains crispées n’en finissent plus d’arracher des bouts de gazon.
Un énième coup de boutoir ou plutôt de bouteille, finit par avoir raison d’elle, dans un ultime gémissement long et aigu, elle se redresse prise de spasme et attrape la main d’Eric pour lui ôter la bouteille, à bout de souffle, elle se rallonge sur le dos, sourire béa et bras écartés, elle en oublierait presque qu’Eric continue de lui ramoner le cul. Vexé par ce manque d’égard, Eric se retire et rampe à genoux jusqu’à hauteur de son visage. Céline le toise du regard et rie ironiquement attisant un peu plus sa colère. Brandissant son sexe tel une matraque, il bifle violemment ses joues et sa bouche sans parvenir à mettre fin à ses rires.
— Fais la maline, petite pétasse, tu vas voir ce que tu vas prendre.
Le gland écrasé contre sa joue, Eric se masturbe énergiquement jusqu’à cracher son sperme en abondance qu’il étale sur sa bouche en essuyant son sexe. Il s’affale à son tour sur la pelouse à côté de Céline.
— Putain j’en ai connu des salopes, mais toi t’es au sommet, le coup de l’urine et de la bouteille on me l’avait jamais fait !— Et alors, tu as aimé ? (Céline le regarde en se léchant les lèvres)— Ouai, j’ai bien kiffé, on remet ça quand tu veux.— Tu me fais une remise de cinq cent euros sur ton devis et tu pourras revenir t’amuser.— Tu marchandes comme une pute ! Si c’est que ça je te les offres les cinq cent euros !— Parfait, y’en a pour combien de temps les travaux ?— Au moins deux jours.— Et bien si tu peux t’as qu’à venir mardi et mercredi prochain, comme ça je pourrais m’occuper de toi mercredi après-midi.— Ça marche, j’ai hâte de voir ce que tu va me réserver comme surprise.— Chut ! C’est un secret, à mardi Eric.
Céline se relève, le corps souillé d’urine et le visage maculé de sperme et file directement à la douche, sous le regard lubrique d’Eric. Je me cache in extremis derrière le comptoir de cuisine et attend qu’elle soit dans la salle de bain pour faire signe à Eric de me retrouver à l’utilitaire. Eric me rejoint rapidement, à la fois réjouit de l’expérience qu’il vient de vivre et compatissant à mon égard. Sur le trajet du retour à notre désormais habituel lieu de rencontre, l’ambiance est pesante, Eric tente maladroitement de me présenter des excuses, je lui fais aussitôt comprendre qu’il n’a rien à se reprocher et que j’aurai sûrement fait la même chose à sa place, si je suis en colère, ce n’est pas contre lui. Ce que j’ai découvert aujourd’hui m’a profondément choqué, plus encore, m’a blessé, je réalise que je ne connais pas ma femme et qu’elle n’éprouve que du mépris à mon égard.
Humilié mais pas abattu, je ne suis désormais plus animé que par une seule chose : ma soif de vengeance ! à mon tour de l’humilier.
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